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French-speaking workplaces growing


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Moi je dirais

Peut et doit recevoir les services du fédéral, dans sa langue, partout au pays

p-e que je me trompe

Oui tu te trompes.

Pour que les canadien anglais se sentent partout chez eux au Canada, y compris au Québec et aussi que les canadiens francais se sentent chez eux dans le Roc, il fallait selon Trudeau que l'un et l'autre recoivent des services dans leur langue partout au Canada. Mais pas uniquement du gouvernement fédéral, c'était de tous les gouvernements et institutions, dans les restaurants, dans les comptoirs de loterie, dans les Tim Hortons , enfin presque partout.

Ce n'était pas complètement nécessaire que chaque citoyen canadien apprenne le francais, mais il fallait que partout au Canada un canadien francais recoive des services dans sa langue (et pas seulement du gouvernement fédéral).

En passant Trudeau avait tout a fait raison, si effectivement le pays était bilingue (dans le sens ou lui l'entendait) il n'y aurait probablement aucun problème constitutionel au Canada aujourd'hui.

Alors ce que les Québécois ont constaté assez vite c'est que en réalité ce sont les francophones du Canada qui ont du apprendre l'anglais alors que très peu, mais vraiment très très peu d'anglos ont appris le francais.

jimmy

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Not so bad for a PRÉ ADO isn't it ?

Même les pré-ado ont des moments de discussions sérieux et plus profonds :)

Ton point de vue sur le bilinguisme de Trudeau (être servi dans en français ou en anglais partout au Canada) est intéressant. Je ne le voyais pas dans ce sens !

Bonjour Kremmig

j'aimerais savoir ce que tu penses de mon avis aux messages 13- 14- 15

Comme tu vois : MOI ça me fait bondir

Je me retiens pour ne pas le traiter d'imbécil

On ne parle plus d'intégration dans son cas mais d'assimilation, de soumission, de déraison (Oups arrête J-B)

J-B

Bonne journée

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Posté(e) (modifié)
Not so bad for a PRÉ ADO isn't it ?

Même les pré-ado ont des moments de discussions sérieux et plus profonds :)

Ton point de vue sur le bilinguisme de Trudeau (être servi dans en français ou en anglais partout au Canada) est intéressant. Je ne le voyais pas dans ce sens !

Bonjour Kremmig

j'aimerais savoir ce que tu penses de mon avis aux messages 13- 14- 15

Comme tu vois : MOI ça me fait bondir

Je me retiens pour ne pas le traiter d'imbécil

On ne parle plus d'intégration dans son cas mais d'assimilation, de soumission, de déraison (Oups arrête J-B)

J-B

Bonne journée

Ne

vous

genez

pas

Monsieur,

vous

pouvez

me

traiter

d'

imbecile.

Mais

de

grace

Monsieur,

si

vous

voulez

traiter

quelqu'

un

d'

imbecile,

ne

le

vous

vousvoyez

pas.

Vous

pouvez

paraitre

hypocrite

Monsieur.

V-I-B

Votre Imbecile Baguette

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Repondez à mes questions

V-I-B

Votre Incompri Bernard

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Repondez à mes questions

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Votre Incompri Bernard

Seulement une fois que vous m'aurez inspire du respect mon cher Monsieur. En attendant, je vous observe.

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Seulement une fois que vous m'aurez inspire du respect mon cher Monsieur. En attendant, je vous observe.

Le respect ça se mérite chère, mon imbécil baguette

BYE BYE

V-I-P

Votre Incompréhensible Bernard

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En effet les anglophones de ce pays apprennent le francais par interet
.

Je suis plutôt d'accord compte-tenu que ce n'est pas une nécessité "vitale" sauf si vous devez faire affaire à des francophones (Québec, Pays d'afrique, France, Belgique etc...).

Contrairement a eux, les francophones de ce meme pays lachent leur langue maternalle par desinteret.

Par contre je ne suis pas du tout d'accord. La nécessité/utilité de maîtriser l'anglais dans le monde des affaires ou tout simplement pour faciliter les voyages à l'étranger est une raison pour apprendre l'anglais.

Ce n'est absolument pas désintérêt ... il ne faudrait quand même pas prendre les francophones pour des crétins. Un anglophone qui veut apprendre la langue de Molière c'est pas goût et "intelligence" mais un francophone qui veut maîtriser la langue de Shakespeare c'est uniquement parce qu'il s'en sacre de sa langue maternelle et qu'elle ne lui donne aucun avantage ? c'est un peu pousser quand même, vous ne croyez pas ?

Mais ce n'est pas certain qu'ils sachent le pourquoi de ce qu'ils font

A moins d'avoir été hypnotisé ... quand on francophone apprend l'anglais, il y a un but précis (ouverture sur le monde, améliorer son "business" etc...). Idem pour un anglophone qui apprend le français.

Pour moi peut importe la raison, l'effort d'apprendre une nouvelle langue est synonyme d'ouverture et d'esprit critique (accepter que SA langue n'est pas la seule indispensable au monde).

