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Laurent

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Tout ce qui a été posté par Laurent

  1. Florian est le papa d’un enfant né par GPA (gestation pour autrui) au Canada. Il raconte : « En 2019, cela faisait trois ans que nous étions en couple avec mon mari et nous avons commencé à discuter de l’opportunité de construire notre famille, d’agrandir notre cercle avec des enfants. Nous avons alors réfléchi à nos différentes options pour construire notre famille. » Florian et son mari ne se doutaient pas alors des heures de recherche, des dizaines de milliers d’euros et des mois de démarches qui les attendaient avant d’accueillir leur miracle. Il continue : « Nous avons regardé en premier lieu l’adoption, mais nous nous sommes rendu compte que c’était très compliqué, d’abord parce qu’il y a peu d’enfants à adopter. En outre, l’adoption par les couples homosexuels est très rare en France. La seule autre option était la GPA. Au début, nous étions un peu réticents, car comme beaucoup de gens, nous ne savions pas très bien ce que c’était. Nous pensions tout de suite à la marchandisation du corps humain et à l’exploitation des femmes précaires, etc. Cependant, en nous documentant, en nous renseignant et en contactant des agences aux États-Unis et au Canada, nous avons compris ce qu’était vraiment une GPA éthique, réalisée sans transfert d’argent entre les parents d’intention et la mère porteuse. » En France, la GPA (gestation pour autrui) est totalement interdite. Cette interdiction est stipulée par la loi bioéthique qui la considère incompatible avec les principes de respect du corps humain et de la dignité de la personne. La législation française prévoit des sanctions pénales pour quiconque facilite ou tente de faciliter une GPA, y compris les agences ou intermédiaires. Cette interdiction s’applique à tous les citoyens français, y compris ceux qui vivent à l’étranger. Les couples français qui ont recours à la GPA à l’étranger peuvent se voir refuser la reconnaissance de la filiation de l’enfant en France. Il existe des exceptions à cette interdiction, par exemple pour les couples infertiles qui ont obtenu une autorisation spéciale des autorités françaises avant de recourir à la GPA à l’étranger. Au Canada, la situation est différente. La GPA est légale, mais elle est strictement réglementée par la loi sur la procréation assistée. La loi interdit tout paiement à une mère porteuse au-delà du remboursement des dépenses encourues en relation avec la grossesse. Cela comprend les frais médicaux, les coûts de maternité appropriés, et d’autres dépenses approuvées. L’objectif de cette régulation est de prévenir la commercialisation et l’exploitation du corps des femmes. Les couples hétérosexuels et les couples homosexuels peuvent avoir recours à la GPA. Il n’y a aucune limite sur le nombre d’embryons qui peuvent être transférés à la mère porteuse. La mère porteuse doit signer un contrat avant le transfert d’embryons, dans lequel elle renonce à ses droits parentaux sur l’enfant. Après la naissance, les parents d’intention sont considérés comme les parents légaux de l’enfant. Leur choix se dirige donc vers le Canada, qu’ils considèrent plus éthique. « C’est une GPA qui est très éthique, purement altruiste puisqu’il n’y a pas de gain financier. Ce sont vraiment des femmes qui ont à cœur d’aider des parents d’intention à devenir parents. Notre mère porteuse nous a dit qu’elle adorait être enceinte. Elle avait 31 ans, elle était tout à fait capable de porter encore un enfant. Elle a deux enfants à elle et, dans sa famille, il y avait des cas d’infertilité, des gens qui n’ont pas pu avoir d’enfants. Elle s’est dit, ‘Moi qui peux le faire, il y a des gens qui ne peuvent pas, alors je me porte volontaire pour le faire’. Cela coûte une fortune, c’est quasiment inaccessible. Les frais médicaux sont considérables et au total, ça nous a coûté à peu près 100,000 € tout compris, avec des frais médicaux qui représentent à peu près la moitié. Nous payons aussi des frais d’assistance