Laurent Posté(e) 18 octobre 2006 Posté(e) 18 octobre 2006 Notre chronqueur montréalais nous parle de sa quête d'un nouveau travail.À lire en page d'accueil. Citer
scrogn Posté(e) 18 octobre 2006 Posté(e) 18 octobre 2006 Je n'ai qu'un mot à dire : (ce n'est pas un mot, ça ? ).J'ai cru m'y voir, j'ai cru le vivre (enfin, pas à ta séance de strip-tease avant le rendez-vous ! :gna: )Allez ! Bonne chance dans tes démarches !!! Et joyeuses fêtes de Noël ! Citer
Benito Posté(e) 18 octobre 2006 Posté(e) 18 octobre 2006 Bon courage dans ta recherche d'emplois Tof ! Citer
Habitués magauquebec Posté(e) 18 octobre 2006 Habitués Posté(e) 18 octobre 2006 Courage Tof, ca va venir, avec autant de perseverance. ca ne peut pas etre autrement et c'est tout le mal qu'on te souhaite ! Citer
Habitués cherry Posté(e) 18 octobre 2006 Habitués Posté(e) 18 octobre 2006 Bonne chance, je suis sure que tu vas finir par trouver. Pssst, sache qu'il est plus facile de trouver un job quand on en a déjà un: les employeurs aiment le fait qu'on ne soit pas désespéré et adorent l'idée qu'on cible leur entreprise au détriment d'une autre, ça flatte leur égo (et vlan la concurrence! ). Citer
Habitués fortsympa Posté(e) 18 octobre 2006 Habitués Posté(e) 18 octobre 2006 bon courage pour ta recherche en attendant, ta chronique a ete tres sympa a lire Citer
Habitués Vannille68 Posté(e) 19 octobre 2006 Habitués Posté(e) 19 octobre 2006 super resumé Tof - alors tu racontes des mensonges !!! coquin !!!! je te souhaite de trouver le job "ideal" et passe de bonnes vacances Citer
Habitués aurel Posté(e) 19 octobre 2006 Habitués Posté(e) 19 octobre 2006 Bon courage pour ta recherche de travail.Quand on en a déjà c'est tout de même plus confortable !!!J'arrive bien à t'imaginer entrain de te torturer l'esprit pour que personne ne te voit....Avec de la persévérence ça va payer j'en suis certaine.Tiens nous au courant. Citer
Habitués tof Posté(e) 19 octobre 2006 Habitués Posté(e) 19 octobre 2006 Merci à tous C'est vrai qu'il parait que c'est plus facile de trouver du travail quand on en a déjà un : on a moins de pressions sur nos épaules quand on passe l'entrevue parce qu'on se dit que si ça ne passe pas, c'est pas grave on ne sera pas à la rue et notre travail habituel nous attend à quelques coins de rue de là. Donc on est plus décontracté en entrevue, on est meilleurs, et les employeurs aussi le ressentent ! Sans compter leur égo qui gonfle puisqu'effectivement, comme le dit Cherry, on fait marcher la concurrence, on préfère une entreprise, une marque parfois, à une autre.Et puis à force, même si ça reste un marathon, on s'habitue et c'est de moins en moins stressant Citer
Habitués steph56 Posté(e) 19 octobre 2006 Habitués Posté(e) 19 octobre 2006 Ta chronique est particulièrement intéressante et montre bien certaines particularités du marché du travail ici.La relation qua le nord-américain avec son emploi est souvent bien différente de celle du Français. Ici, à cause dun marché très flexible et très dynamique, on retrouve dun côté des employés qui sont peu fidèles à leur entreprise et qui nhésitent pas aller voir ailleurs puis de lautre côté des employeurs qui sont constamment en mode recrutement. Ça bouge donc beaucoup des deux côtés. Cette forme dinsécurité ou de liberté (cela dépend du côté où on se place) nous oblige à nous remettre constamment en cause dun point de vue professionnel (faire des formations complémentaires, participer à des activités de réseautage genre 5 à 7, etc). En France, je ne sais pas si ça a changé mais à lépoque où jy travaillais (avant 1998), quand des gens cherchaient un boulot, cest souvent quils avaient perdu le leur. Les employés étaient tellement fidèles à leur employeur que les années