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Tout ce qui a été posté par immigrer.com

  1. Romain Schué De nombreux parents, résidents temporaires au Canada, s’inquiètent du sort de leurs enfants mineurs, qui n’obtiennent pas l’autorisation de revenir au pays. Radio-Canada 4 h 00 | Mis à jour à 11 h 54 Revoir un grand-parent ou profiter, enfin, de quelques semaines l’esprit tranquille, en famille. Ce rêve, qui semblait impossible avec cette pandémie, devient réalité pour des milliers d’immigrants, installés au Canada, privés de leurs proches en raison de la fermeture des frontières. Mais c’était sans compter sur une mesure administrative, méconnue par de nombreux parents, qui travaillent au pays. La tranquillité, tant espérée, a finalement fait place à de l’angoisse et du stress. Fin juin, les deux jeunes enfants de Justine Ganseman, qui vit et travaille à Montréal depuis plusieurs années, ont pris l’avion pour rejoindre leurs grands-parents en France. Ils ne les ont pas vus depuis longtemps, et [les grands-parents] vieillissent, raconte cette résidente temporaire. Elle ne se doutait pas qu’un tel séjour familial allait causer moult problèmes. Par hasard, sur des forums, elle apprend que ses enfants doivent obtenir une exemption des restrictions de voyage pour rentrer au Canada. En effet, les enfants des résidents temporaires qui ne sont pas nés au Canada sont considérés officiellement comme des visiteurs, même s’ils sont scolarisés au pays. Or, la demande de Justine Ganseman a été refusée par le ministère fédéral de l’Immigration (IRCC). La raison? Ce retour au Canada, pour les enfants, est de nature facultative ou discrétionnaire. Les restrictions de voyage s’appliquent à tous les voyages à des fins facultatives ou discrétionnaires, comme pour le tourisme, le divertissement ou les loisirs, écrit IRCCImmigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada, dans sa lettre de refus. Source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1808099/voyage-pandemie-retour-canada-trudeau-gouvernement-ottawa
  2. Après avoir visité plus de 30 pays en Europe et en Amérique du Nord ces quatre dernières années, une famille originaire de la Belgique a choisi de poser ses valises à Trois-Rivières. Le couple et leurs trois enfants avaient adoré leur passage dans la région il y a deux ans. La magie a opéré en 2019 quand on avait fait la route de la Mauricie depuis le Lac-Saint-Jean, a déclaré Jean-François Vandoorslaert en entrevue à l’émission En direct. La famille avait beaucoup aimé Trois-Rivières, notamment pour sa richesse historique. Jean-François Vandoorslaert affirme aussi qu’ils ont eu un coup de foudre pour les gens et les paysages de la région. Les deux parents ont déjà trouvé de l’emploi.Il y a du travail partout, les employeurs cherchent des travailleurs et des "travaillants" surtout, affirme celui qui raconte avoir découvert le mot travaillant ici. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1807225/vandoorslaert-belgique-ville-trois-rivieres-mauricie-autobus
  3. MOLLY BÉLAND Mardi, 6 juillet 2021 19:43MISE À JOUR Mardi, 6 juillet 2021 19:43 Une famille d'origine française, établie au Lac-Saint-Jean depuis maintenant 4 ans, est prise dans un tourbillon bureaucratique. La mère et sa fille ont quitté le pays il y a plus de trois semaines pour se rendre au chevet d'un proche mourant en France. Elles sont maintenant coincées là-bas. «J'ai bien passé les douanes avec Louhann sans problème. C'est arrivé quand on a pris l'avion, l'hôtesse de l'air nous a refusé l'accès», a expliqué Laurence Lacroix à TVA Nouvelles. La mère possède un visa de travail et sa fille de 14 ans, un visa visiteur. Selon elle, le problème serait là. «Ce n'est pas les douanes qui nous refusent, ce sont les compagnies aériennes. Sur leurs normes à eux, c'est bien écrit que tous les visiteurs n'ont pas le droit d'entrer au Canada», a-t-elle affirmé. En ces temps de pandémie, les visiteurs étrangers ne sont pas encore admis au Canada. suite et source: https://www.journaldemontreal.com/2021/07/06/tourbillon-bureaucratique-pour-une-famille-du-lac-saint-jean-coincee-en-france-1
