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  1. Léa Martin 30 mai 2024 14H44 MISE À JOUR 30 mai 2024 14H44 Un père de famille d’origine française qui était menacé d’expulsion par le ministère de l’Immigration du Québec pourra finalement rester pour l’instant: il a reçu son certificat de sélection du Québec (CSQ). Pour Félix Devismes, ce dénouement est la preuve de l’importance d’«ouvrir sa grande bouche». «C’est un soulagement. C’est un sentiment de justice, parce que, depuis le début, on avait l’impression qu’il y avait un excès de zèle et une forme d’injustice du côté du ministère», lance-t-il au bout du fil. «Ça montre que le fait d’aller dans les médias, d’ouvrir sa grande bouche, ce n’était pas inutile», poursuit celui qui avait raconté son histoire sur Instagram — et dans un article de 24 heures — en février dernier. L’obtention de son CSQ est la première étape vers une stabilisation de son statut et la possibilité de retrouver une «vie normale». Pour obtenir le document, il a fait appel aux services d’une avocate, en plus de solliciter l’aide du député du Parti Québécois (PQ) de Jean-Talon, Pascal Paradis, et du député de Québec solidaire (QS) de Saint-Henri–Sainte-Anne, Guillaume Cliche-Rivard. Bien que saluant la collaboration de la ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, les deux élus demandent des changements dans le traitement des dossiers d’immigration au Québec. «C’est quelqu’un qui fait vraiment le choix du Québec, qui s’est installé ici, qui a un jeune bébé ici. Il est bien intégré, c’est quelqu’un qui travaillait déjà, qui contribuait déjà à notre économie», souligne à 24 heures Pascal Paradis. Suite et source: https://www.24heures.ca/2024/05/30/un-francais-evite-lexpulsion-en-ouvrant-sa-grande-bouche
  2. Les derniers développements : Le ministre Miller dépose un projet de loi pour les "Canadiens perdus" https://www.noovo.info/nouvelle/le-ministre-miller-depose-un-projet-de-loi-pour-les-canadiens-perdus.html https://www.newswire.ca/fr/news-releases/le-gouvernement-du-canada-depose-un-projet-de-loi-sur-la-citoyennete-par-filiation-854678464.html
  3. Une bonne idée pour se faire reconnaître ces équivalences dans un CEGEP du Québec ---------------- Une 2e cohorte menant à une AEC en soins infirmiers avec diplômés internationaux est lancée au Collège de Rosemont! Montréal, le 27 mai 2024 – Le Collège de Rosemont lance aujourd’hui une 2e cohorte de l’attestation d’études collégiales (AEC) en soins infirmiers avec diplômés internationaux et participe ainsi à la phase 4B du projet Infirmier(ère)s diplômé(e)s hors Canada (IDHC) du gouvernement du Québec. Dix-neuf étudiantes et étudiants ont participé ce lundi 27 mai 2024 à une journée d’accueil – première activité faisant partie de deux semaines d’intégration avant le début des cours – avec nos partenaires du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, des centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS) de l’Est-de-l’Île-de-Montréal et du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ainsi que du Carrefour d’aide aux nouveaux arrivants (CANA). Les étudiantes et les étudiants réaliseront leur stage de programme dans ces CIUSSS et y exerceront leur profession par la suite. Très prochainement, les formations de Réanimation cardiorespiratoire (RCR) et de Principes pour le déplacement sécuritaire des bénéficiaires (PDSB) leur seront données, ce qui permettra aux CIUSSS de les employer pendant leurs études en tant que préposées ou préposés aux bénéficiaires. Concernant CANA, son rôle est de soutenir les membres du groupe afin de favoriser leur intégration au Québec, par exemple dans la recherche d’un logement ou d’un service de garde. Une offre collégiale incontournable dans les sciences de la santé au Québec Le catalogue de formations du Collège de Rosemont dans le domaine des sciences de la santé comprend une offre