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rainbow21

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Tout ce qui a été posté par rainbow21

  1. Pas de tests linguistiques pour un permis de travail pour l'instant
  2. rainbow21

    CSQ REFUS

    Faut demander à un spécialiste, essayez de poser la question sur un groupe tenu par un cabinet d'avocats. https://www.facebook.com/groups/576225505874737 Si je lis ca apparemment si le stage fait partie de la validation des études, il semble obligatoire mais faut valider avec un avocat https://www.hec.ca/etudiants/etudiants-etrangers/pour-travailler-au-canada/demander-permis-de-travail-coop/
  3. La démarche est plus longue qu'en Ontario pour obtenir la RP et non garantie en plus car vous n'êtes pas au Québec vous devez passer par Arrima qui demande des critères de sélection particulier et qui a des rondes de sélection seulement sur des métiers bien précis et qui favorisent les gens qui vont habiter en région au Québec. Donc cela ne vaut pas la peine de demander la RP au Québec.
  4. Comme dit plus haut à part de très très rares exemptions c'est impossible malheureusement, la loi impose d'être sur le sol canadien. Faudrait se renseigner auprès d'un avocat en immigration.
  5. Il faut vous renseigner d'abord avec l'ordre professionnel : https://www.opq.org/ parce qu'il va falloir faire une équivalence de diplôme.
  6. Il devrait y avoir un ombusman pour ces cas.
  7. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1978631/immigration-quebec-famille-belge-mifi-peq À l’heure où le gouvernement Legault veut plus que jamais prioriser l’immigration francophone, ses propres fonctionnaires menacent de rejeter la demande d’une famille belge pour une raison qui ne figure nulle part dans les critères de sélection du Québec : la paie du père est traitée dans une autre province. J'ai un sentiment de rejet, comme si le Québec ne voulait pas de nous, tout simplement, déplore Corentin Lienart, 33 ans. Sept mois après avoir déposé une demande d’immigration en vertu du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), M. Lienart, sa femme et leurs deux fils restent plongés dans l’incertitude. Le délai de traitement de ce genre de dossier est pourtant de 47 jours en moyenne. Malgré des tonnes de preuves envoyées au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), M. Lienart n’est pas parvenu à convaincre les fonctionnaires qu’il travaille bel et bien au Québec. C’est pourtant le cas. D’origine belge, la famille Lienart s’est installée dans la région de Montréal il y a bientôt trois ans et n’a pas bougé depuis. Je travaille dans les hôpitaux du Québec, je paye mes impôts au Québec et je vis au Québec, résume le père, spécialiste clinique dans le domaine médical. Corentin Lienart est spécialiste clinique dans le domaine médical. PHOTO : CORENTIN LIENART Son permis de travail, ses talons de paie, ses avis de cotisation, les multiples lettres rédigées par son employeur : tout confirme sa version des faits. Or, l’État québécois en doute, car son employeur, Abbott Medical Canada, traite la paie de son personnel à partir de l’Ontario. Une adresse de Mississauga apparaît donc sur les feuillets fiscaux de M. Lienart. Des intentions de rejet Au début de sa demande de sélection auprès du MIFI, les choses se dessinaient plutôt bien pour M. Lienart. Quand on a soumis notre demande de CSQ [certificat de sélection du Québec], en octobre 2022, les premières communications ont été quand même très, très rapides. On a rapidement eu la demande de passer le test des valeurs québécoises, qu'on a réussi. Dès le départ, une lettre de son employeur indiquait noir sur blanc que M. Lienart travaille dans la province du Québec, comme l’exigent les critères du PEQ pour le volet des travailleurs