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dur dur, le permis d'enseigner!


HélèneQuébec

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Bonjour à tous,

Je suis résidente permanente, habitante de la ville de Québec depuis 7 mois.

J'ai enseigné le Français pendant 8 ans en France et j'ai voulu enrichir mon parcours professionnel par une expérience au Québec...Un an et demi après la demande de résidence permanente, mon conjoint et moi sommes arrivés avec joie au Québec. Je savais à ce moment que j'aurais du mal à trouver un poste fixe dans un premier temps, mais je ne me doutais pas que je ne trouverais rien du tout, ni même une réponse positive à ma demande de permis d'enseigner.

J'ai reçu une première réponse hier du Mels suite à ma demande. Le permis m'est refusé car "mes études universitaires en Lettres modernes ne présentent pas assez de cours de Français". La réponse, après m'avoir d'abord abasourdie, m'a découragée.

J'ai une maîtrise de Lettres Modernes, un Capesa, mais...pas assez d'heures de Français...Mon interlocutrice au téléphone m'a bien spécifié la différence entre des cours de Français et des des cours de Littérature, et je n'ai, a priori, pas assez de cours de Français. Je peux préciser que j'ai suivi une classe préparatoire littéraire (hypokhâgne- khâgne) , et que, le programme étant pluri-disciplinaire, je n'ai pas fait, effectivement, deux premières années universitaires uniquement en Français.

Bref, je ne veux pas baisser les bras et j'ai toujours vraiment envie d'obtenir ce permis. Je voulais savoir si, parmi vous, quelqu'un s'était trouvé dans cette situation ubuesque: est-ce si difficile d'obtenir ce permis d'enseigner en Français?

Je vais contacter l'Université de Laval, mais j'ai peur de ne pas pouvoir reprendre uniquement quelques cours.

J'ai postulé dans les Cegeps, mais j'ai l'impression qu'il faut enfoncer les portes un peu plus que je ne l'ai fait en ne faisant que déposer une candidature.

Sans vouloir prendre de décision trop hâtive, cela me donne envie de tenter l'expérience dans les autres provinces, où les processus administratifs semblent moins lourds. Quelqu'un a-t-il cette expérience?

Merci d'avance pour vos témoignages!

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Bonjour Hélène,

Je vois que personne ne répond à ton message.

C'est évidemment décourageant. C'est le moins qu'on puisse dire.

N'avais-tu pas fait AVANT de partir, une équivalence de diplômes ?

Je n'ose le croire.

Les difficultés d'obtenir un permis d'enseigner au Québec ont été citées des millers de fois dans le forum.

Il est vraiment dommage que les services d'immigration n'insistent pas plus sur le fait de demander une équivalence des diplômes.

Au moins tu aurais eu « l'heure juste »

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  • Habitués

Bonjour Hélène,

Je vois que personne ne répond à ton message.

C'est évidemment décourageant. C'est le moins qu'on puisse dire.

N'avais-tu pas fait AVANT de partir, une équivalence de diplômes ?

Je n'ose le croire.

Les difficultés d'obtenir un permis d'enseigner au Québec ont été citées des millers de fois dans le forum.

Il est vraiment dommage que les services d'immigration n'insistent pas plus sur le fait de demander une équivalence des diplômes.

Au moins tu aurais eu « l'heure juste »

des milliers....

j'aurais dit des millions de fois.

c'est simple pour être prof au primaire ou secondaire il FAUT le BAC en enseignement.

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Pauvre Hélène ! Je comprends votre désenchantement. Mais effectivement, vous étiez-vous bien renseignée avant de venir sur les exigences pour enseigner.

Cependant, ne baissez pas les bras ... il y a sûrement de travail pour quelqu'un qui a étudié dans votre domaine, même si ce n'est pas l'enseignement. Ce peut être du travail dans les Centre d'aide au français, etc. Il y a sans doute beaucoup de bénévolat dans ce domaine, mais informez-vous le plus possible auprès de différents organismes.

Je vous souhaite bon courage et bonne chance !

