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Des milliers de Français étudient en anglais au Québec


Curieuse

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Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois.

Look who's talking :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

Oh la belle généralisation. Du grand art.

De là à dire que les Québécois sont xénophobes, il ny a maintenant quun tout petit pas à faire

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ok on efface tout.

tu es le journaliste et tu as l'info

tu la joues comment?

Comment présentes-tu les choses?

Comment je présente les choses ?

Tout d'abord sans exagérer ni diaboliser quoi que ce soit (ou qui que ce soit), et en évitant si possible le ton alarmiste-racoleur qui prévaut (malheureusement) dans les médias icitte. Je pense que ce serait déjà un bon début ;)

Ensuite, pour résumer :

- Contexte global : les étudiants français sont toujours plus nombreux à venir étudier au Québec et étudient très majoritairement dans les universités francophones, contrairement souvent aux immigrants allophones/anglophones (chiffres précis à l'appui, bien entendu).

- Problème : Toutefois, on observe une tendance à la hausse des étudiants français qui partent vers les universités québécoises anglophones. Cela pourrait p-ê s'expliquer par l'attrait très fort de l'anglais et les exigences du marché qui poussent même les Québécois francophones à partir y étudier massivement. Heureusement, rares sont les Français qui abandonnent dans leur vie quotidienne le français au profit de l'anglais.

- Solution : Il serait p-ê judicieux que certains termes de l'accord soient renégociés, afin d'obliger les Français à étudier dans des universités francophones, quitte à leur proposer des cours d'anglais en complément.

Tu commences à saisir la nuance ?

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Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois.

Look who's talking :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

Oh la belle généralisation. Du grand art.

De là à dire que les Québécois sont xénophobes, il ny a maintenant quun tout petit pas à faire

Xenophobe je sais pas, mais un côté victimophile qui pour certains semble pas mal affirmé!!!

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Comment je présente les choses ?

Tout d'abord sans exagérer ni diaboliser quoi que ce soit (ou qui que ce soit), et en évitant si possible le ton alarmiste-racoleur qui prévaut (malheureusement) dans les médias icitte. Je pense que ce serait déjà un bon début wink.gif

Ensuite, pour résumer :

- Contexte global : les étudiants français sont toujours plus nombreux à venir étudier au Québec et étudient très majoritairement dans les universités francophones, contrairement souvent aux immigrants allophones/anglophones (chiffres précis à l'appui, bien entendu).

- Problème : Toutefois, on observe une tendance à la hausse des étudiants français qui partent vers les universités québécoises anglophones. Cela pourrait p-ê s'expliquer par l'attrait très fort de l'anglais et les exigences du marché qui poussent même les Québécois francophones à partir y étudier massivement. Heureusement, rares sont les Français qui abandonnent dans leur vie quotidienne le français au profit de l'anglais.

- Solution : Il serait p-ê judicieux que certains termes de l'accord soient renégociés, afin d'obliger les Français à étudier dans des universités francophones, quitte à leur proposer des cours d'anglais en complément.

Tu commences à saisir la nuance ?

Ouais, mais c'est parce que on tombe tellement des nues quand on voit des trucs comme ca.

C'est comme ces traitres francophones qui passent par le CSQ alors qu'Ils savent d'avance qu'Ils vont allé vivre dans le ROC.

Tu vois si les Québécois savaient ca (il faut venir sur ce forum pour le savoir) et bien si les Québécois le savaient cela ferait toute une histoire dans les journeaux.

C'est que on est habitué de se faire jouer dans le dos, de se faire fourrer par les anglais et les immigrants qui sont de leur bord, mais par des immigrants francophones ? Ca nous trou l'cul a chaque fois qu'on s'en rend compte.

jimmy

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ok on efface tout.

tu es le journaliste et tu as l'info

tu la joues comment?

Comment présentes-tu les choses?

Comment je présente les choses ?