Peut-etre, tout simplement, qu'ils subissent.

L'influence (et le mot est faible), ou plutôt la prédominance de l'anglais rend bien sur obligatoire son apprentissage pour améliorer son sort. Dans le passé, la langue française était celle parlé à la Cour des Rois (d'Europe). L'influence française était dominante dans le monde culturel etc... les temps ont changé, les guerres et alliances ont modifiés la "done" ... c'est comme cela. On subit, sans doute mais sans non plus en faire une dépression ou se sentir en état d'esclavage linguistique.

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En effet les anglophones de ce pays apprenaient le francais par interet
.

Je suis plutôt d'accord compte-tenu que ce n'est pas une nécessité "vitale" sauf si vous devez faire affaire à des francophones (Québec, Pays d'afrique, France, Belgique etc...).

Contrairement a eux, les francophones de ce meme pays lachent leur langue maternalle par desinteret.

Par contre je ne suis pas du tout d'accord. La nécessité/utilité de maîtriser l'anglais dans le monde des affaires ou tout simplement pour faciliter les voyages à l'étranger est une raison pour apprendre l'anglais.

Ce n'est absolument pas désintérêt ... il ne faudrait quand même pas prendre les francophones pour des crétins. Un anglophone qui veut apprendre la langue de Molière c'est pas goût et "intelligence" mais un francophone qui veut maîtriser la langue de Shakespeare c'est uniquement parce qu'il s'en sacre de sa langue maternelle et qu'elle ne lui donne aucun avantage ? c'est un peu pousser quand même, vous ne croyez pas ?

Mais ce n'est pas certain qu'ils sachent le pourquoi de ce qu'ils font

A moins d'avoir été hypnotisé ... quand on francophone apprend l'anglais, il y a un but précis (ouverture sur le monde, améliorer son "business" etc...). Idem pour un anglophone qui apprend le français.

Pour moi peut importe la raison, l'effort d 'apprendre une nouvelle langue est synonyme d'ouverture et d'esprit critique (accepter que SA langue n'est pas la seule indispensable au monde).

Peut-etre, tout simplement, qu'ils subissent.

L'influence (et le mot est faible), ou plutôt la prédominance de l'anglais rend bien sur obligatoire son apprentissage pour améliorer son sort. Dans le passé, la langue française était celle parlé à la Cour des Rois (d'Europe). L'influence française était dominante dans le monde culturel etc... les temps ont changé, les guerres et alliances ont modifiés la "done" ... c'est comme cela. On subit, sans doute mais sans non plus en faire une dépression ou se sentir en état d'esclavage linguistique.

Par interet j'entends convenance. Je n'ai pas pretendu que les anglophones apprenaient le francais pour lire l'Avare de Moliere. Alors pas du tout! On peut d'ailleurs se poser la question sur le nombre de Quebecois interesses par ce genre de lecture a nos jours. L'anglophone dont je parle c'est celui qui apprent le francais pour des raisons purement professionnelles et pratiques soit pour son present soit pour son avenir. Pour lui c'est plutot un choix. Il peut tres bien choisir l'espagnol ou le chinois mais au Canada et pour l'instant il vaut mieux savoir le francais. Et je verifie de maniere quotidienne ce choix a deux niveaux, le premier etant mon lieu de travail (je suis un fonctionnaire) et le deuxieme etant les ecoles de mes enfants ou ils ont ce fameux programme qui s'appelle ''French Immersion''. Et que cela mette fin aux arguments a deux sous de certains sur ce forum; je ne travaille pas dans un centre d'appel et les parents des enfants qui mettent leurs enfants dans le programme ''French Immersion'' sont tout sauf fous ou reveurs. Or en voyant l'etat de la langue francaise et l'esprit des francophones dans ce pays on constate toute autre chose. Pour ces derniers l'apprentissage de l'anglais n'est pas (ou tout au moins ne sera plus) un choix, c'est plutot une necessite sinon une obligation, ce qui semble normal vu la disproportion existante a tous les niveuax entre les deux langues. Mais parallelement et malencontreusement on assiste a la dilution lente mais incontournable de la langue francaise dont les symptomes se manifestent dans l'usage de plus en plus imposant de la terminologie anglaise ainsi que la mediocrite qualitative du francais pratique par les francophones. Et je persiste qu'ils (phrancophones) subissent cet etat des choses, consciemment ou inconsciemment et cela de maniere plutot passive, car ils n'ont pas le choix et ''ils'' inclut meme les immigrants francophones moi y compris. C'est une question de quelques generations. C'est une espece en voie de disparition. Que les uns me traitent d'imbecile ou que les autres m'accusent de ''Quebec bashing'' ne change rien a la realite des choses. Et on pourrait bien evidemmentt en discuter davatntage mais je suis attendu, a temps demain matin au travail, par mes maitres....anglophones pour la plupart bilingues. Bonne nuit.