sociale, de psychologue pour l’ensemble des parties, donc pour la mère porteuse et les donneuses d’ovocytes. Et puis nous remboursons les frais qui sont liés à la grossesse. Pour la mère porteuse, nous avons une liste de frais que nous pouvons rembourser, donc il n’y a pas de versement d’argent, elle produit des sortes de notes de frais et elle fournit ses reçus de dépenses à l’agence qui nous dit ce que nous devons rembourser. » La procédure dure deux ans et est compliquée par la Covid et la fermeture des frontières. « C’est très stressant. Nous ne sommes pas présents aux rendez-vous médicaux, donc nous attendons les résultats des échographies, des tests, etc., a posteriori. À un moment, notre mère porteuse a dû être alitée pendant deux semaines, donc nous nous demandions si tout allait bien se passer. Nous aurions aimé être là pour l’aider, mais nous ne pouvions pas, donc en fait, nous subissions la distance. Après, une fois que nous sommes arrivés sur place, un mois avant la naissance, c’était génial. Nous avons passé beaucoup de temps avec elle, nous avons pu faire plus ample connaissance, voir sa famille, et évidemment, voir son ventre avec notre fils dedans. C’était très rassurant. Nous nous sentons heureux, comme des parents qui ont envie d’être parents. C’est le soleil de nos vies, c’est presque un miracle pour nous. Avec la donneuse comme avec la mère porteuse, nous échangeons par messages, nous nous envoyons des petites photos de l’évolution de notre fils. Ils sont ravis de voir qu’il va bien, qu’il grandit bien. Voilà, nous nous donnons des nouvelles régulièrement. » Florian et son mari pensent déjà au second enfant. Le contraste principal entre les deux pays réside dans l’approche de la légalité de la GPA. En France, l’interdiction totale vise à protéger la dignité de la personne humaine et éviter la commercialisation de la procréation. Au Canada, la régulation vise à permettre la GPA tout en assurant qu’elle se déroule dans un cadre non-commercial et éthique. Source : Gouvernement du Québec – BFMTV
  2. Pour l’animateur de télévision, l’accent québécois fait « débander ». En 2001, le sort qu’il fait subir à l’autrice lors de son passage à l’émission «Tout le monde en parle» a tout à voir avec le bâillonnement, témoigne l’écrivaine Martine Delvaux. Mon souvenir est vif : une très jeune Nelly Arcan est invitée sur le plateau de Tout le monde en parle. Elle est reçue par Thierry Ardisson à qui on doit le concept « Pour faire passer Easton Ellis, Tom Wolfe ou Houellebecq, il faut des bimbos, de la lumière, de la musique ». Manière, explique l’animateur, de rendre la culture digeste au lieu qu’elle soit punitive. Ça a lieu le 29 septembre 2001, un an après le passage de Christine Angot, deux semaines après les attentats du 11 Septembre. Nelly Arcan vient de publier son premier roman, Putain, aux éditions du Seuil. C’est l’histoire d’une escort girl, dit l’animateur. Ce n’est pas un témoignage, dit l’écrivaine, c’est de la littérature. Il est question du sexe des hommes Après une série de questions sur les hommes et la sexualité, après avoir bien confondu la narratrice et celle qui l’a inventée, c’est l’interview up and down pour clore le segment, on ne bouge pas pendant le gingle. L’animateur demande : «Qu’est-ce que vous avez de moins sexy ?» Entre étonnement et malaise, l’écrivaine ne sait pas quoi répondre. «Moi je sais, dit-il, mais je ne dirai pas.» Puis il quitte son podium pour venir lui chuchoter fort à l’oreille : «Il faut perdre cet accent canadien.» Un accent qu’elle doit perdre, dit-il, à l’aide de cours donnés en France, par exemple, «parce que c’est terrible, cet accent, je vous jure. On ne parle plus comme ça depuis le XVIIIe siècle». Dans cette émission de « Tout le monde en parle » de 2001, l'animateur Thierry Ardisson a fait des commentaires dépréciatifs sur l'accent québécois de Nelly Arcan, affirmant que cet accent faisait « débander ». Ce jour-là, le concept d'Ardisson était de rendre la culture « digeste » par l'ajout de divertissements superficiels. Arcan y présentait son