  4. En pleine pénurie de main-d’œuvre dans les établissements de santé, Ottawa force un étudiant étranger à mettre son emploi sur pause. Après près d’un an à travailler au CHSLD Paul-Émile-Léger, à Montréal, Hakim Boucekkine se voit en effet imposer une nouvelle condition sur son permis d’études : il n’est plus autorisé à exercer un emploi dans le domaine de la santé, à moins de repasser un deuxième examen médical en moins de deux ans. Les étudiants étrangers peuvent normalement occuper un emploi de leur choix à temps partiel durant l’année universitaire, et à temps plein entre les sessions d’études, y compris durant l’été. M. Boucekkine avait donc décidé de prêter main-forte l’an dernier, après avoir entendu les appels du gouvernement Legault. D’origine algérienne, il fait sa maîtrise en génie de la construction à l’École de technologie supérieure et pouvait se consacrer pendant le congé estival à un poste d’agent d’équipement de protection individuelle et d’autres tâches connexes comme aide de service. En renouvelant son permis d’études en mai dernier, il a eu « toute une surprise », dit-il, avec cette nouvelle condition de ne pas travailler en santé. Soucieux de respecter toutes les règles d’immigration, le jeune homme a donc arrêté de travailler au CHSLD : « J’étais apprécié là-bas, mais j’ai laissé ma place vide. Ils ont dû trouver des gens pour me remplacer, je n’avais pas d’autre choix », explique-t-il. Au ministère fédéral de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté (IRCC), on explique cette condition par le fait que l’examen médical figurant à son dossier n’est plus valide. Un examen médical est demandé dans plusieurs programmes d’immigration, mais il n’est valide que 12 mois. « Si l’étranger passe un examen médical aux fins de l’immigration, il peut ensuite faire la demande de modification des conditions de son permis d’études et procéder à l’élimination de la condition », écrit IRCC au Devoir. suite et source https://www.ledevoir.com/societe/sante/615816/chsld-un-etudiant-etranger-force-de-quitter-son-emploi
  5. Vincent Pichard Radio-Canada 2021-07-03 | Mis à jour hier à 8 h 54 Les offres d’emploi se multiplient au Québec. Partout le même cri désespéré de patrons en manque de main-d'œuvre. Certains sont à ce point acculés qu’ils pensent à mettre fin à leur activité. Diane Bergeron en est là. C’est une fermeture imminente si les choses ne changent pas. Il y a 17 ans, elle a ouvert la boutique Point d’exclamation, dans la très achalandée rue Saint-Jean, à Québec. Depuis tout ce temps, elle met en vente des créations d’artisans, pour la plupart québécois. Vêtements, sacs, bijoux, vaisselle… le choix est large. C’est pleine d’espoir qu’elle est sortie du deuxième confinement en mars et aux commandes d’un magasin refait à neuf. Pour que son commerce tourne à plein régime, elle a besoin d’employés. Et c’est là que ça coince. Les offres d'emploi fleurissent sur les devantures des commerces, mais les candidats se font rares. PHOTO : RADIO-CANADA / COLIN CÔTÉ-PAULETTE En quatre mois, elle n’a reçu qu’une seule candidature qu’elle ne pouvait pas accepter. Il me faut quelqu’un de confiance, en âge de travailler et avec une certaine maturité. Je laisse les clés à cette personne qui se retrouve seule en magasin. Ça veut dire qu’elle ouvre le matin, gère la caisse, et ferme le soir. Parce qu’elle travaille à temps plein par ailleurs, Diane Bergeron n’a pu ouvrir sa boutique que deux jours depuis le 23 juin. Ce qui n’est pas sans conséquence sur le plan financier et moral. On fait notre recette principalement l’été. Mais là, ça ne va pas bien. Parfois, j'en pleure, avoue-t-elle. Moins de choix que l'été dernier La commerçante n’est pas la seule à manquer de personnel. Un peu plus loin dans