qualifiés. C’est en décembre dernier que ses ennuis ont commencé, lorsque le MIFI lui a signalé une première intention de rejeter son dossier en raison de documents manquants ou transmis dans un format illisible. S’est alors amorcée une longue série de communications écrites, la plus récente étant datée du 16 mars dernier, dans lesquelles le MIFI a constamment exigé la transmission de nouveaux documents. L’entreprise Abbott Medical a pourtant transmis d’autres lettres au ministère dans lesquelles elle a indiqué être basée au Québec et fourni son numéro au registraire des entreprises. Dans sa plus récente missive, Abbott Medical a même ajouté l’adresse de son siège montréalais, auquel M. Lienart est rattaché. On a soumis ça le 20 mars et c'est un silence radio depuis quasi deux mois, alors que les preuves sont assez évidentes, je trouve, déplore M. Lienart. Il remplit les conditions, assure une avocate C’est également l’avis de Laurence Trempe, une avocate spécialisée en droit de l’immigration, qui a épluché les communications entre le MIFI et M. Lienart ainsi que les preuves fournies par ce dernier. M. Lienart remplit les conditions. Il occupe légalement un emploi au Québec avec les critères requis [pour le PEQ], donc 24 mois sur 36 mois, dans un emploi qualifié. Pour moi, c'est hors de tout doute, tranche-t-elle en faisant référence à l’article 34 du Règlement sur l’immigration au Québec. Me Laurence Trempe, associée chez Exeo et membre du conseil d'administration de l'Association québécoise des avocats et avocates en droit de l'immigration PHOTO : CAPTURE D'ÉCRAN / ZOOM Me Trempe confirme également avoir déjà traité des dossiers semblables à celui de M. Lienart et qu’ils ont été acceptés par le MIFI. C'est marqué noir sur blanc que c'est le lieu où s'est exercé le travail qui est pris en considération et non la source de rémunération, rappelle Me Trempe, selon qui M. Lienart doit se battre jusqu’au bout. Mauvaise foi Interrogé par Radio-Canada au sujet des critères qu'il applique pour les travailleurs qualifiés qui veulent obtenir un CSQ en vertu du PEQ, le ministère a simplement répondu qu’il vérifie que le candidat habite bien au Québec et qu’il répond à un besoin de main-d’œuvre d’un employeur situé au Québec. Une réponse dont s’insurge Me Trempe, car la notion de besoin ainsi que la localisation de l’employeur ne figurent ni dans le Règlement sur l’immigration au Québec ni dans le Guide des procédures d’immigration. Ce n'est pas ça, les critères du Programme de l'expérience québécoise! On invente des critères! Me Trempe juge la situation décourageante pour les candidats à l’immigration comme M. Lienart. Sans nouvelles du MIFI depuis bientôt deux mois, M. Lienart craint la suite des choses. Ce n’est pas en Belgique qu’il souhaite faire sa vie mais bien au Québec. Et dans le contexte politique actuel, il s’explique mal l’hésitation de sa province d’accueil. On est une famille francophone, insiste-t-il. Notre langue maternelle, c'est le français. On est établis ici depuis septembre 2020. On travaille. On participe au développement économique du Québec. Nos enfants vont à la garderie. [...] Visiblement, c'est comme si les preuves qu'on apportait n'étaient pas assez convaincantes. Pour une fois article bien traité par le journaliste, les personnes ont tout respecté et là c'est totalement aberrant de la part du MIFI.
  8. Si tu as travaillé deux ans tu peux essayer le PEQ travailleurs qui demande 24 mois d'emploi. https://www.quebec.ca/immigration/programmes-immigration/programme-experience-quebecoise/conditions-selection/travailleurs-temporaires
  9. Tu n'as pas le droit de travailler avant le début de tes études c'est une condition du permis d'études. Il faut avoir commencé sa session pour avoir droit de travailler.
  10. rainbow21