diversifiée : trois attestations d’études collégiales (AEC) dédiées aux professionnel(le)s de l’international; un programme préuniversitaire en sciences de la nature; 7 programmes techniques menant à un diplôme d’études collégiales (DEC); 2 AEC spécialisées en cytologie; de la reconnaissance des acquis et des compétences en Techniques de pharmacie; des cours de perfectionnement en thanatologie et des activités de perfectionnement en acupuncture. source : https://www.crosemont.qc.ca/formation-continue/attestations-etudes-collegiales/une-2e-cohorte-menant-une-aec-en-soins-infirmiers-avec-diplomes-internationaux-est-lancee-au-college-de-rosemont/
  4. Sarah R. Champagne 29 mai 2024 Un père de famille d’origine belge tente de parrainer son enfant qui vit au Québec depuis trois ans. Alors qu’il a obtenu sans peine la résidence permanente pour sa fille aînée en 2021, Jonathan Desclin vient d’essuyer un refus pour son autre adolescent à cause d’un formulaire signé en 2013. Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) lui reproche en fait d’avoir renoncé, dans sa demande de résidence permanente, il y a plus de 10 ans, à tout parrainage de ses enfants. L’erreur n’est donc pas d’avoir refusé son adolescent, mais d’avoir accepté la demande de son autre fille, a finalement signalé ce ministère au Devoir mardi. M. Desclin est arrivé au Québec de Belgique en 2014, avec sa résidence permanente obtenue en quelques mois en tant que travailleur qualifié. À l’époque, il déclare bel et bien ses deux bambins en bas âge en tant que personnes à charge, mais qui ne l’accompagneraient pas. Or, même les membres de la famille non accompagnants doivent subir un examen médical et un contrôle des antécédents judiciaires, comme l’indique aujourd’hui IRCC. Le père de famille indique que ses enfants ont subi cet examen médical, et qu’une lettre à l’appui a été fournie dans leurs dossiers respectifs. La clinique médicale habilitée aurait aussi envoyé les résultats en 2013 directement au ministère concerné. suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/813798/immigration-incapable-parrainer-propre-enfant-cause-formulaire-2013?
  5. Le SRAM est l'organisme québécois qui reçoit les demandes d'admission des CEGEPS publics du Québec dans la région de Montréal : https://www.sram.qc.ca/fr Le CEGEP fonctionne à plusieurs tours. Je ne sais pas si c'est le CIUSSS qui fait les démarches pour vous.
  6. Nouvel organisme désigné d’évaluation des diplômes d’études pour les architectes Ottawa, le 22 mai 2024 — Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) a désigné un nouvel organisme professionnel chargé de réaliser des évaluations des diplômes d’études (EDE) pour les architectes qui souhaitent immigrer au Canada. Les critères d’admissibilité aux programmes économiques de résidence permanente indiquent que les personnes demandeuses doivent démontrer que leurs diplômes ou certificats étrangers sont authentiques et équivalents aux titres de compétences canadiens. Pour ce faire, elles peuvent obtenir une EDE auprès d’un organisme professionnel ou d’un organisme d’EDE polyvalent désigné par IRCC. À compter du 20 mai 2024, le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) a été désigné par le ministre pour délivrer des EDE aux personnes demandeuses ayant indiqué comme profession principale, ou emploi prévu, la Classification nationale des professions (CNP) des architectes (code 21200). Les EDE effectuées par le CCCA détermineront comment les diplômes étrangers se comparent aux diplômes canadiens nécessaires pour exercer la profession d’architecte. Les EDE constituent également une étape de la procédure d’agrément des architectes. Remarque : Si votre profession principale est architecte (code 21200 de la CNP) et que vous avez déjà obtenu une EDE d’un autre organisme désigné avant le 31 octobre 2024, nous considérerons votre EDE comme étant valide. De