la rue Saint-Jean, la propriétaire du magasin de vêtements Roba et Murmure, Catherine Rouleau, dresse le même constat. C’est beaucoup plus difficile de trouver des employés cette année. Les étudiants ne sont pas au rendez-vous. Y a pas de CV qui rentrent, le téléphone ne sonne pas. Catherine Rouleau, la propriétaire du magasin de vêtements Roba et Murmure, se souvient que l'année dernière les candidatures pour un emploi d'été affluaient. PHOTO : RADIO-CANADA / COLIN CÔTÉ-PAULETTE Cette situation la frustre d’autant plus que les affaires marchent bien : la clientèle est présente. Faute d’un nombre de salariés suffisant, elle a réduit ses heures d’ouverture. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1806428/penurie-employes-personnel-quebec-point-exclamation-roba-murmure
  6. Ça commence ce soir à minuit! "Fini la quarantaine pour les voyageurs canadiens pleinement vaccinés Radio-Canada 4 h 00 | Mis à jour à 8 h 40 Les Canadiens et les résidents permanents de retour de l’étranger sont désormais exemptés de la quarantaine s’ils ont reçu deux doses de vaccin contre la COVID-19. La mesure concerne également leur famille immédiate en provenance de l'étranger (parent, enfant, époux, conjoint), qui a été entièrement vaccinée et a l'intention de rester au Canada pendant au moins 15 jours. Après 16 mois de resserrement aux frontières, le gouvernement fédéral allège donc certaines restrictions de voyage. Les personnes qui peuvent entrer au pays(Nouvelle fenêtre) et qui sont entièrement vaccinées peuvent franchir la frontière sans s’isoler. Ces nouvelles mesures entrent en vigueur dès minuit le 5 juillet. Toutefois, l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFCAgence des services frontaliers du Canada) rappelle que ces assouplissements ne concernent pas tous les voyageurs étrangers. Si vous ne pouviez pas entrer au Canada le 4 juillet de cette année, vous ne pourrez pas entrer le 5 juillet, non plus, fait savoir Denis Vinette, vice-président de la direction générale des voyageurs de l'ASFCAgence des services frontaliers du Canada. Et pour ceux qui sont admissibles, c'est un premier pas très prudent, ajoute-t-il." source et suite: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1806499/fin-quarantaine-canadiens-voyageurs-vaccin-covid?fbclid=IwAR2blAbTt2z9CMIJl1PW3fyWYTAJspIr2HyzAPSljwugNGNOakCFQ2UgQiQ
  7. En raison des délais de traitement qui s’éternisent, des candidats à l’immigration doivent payer à nouveau des centaines de dollars pour des examens médicaux qui ont expiré. Romain Schué Radio-Canada à 4 h 02 Faustine Hernandez peut souffler. Enfin. Plus de quatre ans après son arrivée comme cuisinière à Mont-Tremblant, elle vient d’obtenir, au cours des derniers jours, sa résidence permanente. Mais le chemin fut long, âpre et coûteux. Bien plus que ce que son conjoint et elle imaginaient. Comme tant d’autres candidats à l’immigration, son dossier semblait perdu dans les limbes du fédéral. Après avoir eu son Certificat de sélection du Québec (CSQ) en 2018, elle avait envoyé les documents nécessaires au ministère fédéral de l’Immigration (IRCC). Tout semblait en bonne voie. Ce couple provenant du sud de la France avait également déboursé plus de 500 $ pour passer l’indispensable visite médicale en novembre 2019. Depuis, ils attendaient, patiemment, la bonne nouvelle. En vain. En avril, près d’un an et demi plus tard, IRCC leur demande de repasser l’examen médical, qui, officiellement, expire au bout de 12 mois. J’ai été folle de rage, se souvient Faustine Hernandez. Retour à Montréal pour se rendre dans un centre médical agréé. Rebelote. Encore un demi-millier de dollars à débourser. Une somme qui s’ajoute à l’ensemble des autres documents à remplir et permis à renouveler, le temps d’obtenir cette précieuse résidence permanente. suite et source: https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1805403/immigration-ottawa-canada-delais-examens-sante-residence?
