Petit-Lion

bon, si j'ai bien tout compris les petits derniers, c'est encore une conspiration du complexe météo-industriel qui a détruit ce pauvre cher homme... ♫ On nous cache tout, on nous dit rien ! ♫ ♫ Plus on sait tout plus on ne sait rien ! ♫

Waou! tout ça avec trois molécules (quand on a de la chance). C'est ce que je disais : c'est magique! continue, hihi!

C'est pourtant bien connu. « Des études ont montré » que le cerveau masculin contient une aire du char, tandis que le cerveau féminin contient une aire de la chaussure. Non? bon ok, je sors...

En effet, c'est une querelle de linguistes, mais j'ai choisi mon camp. J'aime beaucoup cet extrait : Quant aux réformes de l'orthographe, on dirait que ça pogne pas vraiment, en France... Les Allemands en ont fait une récemment, de grande ampleur. Je voudrais bien savoir ce qu'il en est !

J'vote pour Chouchou !!

L'usage décidera. On risque juste d'afficher son âge (ou son érudition) en conservant l'orthographe traditionnelle. Si cette réforme est sous-tendue par une idéologie égalitaire, comme je le soupçonne, ça ne prendra pas. Selon que vous écrirez nénufar ou nénuphar, on saura si vous lisez le Devoir ou si vous regardez les sous-titres de TQS, mouarf! Éléfant... mais c'est lette!

Bon vol ! Et oui, on peut se connecter en basse vitesse au Québec. C'est un pays moderne, quand-même ! Tous les fournisseurs proposent différents plans, compter 15 à 20 $/mois en illimité. Mardi : Ensoleillé avec passages nuageux. Vents devenant d'ouest à 30 km/h en après-midi. Maximum plus 4. Mercredi : Ensoleillé. Minimum moins 7. Maximum plus 1. Jeudi : Ensoleillé. Minimum moins 7. Maximum plus 4. Vendredi : Ensoleillé. Minimum moins 3. Maximum moins 1.

Voilàvoilà... Et je sais ronronner ! **rroonnn rrrroonnnn...**

Z'êtes drôles, j'avoue que je m'attendais à pire ! Faque... chiche, je me cherche une photo potable, là, là...

Tiens, pour une fois je ne lis pas le sujet la veille au soir ! Ajoutez +1, et +4 places dans le gros char Ma première cabane à sucre, en passant. Ben oui, bon !

Attention, les effets de l'alcool comptent double en avion : la pressurisation maintient une « altitude-cabine » d'environ 2500 mètres. La légère raréfaction de l'oxygène qui s'en suit n'a normalement aucun inconvénient, mais elle augmente les effets de l'alcool et autres psychotropes. Cela expliquerait une bonne partie des cas de « rage de l'air » chez certains passagers qui ont bu quelque chose (ou pris des pilules rigolotes, comme ici) pendant le vol.

Tu veux parler de tous ces mots de trois ou quatre lettres, de ces prépositions et de cette grammaire simpliste? En effet, ça n'a rien de français. En fait, c'est ce qui reste des langues primitives d'il y a deux mille ans. Je suis persuadé que si la France n'avait pas été si souvent envahie, le gaulois qu'on y parlerait de nos jours ressemblerait à ça Vous savez pourquoi je fais de la traduction technique? parce que l'anglais technique, c'est essentiellement du français mal parlé. En fait, je corrige, et j'adore ça!

Hé bien... tu as choisi ton colonisateur! « L'appareil fera l'objet d'un paiement de 48 mensualités de ____, le solde étant payable éventuellement à l'issue du contrat. » Comme quoi si on n'y prend pas garde, on va finir par ne plus se comprendre. Tu vois Cherry, j'aime mieux l'intégration au français de termes typiquement québécois qui ne présentent pas ce genre d'ambiguité. Bel exemple de l'utilité d'un organisme normatif. Au fait, chers aviateurs français, qu'est-ce que l'angle d'incidence ?

Non Jimmy. Tout un aréopage de distingués linguistes te le confirmeront!