Tout d'abord sans exagérer ni diaboliser quoi que ce soit (ou qui que ce soit), et en évitant si possible le ton alarmiste-racoleur qui prévaut (malheureusement) dans les médias icitte. Je pense que ce serait déjà un bon début ;)

Ensuite, pour résumer :

- Contexte global : les étudiants français sont toujours plus nombreux à venir étudier au Québec et étudient très majoritairement dans les universités francophones, contrairement souvent aux immigrants allophones/anglophones (chiffres précis à l'appui, bien entendu).

- Problème : Toutefois, on observe une tendance à la hausse des étudiants français qui partent vers les universités québécoises anglophones. Cela pourrait p-ê s'expliquer par l'attrait très fort de l'anglais et les exigences du marché qui poussent même les Québécois francophones à partir y étudier massivement. Heureusement, rares sont les Français qui abandonnent dans leur vie quotidienne le français au profit de l'anglais.

- Solution : Il serait p-ê judicieux que certains termes de l'accord soient renégociés, afin d'obliger les Français à étudier dans des universités francophones, quitte à leur proposer des cours d'anglais en complément.

Tu commences à saisir la nuance ?

holla...

t'es trop subtile la...

en plus ca durera 10 minutes le reportage la au lieu de 2 minutes

y a pas le temps la dans un JT, ca risque de couper de la pub...

:innocent:

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Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois….

Look who's talking… :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

Oh la belle généralisation…. Du grand art.

De là à dire que les Québécois sont xénophobes, il n’y a maintenant qu’un tout petit pas à faire…

edit: fausse manip

Modifié par franckgb
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Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois.

Look who's talking :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

Oh la belle généralisation. Du grand art.

De là à dire que les Québécois sont xénophobes, il ny a maintenant quun tout petit pas à faire

On parle des médias là Curieuse... des médias... pas des québecois....

Maintenant, vous les québecois vous devez vivre avec notre déception à nous les francophones, si on ne parle pas anglais, c'est beaucoup plus dur de trouver du travail..... et comme souvent entendu dans la bouche des québecois les français "font dur" en anglais..... Sauf que nous, pour nous l'anglais ne vient pas de soi...

Maintenant si tu élargis le débat (et je m'adresse aussi à Cherry et Jimmy), autour de moi, la majeure partie des québecois francophones que je connais ont suivi ou suivent leurs études à McGill; Udm, Concordia, ou à l'Uqam... De façon égale.... Est-ce que vous feriez la morale à mon amie Genevieve Tremblay (nom changé) qui fait son bacc Relations industrielles à McGill ? Ou à J. Trudeau qui fait sa maîtrise à Concordia ??

Lachtite qui a etudié l'anglais à l'Udm et à Mcgill.... :innocent:

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Lachtite qui a etudié l'anglais à l'Udm et à Mcgill.... :innocent:

Moi à L'UdeM et Laval pour finalement atterrir à Concordia parce ... j'étais comme ces milliers de francophones qui peinent à trouver une job parce qu'ils ne l'ont pas, l'anglais ...

Et tu sais quoi Lachtite? Tu serais étonnée de savoir où vont étudier les enfants de l'élite québécoise ... Tiens! Personne n'est volontaire pour faire un reportage sur les choix des péquistes quant à l'école de leurs enfants?

Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone. Vérifiée en allant chercher la fille de ma collègue à la sortie de l'école.

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Et tu sais quoi Lachtite? Tu serais étonnée de savoir où vont étudier les enfants de l'élite québécoise ... Tiens! Personne n'est volontaire pour faire un reportage sur les choix des péquistes quant à l'école de leurs enfants?

Je m'en doute.... Par contre je sais que la chef du PQ elle elle n'a pas étudié à McGill ;)

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Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone.

Oui mais comme je l'ai déja écrit, les enfants des Québécois francophones ne vont pas s'angliciser en allant a l'école anglaise...surtout dans la ville de Québec.

Alors que les enfants d'immigrants...surtout des immigrants non-francophone......... :unsure:

Ce qu'il faudrait en fait c'est une institution scolaire FRANCOPHONE qui donne de très très très bons cours d'anglais...et c'est vraie que cela nous manque.

jimmy

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Oui mais comme je l'ai déja écrit, les enfants des Québécois francophones ne vont pas s'angliciser en allant a l'école anglaise...surtout dans la ville de Québec.

