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Immobilier résidentiel : surévalué de 36 %


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Posté(e)

@redflag

Concernant la Banque Nationale.

Effectivement elle renoue avec les bénéfices, mais pour cela les pertes potentielles du PCAA (les subprimes à la canadiennes) ne sont pas prises en compte... voir article ci-dessous :

http://www.lesaffaires.com/article/0/servi...ionale-.fr.html

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  • Habitués
Posté(e)
Non, mais justement le rattrapage devait avoir lieu dans l'autre sens, ;)c'est-à-dire que l'immobilier tellement-pas-cher-que-je-me-bidonne, ben c'est un peu fini. D'où l'augmentation.

Et le prix moyen d'une maison à Montréal est encore assez loin de la même maison à Toronto ou Vancouver, où l'on gagne peu ou prou le même salaire...

Pardon? À Montréal on gagne autant qu'à Vancouver? :blink:

  • Habitués
Posté(e)
Pardon? À Montréal on gagne autant qu'à Vancouver? :blink:

faudrait plutot dire.. quoi à Vancouver on gagne aussi peu qu'à Montréal ! :ph34r:

Je n'ai plus les chiffres sous la main mais il est vrai que la différence de salaire n'est pas en rapport avec les différences au niveau des prix de l'immobilier. Vancouver est une vraie mine d'or pour la communauté asiatique qui a investi dans l'immobilier il y a longtemps. De plus, la place manque cruellement.

Pour Toronto, le salaire est tout de même plus élevé.

  • Habitués
Posté(e)
Les autres produits, dont les prix sont restés raisonnables, ça ne baissera pas ou peu. Un peu dans la lointaine banlieue, par exemple. En ville, ça va même continuer de monter, mais plus lentement qu'avant. Montréal reste encore largement moins chère que les métropoles comparables du reste du monde.

Il est encore un peu tôt pour dégager une tendance sur ce qui va se passer, mais il faut aussi noter que la rationalité est souvent mise de côté lorsqu'une orientation s'installe durablement, à la hausse comme à la baisse...

  • Habitués
Posté(e)
Bienvenue dans le monde imaginaire de Redflag :lol: Le sirop d'érable, il ne le mange pas, il le fume ^_^

Tiens ma gang de futurs Torontois (ou pire, Vancouverois) ...

c'est dans les faq.

Et c'est même pas moi qui ai fait la comparaison...

Redflag

  • Habitués
Posté(e)
Au fait, où sont-ils passés, les savapétistes du pétrole à 200 $ ?

Exactement, tout monde disait que le pétrôle restera et continuera à rester cher, qu'on en manque et que le prix ne peut que monter... et pourtant.

Hey Captain Caverne, tu pourrais pas essayer de mieux te camoufler ? Parce que t'es le seul sur le forum à écrire "pétrôle".

Lâche l'accent circonflexe... ! :lol:

Redflag

  • Habitués
Posté(e) (modifié)
Te vexe pas. On te dit que ton analyse est fausse.

"On" ? "Tu"...

De quelle analyse parles-tu ? Je n'ai rien analysé, j'ai mis un lien qui montre que les écarts de salaires entre informaticiens des différentes grandes villes du Canada sont faibles. Monster est plutôt considéré comme une source fiable en ce qui concerne les salaires...

Il y a des statistiques officielles qui montrent que le revenu et le salaire moyen au Québec est inférieur au reste du Canada, c'est un fait. Les FAQ écrites par toi-même et que tout le monde sait qu'elles sont parcemées d'erreurs, ça ne convaint personne ;)

1) les FAQ ne sont pas écrites par moi-même, elles sont des extraits de messages du forum jugés informatifs.

2) les stats montrent un écart que je ne nie pas, mais comme toutes ces grosses stats qui font une grosse moyenne entre les gens qui gagnent le salaire minimum et les joueurs de hockey, elles sont facilement biaisées et tirées vers le haut par le poids des grandes fortunes ontariennes. L'Ontario, coeur industriel du pays, province où de nombreuses grosses entreprises ont leur siège social canadien ou mondial, a historiquement plus de grandes fortunes que partout ailleurs au Canada.

