Comment s'en sortent-ils, côté job?

[shury007]

Si on n'aime pas les jobs comme éboueurs, bien alors il y a la possibilité de travailler auprès des personnes âgées. Oui ça prends nécessairement le cours de préposé mais il y a toujours moyen de "bargainer" avec l'employeur à la condition de suivre les formations requises de RCR et Premiers soins. Les agences d'emplois recrutent beaucoup de gens sans diplôme pour travailler auprès des personnes âgées, particulièrement au printemps à la fonte des neiges (car c'est là que les virus se reproduisent par centaines). Et non, on n'y travaille pas seulement dans les maisons privées, contrairement à la croyance; les hôpitaux, CHSLD sont de gros clients pour ces agences. Et toute cette panoplie de moyens pour se faire de l'expérience constituent le meilleur moyen pour savoir si ça nous intéresse à suivre une formation menant à un diplôme dans ce domaine! Avoir de l'expérience dans le domaine et faire le cours par après, ça n'a jamais été aussi plaîsant aller à l'école!

[Angela]

Si on n'aime pas les jobs comme éboueurs, bien alors il y a la possibilité de travailler auprès des personnes âgées. Oui ça prends nécessairement le cours de préposé mais il y a toujours moyen de "bargainer" avec l'employeur à la condition de suivre les formations requises de RCR et Premiers soins. Les agences d'emplois recrutent beaucoup de gens sans diplôme pour travailler auprès des personnes âgées, particulièrement au printemps à la fonte des neiges (car c'est là que les virus se reproduisent par centaines). Et non, on n'y travaille pas seulement dans les maisons privées, contrairement à la croyance; les hôpitaux, CHSLD sont de gros clients pour ces agences. Et toute cette panoplie de moyens pour se faire de l'expérience constituent le meilleur moyen pour savoir si ça nous intéresse à suivre une formation menant à un diplôme dans ce domaine! Avoir de l'expérience dans le domaine et faire le cours par après, ça n'a jamais été aussi plaîsant aller à l'école!

Shury, j'ai aussi été préposée aux bénéficiaires à Montréal. Et pourtant j'avais un diplôme bien québécois. Mais je n'avais pas l'expérience canadienne requise pour commencer dans mon domaine. Mais ce sont les jobines qui m'ont permis de trouver mon travail actuel. Comment? En me donnant des références, c'est tout. En entrevue (ou sur ton CV), tu es bien obligée de mentionner le nom d'une personne qui te connaît. J'ai donc donné trois noms: ma boss (quand j'étais préposée), mon autre boss (quand j'étais vendeuse) et un de mes ex-profs. Mon boss actuel les a appelés. Je ne sais pas ce qu'ils ont dit de moi mais le fait est que ces personnes ont convaincu mon boss actuel que j'étais assez bonne. Donc me voilà partie pour une belle carrière canadienne ...

[shury007]

Si on n'aime pas les jobs comme éboueurs, bien alors il y a la possibilité de travailler auprès des personnes âgées. Oui ça prends nécessairement le cours de préposé mais il y a toujours moyen de "bargainer" avec l'employeur à la condition de suivre les formations requises de RCR et Premiers soins. Les agences d'emplois recrutent beaucoup de gens sans diplôme pour travailler auprès des personnes âgées, particulièrement au printemps à la fonte des neiges (car c'est là que les virus se reproduisent par centaines). Et non, on n'y travaille pas seulement dans les maisons privées, contrairement à la croyance; les hôpitaux, CHSLD sont de gros clients pour ces agences. Et toute cette panoplie de moyens pour se faire de l'expérience constituent le meilleur moyen pour savoir si ça nous intéresse à suivre une formation menant à un diplôme dans ce domaine! Avoir de l'expérience dans le domaine et faire le cours par après, ça n'a jamais été aussi plaîsant aller à l'école!

