Habitués quebec2010 Posté(e) 13 février 2010 Habitués Posté(e) 13 février 2010 C'est positif l'expérience postée dans ce sujet. Maintenant, il ne faut pas croire que ce sera toujours facile. Pour les vérifications des références, on ne vous en demandera pas dans tous les types d'emploi. Si pour vous ça semble problématique de fournir des références, commencez par des emplois plus modestes qui ne demandent pas de référence, faites vos preuves et ces emplois deviendront des références pour des emplois plus importants. Bien dit azarielle. J'allais dire la même chose. Citer
Habitués Sammi Posté(e) 13 février 2010 Habitués Posté(e) 13 février 2010 Merci azarielle, c'est ce que j'appel : Un juste milieu Citer
Invité Posté(e) 13 février 2010 Posté(e) 13 février 2010 (modifié) La véritable difficulté dans la recherche de l'emploi au québec réside dans le système de protectionnisme qui caractérise les différents ordres de métier. Au départ, si ces ordres étaient crées pour mettre de l'ordre dans les différentes professions, ils sont devenus, par le fait des lois souvent trop restrictives, la cause de ce qu'on peut qualifier de nos jours de conservatisme; n'admettant en leurs seins que des postulants ayant fait preuve de patience et d'abnégation, valeurs à ne point confondre avec l'efficacité et les compétences. Modifié 13 février 2010 par jem22 Citer
Habitués Azarielle Posté(e) 13 février 2010 Habitués Posté(e) 13 février 2010 Ce n'est pas que les ordres tu sais. Il n'y a pas d'ordre des enseignants, pourtant il n'est pas simple pour un enseignant formé à l'étranger de pratiquer au Québec. Et tu sais qui met ici des limites? Le gouvernement puisque les autorisations légales (et les conditions pour les obtenir) sont accordées par le gouvernement. Ensuite, quand on voit des personnes qui paniquent à l'idée de fournir des références, ne peut-on pas se questionner sur ce que valent alors les références des autres pays? Citer
Habitués crazy_marty Posté(e) 13 février 2010 Auteur Habitués Posté(e) 13 février 2010 (modifié) Ensuite, quand on voit des personnes qui paniquent à l'idée de fournir des références, ne peut-on pas se questionner sur ce que valent alors les références des autres pays? Tu y vas un peu fort là je trouve. Ce n'est pas tant la valeur de la référence qui est questionnée, mais le simple fait de demander à un ancien patron, de chez qui tu as démissionné, de parler de toi. Le fait de demander à quelqu'un de parler de toi en fait, est un sujet difficile à aborder. Comme si on demandait à tes anciens voisins ce qu'ils pensent de toi pour accepter de te louer ou non un appart. Tu as très bien pu faire un formidable boulot chez lui, que ce soit en France, au Bangladesh, en Turquie, ou n'importe où ailleurs, s'il l'a mauvaise que tu sois parti, il peut très bien te faire une mauvaise référence et raconter ce qu'il a envie. La panique vient de là: si ton embauche future au Québec dépend de ce que ton ancien patron peut raconter sur toi, alors c'est un peu quitte ou double, c'est tout. Encore plus si il ne travaille plus là où tu l'indiques. Il faut voir les choses ainsi: tu choisis la référence de qui tu donnes, alors autant que ce soit de quelqu'un dont tu es sûr qu'il t'aime bien et qu'il sera honnête. Si tu paniques à l'idée qu'il te descende, alors ne donne pas sa référence et si on te demande pourquoi, sois honnête en expliquant pourquoi ça ne se passait pas bien avec ton boss et que tu préfères qu'il n'intervienne pas dans ton recrutement. Du moins je vois les choses ainsi. Modifié 13 février 2010 par crazy_marty Citer
Habitués Azarielle Posté(e) 13 février 2010 Habitués Posté(e) 13 février 2010 Tu y vas un peu fort là je trouve. Ce n'est pas tant la valeur de la référence qui est questionnée, mais le simple fait de demander à un ancien patron, de chez qui tu as démissionné, de parler de toi. Le fait de demander à quelqu'un de parler de toi en fait, est un sujet difficile à aborder. Comme si on demandait à tes anciens voisins ce qu'ils pensent de toi pour accepter de te louer ou non un appart. Tu as très bien pu faire un formidable boulot chez lui, que ce soit en France, au Bangladesh, en Turquie, ou n'importe où ailleurs, s'il l'a mauvaise que tu sois parti, il peut très bien te faire une mauvaise référence et raconter ce qu'il a envie. La panique vient de là: si ton embauche future au Québec dépend de ce que ton ancien patron peut raconter sur toi, alors c'est un peu quitte ou double, c'est tout. Encore plus si il ne travaille plus là où tu l'indiques. Il faut voir les choses ainsi: tu choisis la référence de qui tu donnes, alors autant que ce soit de quelqu'un dont tu es sûr qu'il t'aime bien et qu'il sera honnête. Si tu paniques à l'idée qu'il te descende, alors ne donne pas sa référence et si on te demande pourquoi, sois honnête en expliquant pourquoi ça ne se passait pas bien avec ton boss et que tu préfères qu'il n'intervienne pas dans ton recrutement. Du moins je vois les choses ainsi. Autres pays, autres moeurs je suppose. Je n'ai aucune crainte de ce que tous mes anciens employeurs pourraient dire de moi. Je ne suis en mauvais terme avec aucun d'entre eux. Citer
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