Autre point, déjà abordé dans les messages des faq, le coût de la vie en BC, Alberta et Ontario est nettement plus élevé qu'au Québec (immobilier, frais de scolarité...) et je ne suis pas certain que la classe moyenne soit financièrement gagnante à vivre dans ces provinces dites riches.

Redflag

Modifié par Redflag
  • Habitués
Posté(e)
"On" ? "Tu"...

De quelle analyse parles-tu ? Je n'ai rien analysé, j'ai mis un lien qui montre que les écarts de salaires entre informaticiens des différentes grandes villes du Canada sont faibles. Monster est plutôt considéré comme une source fiable en ce qui concerne les salaires...

En même temps, tu reconnaîtras aussi que toutes les grandes villes du Canada ne sont pas peuplées que d'informaticiens ;)

  • Habitués
Posté(e)

Je crois que c'est assez difficile d'évaluer le marché sur la seule base des articles de Cyberpresse ou bien de l'avis des agents immobiliers REMAX.

C'est certain que nombre d'acteurs de ce marché (constructeurs, agents immobiliers, banquiers) n'ont pas intérêt à dire totalement la vérité.

En France, il y a eu quelques reportages et quelques articles sur les baisses mais il a fallu attendre longtemps avant d'en voir alors que le marché réel baissait déjà. Un forum comme celui-là (http://www.bulle-immobiliere.org/forum/) a permis certainement de contrebalancer l'avis de la FNAIM ou de gens comme ça. Sinon, il y a toujours du monde qui penserait qu'on peut encore vendre une grange toute branlante au prix d'une belle maison.

On saura peut-être finalement seulement dans 6 mois que le marché a baissé. Toujours est-il que les pancartes de vente restent plus longtemps et même les locations ne se louent pas aussi facilement qu'il y a 2 ou 3 ans.

La crise économique peut avoir bien entendu une grosse incidence sur le marché. Lors des dernières récessions, on a vu des gens tout perdre.

Personnellement, je ne crois plus ceux qui font des prévisions. La plupart ont été incapables d'anticiper la crise financière.

Posté(e)

Voici un lien vers les statistiques immobilières de la région de Québec (ca vient de sortir) provenant de la chambre immobilière de Québec :

http://www.ciq.qc.ca/ViewFile.ashx?FileId=431

On constate (nov 08 / nov 07):

- une augmentation du nombre de biens à vendre sur le marché + 14%

- une diminution du nombre de vente de - 15 % ainsi que de la valeur correspondante de - 13 %

- pour les prix, unifamiliales : + 3.36%

copropriétés : - 1.66 %

plex (2-5 logts) : + 7.77 %

Les statistiques des mois précedents :

http://www.ciq.qc.ca/Default.aspx?Document=72

Le mois d'octobre 08 / octobre 07 montrait des évolutions dans le même sens pour l'inventaire et les ventes que le mois de novembre.

Pour terminer, le lien vers le communiqué de décembre :

http://www.ciq.qc.ca/ViewFile.ashx?FileId=432

Ils ne parlent pas des chiffres ci-dessus, préférant parler de la moyenne de 2008 par apport à celle de 2007... ca permet d'éviter de parler de l'inversion de tendance nette des 2 derniers mois...

Et j'aime bien la dernière phrase :

"On peut toutefois sattendre à une légère diminution du prix moyen dans les mois qui suivent et le nombre de ventes pourrait quelque peu fléchir"

...ben...le nombre de vente, ca fait 2 mois qu'il fléchit, et le prix moyen des condos en novembre 08 il est déjà 1.66 % moins cher quue celui de novembre 07.... <_<

Attendons de voir le début d'année prochaine... Je serais surpris que la hausse reprenne dans le contexte économique actuel, je pense plus vraisemblable une baisse de 2 à 7% sur 2008.