Zogu, il y a deux voies : l'isolement et la créolisation, ou la concertation et l'intégration avec tous les autres francophones. La voie de l'Académie française... hmm... tu surestimes cette honorable institution. Elle n'a guère d'autorité et fait davantage sourire qu'autre chose. D'ailleurs il n'y a pas vraiment d'autorité normative comparable à l'OLF, en France. Le gouvernement n'est pas vraiment écouté. La bonne orthographe, la belle langue, on l'apprend dans le petit Larousse et dans les livres. Ce sont les intellectuels, écrivains, certains journalistes (ceux du Monde, hein, pas ceux de TF1 !) qui nous servent de référence. Je crois que les différentes communautés francophones doivent collaborer et non s'isoler. L'OLF fait un travail magnifique et oui, je regrette qu'il ne soit pas davantage écouté... en France !

C'était sur France 3, non ? C'est leur spécialité ! Le journaliste parisien muté en province contre son gré et qui va y faire de l'ethnographie... pfff ! quel manque de respect ! C'est le genre de chose qui me fout en rogne chaque fois que je remets les pieds en France !

Tiens, encore Yves Duteil ! Sur ce point, l'auteur est à côté de la plaque. Le marché du livre scolaire est déjà complètement fermé aux éditeurs français, ne serait-ce que parce que les programmes n'ont rien à voir, mais sans doute l'auteur l'ignore-t-il. Le cliché du « maudit français » révèle aussi une certaine ignorance de la société québécoise. Quant aux industries de la langue et de la culture d'ici, elles non plus n'ont pas trop à souffrir de la concurrence de la France. Côté chansons, ce serait plutôt le contraire. Denise Bombardier a raison quand elle dit que les Québécois qui font l'effort de bien parler, de bien écrire, sont assez mal vus du reste de la population. On les traite facilement de colonisés, de complexés vis-à-vis de la France, le tout avec des mines de cul-de-poule. La culture populaire du Québec est assez uniforme, et il est mal vu de vouloir s'en éloigner. Michel Tremblay décrit très bien l'origine historique de ce fatalisme : quand, chez un marchand d'instruments de musique, le petit Marcel révèle son don prodigieux pour le piano, sa mère, furieuse, le sort du magasin. « Ce n'est pas possible chez nous, une chose pareille. Mais qu'est-ce qu'on va faire de lui? ». Marcel ne jouera plus jamais du piano et il gardera pour lui sa passion de la peinture. La méfiance du peuple vis-à-vis de la culture est bien présente. Il n'est pas rare qu'un québécois le moindrement instruit ne fasse dire par ses chums « ben oui tu penses pas comme nous, toi, tu lis des livres! » Si le québécois doit se mettre à diverger du français standard, et a fortiori du français de France, comment va-t-on définir l'orthographe, la grammaire et le vocabulaire du québécois? en décrétant que la parlure des garagistes et des humoristes de télé, c'est le bon québécois? Démagogie. Les Québécois se sont battus pendant 200 ans (tout seuls...) pour la défense du « fait français » en Amérique du Nord. Pas la race québécoise, pas la religion catholique, pas la culture, non, juste le « fait français », c'est-à-dire la possibilité de vivre en français. Je crois que le jour où les 8 millions d'Américains qui parlent français ne seront plus que 8 millions dans le monde à se comprendre, et non 80 ou 100 milllions, alors leur langue sera bien plus en danger de disparition. Question : comment définira-t-on « éventuellement », dans un dictionnaire québécois indépendant ? suivant le modèle du français colonisateur, ou suivant l'anglicisme fautif que 90 % des Québécois commettent ? Choisissez votre colonisateur.