Alors que les enfants d'immigrants...surtout des immigrants non-francophone......... :unsure:

Jimmy, on parle des étudiants français là... Et tu crois que Pierre, Paul ou Jacques qui arrive de Rennes de Toulouse ou Strasbourg va s'angliciser car il étudie en anglais ???

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Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois.

Look who's talking :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

Oh la belle généralisation. Du grand art.

De là à dire que les Québécois sont xénophobes, il ny a maintenant quun tout petit pas à faire

On parle des médias là Curieuse... des médias... pas des québecois....

Ouaissauf que certains ici te diront que les médias sont représentatif de la population à laquelle ils sadressent. Or, que font les médias ? ils rapportent essentiellement des faits. Après, on peut bien y voir ce quont veut

Et à ce que je sache, Radio-Canada (dont le reportage est issu) nest pas une sommité en matière de sensationalisme journalistique

Maintenant, vous les québecois vous devez vivre avec notre déception à nous les francophones, si on ne parle pas anglais, c'est beaucoup plus dur de trouver du travail..... et comme souvent entendu dans la bouche des québecois les français "font dur" en anglais..... Sauf que nous, pour nous l'anglais ne vient pas de soi...

Je nai jamais dit le contraire Lachtite. Et je crois que tous ici (Québécois compris) saccordent à dire quil est préférable de savoir langlais pour élargir ses chances de trouver du travail.

Maintenant si tu élargis le débat (et je m'adresse aussi à Cherry et Jimmy), autour de moi, la majeure partie des québecois francophones que je connais ont suivi ou suivent leurs études à McGill; Udm, Concordia, ou à l'Uqam... De façon égale.... Est-ce que vous feriez la morale à mon amie Genevieve Tremblay (nom changé) qui fait son bacc Relations industrielles à McGill ? Ou à J. Trudeau qui fait sa maîtrise à Concordia ??

Et qui exactement a fait la morale ici ???

Pas moi en tout cas.

Lachtite qui a etudié l'anglais à l'Udm et à Mcgill.... :innocent:

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  • Habitués

Lachtite qui a etudié l'anglais à l'Udm et à Mcgill.... :innocent:

Moi à L'UdeM et Laval pour finalement atterrir à Concordia parce ... j'étais comme ces milliers de francophones qui peinent à trouver une job parce qu'ils ne l'ont pas, l'anglais ...

Et tu sais quoi Lachtite? Tu serais étonnée de savoir où vont étudier les enfants de l'élite québécoise ... Tiens! Personne n'est volontaire pour faire un reportage sur les choix des péquistes quant à l'école de leurs enfants?

Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone. Vérifiée en allant chercher la fille de ma collègue à la sortie de l'école.

Et alors???

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Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone. Vérifiée en allant chercher la fille de ma collègue à la sortie de l'école.

Ben là! Québec, st'une ville de fuckés... Choisi mieux tes exemples :ph34r::unsure: :unsure:

Biztalk. :lol:

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  • Habitués
Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone.

Oui mais comme je l'ai déja écrit, les enfants des Québécois francophones ne vont pas s'angliciser en allant a l'école anglaise...surtout dans la ville de Québec.

Alors que les enfants d'immigrants...surtout des immigrants non-francophone......... :unsure:

Ce qu'il faudrait en fait c'est une institution scolaire FRANCOPHONE qui donne de très très très bons cours d'anglais...et c'est vraie que cela nous manque.

jimmy

Jimmy, tu fais des progrès je t'assure :lol: Tu as pointé en direct le bobo du système (ce n'est pas souvent que tu le fais).

Sinon la logique tombe à l'eau. ça reviendrait à dire que le bilinguisme serait réservé aux enfants francophones, et donc de bons emplois. Les autres (surtout les allophones), pas touche ... Comme s'ils n'avaient pas suffisamment de handicaps comme ça sur le marché de l'emploi ...