Et à mon avis, c'est comme la chanson de Cabrel "C'est que le début, d'accord, d'accord..."

Posté(e) (modifié)

je viens d'ajouter un sujet sur les prix des condos en baisse à Québec (Chambre Immobilière de Québec).

http://www.forum.immigrer.com/index.php?showtopic=78833

C'est sur que Remax n'a pas intérêt a annoncé une baisse des prix. Toutefois, je pense que à partir du moment où ils le font cela répond à plusieurs objectifs :

- faire passer petit à petit le message que le marché se retourne, et donc que les vendeurs vont devoir baisser leur prix

- ils sont payer au % sur la vente. Dans un marché qui se retourne, il y a déjà une baisse du volume des ventes avant celle des prix, donc globalement, ils touchent moins. S'ils veulent que le volume augmente, il faut convaincre que les prix baissent. D'où cette communication de Remax : une baisse, pour faire comprendre au vendeur de baisser son prix, mais pas annoncer une baisse trop forte, pour éviter que les acheteurs disparaissent et n'attendent que les prix baissent encore plus.

Idem pour la dernière phrase du communiqué de la Chambre Immobilière de Québec.

Modifié par calcite39
  • Habitués
Posté(e)
boh...

Pas de réaction ? :lol:

Une file d'attente digne du boxing day devant chez Remax ? :ph34r:

Posté(e)

Pas encore de communication dans les médias en tout cas.

Reste que d'après la CIQ, les condos ont baissé de -1.66 % entre nov 08/ nov 07, et que " On peut toutefois sattendre à une légère diminution du prix moyen dans les mois qui suivent et le nombre de ventes pourrait quelque peu fléchir"...

  • Habitués
Posté(e)

Hum on est pas pres de voir la correction immo se perpetuer. a mon avis attendre deux a trois ans

merci wall street, merci paulson et la folie du credit a tous crins ...

  • Habitués
Posté(e)

http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/art...91/LAINFORMER01

Pas d'effondrement prévu pour l'habitation au Canada

Le Canada ne résistera pas à une tendance au repli en immobilier mais la baisse devrait seulement être cyclique.C'est ce qu'indique le plus récent rapport sur le logement que les services économiques RBC publient ce matin.

Il ne faut pas comparer des pommes avec des oranges en pensant à la situation des États-Unis, dit Robert Hogue, premier économiste de RBC. Les hypothèques à risque y ont créé une vraie bulle.

«Bien que le secteur de l'habitation canadien entre actuellement dans une phase descendante du cycle, un effondrement comme celui qu'ont connu les États-Unis est peu probable, dit M. Hogue. Plusieurs des facteurs ayant déclenché l'effondrement des marchés immobiliers américains sont soit inexistants, soit beaucoup moins importants de notre côté de la frontière.»

Le rapport souligne que la faiblesse économique menace la croissance des revenus et mine la confiance des consommateurs. Par contre, les prêts risqués sont marginaux, les banques canadiennes sont stables, le crédit est encore accessible et les ménages ne sont pas surendettés.

«Ces facteurs devraient suffire pour empêcher une spirale vers le bas des marchés de l'habitation, même si l'économie canadienne tombe en récession», croit M. Hogue.

Les économistes de la banque torontoise notent aussi une amélioration de l'accès à la propriété dans tous les secteurs du marché au Canada. L'indice d'accessibilité porte sur la proportion avant impôts des revenus d'un ménage qui est consacrée au coût d'une propriété.

Au troisième trimestre, un appartement en copropriété nécessitait 31,4% du revenu, contre 32,3% au trimestre précédent. La maison en rangée suivait de près à 36,9%, contre 38% précédemment.

Le bungalow individuel requérait 45,7% (46,8% au deuxième trimestre) et la maison à deux étages exigeait 52% (53,1% au deuxième trimestre).