Correction : un avion de ligne à son altitude de croisière (10 km) peut planer environ... 100 kilomètres. Il est extrêmement rare qu'un avion de ligne perde tous ses moteurs. Disons que ça arrive une fois tous les 20 ans. La dernière fois (2001), c'est un un biréacteur A330 d'Air Transat qui a eu une fuite de carburant en vol. C'est celui-là qui a plané jusqu'aux Açores. Bien avant (1982), c'était un un Boeing 747 de British Airways qui a perdu l'un après l'autre ses quatre moteurs. Il a plané pendant 13 minutes avant que l'équipage ne réussisse à remettre les moteurs en marche. L'avion avait traversé un nuage de cendres volcaniques invisibles. Depuis ce temps, les déplacements de cendres volcaniques dans l'atmosphère sont suivis par satellite et font partie des rapports météorologiques pour l'aviation. À ma connaissance, aucun avion de ligne n'est tombé à la suite d'une simple panne de tous les moteurs. De même, désolé de vous le dire, mais aucun avion de ligne n'a jamais réussi un amerrissage. Dès qu'un réacteur touche l'eau, il se plante dedans, l'avion bascule et se brise. Les boulons explosifs pour se débarrasser des réacteurs sont une bonne idée (la preuve : j'y avais pensé ), mais ça n'existe pas. [DIGRESSION]Au hasard de mes recherches sur les boulons explosifs, j'ai aussi trouvé un bel exemple de théorie de la conspiration, à lire juste par curiosité pour voir ce que ça donne quand un amateur fait sa propre enquête par Internet à propos d'accidents d'avion. Un bon exercice de scepticisme ! [/DIGRESSION] Pour en revenir au sujet, bien que les moteurs d'avion soient très fiables, les avions qui n'en ont que 2 sont soumis à une obligation particulière : ils n'ont pas le droit de s'éloigner à plus de trois heures de vol d'un aéroport. Cela oblige les vols transatlantiques à emprunter des routes moins directes, plus au nord, pour rester toujours à portée d'un aéroport. Un aéroport de déroutement est entretenu à cette fin au Groenland. Il ne sert presque jamais. Trois heures, c'est beaucoup, sur un moteur. En fait, c'est 60 minutes au départ, et les compagnies ne sont progressivement autorisées à 90 minutes, 120 minutes, puis 180 minutes (207 minutes depuis peu, 240 minutes en discussion) qu'après avoir présenté un historique de fiabilité impeccable, qui se mesure en incidents par million d'heures de moteur. Seuls certains moteurs, sur certains avions et dans certaines compagnies y ont droit. Tous les biréacteurs exploités sur des vols transocéaniques respectent cette contrainte. Bref... comme on l'a dit, la phase du voyage la plus dangereuse, c'est dans le taxi !

Waou! c'est quelle marque, déjà ? Sinon, le SAV de Toshiba est international, et l'atelier de Montréal (au centre-ville) est excellent !

En effet, c'est très clair ! je me vois mal faire une déclaration d'impôts en Suède, une autre aux États-Unis, une troisième en Israël... C'est vrai que la date du déménagement a son importance. Pour les revenus facturés jusqu'à la date de ton départ, il n'y a pas de changement. Après cette date, il y a le formulaire spécial français dont tu parlais pour payer tes impôts en France, et il y a les formulaires fédéral et provincial sur lesquels tu fais tes calculs comme si tu devais payer aussi les impôts canadiens sur ces mêmes revenus, au titre des revenus de source étrangère. Mais pas de panique. Côté Canada, ce document devrait t'intéresser. Dans le Guide de l'impôt, ce sont les lignes 431 et 433. C'est pas mal compliqué, car tu dois comparer l'impôt payé à l'étranger à l'impôt que tu aurais à payer au Canada sur ce même revenu. C'est le moins élevé des deux montants qui te donne un crédit au Canada. Autrement dit, si l'impôt est plus lourd en France, le Canada ne te redonne pas tout. Dommage. Côté Québec, je n'ai pas cherché, mais c'est probablement calqué sur la politique fédérale, comme toujours. Bonne chance ! en tout cas ça paraît un peu plus clair, maintenant.