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  • Habitués

j'ai une copine québécoise qui à fait toutes ses études en france et bien too bad comme dit par l'ours il faut un truc en enseignement donc elle est due pour les reconnaissances et validations puis sans doute faire quelques UV pour avoir le bac et quémander un permis ...

mais oui comme ce n'est pas nouveau quels renseignements avais tu avant de partir de france ?

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  • Habitués

Bonjour à tous,

Je suis résidente permanente, habitante de la ville de Québec depuis 7 mois.

J'ai enseigné le Français pendant 8 ans en France et j'ai voulu enrichir mon parcours professionnel par une expérience au Québec...Un an et demi après la demande de résidence permanente, mon conjoint et moi sommes arrivés avec joie au Québec. Je savais à ce moment que j'aurais du mal à trouver un poste fixe dans un premier temps, mais je ne me doutais pas que je ne trouverais rien du tout, ni même une réponse positive à ma demande de permis d'enseigner.

J'ai reçu une première réponse hier du Mels suite à ma demande. Le permis m'est refusé car "mes études universitaires en Lettres modernes ne présentent pas assez de cours de Français". La réponse, après m'avoir d'abord abasourdie, m'a découragée.

J'ai une maîtrise de Lettres Modernes, un Capesa, mais...pas assez d'heures de Français...Mon interlocutrice au téléphone m'a bien spécifié la différence entre des cours de Français et des des cours de Littérature, et je n'ai, a priori, pas assez de cours de Français. Je peux préciser que j'ai suivi une classe préparatoire littéraire (hypokhâgne- khâgne) , et que, le programme étant pluri-disciplinaire, je n'ai pas fait, effectivement, deux premières années universitaires uniquement en Français.

Bref, je ne veux pas baisser les bras et j'ai toujours vraiment envie d'obtenir ce permis. Je voulais savoir si, parmi vous, quelqu'un s'était trouvé dans cette situation ubuesque: est-ce si difficile d'obtenir ce permis d'enseigner en Français?

Je vais contacter l'Université de Laval, mais j'ai peur de ne pas pouvoir reprendre uniquement quelques cours.

J'ai postulé dans les Cegeps, mais j'ai l'impression qu'il faut enfoncer les portes un peu plus que je ne l'ai fait en ne faisant que déposer une candidature.

Sans vouloir prendre de décision trop hâtive, cela me donne envie de tenter l'expérience dans les autres provinces, où les processus administratifs semblent moins lourds. Quelqu'un a-t-il cette expérience?

Merci d'avance pour vos témoignages!

Je suis effondrée par autant de nullité! Je suppose que c'est à cause de cela que tu as reçu cette réponse:

http://www.ledevoir.com/societe/education/276967/test-de-francais-les-futurs-enseignants-ont-etudie-davantage-pour-reussir

En tout cas, si j'étais toi, je n'en resterais pas là. Essaie d'aller voir ton député pour faire reconnaitre ce bug et évaluer tes véritables capacités.

Des cours de Français pour une prof sortant d'Hypokhâgne et dont la langue maternelle est le Français! J'y crois pas! Le Québec marche effectivement sur la tête!

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Bonjour à tous,

Je suis résidente permanente, habitante de la ville de Québec depuis 7 mois.

J'ai enseigné le Français pendant 8 ans en France et j'ai voulu enrichir mon parcours professionnel par une expérience au Québec...Un an et demi après la demande de résidence permanente, mon conjoint et moi sommes arrivés avec joie au Québec. Je savais à ce moment que j'aurais du mal à trouver un poste fixe dans un premier temps, mais je ne me doutais pas que je ne trouverais rien du tout, ni même une réponse positive à ma demande de permis d'enseigner.

J'ai reçu une première réponse hier du Mels suite à ma demande. Le permis m'est refusé car "mes études universitaires en Lettres modernes ne présentent pas assez de cours de Français". La réponse, après m'avoir d'abord abasourdie, m'a découragée.

J'ai une maîtrise de Lettres Modernes, un Capesa, mais...pas assez d'heures de Français...Mon interlocutrice au téléphone m'a bien spécifié la différence entre des cours de Français et des des cours de Littérature, et je n'ai, a priori, pas assez de cours de Français. Je peux préciser que j'ai suivi une classe préparatoire littéraire (hypokhâgne- khâgne) , et que, le programme étant pluri-disciplinaire, je n'ai pas fait, effectivement, deux premières années universitaires uniquement en Français.