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Lachtite qui a etudié l'anglais à l'Udm et à Mcgill.... :innocent:

Moi à L'UdeM et Laval pour finalement atterrir à Concordia parce ... j'étais comme ces milliers de francophones qui peinent à trouver une job parce qu'ils ne l'ont pas, l'anglais ...

Et tu sais quoi Lachtite? Tu serais étonnée de savoir où vont étudier les enfants de l'élite québécoise ... Tiens! Personne n'est volontaire pour faire un reportage sur les choix des péquistes quant à l'école de leurs enfants?

Ici à Québec, il y a une école secondaire anglophone à Sillery. Ville francophone s'il en est une, Québec. La majorité des parents des élèves de cette école est francophone. Vérifiée en allant chercher la fille de ma collègue à la sortie de l'école.

Et alors???

Alors y en a qui feraient mieux de regarder la poutre ...

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  • Habitués
CITATION(jimmy @ 26-03-2008 à 23:36) *

Oui mais comme je l'ai déja écrit, les enfants des Québécois francophones ne vont pas s'angliciser en allant a l'école anglaise...surtout dans la ville de Québec.

Alors que les enfants d'immigrants...surtout des immigrants non-francophone......... unsure.gif

Lachite : Jimmy, on parle des étudiants français là... Et tu crois que Pierre, Paul ou Jacques qui arrive de Rennes de Toulouse ou Strasbourg va s'angliciser car il étudie en anglais ???

Oui je comprend Lachtite, mais tu iras voir sur le forum "immigrer au Canada" tous ces francais qui sont tellement "eager" de vivre leur "American Dream" en anglais , que ca fait peur :(

Mais bon, comme je le disais, j'avoue qu'il faudrait une institution scolaire FRANCOPHONE qui donne d'excellent cours d'anglais.

Jimmy, tu fais des progrès je t'assure laugh.gif Tu as pointé en direct le bobo du système (ce n'est pas souvent que tu le fais).

Sinon la logique tombe à l'eau. ça reviendrait à dire que le bilinguisme serait réservé aux enfants francophones, et donc de bons emplois. Les autres (surtout les allophones), pas touche ..

Oui mais ce n'est pas si simple que ca Angela; on l'a connu ce que c'était lorsqu'on laissait les immigrants aller a l'école anglaise.

Une fois sorti du système scolaire a nos frais (en anglais) ils se retournaient contre nous, nous ignoraient, nous méprisaient.

En fait il faudrait un nouveau deal entre eux et nous: ok vous apprenez l'anglais (a nos frais) mais ciboire, ne devenez pas des anglais qui nous méprisent après l'avoir appris cette ostie de langue.

Oui je sais j'exagère, j'utilise pas les mots les plus "diplomates" mais sérieux les filles, on s'est fait ch**r dessus royalement par des immigrants dans le passé.

jimmy

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On parle des médias là Curieuse... des médias... pas des québecois....

Ouaissauf que certains ici te diront que les médias sont représentatif de la population à laquelle ils sadressent. Or, que font les médias ? ils rapportent essentiellement des faits. Après, on peut bien y voir ce quont veut

Et à ce que je sache, Radio-Canada (dont le reportage est issu) nest pas une sommité en matière de sensationalisme journalistique

Là Curieuse, tu parles en généralisant aussi... "certains te diront".... Là où en relisant j'ai vraiment l'impression qu'on pointe les médias...

Dis-nous quelle est la morale de l'histoire.... Les étudiants québecois francophones étudient autant à McGill qu'à L'UdM... Les étudiants français font la même chose... C'est tout, y-a-t'il matière à débat ??

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CITATION(jimmy @ 26-03-2008 à 23:36) *

Oui mais comme je l'ai déja écrit, les enfants des Québécois francophones ne vont pas s'angliciser en allant a l'école anglaise...surtout dans la ville de Québec.

Alors que les enfants d'immigrants...surtout des immigrants non-francophone......... unsure.gif

Lachite : Jimmy, on parle des étudiants français là... Et tu crois que Pierre, Paul ou Jacques qui arrive de Rennes de Toulouse ou Strasbourg va s'angliciser car il étudie en anglais ???