plus amples informations sur les EDE, notamment sur la manière et le moment d’en obtenir une auprès du CCCA, sont maintenant disponibles en ligne : Évaluation des diplômes d’études – Fournisseurs de services Programme d’immigration au Canada atlantique : Comment obtenir une évaluation des diplômes d’études Évaluation des diplômes d’études (EDE) pour Entrée express : comment en obtenir une? Programme pilote d’immigration dans les communautés rurales et du Nord : Comment obtenir une évaluation des diplômes d’études Ces informations aideront les gens à prendre une décision éclairée au moment de choisir un organisme d’EDE. source : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/nouvelles/avis/nouvel-organisme-designe-evaluation-diplomes-etudes-architectes.html
  7. En ce 22 mai 2024, Charles Aznavour aurait eu 100 ans ! -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- La Presse canadienne Publié le 1 octobre 2018 à 10 h 41 HAE Avec le décès de Charles Aznavour, c'est tout un pan de l'histoire musicale francophone qui vient de disparaître. Le chanteur et comédien, qui est mort à l'âge de 94 ans, aura laissé une marque indélébile dans la province qu'il a visitée à de nombreuses reprises au cours de sa longue carrière. L'histoire d'amour entre Charles Aznavour et le Québec ne date pas d'hier. En 1948, environ deux ans après avoir été remarqué par Édith Piaf, il débarque au cabaret montréalais Au Faisan Doré, où il présente avec le pianiste Pierre Roche une série de spectacles pendant environ un an et demi. Il se lie également d'amitié avec d'autres chanteurs québécois, dont Jacques Normand et Monique Leyrac. C'est à partir de ce moment que décolle la carrière nord-américaine d'Aznavour, alors qu'elle tarde à prendre son envol de l'autre côté de l'Atlantique. C'est aussi à cette époque, dans les années 1950, que certains tentent de le dissuader de poursuivre sa carrière dans le domaine de la chanson, car il serait trop petit, trop peu instruit, mais surtout à cause de sa voix. « Les professeurs que j'ai consultés sont catégoriques : ils m'ont déconseillé de chanter. Je chanterai pourtant, quitte à m'en déchirer la glotte », écrit-il à cette époque. Né en France en 1924 de parents arméniens, Charles Aznavour finit par connaître la gloire dans l'Hexagone au début des années 1960, après un passage mémorable au théâtre Alhambra à Paris en 1957, où il fait un tabac, notamment grâce à la chanson Je m'voyais déjà. Toutefois, Charles Aznavour revient toujours au Québec.
  8. Audrey Bonaque / Noovo Info Publié le 17 mai 2024 à 05:00Mis à jour le 17 mai 2024 à 06:41 Avec la croissance migratoire qui a atteint un niveau record de 217 600 personne au Québec 2023, vient inévitablement un plus grand nombre de femmes immigrantes enceintes. Tout dépendant de leur parcours, ces arrivantes sont confrontées à plusieurs obstacles durant leur grossesse, que ce soit au niveau de la barrière de la langue ou encore à l’accessibilité aux soins de santé. Qu’elles aient un permis de travail ouvert ou fermé, un permis d’études ou le statut de visiteur, ces futures mères se posent des questions dès le début de leur grossesse. Même si certaines ont une assurance privée, d’autres font face à des défis considérables. «Comment je trouve un médecin? Comment je poursuis mon projet migratoire comme je l’avais prévu? Et pour celles qui n’ont pas accès à la santé publique, comment pallier à mes soins?» soulève Elisa Beatriz Ramirez Hernandez. Dans le cadre de ses recherches portant sur les diversités de trajectoires et effets sur l’expérience périnatale des femmes, l’étudiante à la maîtrise à Institut national de la recherche scientifique (INRS) fait la lumière sur la difficulté pour les femmes enceintes avec un statut d’immigrante temporaire de trouver un médecin ou un établissement acceptant de procurer des soins ou un suivi de grossesse. Même «en appelant