premier roman, Putain, qu'elle définit non comme un témoignage, mais comme une œuvre littéraire. En mars 2024, lors d'une entrevue avec Dominic Tardif de La Presse, Ardisson a réaffirmé son aversion pour l'accent québécois, sans exprimer de regret pour ses paroles passées. Il a fait ces remarques dans le contexte de l'enregistrement du 500e épisode de la version québécoise de « Tout le monde en parle ». La critique de l'accent de Nelly Arcan, et par extension de celui de millions de Québécoises, est perçue comme une forme de répression : une injonction à être belle et silencieuse. Cet incident souligne une attente sociale où certaines caractéristiques féminines sont marginalisées. Peu avant sa mort, Nelly Arcan avait écrit sur le manque de justice à la télévision, un média qui, selon elle, ne reflétait pas la réalité ni l'équité. Suite et source : Libération
  3. La région de Niagara, célèbre pour ses majestueuses chutes à la frontière entre le Canada et les États-Unis, se trouve face à un événement exceptionnel : la rare éclipse solaire totale prévue pour le 8 avril. En anticipation des défis que cela pourrait représenter, les autorités locales ont pris la décision proactive de déclarer l'état d'urgence dès le 3 avril. Mais pourquoi une telle mesure a-t-elle été jugée nécessaire, et que signifie-t-elle pour les habitants et les visiteurs de cette région pittoresque ? Anticipation d'une affluence exceptionnelle La principale raison derrière cette décision réside dans les attentes d'une affluence sans précédent. Les chutes du Niagara, déjà une destination touristique de renom attirant des millions de visiteurs chaque année, s'apprêtent à accueillir ce que le maire Jim Diodati a décrit comme “de loin la plus grande foule que nous ayons jamais eue”. Les estimations suggèrent la présence possible d'un million de personnes venant observer l'éclipse, un nombre écrasant comparé aux 14 millions de visiteurs annuels habituels. Précautions pour la santé et la sécurité La décision de déclarer l'état d'urgence est avant tout une mesure de prudence. Selon le président de la région, Jim Bradley, cette déclaration “renforce les outils dont dispose la région pour assurer la santé et la sécurité des résidents et des visiteurs”. Cela permettra une gestion plus flexible et efficace des ressources pour faire face à tout scénario imprévu, qu'il s'agisse de contrôler les foules, d'assurer des services de secours efficaces, ou de maintenir l'ordre public face à un afflux massif de curieux. Protection des Infrastructures Essentielles L'affluence exceptionnelle attendue pose également un défi de taille pour les infrastructures locales. L'état d'urgence donne aux autorités la capacité de prendre des mesures proactives pour protéger ces infrastructures essentielles. Cela comprend non seulement les routes et les ponts mais aussi les réseaux d'eau, d'électricité, et les installations sanitaires, qui seront tous soumis à une pression inhabituelle du fait de la densité exceptionnelle de la population. Modification des programmes et dervices Pour se préparer à cet événement unique, la région de Niagara ajustera également certains de ses programmes et services le 8 avril. Ces modifications visent à assurer que les besoins de base des résidents et des visiteurs seront satisfaits sans compromettre la sécurité ni l'ordre public. Bien que les détails spécifiques de ces ajustements n'aient pas été divulgués, ils reflètent l'engagement de la région à gérer l'événement de la manière la plus fluide et sécurisée possible. La déclaration de l'état d'urgence par la région de Niagara en prévision de l'éclipse solaire totale du 8 avril est un témoignage de l'importance que les autorités locales accordent à la préparation et à la gestion des risques. Cette mesure, loin d'être alarmiste, est un pas prudent vers l'assurance que cet événement astronomique rare puisse être célébré dans les meilleures conditions possibles, tout en garantissant la sécurité et le bien-être de tous ceux qui seront présents pour témoigner de ce spectacle naturel époustouflant.