Lundi, le gouvernement Charest annonce la décision. Mardi, la polémique repart de plus belle. « Ce gouvernement ne tient décidément aucun compte de l'avis des experts et des citoyens ! Ce site était le plus mauvais choix possible ! juste pour ne pas faire ce qu'avait décidé l'ancien gouvernement péquiste ! » Etc. Le temps passe, des groupes d'intérêt possédant des terrains un peu partout dans la ville sortent des rapports d'expert favorisant leur endroit... font du lobbying à Québec... Le temps passe, les élections arrivent... Le PLQ est ratatiné, le PQ avait oublié de présenter un candidat, Mario Dumont est nommé premier ministre et forme un gouvernement minoritaire... Y aura-t-il un grand prix de formule 1 l'année prochaine à Montréal ? Aurons-nous les championnats du monde des sports aquatiques ? Les Expos réussiront-ils à se faire construire un stade au centre-ville ? Le stade olympique deviendra-t-il un « youppital » ? J'adore l'actu !

En effet, la peur de l'avion, c'est complètement différent. J'imagine qu'un anxiolytique ferait l'affaire, voire une granule de sucre au nom latin, compte tenu du caractère éminement psychologique de ce problème. (Scusez, j'en rate pas une !) Ou alors on s'entraîne dans un petit avion ! J'ai fait Montréal-Québec avec une fille qui avait une peur bleue de l'avion, et ça s'est bien passé, hihi !

La plupart des petits fournisseurs, Radioactif, Vif, AEI, etc. exploitent en fait l'infrastructure de Bell Sympatico. Côté performances et fiabilité, ils sont donc tous alignés. J'ai du 3 Mbit/s réel-effectif-pratique, peut-être que j'habite tout près du central téléphonique. Côté prix, c'est 30 $ par mois sans contrat, contre 35 $ par mois avec contrat de 12 mois ou 45 $ par mois sans contrat chez Bell. Les petits fournisseurs permettent d'acheter le modem, ou bien ils l'offrent moyennant un contrat (je crois). Chez Bell, on ne peut pas acheter le modem. Il est offert gratuitement avec le contrat de douze mois (donc 35 $ modem compris), ou facturé 10 $/mois sans contrat, donc 55 $ par mois en tout. Le service facturation de Sympatico est nul. Au bout de douze mois, soit ils t'avertissent gentiment que tu vas repasser au prix fort, 45 $/mois plus 10 $ pour le modem, soit tu t'en aperçois sur tes relevés de carte de crédit. Alors naturellement, tu demandes une résiliation pour aller chez Radioactif (par exemple). Et là ils te proposent un nouveau contrat de douze mois à 29,95 $ par mois, modem compris. Allez comprendre... Vidéotron : plus performant, 5 Mbit/s, ça ne dépend pas de la distance, mais du nombre de gens qui partagent le câble dans la rue. Pour le moment les gens ont l'air content, il doit y avoir de la marge. Pas mal plus cher, surtout si on n'est pas abonné à la tévé par câble. En revanche, Vidéotron propose maintenant un service de téléphonie résidentielle VoIP (disponible sur la rive sud de Montréal) qui marche très bien, car ça tourne sur leur propre infrastructure. Pour qui veut le trio TV + internet + téléphone, c'est franchement intéressant. Et le service à la clientèle de Vidéotron est excellent.

Il y avait au moins une bonne raison de prendre une assurance, c'est que tu allais conduire très fatigué. Une chance qu'ils t'aient laissé partir, chez Hertz ! En tout cas, ton bonheur fait plaisir à voir, bienvenue au Québec !

Le mal de l'air, c'est le mal des transports en général, un malaise qui apparaît chez certaines personnes dès que les repères visuels ne correspondent plus aux déplacements ressentis par les mécanismes d'équilibre de l'oreille interne. Ça arrive même dans les ascenseurs : il suffit de s'accroupir pour fouiller dans un sac de livraison (par exemple) au moment où l'ascenseur démarre. Ou de cesser de regarder à l'extérieur en voiture pendant quelques secondes seulement. Étant donné que ce malaise passe tout seul dès que l'avion se stabilise, le m... homéopathique suffit la plupart du temps, de même que le verre d'eau sucrée (aqua saccharum), le sucre tout seul (saccharum simplex) ou le verre d'eau tout seul (aqua simplex) (et re-, je ne m'en lasse pas !). Au fait, la mélatonine sert plutôt à lutter contre le décalage horaire, mea coule pas... consultez plutôt votre médecin, hihi !