à plusieurs endroits, elles se font beaucoup refuser», a rapporté Mme Ramirez Hernandez en conférence cette semaine au congrès 2024 de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) à l’Université d’Ottawa. Parfois, «elles ne peuvent pas se déplacer». La quête d’information est aussi périlleuse pour ces futures mères, d'abord en raison de la barrière de la langue puis, en retour, du piètre référencement. L’étudiante à la maîtrise de l’INRS a remarqué que beaucoup de femmes immigrantes enceintes se font référer à des organismes venant en aide à des personnes sans statut ou à des demandeurs d'asile, comme Médecins du monde. «Ça n’a pas de sens», lâche-t-elle dans un entretien avec Noovo Info. source et suite : https://www.noovo.info/nouvelle/les-enjeux-de-devenir-mere-en-tant-quimmigrante-avec-un-statut-temporaire-au-quebec.html «Comment je trouve un médecin? Comment je poursuis mon projet migratoire comme je l’avais prévu? Et pour celles qui n’ont pas accès à la santé publique, comment pallier à mes soins?» soulève Elisa Beatriz Ramirez Hernandez. Dans le cadre de ses recherches portant sur les diversités de trajectoires et effets sur l’expérience périnatale des femmes, l’étudiante à la maîtrise à Institut national de la recherche scientifique (INRS) fait la lumière sur la difficulté pour les femmes enceintes avec un statut d’immigrante temporaire de trouver un médecin ou un établissement acceptant de procurer des soins ou un suivi de grossesse. Même «en appelant à plusieurs endroits, elles se font beaucoup refuser», a rapporté Mme Ramirez Hernandez en conférence cette semaine au congrès 2024 de l’Association francophone pour le savoir (Acfas) à l’Université d’Ottawa. Parfois, «elles ne peuvent pas se déplacer». La quête d’information est aussi périlleuse pour ces futures mères, d'abord en raison de la barrière de la langue puis, en retour, du piètre référencement. L’étudiante à la maîtrise de l’INRS a remarqué que beaucoup de femmes immigrantes enceintes se font référer à des organismes venant en aide à des personnes sans statut ou à des demandeurs d'asile, comme Médecins du monde. «Ça n’a pas de sens», lâche-t-elle dans un entretien avec Noovo Info.
  9. Bonjour, Voici quelques témoignages : https://www.immigrer.com/categorie/faq/Casier-judiciaire/
  10. Sarah R. Champagne Publié hier à 16h00 Mis à jour hier à 16h49 Canada Laurence Ameline, une infirmière de 53 ans qui était menacée d’expulsion, a reçu son permis de travail mercredi en fin d’avant-midi. « Sa demande a été refusée par erreur », a reconnu Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) dans un courriel au Devoir. Un agent de ce ministère a refusé la prolongation du permis de travail de cette femme arrivée de France en février 2021 pour intégrer le service de pneumologie du CHUM. La raison invoquée dans la lettre de refus d’IRCC est qu’elle n’aurait pas fourni son numéro d’offre d’emploi, ce qu’elle assurait avoir fait en compagnie de la direction des ressources humaines. Cette démarche avait été entamée en novembre dernier, mais elle conservait le droit de travailler dans l’attente d’une réponse d’IRCC. Lorsque la décision est tombée, le 2 mars dernier, elle a perdu sur-le-champ son droit de travailler et son statut d’immigration. La lettre était catégorique à cet égard : « Vous ne détenez pas de statut de résident temporaire au Canada. Si vous ne désirez pas présenter une demande de rétablissement, vous devez quitter le Canada immédiatement. » « La situation a été corrigée », indique maintenant IRCC. Mme Ameline a accueilli la nouvelle avec grand soulagement. « C’est une belle journée », s’est-elle exclamée. Elle pourra donc rester au Québec et reprendre du service au CHUM, là où elle occupait un emploi depuis plus de trois ans. https://www.ledevoir.com/politique/canada/812971/ministere-immigration-reconnait-erreur-permis-infirmiere-francaise?