Bref, je ne veux pas baisser les bras et j'ai toujours vraiment envie d'obtenir ce permis. Je voulais savoir si, parmi vous, quelqu'un s'était trouvé dans cette situation ubuesque: est-ce si difficile d'obtenir ce permis d'enseigner en Français?

Je vais contacter l'Université de Laval, mais j'ai peur de ne pas pouvoir reprendre uniquement quelques cours.

J'ai postulé dans les Cegeps, mais j'ai l'impression qu'il faut enfoncer les portes un peu plus que je ne l'ai fait en ne faisant que déposer une candidature.

Sans vouloir prendre de décision trop hâtive, cela me donne envie de tenter l'expérience dans les autres provinces, où les processus administratifs semblent moins lourds. Quelqu'un a-t-il cette expérience?

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salut Hélène,

Mon mari vient d'obtenir son permis d'enseigner québecois. Il a ici en France un CAPES d'histoire géo et une maitrise....

Il a fait faire une évaluation comparative de ses diplômes et ensuite, en 3 semaines, il a obtenu son permis d'enseigner.

Il me dit de te dire qu'il peut te donner le contact direct de la dame qui l'a accompagné dans ses démarches... elle siège à la commission de Montréal qui attribue les permis d'enseigner.

Écris moi un message privé si tu souhaites plus de renseignements.

garde le moral, t'as les compétences pour l'obtenir.

Elodie

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  • Habitués

Inscrit toi au programme du bac en education , puis comme personne disponible pour faire des remplacements aupres de ta comission scolaire. Ils appellent des etudiants avec experience et sans le fameux brevet. Sinon il te reste les cegeps et les charges de cours sans oublier le MIC pour les cours de francisations...

Modifié par Benoit6ft6
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  • Habitués

ah super un bon début de piste.

Bonjour à tous,

Je suis résidente permanente, habitante de la ville de Québec depuis 7 mois.

J'ai enseigné le Français pendant 8 ans en France et j'ai voulu enrichir mon parcours professionnel par une expérience au Québec...Un an et demi après la demande de résidence permanente, mon conjoint et moi sommes arrivés avec joie au Québec. Je savais à ce moment que j'aurais du mal à trouver un poste fixe dans un premier temps, mais je ne me doutais pas que je ne trouverais rien du tout, ni même une réponse positive à ma demande de permis d'enseigner.

J'ai reçu une première réponse hier du Mels suite à ma demande. Le permis m'est refusé car "mes études universitaires en Lettres modernes ne présentent pas assez de cours de Français". La réponse, après m'avoir d'abord abasourdie, m'a découragée.

J'ai une maîtrise de Lettres Modernes, un Capesa, mais...pas assez d'heures de Français...Mon interlocutrice au téléphone m'a bien spécifié la différence entre des cours de Français et des des cours de Littérature, et je n'ai, a priori, pas assez de cours de Français. Je peux préciser que j'ai suivi une classe préparatoire littéraire (hypokhâgne- khâgne) , et que, le programme étant pluri-disciplinaire, je n'ai pas fait, effectivement, deux premières années universitaires uniquement en Français.

Bref, je ne veux pas baisser les bras et j'ai toujours vraiment envie d'obtenir ce permis. Je voulais savoir si, parmi vous, quelqu'un s'était trouvé dans cette situation ubuesque: est-ce si difficile d'obtenir ce permis d'enseigner en Français?

Je vais contacter l'Université de Laval, mais j'ai peur de ne pas pouvoir reprendre uniquement quelques cours.

J'ai postulé dans les Cegeps, mais j'ai l'impression qu'il faut enfoncer les portes un peu plus que je ne l'ai fait en ne faisant que déposer une candidature.

Sans vouloir prendre de décision trop hâtive, cela me donne envie de tenter l'expérience dans les autres provinces, où les processus administratifs semblent moins lourds. Quelqu'un a-t-il cette expérience?

Merci d'avance pour vos témoignages!

salut Hélène,

Mon mari vient d'obtenir son permis d'enseigner québecois. Il a ici en France un CAPES d'histoire géo et une maitrise....