Oui je comprend Lachtite, mais tu iras voir sur le forum "immigrer au Canada" tous ces francais qui sont tellement "eager" de vivre leur "American Dream" en anglais , que ca fait peur :(

Mais bon, comme je le disais, j'avoue qu'il faudrait une institution scolaire FRANCOPHONE qui donne d'excellent cours d'anglais.

Jimmy, tu fais des progrès je t'assure laugh.gif Tu as pointé en direct le bobo du système (ce n'est pas souvent que tu le fais).

Sinon la logique tombe à l'eau. ça reviendrait à dire que le bilinguisme serait réservé aux enfants francophones, et donc de bons emplois. Les autres (surtout les allophones), pas touche ..

Oui mais ce n'est pas si simple que ca Angela; on l'a connu ce que c'était lorsqu'on laissait les immigrants aller a l'école anglaise.

Une fois sorti du système scolaire a nos frais (en anglais) ils se retournaient contre nous, nous ignoraient, nous méprisaient.

En fait il faudrait un nouveau deal entre eux et nous: ok vous apprenez l'anglais (a nos frais) mais ciboire, ne devenez pas des anglais qui nous méprisent après l'avoir appris cette ostie de langue.

Oui je sais j'exagère, j'utilise pas les mots les plus "diplomates" mais sérieux les filles, on s'est fait ch**r dessus royalement par des immigrants dans le passé.

jimmy

Jimmy, tu penses vraiment qu'on peut changer de mentalité parcequ'on apprend une langue ?? Si je vis au Québec et que je t'étudie à McGill je continue à vivre en français... Et je ne parle pas d'une seconde génération là; on parle de moi petite française qui paye les mêmes tarifs que n'importe quel québecois; ou est-ce tu essayes de nous dire qu'un québecois francophone qui apprend l'anglais s'enrichit là ou un français qui apprend l'anglais s'appauvrit ???

Bref, je trouve qu'il y a d'autres endroits où se battre pour le fait francophone que les universités... Et puis un étuudiant français qui vient à Montréal parceque c'est moins cher qu'à Toronto ou qu'à NY, il consomme au Québec... Il mange, il bai.e, il boit, il fume québecois...

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Jimmy, tu penses vraiment qu'on peut changer de mentalité parcequ'on apprend une langue ?? Si je vis au Québec et que je t'étudie à McGill je continue à vivre en français... Et je ne parle pas d'une seconde génération là; on parle de moi petite française qui paye les mêmes tarifs que n'importe quel québecois; ou est-ce tu essayes de nous dire qu'un québecois francophone qui apprend l'anglais s'enrichit là ou un français qui apprend l'anglais s'appauvrit ???

Bref, je trouve qu'il y a d'autres endroits où se battre pour le fait francophone que les universités... Et puis un étuudiant français qui vient à Montréal parceque c'est moins cher qu'à Toronto ou qu'à NY, il consomme au Québec... Il mange, il bai.e, il boit, il fume québecois...

Je bis ma dame d'honneur ;)

Et Jimmy quand tu dis:

Oui je comprend Lachtite, mais tu iras voir sur le forum "immigrer au Canada" tous ces francais qui sont tellement "eager" de vivre leur "American Dream" en anglais , que ca fait peur :(

Je vois pas trop en quoi tu te plains. Au final, ils ne sont pas venus au Québec pour parler anglais cette fois, ils sont allés là où ils ont "officiellement" et "constitutionnellement" une seule langue à parler ;) Sinon dans ce cas comment expliques-tu que certains français et québécois "osent" parler chinois en Chine :P

Toi-même qui nous le dit "parlons la langue du pays crisse", bon ben voilà eux parlent en anglais de leur bord et nous on parle français, c'est juste que si on veut leur vendre nos productions, ben ça prend des gens pour leur expliquer comme elles sont "plusse" meilleures et vu que nous autres ont fait dur, faut bien qu'on apprenne, on a pas le choix d'être télévendeurs, y a que ça quand on arrive :rofl:. (Comment ça je suis de mauvaise foi? Tu te sentiras moins seul sur le coup alors :P: )

Modifié par petiboudange
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