  11. Bonjour, Voici l'adresse de l'ordre des radiologistes du Québec : https://www.arq.qc.ca/ Voici des infos complémentaires sur les radiologues : https://emplois.ca.indeed.com/conseils-carriere/trouver-un-emploi/comment-devenir-radiologue
  12. Les travailleurs temporaires appellent à l’aide en grand nombre à une ligne d’information de l’organisme Justice Pro Bono leur étant dévouée. Parmi eux, beaucoup demandent s’ils peuvent accéder à un permis ouvert dans un contexte où le programme d’urgence pour les travailleurs vulnérables est bloqué. Le Devoir révélait en effet vendredi dernier que le programme censé aider les travailleurs qui ont un permis fermé à fuir les abus connaît d’importants retards depuis janvier. Les demandes de permis ouvert devraient être traitées en priorité, selon Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), mais les délais de traitement montent à plusieurs mois. Ces retards ne permettent ainsi plus au programme de remplir son rôle de soupape et de protection, disent plusieurs organisations. Les travailleurs qui tentent de quitter un employeur abusif sont donc plongés dans une misère financière et psychologique encore plus grande, comme en ont témoigné plusieurs travailleurs dans les derniers mois. « Il y a eu une vague de fins d’emploi dans les derniers mois, et énormément de travailleurs nous consultent », expose Caroline Dufour, avocate coordonnatrice pour le soutien aux travailleurs étrangers temporaires à l’organisme Justice Pro Bono. Elle aussi a remarqué des délais de traitement de plus en plus importants pour le même programme depuis « environ la deuxième moitié de l’automne ». Malgré le fait qu’IRCC a promis durant quatre ans que les dossiers seraient traités en cinq jours ouvrables, elle « a rarement vu ce délai respecté ». IRCC a retiré cette mention en catimini de la page du programme et nous indique que le délai est actuellement en moyenne de 52 jours. Sarah R. Champagne. Publié le 8 mai source et suite
  13. Une étudiante de la Faculté de médecine dentaire de l'Université Laval poursuit l'établissement suite à un échec de stage, ce qui a interrompu sa formation. Elle réclame 1,2 million de dollars, estimant avoir été injustement exclue du programme spécialisé de parodontie. En mai 2023, une demande introductive d'instance a été déposée à la Cour supérieure par un bureau d'avocats au nom de cette étudiante d'origine française. Celle-ci a quitté son pays pour s'installer à Québec au printemps 2022, afin de pratiquer la parodontie en Amérique du Nord après sa formation à l'Université Laval. Selon la poursuite, elle avait obtenu un diplôme en médecine dentaire de l'Université CESPU au Portugal en décembre 2020, après six années d'études. Elle a déménagé à Québec après son admission au programme spécialisé en parodontie de l'Université Laval, qui l'aurait informée que sa formation commencerait en mai 2022. À sa grande surprise, elle a découvert que la formation ne débuterait effectivement qu'à l'automne. La poursuite indique qu'elle était déçue d'avoir interrompu prématurément ses activités professionnelles en France, car le but de son voyage n'était pas touristique. En septembre, elle commence son stage clinique sans avoir reçu de plan de cours écrit, ce qui l’a laissée sans connaissance des objectifs de la formation ou des attentes. Malgré cela, elle s'est investie pleinement dans sa formation. À la fin de ce stage en décembre, elle n'aurait reçu aucune rétroaction de ses superviseurs, ni positive, ni négative, ni même une évaluation finale. Elle poursuit alors sa formation postdoctorale avec un deuxième stage en 2023, encore sans plan de cours ni objectifs. Après un examen en mars lui permettant de pratiquer des chirurgies plus complexes, tout se serait effondré en avril. Le 3 avril 2023, elle est convoquée par son superviseur et directeur du programme de parodontie, le Dr Reginaldo Gonçalves, et deux confrères, qui l'informent de son échec au stage, trois semaines avant sa fin prévue. Sous le choc, elle demande une évaluation écrite et des explications, mais ne reçoit que quelques motifs qu'elle juge contestables. Les chirurgies programmées dans le cadre de son apprentissage ont été annulées. Ébranlée, elle quitte la réunion en larmes, choquée d’apprendre son échec sans évaluation préalable ni avertissement pour améliorer ses