  8. (Vancouver) Les étudiants étrangers seront confrontés à divers obstacles lorsque les cours reprendront cet automne. Parmi ceux-ci figurent le retard dans l’octroi des visas, l’accès à un vaccin, les mesures de quarantaine et la moins grande disponibilité des vols. Publié le 27 juin 2021 à 10h23 Mis à jour à 12h04 LA PRESSE CANADIENNE Si le ministère fédéral de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté dit vouloir approuver les demandes de permis d’études d’ici le 6 août. Cependant, l’examen de certaines demandes peut prendre plus de temps quand celles-ci sont incomplètes, prévient une porte-parole, Nancy Caron. « Dans le contexte de la pandémie mondiale et des défis qui y sont liés, nous voulions présenter une date cible pour ceux qui envisagent de commencer leurs études à l’automne », dit-elle. Le ministère a délivré près de 100 000 permis d’études au cours des quatre premiers mois de 2021, contre environ 66 000 au cours de la même période de l’année précédente et environ 96 000 de janvier à avril 2019, mentionne Mme Caron. Muhammad Saad a été admis au Centennial College de Toronto. Il a reçu sa première dose du vaccin Oxford-AstraZeneca, mais il se dit inquiet quant à la possibilité d’obtenir une deuxième. « Cela dépend des approvisionnements. Ma deuxième dose est prévue à la mi-juillet. J’espère que le vaccin sera disponible au Pakistan à ce moment-là. » Plusieurs universités exigeront que les étudiants vivant en résidence soient vaccinés contre la COVID-19 en septembre. Les étudiants qui ne peuvent pas recevoir un vaccin avant d’emménager auront 14 jours pour le faire, souligne Sandy Welsh, la vice-rectrice aux affaires étudiantes de l’Université de Toronto. De son côté, l’Université de Montréal mentionne sur son site internet que « les personnes ayant reçu une première dose du vaccin à l’extérieur du Québec peuvent recevoir leur prochaine dose au Québec. Cette mesure touche également les étudiants internationaux. » L’Université de Sherbrooke signale qu’elle « accepte la venue d’étudiantes et d’étudiants internationaux qui sont présentement hors Canada, dans la mesure où ils satisfont aux exigences d’entrée au pays ». Or, ceux qui ne sont pas complètement vaccinés devront suivre les exigences du gouvernement fédéral, souligne Mme Caron. Pour être considérées comme complètement vaccinées, les personnes entrant au Canada devront prouver qu’elles ont reçu les deux vaccins ou une combinaison des vaccins Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca ou une dose de Johnson & Johnson au moins 14 jours avant d’entrer dans le pays, indique-t-elle. Zohra Shahabuddin, qui étudiera à l’Université Simon Fraser, raconte avoir passé des nuits blanches à se demander si elle avait rassemblé tous les documents nécessaires pour sa demande de visa. Celle-ci a finalement été approuvée la semaine dernière. suite et source: https://www.lapresse.ca/covid-19/2021-06-27/rentree/de-nombreux-obstacles-attendent-les-etudiants-etrangers.php?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter
  9. Un couple d’investisseurs français prêt à investir trois millions $ au Québec se sent pris au piège entre le provincial et le fédéral, qui le force à mettre leur vie d’entrepreneur sur pause. « François Legault n’a pas l’air de comprendre que l’on vient ici pour investir, créer des emplois et vivre en français. On nous a vendu du rêve », laisse tomber, exaspérée, Carole Villautreix, assise dans sa cour. Au départ, elle et son mari, Christophe Perenne, s’attendaient à déménager au Québec avec leurs deux filles grâce au programme d’immigrants investisseurs et obtenir les papiers après deux ans, mais les délais sont rendus... à six ans. « On a payé. Notre argent permet aux entreprises québécoises d’avoir des prêts à taux zéro. On devrait avoir notre résidence permanente en retour dans un délai raisonnable, mais six ans, c’est déraisonnable », déplore-t-elle. Au Québec, les immigrants investisseurs doivent prêter de l’argent durant cinq ans à Investissement Québec (IQ) ou bien payer l’équivalent des intérêts. « À notre époque, c’était 800 000 $. On a décidé de payer les intérêts. On a fait un chèque de 170 000 $ à Investissement Québec, mais le gouvernement, lui, n’a pas rempli sa promesse », regrette l’administratrice du groupe Facebook « Où sont passées nos résidences permanentes – Québec ». Pas de papier Résultat, malgré ses millions, le couple d’entrepreneurs n’a pas d’assurance-maladie, pas de numéros d’assurance sociale, a du mal à obtenir des cartes de crédit et ne peut pas visiter sa famille. suite et source : https://www.tvanouvelles.ca/2021/04/24/le-reve-quebecois-perdu-de-riches-investisseurs-francais-1