Le marché québécois fait partie des plus abordables au pays et Montréal est la grande ville la moins chère car une maison individuelle ne nécessite que 40,4% du revenu d'un ménage, contre 45,7% pour la moyenne nationale. L'autre extrême est à Vancouver à... 74,8% du revenu.

Le marché québécois n'a pas connu la même augmentation des prix ces dernières années. Il est donc moins touché par une correction.

«L'accessibilité dans la province a suivi la tendance générale et a diminué au cours des trois ou quatre dernières années, dit Robert Hogue. Elle dépasse de seulement 6 à 9% les moyennes à long terme, ce qui peut difficilement être interprété comme un risque important. À l'approche de la tempête, les fondamentaux relativement solides devraient limiter les dégâts.»

  • Habitués
Posté(e)
Par contre, les prêts risqués sont marginaux, les banques canadiennes sont stables, le crédit est encore accessible et les ménages ne sont pas surendettés.

- les acheteurs pouvaient emprunter sans apport. Si ce n'est pas risqué.

- au nombre de propositions de cartes de crédit que nous recevons chaque semaine dans notre boîte aux lettres, je crois que le culte du crédit à la consommation est roi.

- les durées de financement hypothécaire sont de 30, 35 ans, voire plus

- certains marchés immobiliers sont grandement surévalués (Vancouver, Calgary)

- une maison aux États-Unis coûte maintenant en moyenne beaucoup moins cher qu'une maison canadienne alors que les revenus aux USA sont supérieurs.

- les banques canadiennes sont stables car ce ne sont pas vraiment des banques d'investissement comme les banques américaines ou européennes.

- le crédit accessible ?

- le surendettement des canadiens est probablement égal ou supérieur à celui des américains (et largement plus important par exemple que celui des français qui eux connaissent aussi aujourd'hui la crise immobilière).

  • Habitués
Posté(e)
ca fait un bout de temps que j'attend que le prix des maisons diminue,

mais a date, je ne vois rien venir.

garde espoir, ici en france ça le fait en ce moment, ça devrait également être le cas au Canada

  • Habitués
Posté(e)
Par contre, les prêts risqués sont marginaux, les banques canadiennes sont stables, le crédit est encore accessible et les ménages ne sont pas surendettés.

- les acheteurs pouvaient emprunter sans apport. Si ce n'est pas risqué.

l'apport ou le non apport n'est qu'un parti du probleme,

a mon avis il est moins risqué de preter a quelqu'un sans apport mais qui ne sera pas etranglé par son taux d'endetement.

plutot qu'a quelqu'un qui a 25% d'apport mais qui emprunte trop par rapport a a capacité de remboursement.

par ex a salaire egale, (60000 par ex)

moins dangureux de preter 100 % de 150000 $

que 75 % de 300000 $

Par contre, les prêts risqués sont marginaux, les banques canadiennes sont stables, le crédit est encore accessible et les ménages ne sont pas surendettés.

- les durées de financement hypothécaire sont de 30, 35 ans, voire plus

avec une esperance de vie de 70 a 80 ans, c'est pas si pire, en suisse ils en sont a des credits sur 2 generations.

Par contre, les prêts risqués sont marginaux, les banques canadiennes sont stables, le crédit est encore accessible et les ménages ne sont pas surendettés.

- une maison aux États-Unis coûte maintenant en moyenne beaucoup moins cher qu'une maison canadienne alors que les revenus aux USA sont supérieurs.

des vrai chiffres la dessus ?

quelque liens pour verifier ca ?

  • Habitués
Posté(e)
ca fait un bout de temps que j'attend que le prix des maisons diminue,

mais a date, je ne vois rien venir.

garde espoir, ici en france ça le fait en ce moment, ça devrait également être le cas au Canada

je n'habite pas une "grande" ville,

je doute donc beaucoup que cela baisse, ca serait bien.

mais c'est peu probable

le prix d'une maison unifamiliale n'a pas explosé ici comme a MTL

il a certe augmenté graduellement année apres année mais pas d'un maniere folle.

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