Il a fait faire une évaluation comparative de ses diplômes et ensuite, en 3 semaines, il a obtenu son permis d'enseigner.

Il me dit de te dire qu'il peut te donner le contact direct de la dame qui l'a accompagné dans ses démarches... elle siège à la commission de Montréal qui attribue les permis d'enseigner.

Écris moi un message privé si tu souhaites plus de renseignements.

garde le moral, t'as les compétences pour l'obtenir.

Elodie

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Bonjour à tous,

Je suis résidente permanente, habitante de la ville de Québec depuis 7 mois.

J'ai enseigné le Français pendant 8 ans en France et j'ai voulu enrichir mon parcours professionnel par une expérience au Québec...Un an et demi après la demande de résidence permanente, mon conjoint et moi sommes arrivés avec joie au Québec. Je savais à ce moment que j'aurais du mal à trouver un poste fixe dans un premier temps, mais je ne me doutais pas que je ne trouverais rien du tout, ni même une réponse positive à ma demande de permis d'enseigner......

Merci d'avance pour vos témoignages!

Il est beaucoup plus facile d'avoir ce fameux bac en enseignement en passant par une fac ontarienne quand on a été enseignant en France. Il se trouve que notre parcours est mieux reconnu par ce biais et on a donc beaucoup moins de cours à se farcir que si on demande à une fac québécoise (à croîre que parfois, ils le font vraiment exprès).

Il faudrait voir auprès de la fac d'Ottawa. Ensuite, on obtient le permis d'enseigner québécois puisqu'on est gradué d'une fac canadienne

Bien sûr, en habitant Québec, ce n'est pas vraiment évident...

Modifié par egl
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Moi aussi j'allais lui proposer la meme chose puisque j'ai un ami qui habite Gatineau et fait la meme chose à Ottawa depuis cette année et après, il pourra retourner travailler au Québec si possible.

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  • Habitués

Et après, on entend dire qu'il manque de profs dans les écoles québécoises, et que ceux qui sont là n'ont pas tous leurs diplôme, et encore moins le niveau de français requis...

Ça serait pourtant pas bien compliqué e faire une reconnaissance de diplôme France/Québec!

Ah ben non, j'oubliais qu'en France on ne sait ni enseigner ni soigner, à en croire les t^tes pensantes québécoises... <_<

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Et oui ! C'est tout un problème ici car on ne sait ni soigner ni enseigner !

Moi-même dans le domaine de la santé, je termine une équivalence de diplôme à l'Université Laval (la seule qui ait acceptée de me faire un programme adapté, soit dit au passage...) d'une année (temps plein).

Mais cet été, avec mon Bac en poche et mon expérience en France de plus de 5 ans, ça va être "finger in the nose" pour trouver une job qui me convient !

Donc, même si c'est un peu difficile de reprendre les études après plusieurs années d'arrêt et une petite famille à gérer mais au bout du compte ça vaut la peine !

Les employeurs sont rassurés par un diplôme de chez eux et on peut les comprendre... On fait pareil en France, en tous cas dans mon milieu.

Bon courage pour la suite !

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  • Habitués

Ça serait pourtant pas bien compliqué e faire une reconnaissance de diplôme France/Québec!

Et dans la foulée, soyons fou, se serait pas bien compliqué de faire une reconnaissance de diplôme Belgique/Québec!! ;):)

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  • Habitués

il est vrai que tu as manqué de préparation. tu aurais dû te renseigner un peu mieux et faire les équivalences avant de partir.

ceci dit, c'est quand même incroyable qu'avec un tel cursus de formation et de la pratique, il ne soit pas plus facile d'enseigner, même si une formation complémentaire est demandée.

elochomar, t'as donné de bonnes pistes. y'a plus qu'à la contacter par MP pour avoir un complément d'infos et le contact adéquat qui pourrait t'aider.

Modifié par cassis
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  • Habitués

J'ai reçu une première réponse hier du Mels suite à ma demande. Le permis m'est refusé car "mes études universitaires en Lettres modernes ne présentent pas assez de cours de Français". La réponse, après m'avoir d'abord abasourdie, m'a découragée.