  4. Rejoignez-nous pour une session enrichissante où Laurence Nadeau, accompagnée de trois invités qui ont franchi le pas de s’installer au Québec, partagera des conseils précieux et des retours d’expérience pour naviguer les défis de l’immigration. Cette discussion ouverte abordera les pièges courants auxquels sont confrontés les nouveaux arrivants et proposera des stratégies pratiques pour les éviter. Que vous envisagiez de déménager au Québec ou que vous soyez déjà en plein processus, ce webinaire est une occasion incontournable de gagner en confiance et en clarté sur votre parcours d’installation. Nos intervenants couvriront une variété de sujets, allant de la compréhension des nuances culturelles à la navigation dans le système de santé, le marché du travail, et bien plus. Marquez vos calendriers et préparez vos questions pour cette session interactive et informative. Présentation : Laurence Nadeau avec 3 invités spéciaux, Victor Armony, Elvire B. Toffa et Arnaud Catherine. Date : mardi 26 mars 2024 à 13:00 en direct de Montréal (18:00 de France)
  5. https://www.immigrer.com/le-programme-de-mobilite-internationale-plus-pmi-entre-en-vigueur/ Afin d'accélérer la venue de nouveaux travailleurs temporaires étrangers le gouvernement du Québec a mis en place à partir du 24 mai 2022 le programme de mobilité internationale plus (PMI +). Et c'est également à cette date que débute aussi l'élargissement d'un nouvel assouplissement au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET). En quoi consiste le PMI + ? Ce nouveau programme vise les personnes qui détiennent un Certificat de sélection du Québec (CSQ) délivré dans le cadre d'un programme de sélection des travailleurs qualifiés et qui résident toujours à l'étranger. Il s’agit plus précisément des personnes : qui possèdent une expérience de travail dans un secteur prioritaire visé par l'Opération main-d'œuvre, ou encore dans une profession évaluée en déficit de main-d'œuvre dans l'ensemble du Québec; ou qui détiennent une offre d'emploi permanent d'un employeur du Québec, validée par le ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration. Concrètement, 7 000 personnes par année pourront recevoir un permis de travail ouvert de la part d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Avec ce permis, les personnes pourront donc arriver au Québec plus rapidement et amorcer leur intégration en emploi, en attendant l'obtention de la résidence permanente. Pour le nouvel assouplissement du PTET en vigueur le 24 mai, au total 65 nouvelles professions s'ajouteront à la Liste des professions admissibles au traitement simplifié, laquelle n'a toujours compris que des professions spécialisées.
  6. Laurent

    Médecin de famille

    Aucun souci... On m'a dit que ça serait pu ben long...
  7. https://annonces.immigrer.com/liste/boulangerie-patisserie/
  8. Les conséquences de l'adoption d'une loi renforçant la protection de la langue française au Québec a conduit à l'arrêt des activités de plusieurs entreprises dans la province. L'Association for Supply Chain Management (ASCM), basée à Chicago, a suspendu ses opérations au Québec en raison de cette loi, qui exige notamment que les entreprises rédigent en français contrats, offres d’emploi, factures, etc. L'ASCM, ainsi que d'autres entreprises comme PetSmart, OtterBox et London Drugs, ont cessé leurs opérations ou leurs livraisons au Québec à cause de cette législation. Karl Blackburn, président du Conseil du patronat du Québec (CPQ), exprime son inquiétude quant aux répercussions économiques de cette loi, notamment en termes de difficultés à attirer des talents étrangers. L'avocat Vincent de l’Étoile souligne également le dilemme pour les entreprises étrangères, qui doivent évaluer les coûts et bénéfices de se conformer à cette législation. La loi pose aussi des défis pour les petites et moyennes entreprises, avec des coûts supplémentaires et un processus de francisation complexe supervisé par l’Office québécois de la langue française. Les entreprises non conformes risquent de ne pas obtenir de contrats ou de subventions gouvernementales. Francis Bérubé de la Fédération canadienne des entreprises indépendantes souligne le besoin de services pour faciliter la francisation. Le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, n’a pas commenté la situation. Source: https://www.ledevoir.com/societe/804550/protection-langue-francaise-nouvelles-exigences-proteger-francais-font-fuir-entreprises?utm_source=infolettre-2023-12-29
  9. C’est pas ce qu’elle a dit , et même si c’était le cas ça fait partie de la liberté d’expression et c’est pertinent d’avoir le ressenti de personnes qui quittent le Québec après 12 ans
  10. C'est évident qu'avec le temps on finit par oublier pourquoi on est parti et on a tendance à enjoliver son pays d'origine, c'est donc une bonne idée de faire un petit "touchbase" de temps en temps.