  10. Avec un taux de chômage historiquement bas et 10 000 emplois disponibles dans la région, les agences de placement croulent sous les demandes d’employeurs, qui ne savent plus comment dénicher des candidats. La pénurie de main-d’œuvre est encore plus importante que ce que «Le Journal de Québec» rapportait lundi en faisant étant de plus de 6300 postes à pourvoir dans la région, selon Jobillico. Selon les chiffres d’Emploi-Québec obtenus par «Le Journal», les sites de placement en ligne pour les régions de la Capitale-Nationale et de Chaudière-Appalaches affichaient respectivement 6600 et 3400 offres d’emploi, en date du 12 octobre. Cette pénurie historique de main-d’œuvre chamboule le marché de l’emploi à Québec. Selon plusieurs experts en recrutement interrogés par «Le Journal», les employeurs doivent maintenant prévoir l’embauche d’employés, des mois à l’avance. «La plupart des entreprises attendent d’avoir les deux gros orteils dans le précipice avant d’agir. Il faut les éduquer à la rareté de la main-d’œuvre», mentionne Marcel Bérubé, président de l’agence de placement, Groupe Perspective. Source
  11. DEUX GARS, LE YUKON ET TOUT CE QUI VIENT AVEC! Il y a de ceux qui sont bien dans leur confort, et ceux qui ont soif d’aventure, de découverte. On est Alex et Francis, deux gars de Montréal avec un projet pas comme les autres. On voulait vivre quelque chose de différent, quelque chose qui nous ferait sortir des sentiers battus. Qu’est-ce qu’on fait quand on a cette envie d’ailleurs, de découvrir la nature? La réponse : on transforme un Honda Element en camper et on prend la direction du Yukon pour explorer, camper et se remplir la tête des plus beaux paysages du Canada. Pourquoi le Yukon vous me direz? Pour chasser les aurores boréales et découvrir ce coin de pays méconnus, pour s’isoler et expérimenter le froid arctique. LE DÉPART DE MONTRÉAL! On est le 21 janvier et il neige dehors, la plupart des gens sont pris dans le trafic et démoralisent parce que l’hiver fait juste commencer. Nous, c’est sur la fameuse Alaskan Highway qu’on conduit, la route du Nord canadien. Pas en direction du chaud étonnamment, mais en direction du froid, encore plus froid. Le genre de température qui fait geler nos sandwichs et disparaître toute forme de vie. En plus, il n’y a que 6 heures de soleil par jour pour essayer de réchauffer nos petits pieds. Par contre, il y a de la nature à l’infini, des routes désertes à couper le souffle et un retour aux sources enrichissant. C’est pour ça qu’on est ici au fond, pour être éblouis, pour découvrir et profiter du moment présent. LA TRAVERSÉE DU PARC TOMBSTONE! Le légendaire parc de Tombstone, à environ 8 heures de Whitehorse, nous aura pris 12 heures de route et coûté 8 crevaisons, mais il nous en faut plus que ça pour perdre le moral. Ça fait 2 jours qu’on prépare une excursion et il y a de la fébrilité dans l’air. On quitte notre camper, raquettes aux pieds et sacs à dos remplis, un itinéraire de 3 jours à travers la neige, le froid et le silence.
  12. Alliance Québec-France contre les Booking.com et autres Expedia.ca Agrandir La présidente de l'Association des hôteliers de la région de Québec, Michelle Doré, est actuellement en Europe pour discuter avec les dirigeants de Fairbooking. PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL, PASCAL RATTHÉ JEAN-MICHEL GENOIS GAGNON Le Soleil (Québec) L'Association des hôteliers de la région de Québec (AHRQ) s'allie avec le regroupement français Fairbooking dans sa croisade pour diminuer l'influence des compagnies de réservation en ligne, notamment Booking.com et Expedia, a appris Le Soleil. «C'est la force du nombre, c'est gros. C'est la première fois qu'il y a une telle réunion entre hôteliers indépendants», affirme d'entrée de jeu la présidente de AHRQ, Michelle Doré, qui s'est envolée samedi soir pour l'Europe afin de discuter durant trois jours de pistes de solution pour diminuer l'influence des OTA [Online Traveler Agency]. Un accord devrait être conclu entre les deux associations au cours des prochains jours. «Fairbooking travaille d'arrache-pied depuis plusieurs années pour essayer de voir ce qu'il peut faire pour les hôteliers indépendants. Et la seule façon qu'on peut ébranler [les compagnies de réservation en ligne], c'est en étant une force», insiste-t-elle. L'objectif