J'ai une maîtrise de Lettres Modernes, un Capesa, mais...pas assez d'heures de Français...Mon interlocutrice au téléphone m'a bien spécifié la différence entre des cours de Français et des des cours de Littérature, et je n'ai, a priori, pas assez de cours de Français. Je peux préciser que j'ai suivi une classe préparatoire littéraire (hypokhâgne- khâgne) , et que, le programme étant pluri-disciplinaire, je n'ai pas fait, effectivement, deux premières années universitaires uniquement en Français.

je vais peut-être mettre les pieds dans le plat mais si tu étais restée en France, tu aurais enseigné dans quel type d'établissement ? Collège et apprendre aux élèves à faire des phrases, des résumés, revoir les conjugaisons ...

Te serais-tu destinée à faire des cours de littérature aux lycéens ? Aurais-tu visé les PREPA et les Post-BAC ?

Tout cela pour dire: enseigner les lettres-modernes et diffé&rent d'enseigner le français. Donc à quel poste as-tu postulé au Québec ?

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Comme ca été dis precedememnt , tu fais un an a Ottawa , tu obtiendras ensuite ton permis du quebec . Une copine a fais ce parcours et vient d,obtenir son permis quebcois

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Merci à tous pour vos réponses variées! Je sais que ce sujet revient souvent sur la toile, mais j'avais eu comme un électrochoc en recevant le courrier du Mels, et la situation précise Lettres Modernes / Français me préoccupait.

Pour répondre à quelques questions:

- J'ai envoyé mon dossier d'équivalence de diplômes depuis la France, mais il a fallu 8 mois avant de l'obtenir. Le service est actuellement un peu...saturé. Un conseil pour ceux qui attendent longtemps: se déplacer. Une personne en charge de mon dossier me l'a finalisé dans la journée parce que je me suis déplacée et que c'était le 29 décembre: "cadeau de Noël", m'a-t-elle dit.

-Effectivement, j'étais peut-être partie trop optimiste depuis la France, pensant que je trouverai facilement un travail dans l'enseignement.

-J'ai passé le concours du MICC pour faire des remplacements en francisation, j'ai eu ce concours, mais il n'y a pas de remplacements disponibles.

-@ Tohina: en France, j'enseignais en lycée et BTS, mais j'ai aussi été remplaçante en collège. Dans les deux cas, il y a de la littérature. La grammaire est bien sûr importante, mais je ne pense pas qu'on ait besoin de 4 ans de bac pour enseigner les conjugaisons et la Nouvelle grammaire au secondaire. Je saisis la différence évoquée par la dame au téléphone, mais elle entre en contradiction avec les nouveaux programmes du Mels qui mettent en avant la transversalité des compétences et la culture de l'élève.

- L'idée d'Ottawa n'est pas à exclure. Question pratique naïve: les facs sont-elles bilingues? J'imagine que l'administratif se déroule en anglais mais les cours de bac de Français en Français? Est-ce que quelqu'un sait si les conditions sont les mêmes dans le Nouveau Brunswich, par exemple?

-@747 fan: l'expérience de ton mari m'intéresse: je t'envoie un message!

Je retourne au Mels demain pour leur fournir des relevés de notes plus détaillés, j'espère que le situation de "découiquera" un petit peu!

Je comprends que le Ministère ait besoin de préserver le type d'école mis en place ici, mais si la porte d'entrée pour les enseignants étrangers était un tout petit peu plus ouverte...J'imagine par exemple la possibilité d'être d'assistant ou moniteur, de faire quelques petites heures, afin de mieux connaître le fonctionnement scolaire québécois, et de se faire connaître, aussi...

Merci encore pour vos témoignages!

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Je crois que l'UNiversité d'Ottawa est une université où les cours sont dispensés aussi bien en Français qu'en anglais. Dans ton cas, les cours se feront bien sur en français.

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  • Habitués

Ça serait pourtant pas bien compliqué e faire une reconnaissance de diplôme France/Québec!

Et dans la foulée, soyons fou, se serait pas bien compliqué de faire une reconnaissance de diplôme Belgique/Québec!! ;):)

Je suis daccord!!! :)

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