  11. Merci @Ajer123 pour ce témoignage très pertinent, nous l'avons mis en page d'accueil.
  12. Parfois, se rendre directement dans un bureau des passeports et expliquer votre situation peut aider. Ils peuvent être en mesure de vous donner un rendez-vous plus tôt ou de traiter la demande sur place, surtout en cas de voyage urgent.
  13. Et à Montréal aujourd'hui:
  14. Laurent

    extraction Novembre

    Invitations du 16 novembre 2023 Nombre d’invitations : la ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration a invité 1210 personnes à lui présenter une demande de sélection à titre permanent. Date et heure de l’extraction dans la banque d’Arrima : 13 novembre 2023 à 6 h 30 Ces invitations s’adressaient aux personnes répondant aux critères suivants : elles avaient une connaissance du français de niveau 7 ou plus dans les deux compétences orales selon l’Échelle québécoise des niveaux de compétence en français ou son équivalent (PDF 4.94 Mo); elles avaient un pointage (PDF 295 Ko) égal ou supérieur à 609 points. Ces invitations s’adressaient aussi aux personnes répondant au critère suivant : elles détenaient une offre d'emploi validée à l'extérieur du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal.
  15. Laurent

    extraction Novembre

    Il semble que la dernière extraction d'Arrima a eu lieu le 13 novembre 2023, où 1210 personnes ont été invitées à postuler pour une sélection permanente. Ces invitations ont été adressées aux personnes répondant à des critères spécifiques, tels qu'une compétence orale en français de niveau 7 ou plus élevé, un score égal ou supérieur à 609 points, ou une offre d'emploi valide à l'extérieur du territoire de la Communauté métropolitaine de Montréal. https://www.quebec.ca/immigration/travailler-quebec/travailleurs-qualifies/programme-regulier-travailleurs-qualifies/invitation
  16. Si vous détenez un visa de visiteur, vous ne serez pas autorisé à travailler au Canada sans un permis de travail. Vous pouvez consulter le site d'Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) pour en savoir plus sur les différentes catégories de permis de travail et les critères d'éligibilité.
  17. Le Certificat de sélection du Québec (CSQ) est effectivement un document important dans le processus d'immigration au Québec, notamment pour les étudiants étrangers. L'exemption de frais de scolarité supplémentaires pour les étudiants internationaux est une possibilité sous certaines conditions, mais elle n'est pas automatique avec l'obtention du CSQ. Voici quelques étapes que vous pouvez envisager : Vérifiez les critères d'exemption : Assurez-vous que vous remplissez tous les critères d'exemption de scolarité pour les étudiants internationaux. Ces critères peuvent inclure des aspects spécifiques liés à votre statut, au programme d'études, etc. Consultez la politique de votre école : Chaque établissement d'enseignement peut avoir des politiques différentes concernant les exemptions de frais pour les détenteurs d'un CSQ. Il est important de comprendre la politique spécifique de votre école. Dialogue avec l'administration de l'école : Si vous croyez répondre aux critères d'exemption, prenez rendez-vous avec l'administration ou le service des admissions de votre école pour discuter de votre situation. Apportez tous les documents pertinents, y compris votre CSQ et toute autre documentation qui pourrait appuyer votre demande. Renseignez-vous auprès d'Immigration Québec : Pour obtenir des clarifications sur les règles d'exemption de scolarité, vous pouvez contacter directement Immigration Québec. Ils pourront vous fournir des informations précises sur les conditions d'exemption liées au CSQ. Recherchez des aides financières alternatives : Si l'exemption n'est pas possible, renseignez-vous sur d'autres formes d'aide financière disponibles pour les étudiants internationaux, telles que des bourses, des prêts étudiants, etc. Consultation légale : Si vous pensez que vos droits ne sont pas respectés, vous pouvez consulter un avocat spécialisé en immigration pour obtenir des conseils juridiques. Il est important de se rappeler que les règlements et les politiques peuvent varier et sont souvent complexes en matière d'immigration et d'éducation. Assurez-vous de bien comprendre vos droits et obligations avant de prendre des mesures.
  18. Ça a pris 23 ans et 10 000 messages pour que tu le reconnaisses !