Shury, j'ai aussi été préposée aux bénéficiaires à Montréal. Et pourtant j'avais un diplôme bien québécois. Mais je n'avais pas l'expérience canadienne requise pour commencer dans mon domaine. Mais ce sont les jobines qui m'ont permis de trouver mon travail actuel. Comment? En me donnant des références, c'est tout. En entrevue (ou sur ton CV), tu es bien obligée de mentionner le nom d'une personne qui te connaît. J'ai donc donné trois noms: ma boss (quand j'étais préposée), mon autre boss (quand j'étais vendeuse) et un de mes ex-profs. Mon boss actuel les a appelés. Je ne sais pas ce qu'ils ont dit de moi mais le fait est que ces personnes ont convaincu mon boss actuel que j'étais assez bonne. Donc me voilà partie pour une belle carrière canadienne ...

Oui les écoles peuvent donner des références mais comme la mienne le faisait il y a 5 ans, maintenant ils ne le font plus. Ca dépends des écoles, comme les Faubourgs coin Ontario/Parthenais, les profs sont cools mais comme je dis ils ne réfèrent plus les élèves aux employeurs

[beldi]

Tant mieux mes amis si vous avez fait n' importe koi pour survivre. toi Mr Shury et angela, j'ai rien contre vous . c'etait juste une vision perso.alors quand je disais que les marocains eduques font mieux dans leur pays c'est pas faux . entouka j 'ai dit que d'autre provinces du canada valorisent mieux les immigrants qualifies que le quebec. vous n 'allez pas me dire qu' un docteur qui a fait se etudes en france (ou n' importe ou en europe ou meme le maroc) n 'est consideré comme apte pour pratiquer . j' en connais plusieurs .et ca m'est arrive aussi . comme ingenieur en mecanique de batiments , j 'ai trouve de la misere a quebec avec un offre de salaire de moins de 50 clic par annee , c'est fou. par chance que je maitrise bien l'anglais j 'etais capable de franchir le marche ontarien(Toronto) avec un 6 figures( a bit over 100k/yr). encore je ne veux pas desencourager mes nouveau freros. s'ils ont decide de partir loin du bled , de la famille c'est pour avoir une vie meilleur .n'est pas ?

BTW i am not being defensive here.

[fleur_delys15]

Mon mari n a pas de scolarité. Il est allé quelques mois en francisation. Puis, le mari de catargana a entendu une entrevue a la radio. Il s agit de la Maisonnée. C est un centre qui vient en aide aux immigrants. Il y avait un programme pour ceux qui ont une difficulté a l embauche. Mon mari répondait aux criteres: pas d expérience de travail en sol québecois, peu de scolarité. Il a donc été travailler dans un atelier apprentissage au travail. Il était rémunéré, ca lui a donné de l expérience et des références et en plus a chaque semaine il y avait de petites formations. Soit sur le recyclage, ce que sont les normes du travail, bref des choses qui leur seront utiles autant au travail que dans la vie. Ils leur ont montré comment faire un cv, une lettre de présentation, simuler des entrevues. A notre retour du Maroc, sa place était réservée pour suivre la formation de chauffeur de chariot élévateur, il a tout de suite fait la formation. Suite a ca il est resté une semaine sans travailler. Il a envoyé plusieurs cv, dont un a une agence de placement. Dans cette meme semaine il a été recrtuté par l agence a passé son entrevue et fut placé. Maintenant il travaille la bas depuis 5 semaines et le patron de l entrepot veut l engager. Biensur comme ca ne fait pas 3 mois l agence refuse donc soit ils s entendront ensembles ou il travaillera pour l entrepot apres 3 mois seulement. Il ne compte pas faire sa vie la, il veut prendre de l experience mais trouve le salaire un peu bas. Nous sommes tout de meme satisfait car le fait qu il n ait pas de secondaire nous bloque des portes.

[lajulie]

Mon mari est arrivé deux semaines avant Noel,,, c'est sur qu'il a pas cherché du boulot,,, mais le 6 janvier il commençait les recherches, et le 18 janvier il commençait son job ... Voila maintenant presque 3 mois qu'il travaille,,, C'est pas dans son domaine, parce qu'on a pas encore fait les équivalences de diplomes, mais quand on veut travailler, qu'on me fait pas la fine bouche, y'a du boulot !!!!