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Contenu populaire

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  1. moussou

    7 ans et quelques heures à Mtl

    Hello les forumistes, Wow wow wow ! Je suis arrivée il y a 7 ans au Québec, Je suis née le 7e mois de l'année, Je suis née la 7e heure de la journée, 6 postes et 1 entreprise plus tard, me voilà ! Le chiffre 7 a toujours été mon numéro. Je suis arrivée comme je l'ai souvent dis, sans attente. Et quelle surprise lorsque je pense à mon parcours. Mon immigration est enrichissante, elle m'inspire de jour en jour et me pousse à aller par-delà les étoiles, comme ceux qui se trouvent dans mes yeux au matin comme au coucher. Je suis arrivée avec mon petit Harry, mon compagnon à quatre pattes et il fait toujours partie de l'aventure. Mon homme (que j'ai réussi à faire quitter la France) à débuté son immigration en novembre 2021. Une de mes plus belles victoire a été le poste au Gouvernement du Québec comme Responsable d'agenda de la Ministre du Tourisme, la numéro 2 du Cabinet (oui je me suis prise pour Olivia Pope un temps), quelle belle opportunité et une sacrée aventure ! Je suis retournée à mon premier amour : la comptabilité de production (fiction, cinéma, documentaires) et chaque jour est savoureux. Quelle belle aventure et j'ai hâte de voir la suite.
    5 points
  2. Je me souviens de ma hâte à partager mes premières impressions qui valideraient mes six premiers mois. Puis l'année. À offrir une perspective éloignée des grands centres urbains, moi qui était une citadine heureuse en France et dont les intentions étaient de déménager à Montréal une fois mon cours fini, raison initiale de ma venue à Rivière-du-Loup. Je me souviens des récits dont les auteurs affichaient un " + de 5 ans" dans leur statut. Ça me semblait si loin. Dans moins de trois mois, cela fera six ans que j'habite au Québec, tous passés à Rivière-du-Loup. J'en suis toujours la première étonnée. Et contente aussi. C'était un pari, de rester là où mon petit réseau a commencé à se créer. Contre intuitif pour beaucoup aussi, quand on veut travailler dans le cinéma (documentaire) Ça a pris un peu du temps, mais ça fonctionne, pour moi. Est-ce que c'est parfait? Non. L'envie de partir me prend-elle par moment (vous savez ces moments #payetarégion)? Oui. Mais le bas du fleuve, c'est vraiment magique. Pour vrai. Le rythme. La beauté. Tout ce qui m'exaspère aussi, pas assez visiblement, pour faire le poids face aux séjours à Montréal et ses musées, nids de poules, ses cafés, le bruit, les concerts, ses canicules, la nourriture du monde entier, la neige triste, les gens de partout. Au Bas-Saint-Laurent, les choses bougent, merci la pandémie et ces nouveaux arrivants venus «plonger dans l'immense». À Rivière-du-Loup, je me suis crée une place, parce qu'il y a l'espace pour faire ce qui n'existe pas ou peu. J'ai exploré d'autre potentiels de moi. On ne change pas qui on est. Par contre, on peut explorer d'autres configurations de soi. Et se découvrir sous d'autres coutures. Finalement, ça m'aura pris presque cinq ans pour retourner en France revoir amis et famille, la pandémie ayant repoussé mes plans de deux ans. Je me demande si ça n'a davantage consolidé ma nouvelle vie. Il y a a des moments vulnérables dans tout changement de vie, surtout quand ils font relativement tard, où l'on se demande si on fait machine arrière, si on retourne dans les sentiers rassurants de l'habitude, des origines, des tous les liens qui nous ont construit. Après tout, pourquoi s'infliger ces amputations? Pas de choc culturel inversé pour moi, juste le plaisir de revoir les visages tant aimés. La joie de battre le pavé des lieux adorés, me rappeler leur beauté. L'envie de le faire découvrir aux amis faits à Rivière-du-Loup, pour joindre les deux mondes. Rencontrer les enfants nés entre-temps, retrouver ceux qui ont grandi sans nous, reprendre là où ça s'est arrêté avec les amis et goûter au plaisir de l'intimité intacte. Pendant tout mon séjour, j'étais sur cette impression troublante de n'être jamais partie. Même s'il y a eu plein de changements. Mais toujours pas de nostalgie. Et moi, qui n'aurai jamais vraiment de sentiment d'appartenance, j'étais contente de repartir, même si c'est encore plus dur de dire au revoir à nouveau. Une dernière, pour mes grands-parents. Mais une fois La Pocatière dépassée, quand la route descend pour s'approcher du fleuve et qu'il miroite plein de printemps, je me suis dit que j'étais où je voulais être, peu importe combien de temps encore.
    2 points