  19. ‌ Bonjour, Nous vous rappelons que cet événement essentiel se tiendra aujourd'hui à 13h00 (19:00 heure de France). Au programme de ce webinaire animé par Laurence Nadeau : 1. Recherche de logement - Conseils d'Antoine Schaefer, expert en immobilier. 2. Démarches administratives - Les étapes clés expliquées par Laurence Nadeau. 3. Emploi - Stratégies de Christophe Catherine pour percer le marché de l’emploi québécois. 4. Période de questions - Une session interactive pour répondre à toutes vos interrogations. C'est une occasion unique d'obtenir des informations précieuses et des conseils pratiques pour votre installation et intégration au Québec. N'oubliez pas de préparer vos questions et de nous rejoindre pour une session enrichissante, pleine d'apprentissages et d'échanges d'expériences. Nous avons hâte de vous y retrouver ! ‌ ‌
  20. Options pour communiquer avec le Centre de soutien à la clientèle Communication Détails En ligne Utilisez notre formulaire web. 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Service de téléphone automatisé (au Canada seulement) Si vous avez un téléphone à clavier, vous pouvez vérifier l’état de votre demande écouter des renseignements préenregistrés sur nos programmes 1-888-242-2100 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 Agents du Centre de soutien à la clientèle (au Canada seulement) les services sont offerts en français et en anglais les agents peuvent répondre à vos questions générales et à celles concernant votre dossier Ils ne peuvent pas rendre une décision à l’égard d’une demande accélérer le traitement d’une demande, à moins que vous ne répondiez aux critères s’appliquant au traitement urgent 1-888-242-2100 du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h (votre heure locale) non disponible les jours fériés Service de téléscripteur (ATS) Appelez-nous à l’aide du service de relais Bell. 1-800-855-0511 (téléphone à téléscripteur) 711 (téléscripteur à téléphone) 1-800-855-1155 (téléscripteur à téléscripteur) du lundi au vendredi, de 8 h à 16 h (votre heure locale) non disponible les jours fériés
  21. Montréal, QC Canada filmé en 1930 et restauré. Source : https://www.facebook.com/nassrestoration/videos/2387006971503368/ nassrestoration_Montreal_1930.mp4
  22. Résumé : Le Canada : une destination finale potentielle pour les réfugiés de Gaza Un document de concept du ministère israélien propose de transférer les civils de Gaza vers le Sinaï en Égypte, le Canada étant une destination finale possible. Ce plan de guerre, élaboré par un ministère israélien, vise à déplacer 2,3 millions de personnes de la bande de Gaza vers le Sinaï, suscitant des critiques des Palestiniens et exacerbant les tensions avec Le Caire. Le bureau du Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a minimisé ce rapport, le qualifiant d'exercice hypothétique. Néanmoins, ses conclusions ont renforcé les craintes égyptiennes d’une tentative israélienne de faire du problème de Gaza un problème égyptien, rappelant aux Palestiniens le traumatisme de 1948 - le déracinement de centaines de milliers de personnes. Plus de 8 000 Palestiniens, principalement des civils, ont été tués depuis que Israël a déclaré la guerre au Hamas. Le document propose le déplacement de la population civile de Gaza vers des villes de tentes dans le nord du Sinaï, suivie de la construction de villes permanentes et d’un corridor humanitaire non défini. Une zone de sécurité serait établie en Israël pour empêcher l'entrée des Palestiniens déplacés. Le ministère des Affaires étrangères égyptien n'a pas immédiatement répondu à une demande de commentaire sur le rapport. Le président égyptien, Abdel Fattah El-Sissi, a déclaré qu'un afflux massif de réfugiés de Gaza éliminerait la cause nationaliste palestinienne et risquerait d'apporter des militants dans le Sinaï. Le document mentionne également l’Égypte, la Turquie, le Qatar, l'Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis comme soutiens potentiels du plan, soit financièrement, soit en accueillant des résidents déracinés de Gaza. Les pratiques d'immigration "clémentes" du Canada le rendent également une cible potentielle de réinstallation. Le document reconnaît que cette proposition pourrait être compliquée en termes de légitimité internationale. Un responsable israélien a indiqué que le document n'est pas contraignant et qu'il n'a fait l'objet d'aucune discussion substantielle avec les responsables de la sécurité. Le bureau du Premier ministre a déclaré que la question du "jour d'après" n'a pas été discutée dans un forum officiel en Israël. Source : CTV News
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