d'un tel partenariat intercontinental est d'offrir une plateforme Web unique «écoresponsable». Cette dernière est déjà bien implantée en France, avec Fairbooking.com. Le concept est le même que celui de Booking.com et Expedia. Toutefois, les réservations se font directement avec l'établissement hôtelier, donc plus d'intermédiaire et de commissions versées par nuitée aux compagnies de réservation en ligne. Le site est financé grâce aux adhésions annuelles de chaque professionnel, qui varie de 230 $ à 615 $, selon la taille des établissements. «On veut comprendre le mécanisme de leurs clients. On veut aussi voir quels sont les attraits. Comment on pourrait faire de la publicité en commun? La France et le Québec peuvent facilement s'allier», explique la femme d'affaires, propriétaire de trois établissements hôteliers du Vieux-Québec, soit l'Hôtel Champlain, l'Auberge Place d'Armes et l'Hôtel Jardin Sainte-Anne. «C'est certain qu'on va être tout petit pour l'instant. Mais si tout le monde s'entraide, un jour, cela peut avoir un impact sur le Net». Pour l'heure, le regroupement Fairbooking compte près de 2500 hébergements adhérents et possède des tentacules dans 36 pays à travers le monde. L'AHRQ compte quant à elle 111 membres. Et sa présidente, Mme Doré, a bien d'autres projets dans ses cartons et espère même un jour voir naître une «alliance internationale des hôteliers indépendants». Des prises de contact ont d'ailleurs déjà été faites avec certaines associations hôtelières aux États-Unis. Conseil d'administration En plus de conclure une entente, Mme Doré siégera aussi dorénavant sur le conseil d'administration de Fairbooking, composé d'une dizaine de propriétaires d'hôtel. L'annonce devrait se faire jeudi lors de l'assemblée générale annuelle de l'association. «Ça fait deux ans que je réfléchis et me demande où on va avec ça», affirme celle qui est en poste à Québec depuis 2013. «Et plus j'avance, plus je me dis qu'on n'a pas le choix de passer par là. Si on se parle et on s'unit tous, un jour, on va pouvoir faire quelque chose. «L'Association canadienne de l'hôtellerie regarde présentement ce qui se passe et ils ont mis sur pied un comité pour discuter des OTA. La seule façon d'avoir un impact, c'est de faire des alliances stratégiques», estime-t-elle. Du côté de Fairbooking, on se réjouit d'un partenariat avec le Québec. «On a vraiment envie que chaque pays, sous les couleurs de Fairbooking, prenne en main les discours auprès des hôteliers. L'internaute, lorsqu'il recherche un hôtel, il a maintenant le choix de le faire avec Booking ou en écoresponsabilité chez Fairbooking. Nous voulons créer une plateforme mondiale de réservation en direct, l'anti-Booking», stipule son directeur Laurent Bougras. «Nous avons décidé de prendre le taureau par les cornes et on est persuadé qu'il y a quelque chose à faire des deux côtés de l'Atlantique sur la réservation en direct.» suite et source: http://www.lapresse.ca/le-soleil/affaires/actualite-economique/201601/31/01-4945725-alliance-quebec-france-contre-les-bookingcom-et-autres-expediaca.php
  13. Depuis que j'habite ici, on me demande souvent : Pourquoi le Yukon? On le demande avec une curiosité empreinte d'une espèce de fascination... C'est une question simple, à laquelle j'ai pourtant bien de la difficulté à répondre. C'est vrai, pourquoi avoir choisi un endroit si loin, où les gens et les divertissements sont si peu nombreux? En attendant d'arriver à formuler une réponse satisfaisante, j'ai décidé de tenter une explication, en photos, car une image vaut mille mots. Pourquoi le Yukon, donc? Juste parce que.. 1. Personne ne va te juger si tu n’as pas de douche chez toi.www.layukonnaise.com 2. Par contre si tu ne campes pas, tu es bizarre.www.layukonnaise.com 3. Les paysages comme celui-ci sont chose courante.www.layukonnaise.com 4. Le parc national Kluane (c’est une raison à lui seul).www.layukonnaise.com 5. Je peux voir les aurores boréales de mon perron.www.layukonnaise.com 6. L’hiver, c’est fait pour jouer (pas pour chialer).suite et source