  3. Webinaire GRATUIT – L’Expérience Immigrante d’Elvire B Toffa : Du Soleil d’Abidjan aux Rives de Trois-Rivières Vous êtes curieux de connaître le parcours unique d’une immigrante qui a réussi à s’installer et à s’épanouir au Québec ? Ne manquez pas ce webinaire exclusif, présenté par Elvire B Toffa, originaire d’Abidjan et installée à Trois-Rivières depuis 2006. Animée par la cofondatrice du site, Laurence Nadeau, cette séance interactive vous permettra de découvrir les défis et les opportunités rencontrés par Elvire depuis son arrivée au Canada. Vous pourrez également poser toutes vos questions lors de cette session ouverte à tous ! Au programme : Le parcours d’Elvire B Toffa, de la Côte d’Ivoire au Québec Les défis de l’immigration et les clés pour s’adapter à une nouvelle culture Les opportunités professionnelles et personnelles au Canada Session de questions-réponses en direct avec Elvire et Laurence Ne manquez pas cette occasion unique d’apprendre et d’échanger avec Elvire B Toffa. Réservez votre place dès maintenant pour cet événement gratuit et enrichissant ! Date : Mercredi 26 avril 2023 Heure : 12:30 [18:30 de France]
    1 point
  4. @WQT Merci !! Bien sûr, voici notre situation : Nous avons 37 ans les 2, sommes mariés, sans enfant pour l'instant, et vivons en France. Nous sommes : - enseignant en anglais à l'université - team lead / ingénieur en développement informatique Pour notre projet d'immigration, cela s'est déroulé comme ceci : - 20 Janvier 2022 : Ouverture de la déclaration d'intérêt sur Arrima - 29 Juin 2022 : Mise-à-jour du dossier sur Arrima avec les résultats de nos TCF passés en Mai - 15 Septembre 2022 : Validation de la déclaration d'intérêt et invitation à présenter direct une demande de sélection permanente (chance inattendue !) - 30 Septembre 2022 : Envoi du dossier au Ministère de l'Immigration, Francisation et Intégration - 14 Octobre 2022 : Accusé de réception du dossier - 23 Novembre 2022 : Réception de nos CSQ (avec sur chacun la mention "Traitement prioritaire dans le domaine de formation") alors qu'on nous donnait une réponse sous 6 mois - 28 Novembre 2022 : Réception de l'éligibilité au PMI+ (que je n'ai jamais réussi à faire en ligne) - 18 Décembre 2022 : Soumission du dossier de demande de RP en ligne sur le site de l'IRCC - 6 Février 2023 : Accusé de réception de notre dossier de demande de RP - 14 Février 2023 : Relevé biométrique à Paris (et accusé de réception le même jour) - 7 Mars 2023 : Visite médicale à Bordeaux - 9 Mars 2023 : Réception par le médecin des résultats favorables - 10 Mars 2023 : Mise-à-jour par l'IRCC de notre profil en ligne avec l'avis médical favorable - 20 Mars 2023 : Réception du mail "Prêt pour Visa" - 31 Mars 2023 : Décision officielle, définitive et favorable pour notre RP ! (en ligne sur notre profil IRCC) - 3 Avril 2023 : Réception papier de nos CRP. Nous sommes ensuite allés à Montréal du 20 au 26 Avril (aujourd'hui ^^) faire du repérage (nous n'y étions jamais allés). Nous avons même déjà trouvé et réservé un appart Et nous partons là-bas définitivement fin Juin ! A notre arrivée le 20 Avril on nous a fait aller aux bureaux d'immigration car nos passeports sont liés à nos RP. Nous venions pourtant juste en touristes cette fois-ci, pour repérage, surtout qu'il faut une adresse postale canadienne pour l'envoi de la carte de RP. L'agent nous a bombardés de questions mais quand on a exposé notre dossier, notre intention de voyage, et qu'il a vu l'approbation de la RP sur son pc, il est devenu adorable et nous a effectivement conseillé de faire signer la CRP à notre arrivée définitive en Juin. On nous a soulevé pas mal de fois l'importante rapidité de notre dossier dans son ensemble, surtout que nous n'étions jamais allés sur le sol canadien. On nous a clairement dit que nos profils professionnels ont beaucoup pesé. Voilà pour le résumé de notre dossier dans son ensemble ! J'en profite pour remercier tous ceux qui ont apporté des réponses à nos questions durant tout ce temps
    1 point
  5. Québec fait marche arrière pour garder des immigrants francophones diplômés Le nombre d’étudiants étrangers souhaitant rester au Québec est en chute libre depuis la réforme du PEQ. Pour renverser la vapeur, le gouvernement Legault compte revoir des programmes d'immigration. La ministre de l'Immigration Christine Fréchette a prévu d'alléger les critères d'accès au Programme de l'expérience québécoise. PHOTO : RADIO-CANADA / SYLVAIN ROY ROUSSEL Romain Schué Publié à 4 h 00 Le gouvernement de François Legault s’apprête à tirer la plogue sur une partie de la controversée réforme du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), mise en place en 2020 par l’ancien ministre de l’Immigration, Simon Jolin-Barrette. Selon les informations de Radio-Canada, Québec compte désormais alléger les critères d’accès à ce programme, essentiellement pour les diplômés étrangers francophones. Cette mesure est pilotée par l’actuelle ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, qui a abordé ces enjeux lors d’une récente tournée auprès d’acteurs communautaires, des affaires et du milieu de l’enseignement. Les détails de cette réforme devraient être annoncés par le gouvernement Legault dans les prochains jours. D'autres programmes d'immigration pourraient également être revus. Le leader du gouvernement, Simon Jolin-Barrette, est à l'origine de la controversée réforme du PEQ, en vigueur finalement depuis 2020. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Moins d’expérience de travail exigée La réforme du PEQ était au cœur du mandat de Simon Jolin-Barrette au moment de la prise du pouvoir de la Coalition avenir Québec (CAQ) en 2018. Ce programme, très populaire, était considéré comme une voie rapide vers l’immigration permanente pour les diplômés et les travailleurs étrangers, déjà au Québec. Estimant qu’un nombre trop élevé de candidats utilisaient le PEQ, l’actuel ministre de la Justice avait durci les conditions de sélection. Un choix qui avait provoqué des vagues au Parlement, l’intervention de François Legault, la grogne des universités et du monde des affaires, puis l’abandon d’une première mouture. Finalement, Québec avait opté pour l’ajout d’une expérience de travail. Désormais, les diplômés doivent par exemple acquérir une expérience dans des domaines ciblés, variant d'au moins 12 à 18 mois selon la formation initiale, avant de pouvoir postuler au PEQ. Ces critères, selon nos informations, seront revus à la baisse dans le volet réservé aux diplômés. Québec souhaite maintenant faciliter l’accès à ce programme, mais uniquement pour les étudiants francophones ou diplômés dans un programme en français. Près de 55 000 étudiants étrangers étaient inscrits dans les universités du Québec à l'automne 2022, mais de moins en moins tentent de rester au Québec. PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Baisse radicale des demandes Officiellement, le cabinet de Christine Fréchette reste prudent, mais confirme vouloir favoriser une immigration francophone et reconnaît que « les étudiants internationaux, particulièrement ceux qui parlent français, sont une richesse pour le Québec ». La ministre Fréchette avait déjà avoué, fin novembre, vouloir une immigration exclusivement francophone ou francotrope dans les prochaines années. Québec vise particulièrement la rétention de ces diplômés. Or, ces derniers, selon des données figurant dans une demande d’accès à l’information, sont de moins en moins nombreux à vouloir rester au Québec. Depuis l’instauration de cette réforme du PEQ, le nombre d’étudiants ayant fait une demande pour s’installer durablement au Québec est en chute libre. Nombre d'étudiants ayant soumis une demande de sélection permanente 2019 : 4859 2020 : 5465 2021 : 2938 2022 : 2268 L’an passé, moins de 2300 étudiants ont demandé un certificat de sélection du Québec, contre près de 5500 en 2020. Soit une baisse d’environ 60 %. Pourtant, dans le même temps, le nombre d’étudiants étrangers présents au Québec ne cesse d’augmenter. À l’automne dernier, 54 321 étudiants étrangers étaient inscrits dans les universités québécoises, contre 49 304 à la même période en 2021, d'après des données du Bureau de coopération interuniversitaire. Des consultations à la fin de l’été Repoussées d’une année en raison des dernières élections provinciales, les consultations pluriannuelles visant à déterminer les prochains seuils d’immigration auront lieu à la fin de l’été. Dans les prochaines semaines, Québec devrait publier un cahier d’informations visant à préparer ces rencontres. Dans ce document, le gouvernement Legault pourrait insérer ses orientations pour les années 2024 à 2026. À l’heure actuelle, Québec n’a pas fermé la porte à une augmentation des cibles. En 2023, jusqu’à 52 500 immigrants permanents pourraient être admis au Québec. Une volonté gouvernementale saluée Cette marche arrière est d’ores et déjà saluée par les milieux des affaires et de l’enseignement supérieur. Il y a moins de popularité avec le PEQ, mais avec les nouvelles exigences, ce n’est pas si surprenant. C’est le résultat des nouvelles règles du jeu. Il est grand temps qu’on reparle d’immigration dans un contexte plus rationnel, indique Charles Milliard, président de la Fédération de la chambre de commerce du Québec. Selon ce dernier, la ministre Fréchette connaît la réalité des affaires et aurait une approche rationnelle concernant l’immigration. C’est une question de compétitivité, souligne Claire Launay, porte-parole de l’organisme Le Québec c’est nous aussi. Les étudiants internationaux sont déjà intégrés. Il faut être plus attractif que les autres provinces pour les garder. Or, depuis l’ancienne réforme, ce n’est plus le cas, regrette-t-elle, tout en « encourageant le gouvernement à créer de nouvelles voies d'accès à la résidence permanente » et à « augmenter les seuils d'immigration » pour éviter la « précarité [des] statuts temporaires ». Aux yeux de la Fédération des cégeps, Québec se dirige dans la bonne direction. Notre objectif, c’est de convertir l’étudiant en travailleur. Il ne faut donc pas avoir de barrière. Présentement, on n’est pas les plus attractifs et tout le monde recherche des étudiants de qualité, estime son président Bernard Tremblay. Le choix logique, ajoute-t-il, c’est de miser sur ces étudiants.
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  6. Quelle belle plume!
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  7. jimmy