    Offre d’emploi valide

    Peux-tu clarifier un peu plus ta situation ? Comme dans ton profil c'est indiqué pays de résidence Tunisie je pensais que tu y étais encore. L'offre d'emploi valide c'est pour quelle procédure ? Quel type de métier ? Où as-tu envoyé cela ?
  11. rainbow21

    Offre d’emploi valide

    Il faut attendre que le permis de travail soit émis, cela peut durer plusieurs mois.
  12. Mon garagiste me parlait y a quelques semaines qu'on est à 11% sur de l'occasion
  13. Tout d'abord, mes sympathies, je comprends ta situation j'ai eu une situation similaire qui a failli m'empêcher en étant en statut implicite d'assister aux derniers moments de ma mère. J'ai quand même pu le faire ayant eu enfin le permis pour pouvoir sortir. A lire un article : https://www.immigrer.com/manque-de-jours-sur-le-territoire-avant-expiration-de-la-carte-de-resident-permanent/. Il semble y avoir possibilité mais prendre des preuves et convaincre l'agent au retour s'il analyse ton dossier
  14. Parfois c'est pas toujours une question de salaire. Qu'est-ce qui vous a appelé à venir travailler au Québec ? Oui la vie est devenue chère ici mais pourquoi avez-vous envisagé de vivre au Canada ? Il faut regarder les raisons personnelles qui vous ont poussé à le faire et aussi à envisager de partir.
  15. Je ne l'ai jamais faite et je suis citoyen. C'est seulement demandé par des ordres pour certains métiers mais pas dans la majorité des cas mais cela peut être utile si vous souhaitez reprendre des études plus tard.
  16. Essayez de passer par un service comme https://accesetudesquebec.ca/ ils peuvent vous aiguiller et il y a beaucoup de retours positifs de personnes qui ont utilisé leur service qui est gratuit.
  17. Etes-vous au Québec ? Ou êtes-vous passer par le PRTQ depuis l'étranger ? Depuis l'étranger c'est très variable selon le bureau local d'IRCC, certains sont très lents. Au Québec normalement cela devrait aller vite et sachant qu'une visite médicale n'est valable que 12 mois. essayez de les relancer sinon vous allez devoir la refaire.
  18. Déjà il ne faut pas de carte de RP pour avoir un NAS mais seulement la Confirmation de résidence permanente et le NAS ne change plus ensuite. Et si elle n'a pas de NAS c'est bizarre.
  19. Impossible de commencer à travailler avant le début des études : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/etudier-canada/permis-etudes/preparer-arrivee.html Pour le délai avant études pour arriver faut valider car l'année dernière cela n'était pas permis il y a eu des cas de renvois si ca faisait plus d'un mois.
  20. Vu qu'ils ne sont là que depuis 2 ans ce n'est pas possible d'être au stade de la validation de la RP mais oui il y a le PTOT mais pratiquement parlant il sert à rien car il est souvent obtenu après officialisation de la RP dans la pratique. Certaines personnes obtiennent la RP en 3 mois ces derniers mois alors que le PTOT prend 6 moins au moins donc ... Le suivi du personnel de santé après immigration est apparemment assez défaillant et ils auraient dû être conseillé normalement par le CIUSSS, l'employeur en fin de permis.
  21. Encore une fois il s'agit d'une erreur de demande puisque le permis ouvert de travail n'est pas possible au Québec (hors conjoint, PVT et RP en cours). Je suis de plus en plus attristé qu'il n'y ait pas de vrai guide pratique, de site véritablement clair sans trop chercher qui permettrait à des gens à différentes étapes de leur immigration de savoir ce qu'ils peuvent ou pas faire. Ca détruit des vies. On devrait avoir un système de dossier qui te suit tout le long de ton processus d'immigration ne t'offrant que les choix qui te correspondent.
  22. Le couple Français, Lucile Charrier, infirmière à l'hôpital de Verdun, et Thomas Bonnier, gestionnaire de projets, risquent d'être expulsés du Canada après avoir appris que leur permis de travail ne sera pas renouvelé. Ils ont emménagé à Montréal depuis deux ans avec l'objectif de s'installer dans une propriété dans les Cantons-de-l'Est. Charrier a obtenu un permis de travail fermé avec l'obligation de travailler dans un établissement de santé, tandis que Bonnier a obtenu un permis de travail ouvert et a trouvé un emploi dans le domaine de la construction. Le couple avait prévu de déménager à Bromont et Charrier aurait pu y exercer son métier d'infirmière. Lorsque le couple a effectué une demande de renouvellement de permis de travail en octobre dernier, Immigration Canada a offert deux options à Charrier : renouveler son permis fermé ou opter pour un permis ouvert. Pour déménager à Bromont, le couple a choisi le permis ouvert. Cependant, leur demande a été refusée en raison de leur non-admissibilité à demander un permis de travail ouvert en vertu du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, comme l'a indiqué une lettre d'Immigration Canada signée par "l'agent YK". Depuis qu'ils ont reçu la lettre d'Immigration Canada, le couple n'a plus le droit de travailler au Canada. Le couple a 90 jours pour régler leur statut, sinon ils risquent d'être expulsés du pays. L'avocat spécialisé en immigration, Me Maxime Lapointe, croit que Charrier aurait dû demander le renouvellement d'un permis de travail fermé. Il explique que le permis de travail ouvert est plutôt exceptionnel et qu'il est accordé aux conjoints de ceux ou celles qui détiennent un permis d'études ou un permis fermé. Me Lapointe déplore également que les critères du Programme de l'expérience québécoise (PEQ) aient été modifiés, ce qui a compliqué la demande de résidence permanente pour les immigrants qui doivent désormais travailler pendant 24 mois au lieu de 12. Le couple risque donc de devoir repartir à la case départ et trouver un employeur qui fera une démarche de recrutement international pour eux. Une fois qu'ils obtiendront leur permis, ils devront accumuler des mois de travail pour pouvoir effectuer une demande de résidence permanente. Immigration Canada n'a pas voulu commenter le cas du couple en raison des lois sur la protection de la vie privée. Source : La Presse
  23. Oui c'est tout à fait possible. Certains ont le CSQ par Arrima avant de rentrer dans les critères du PEQ mais pour cela il faut répondre aux critères d'extraction d'Arrima et cela ne concerne que certains métiers principalement le domaine de la santé et les TI et aussi avec un emploi basé hors région de Montréal avec un seuil de points minimal. Les critères peuvent varier avec le temps, on peut s'inscrire et répondre à des critères dans le futur. Je ne peux pas répondre sur le test mais cela influe le nombre de vos points pour rentrer dans les critères.
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