  14. Le « date » à l'américaine, un jeu de l'amour, pas du hasard Anna Rios-Bordes | Journaliste Capture d’écran de « Manhattan » de Woody Allen, 1979 (United Artists) Avant de se mettre réellement en couple, les Américains prennent toutes sortes de précautions en se prêtant au jeu codifié du « date ». Cérémonial basé autour de la rencontre amoureuse, le date ne laisse pas beaucoup de place à la magie. Vingt praticiens du genre nous ont enseigné comment sortir – à peu près – indemne de ce parcours du combattant. La rencontre, cette équation mathématique Pour la New-Yorkaise Katherine Vucelic, 23 ans, la règle primordiale du date est purement mathématique : il faut doubler le temps d’attente imposé par son partenaire. « Si un mec met trois heures à répondre à mon texto, j’attends six heures avant de répondre au sien. » Ce type de commandements amoureux est courant aux Etats-Unis. Le jeu de séduction y est une véritable stratégie de guerre qui mettrait à plat n’importe quel Européen candide venu, la fleur au fusil, flâner au pays du pragmatisme sentimental. A l’autre bout du continent (Los Angeles), Sara Forrest est une avocate de 30 ans qui systématise également le calcul amoureux : Chaque Américain a un avis sur comment optimiser ses chances de conquête durant la bataille. Le déroulé des manœuvres est fixé à l’avance et ne laisse pas de place à l’improvisation. « L’amour est un jeu de correspondance : si un homme t’écrit deux lignes dans un e-mail, réponds deux lignes dans ton e-mail. Il ne faut pas donner plus qu’il ne donne. » Le parcours ultra-balisé des « dates » Après s’être rencontrés, plu et avoir échangé leur numéro de téléphone, un homme et une femme décident de boire un verre (le premier date). Si les attentes intellectuelles des deux parties se répondent, un baiser est échangé sur le perron d’une porte. Le texto proposant un deuxième rendez-vous, trois jours après le premier verre, vient entériner la réciprocité de l’attirance. Tout aussi formel que le premier rendez-vous, le deuxième date est cependant plus engageant. Les retrouvailles ont lieu autour d’un repas, format de socialisation qui permet de s’enquérir plus précisément du passé de l’autre, de son milieu. Le troisième date implique généralement un cinéma, occasion rêvée pour faire passer au sondé le petit quiz des références culturelles. Pour 80% des personnes interrogées, c’est le quatrième date qui sonne l’heure du passage au lit. Si cette étape, ô combien stratégique, est satisfaisante pour les deux parties, les dates s’enchaîneront au rythme de deux fois par semaine. Avec une légère variation dans les thèmes : les plus classiques iront à la patinoire et au bowling, les plus impétueux s’envoleront pour un week-end test dans le Vermont. (Voir un extrait de « Crazy night » – un date dans un restaurant) Le sésame de l’exclusivité Il faut laisser au moins quatre mois à la relation avant de se déclarer officiellement « boyfriend and girlfriend ». Ce nouveau statut s’accompagne de la fameuse discussion sur l’exclusivité : la question « sommes-nous dorénavant exclusifs ? » met un terme à la possibilité de sortir avec plusieurs personnes à la fois. La polygamie, visiblement inscrite dans la Convention du date, est donc étonnamment autorisée aux Etats-Unis : elle ne constitue pas, tant qu’elle est temporaire et justifiée par la sainte volonté de trouver le bon poulain, une faute morale. C’est à ce moment-là que notre jeune Européen rêveur se ratatine en comprenant qu’il porte rétrospectivement des cornes depuis douze semaines. En comprenant également que l’ultime récompense du date, après un combat proche du darwinisme, est la seule promesse d’une fidélité biblique. Le « je t’aime » ? Pas avant six mois de relation Et quand est-ce qu’on se dit « je t’aime » dans tout ça ? Il doit bien y avoir une Déclaration des droits des sentiments ? Mia Bruno, productrice indépendante de 27 ans originaire du New Jersey, demande : Les règles basiques de la rencontre amoureuse font consensus. Les rares Américains qui y dérogent sont un peu plus nombreux à New York et San Francisco (villes cosmopolites) et le font par opposition à un phénomène si établi culturellement que cela ne relève pas vraiment du libre arbitre. « Vous voulez-dire quand est-ce qu’on se met vraiment à nu ? En principe, on ne dit pas “je t’aime” avant six mois, sinon on perd tout le pouvoir. » Ne pas suivre les règles, c’est les suivre quand même James Moore, conseiller financier de 27 ans et originaire du Maine, surprend les femmes qu’il courtise en les emmenant dès le premier date pique-niquer près d’une rivière. Sauf pour le passage à l’acte, où le réflexe du code resurgit complètement : « Je date à l’européenne, je suis spontané. » Evan McGrath, 24 ans et originaire de la très latino ville de Miami, prétend aussi échapper aux règles réductrices du date : « Jamais le premier soir. Si tu raccompagnes une fille en bas de chez elle et