Modifié par Baguette
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Chère monsieur Baguette, vous n'aviez pas , à la fin de votre dernière intervention, à nous réitérer par mes maitres....anglophones ; Nous le savions.

Et, lorsque vous dites:

Il peut très bien choisir l'espagnol ou le chinois mais au Canada et pour l'instant il vaut mieux savoir le francais.

Inconsciemment ici ,votre Quebec bashing suinte.

Tant qu'à ceci:

On peut d'ailleurs se poser la question sur le nombre de Quebecois interesses par ce genre de lecture a nos jours

Cette affirmation ne demeurera pour moi que du BLA BLA BLA tant que vous ne m'aurez pas démontré qu'il y a ,toute proportion gardée, plus d'anglophones au Canada qui lisent Shakespeare que de francophones qui lisent Molière au Québec.

Or en voyant l'etat de la langue francaise et l'esprit des francophones dans ce pays on constate toute autre chose.

Encore une fois: De qui et/ou de quoi parlez-vous??

Pour ce qui est de la nécessité du bilinguisme au Québec et de son utilité dans le ROC ( rest of Canada ) , le GBS (gros bon sens ), le contexte démographique et géographique dictent la conduite à adopter par quiconque désire améliorer son sort.

C'est une question de quelques generations. C'est une espece en voie de disparition

On en reparlera au 800 iéme

Jean-Bernard

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French-speaking workplaces growing

The latest census figures show French is actually gaining prominence in many parts of Canada, and it's being used more in the workplace, not only in Quebec but also in other provinces including New Brunswick and Ontario, says Statistics Canada.

Slightly more than 25 per cent of francophones across the country reported using French "regularly" in the workplace in 2006. The percentage was higher in Quebec at 94.3 per cent, increasing slightly since 2001. By comparison, English was used "most often" by 17 per cent of Quebec workers.

The numbers from the 2006 census also showed that while English is most commonly used for business in Canada, the use of French is either stable or increasing in most places. In Ottawa, where 16 per cent of the population is francophone, the language was spoken by 18 per cent of people at work up one percentage point from 2001.

The new data offers Quebecers some reassurance after weeks of heightened talks over whether the French language is becoming increasingly obsolete, even within the province's borders.

While Canada has welcomed more than one million immigrants, among which 80 per cent have a mother tongue that's neither French nor English, many new immigrants to Quebec came from France, Haiti and North African countries where residents are fluent in French.

But StatsCan indicates that even amongst immigrants whose first language isn't French or English about 77 per cent speak French at work. That's one percentage point higher than in 2001.

The French language has been under the microscope in recent weeks after allegations from a university researcher that the Quebec government purposely shelved a report showing French-speakers would become a minority in Montreal by 2021.

Similar reports have plagued the province in past months, boosting worries by Quebec francophones that long-time efforts to keep the language dominant in the province have run aground.

Article ICI

Élevage de langue française de lieux de travail Les derniers chiffres de recensement montrent que le Français gagne réellement la proéminence dans beaucoup de régions du Canada, et il s étant employé plus dans le lieu de travail, non seulement au Québec mais également dans d'autres provinces comprenant le Nouveau Brunswick et l'Ontario, indique des statistiques Canada. Légèrement plus de 25 pour cent de francophones à travers le pays ont rapporté utilisant le " français ; regularly" ; dans le lieu de travail en 2006. Le pourcentage était plus haut au Québec à 94.3 pour cent, augmentant légèrement depuis 2001. Par comparaison, l'anglais était " utilisé ; la plupart d'often" ; par 17 pour cent d'ouvriers du Québec. Les nombres du recensement 2006 ont également prouvé que tandis que l'anglais est le plus utilisé généralement pour des affaires au Canada, l'utilisation du Français est stable ou augmentante dans la plupart des endroits. À Ottawa, où 16 pour cent de la population sont francophones, la langue a été parlée par 18 pour cent de personnes au travail - vers le haut d'un point de 2001. Les nouveaux Quebecers d'offres de données de la réassurance après des semaines des entretiens intensifiés plus de si la langue française devient de plus en plus désuète, même dans le province' ; frontières de s. Tandis que le Canada a accueilli plus d'un million d'immigrés, parmi lesquels 80 pour cent ont une langue maternelle that' ; s ni français ni anglais, beaucoup de nouveaux immigrés au Québec n'est venu de France, du Haïti et les pays africains du nord où les résidants sont à l'aise en français. Mais StatsCan indique que même parmi les immigrés dont la première langue isn' ; t français ou anglais environ 77 pour cent parlent français au travail. That' ; point de s un plus haut qu'en 2001. La langue française a été sous le microscope en semaines récentes après que les allégations d'un chercheur d'université que le gouvernement du Québec a exprès enterré un rapport montrant des Français-haut-parleurs aillent bien à une minorité à Montréal d'ici 2021. Les rapports semblables ont infesté les mois de passé de province dedans, amplifiant s'inquiète par les francophones du Québec qui des efforts à long terme de maintenir la langue dominante dans la province pour avoir échoué.

Modifié par apach

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