performances académiques. Elle a également été exclue d'une réunion du comité de promotion où elle aurait pu défendre son point de vue, en contradiction avec les règles de l’Université Laval. Elle a tout de même poursuivi son stage, tout en contestant sa note d’échec, et a repris ses chirurgies. En mai, son échec est officialisé. Selon la poursuite, le Dr Gonçalves aurait ajouté une fiche d’évaluation à son dossier sans son accord, ce qui a privé l’étudiante de la possibilité de réviser cette note. Ses tentatives d’appel ont échoué, et elle a été exclue du programme de parodontie, bien qu'elle soit restée inscrite au programme de maîtrise en sciences dentaires, obtenant une note finale A le 22 mars dernier. Elle a aussi réussi un examen requis pour pratiquer comme dentiste aux États-Unis. L’étudiante affirme avoir subi un préjudice considérable, se voyant contrainte de renoncer à une carrière de dentiste spécialisée en parodontie à l’international. Elle accuse l’Université de l’avoir traitée de manière injuste et abusive, et réclame 1 million de dollars, dont la majeure partie pour pertes de revenus futurs évalués à 835 000 dollars. Elle revendique aussi 287 691 dollars pour les revenus perdus pendant ses études, ainsi que le remboursement de ses frais de scolarité et de voyage, et 50 000 dollars pour atteinte à sa réputation. L’Université Laval a choisi de ne pas commenter cette affaire en cours de litige. D'après l'article publié sur Radio-Canada le 9 mai 2024
  14. 7 mai 2024, 09 h 00 Publié par : Immigration, Francisation et Intégration La période de transmission des demandes d’engagement (Étape 1) dans le cadre du Programme des personnes réfugiées à l’étranger (Parrainage collectif) débute aujourd’hui. Les groupes de 2 à 5 personnes et les organismes peuvent transmettre leurs demandes d’engagement dans la plateforme Arrima jusqu’au 4 juin 2024 inclusivement. Pour tous les détails sur le Programme des personnes réfugiées à l’étranger (Parrainage collectif) et pour connaître les étapes à suivre pour préparer votre demande d’engagement, consultez la section consacrée au Parrainage collectif sur le site Québec.ca. Source : https://www.quebec.ca/nouvelles/actualites/details/parrainage-collectif-debut-periode-transmission-demandes-engagement-etape1-55324
  15. Sarah R. Champagne Publié et mis à jour le 3 mai Société De Vancouver à Gaspé, des personnes immigrantes attendent durant des mois la réponse à leur demande de permis ouvert pour travailleurs vulnérables afin de fuir les abus qu’elles subissent. Un programme d’urgence censé offrir cette protection rapidement est bloqué, selon cinq organisations qui accompagnent les travailleurs dans de telles démarches. Une forme de soupape pour remédier aux risques du permis lié à un seul employeur, appelé « permis fermé », le programme a été lancé en 2019 avec la promesse de traiter les demandes en cinq jours. Ce délai est d’autant plus problématique que les responsables politiques l’utilisent pour se défendre des critiques, notamment formulées par le rapporteur spécial des Nations unies sur les formes contemporaines d’esclavage. Mais cette manière « rapide » de « régler la situation des employés vulnérables », comme l’a décrite le ministre de l’Immigration, Marc Miller, en commission parlementaire, est en panne. Sur la soixantaine de demandes que ces organisations ont soumises depuis janvier dernier, seulement cinq ont été traitées, ont-elles confirmé au Devoir. Sur les 1349 demandes reçues pour les trois premiers mois de l’année 2024, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) n’a délivré que 201 permis jusqu’à maintenant, soit nettement sous la moyenne de l’an dernier. Une trentaine de permis seulement ont été octroyés en mars. La page Web du programme a été modifiée en catimini depuis novembre 2023. Ces réponses qui arrivent au compte-gouttes créent une « situation intenable » et « énormément de pression » sur les immigrants, dit Noémie Beauvais, organisatrice communautaire au Centre des travailleuses et travailleurs immigrants (CTI). « Quelqu’un m’appelle en détresse quasiment chaque jour », illustre Florian Freuchet, organisateur communautaire au CTI du Bas-Saint-Laurent. Suite et source : https://www.ledevoir.com/societe/812159/bouee-sauvetage-travailleurs-temporaires-coule
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