    Mes experiences au Québec

    Qwintine vient de démontrer avec brio...qu'il juge sans lire. ..il me juge sur la fausse interprétation d'un autre forumiste ! Pas pire celle la
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  8. jimmy

    Mes experiences au Québec

    Tu vois, c'est exactement ce que je disais l'autre jour disait l'autre jour au sujet des disciples de QS : Toutes les origines sont bonne...sauf la notre Toutes les souffrances de tous les peuples sont louables et a déplorer...sauf les notres Typique
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  9. jimmy

    Mes experiences au Québec

    Regarde Bencoudonc le problème avec ces concepts flous comme '' racisme systémique'' et/ou le '' wokisme'' c'est que justement ce sont des concepts flous qui peuvent être interprétés de toutes sortes de façons....qui dans le contexte Québécois ont TOUS POUR BUT de blâmer le Québécois blanc, catho, hétéro d'origine Française...et donc de lui attribué tous les maux de la terre...surtout de la terre du Québec. Il y a quelques mois un drôle de spécimen sur les réseaux sociaux a écrit comme exemple d'un biais discriminatoire de racisme systémique que l'inventeur du piano souffrait de racisme inconscient car il y a plusse de notes blanche que de notes noires sur le clavier d'un piano. Ne riez pas ! Ils disaient que peut-être l'inventeur n'était pas raciste, mais que le biais discriminatoire avait jouer quand au choix de la couleur des notes, c'était peut-être inconscient de sa part !!!!! Alors voilà, c'est ça ces concepts flous. Attention toutes les personnes raisonnables et le moindrement intelligente sont contre le racisme sous toutes ces formes, contre la discrimination sous toutes ces formes et ne souhaitent que du bonheur pour tout le monde au Québec et ailleurs. Le problème de ces concepts flous c'est comme je le disais : un jour ou l'autre ces raisonnements en viennent a blâmer les Québécois pour quelque chose. La droite et la gauche s'en donne a cœur joie pour mépriser le peuple Québécois avec ce concept. Alors que s'il y a un peuple au Canada qui a souffert de discrimination et d'UN VRAI RACISME SYSTÉMIQUE c'est bien nous ; les nègres blanc d'Amérique.
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  10. jimmy

    Mes experiences au Québec

    Avant de généraliser sur tout le peuple Québécois, faudrait savoir de quoi on parle :
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