que tu veux lui signifier qu’elle te plaît vraiment, tu t’en vas direct. » Drôle de façon de renverser l’étiquette. Paradoxe fâcheux, ces conventions fixes du date sèment le trouble plus qu’elles n’éclairent. L’interprétation des signaux est infinie et souvent vaine. « Je n’ai pas de ligne de conduite. Je ne vais simplement jamais au restaurant pour un premier date. Si elle est chiante, t’es foutu, coincé pour quatre heures. Le mieux, c’est un café. » On entend, dans les bars de la Big Apple (symptomatique « Sex and The City“), les lamentations de sirènes aux abois du type : Ou bien : ‘Il ne m’a pas embrassée lors du premier date, mais m’a quand même proposé de le revoir, je lui plais ou pas ?’ Des célibataires épuisés par une “spéculation permanente” Nicolas Quenouille, expatrié français de 27 ans établi à New York depuis deux ans, trouve cet exercice accablant : Pour Mia Bruno, qui a passé une année à Paris, l’absence de règles en France en devient rafraîchissante : “ Le date est une spéculation permanente, c’est absolument épuisant. ” Le romantisme américain se situe dans le prolongement du mystère de l’autre, dans la découverte parcimonieuse de ses hobbies, de ses secrets livrés au compte-gouttes. En ce sens, il est un romantisme délicat, consciencieux et continu. “ Les Français sont moins énigmatiques, ils disent ce qu’ils veulent, ils s’accordent la liberté d’aimer spontanément. ” Le romantisme français, plus flambant, prône la surenchère dans la découverte de l’autre, l’escalade des sentiments. En France, la transgression des règles, l’abandon, l’urgence à se posséder, sont perçus comme des signes positifs d’intérêt mutuel. Cette attitude gourmande donnerait le vertige à n’importe quelle Américaine. L’amour à l’américaine vs l’amour à la française Laura Sparrow, scénariste de 34 ans établie à Los Angeles, a daté un Français enjôleur : Nourris au biberon du romantisme, les Français donnent aux Américains l’impression de mimer la passion, par “amour de l’amour”. Jamie Hook, réalisateur de 42 ans et originaire de Seattle, rappelle que les Français se familiarisent tôt avec le libertinage : “ Il était trop intense, j’avais l’impression qu’il se foutait de ma gueule, qu’il avait chanté la même chanson à mille autres filles. Son empressement n’était pas le fruit de la passion mais un moyen d’arriver à ses fins. Et puis cette manie d’appeler à 2 heures du matin... ” suite et source : http://rue89.nouvelobs.com/rue69/2011/05/05/le-date-a-lamericaine-un-jeu-de-lamour-pas-du-hasard-202611
  15. Jadrino Huot Consultant, journaliste et conférencier en tourisme d'aventure et en transport aérien Les 10 plus belles routes panoramiques du Canada source : http://quebec.huffingtonpost.ca/jadrino-huot/routes-panoramiques-canada_b_3315268.html#slide=2484988
  16. Actuariat (mathématiques actuarielles) 2,0% Adaptation scolaire (orthopédagogie) 2,1% Administration des affaires 4,4% Architecture 2,9% Audiologie 0,0% Chiropratique 0,0% Comptabilité et sciences comptables 3,7% Criminologie 0,0% Ergothérapie 0,0% Formation des enseignants au préscolaire et au primaire 2,3% Formation des enseignants au secondaire 3,0% Formation des enseignants spécialistes au primaire et au secondaire 1,9% Génie civil 0,7% Génie de la construction 0,7% Génie des technologies de l’information 3,5% Génie géomatique 0,0% Génie industriel 5,6% Génie informatique 2,6% Génie logiciel 3,5% Génie mécanique 4,4% Génie minier 0,0% Gestion des ressources humaines 8,1% Géomatique appliquée à l’environnement n.d. Médecine n.d. Médecine dentaire 0,0% Médecine vétérinaire 2,0% Nutrition et sciences de la nutrition 2.5% Optométrie 0,0% Orientation, information scolaire et professionnelle 2,5% Orthophonie 0,0% Pharmacie 0,5% Physiothérapie 0,0% Pratique sage-femme 0,0% Psychoéducation 0,0% Relations industrielles 4,6% Sciences de l'informatique 2,3% Sciences et technologie des aliments 4,0% Sciences géomatiques 0,0% Sciences infirmières 0,5% Service social 1,8% Traduction 1,8%
  17. source : http://canadakeepexploring.tumblr.com/post/41900868536/top-20-instagram-photos-of-canada-shared-with
  18. Alors que le Canada et le Québec courtisent des individus et des familles à travers le monde, de toutes éthnies et de toutes religions confondues, doit-on encore fêter Noël comme nous le faisons actuellement sachant que cela constitue un "irritant" dans une certaine mesure pour les communautés éthiques de plus en plus présentes ici ?
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