dancienneté étaient aussi en conséquence. Ici, au Québec, jai travaillé dans des boîtes où avec 2 ans dancienneté, jétais une des plus vieilles (façon de parler :angelus: ). Et beaucoup de gens recherchent un nouvel emploi sans être tombé au chômage.Comme tu lexpliques bien, cela donne une certaine liberté et on est moins stressé lors des entrevues puisquon a déjà un emploi. Linconvénient, cest que ça peut créer aussi une certaine instabilité. Parfois, les gens qui changent souvent demploi semblent moins persévérants ou montrent de linsatisfaction rapidement. Linstabilité peut déteindre sur la vie personnelle avec le fameux tryptique : changer de job, changer de logement, changer de chum. Mais bon, là, je mégare un peu. Tu fais bien également de réagir car tu lévoques. Tu dis que le travail dans ton entreprise commence à manquer. Attention, cest généralement le signe de coupures. Et comme chacun sait, ça ne pardonne pas. Les gens sont coupés sur le champ un matin et gentillement raccompagnés à la porte comme sils étaient devenus des étrangers à la boîte. Il faut donc effectivement essayer de trouver un nouvel emploi. Cest le moment ou jamais puis ton expérience dans cette entreprise te sera utile pour ton prochain emploi.Juste un bémol ! Évite de te confier à tes collègues même si certains dentre eux sont tes amis. Ce nest pas bien grave mais tout se sait vite et on ne sait jamais trop à qui peut profiter des ragots.Une autre particularité que jai constatée ici et rarement en France, cest que certains employés peuvent être à nouveau réembauchés dans la boîte qui les a licencié ou bien quils ont eux-mêmes quitté, parfois plusieurs années auparavant. Il est donc important de rester en bons termes avec son employeur et ses collègues.Personnellement, je continue à voir lors dun 5 à 7 qui se déroule environ 2 fois par an, des collègues avec qui jai travaillé il y a 4 ans. Cela permet de nous retrouver et de voir les chemins différents que nous avons pu prendre. Parmi ces 6 collègues, aucun nest dans la boîte où nous nous sommes rencontrés et tous sont partis deux-mêmes pour dautres cieux.Nous échangeons sur notre vie professionnelle et aussi personnelle. Cest bien sympatique.Dernier point : Comme nous venons de France et donc dun milieu du travail assez conservateur, je trouve que nous conservons parfois cette habitude dêtre fidèle à notre employeur et de ne pas partir à la moindre contrariété. Nous somme patients et savons profiter des opportunités qui se présentent. Cela peut demeurer un plus car certains employeurs naiment pas voir défiler le personnel sur un même poste. Cela coûte quand même cher de former quelquun. La stabilité, ça aussi du bon. En tant quimmigrants dorigine européenne, nous avons également pour la majorité une faculté dadaptation insoupçonnée et cest apprécié bien entendu des employeurs. Tels des caméléons, nous nous fondons assez rapidement, je crois, à notre nouvel environnement. Si on narrive pas avec nos gros sabots et quon sintègre à la façon de travailler dici, ça va finalement tout seul.Jespère que tu vas trouver chaussures à ton pied et que tu vas pouvoir revenir en France à Noël. Cest le meilleur cadeau qui soit. Citer
Habitués steph56 Posté(e) 19 octobre 2006 Habitués Posté(e) 19 octobre 2006 Jai oublié de préciser quune fois, ici, jai subi une coupure de poste en même temps que 80 personnes de ma boîte. En France, on appelle ça un chômage économique. Jai eu 3 mois de salaire puis bye bye. Les deux premiers jours qui ont suivi, jen voulais un peu à la boîte dans laquelle javais produit beaucoup defforts mais ensuite, jai rebondi ailleurs après avoir fait une petite pause de 2 mois pour savoir dans quel milieu je souhaiterais évoluer et quel emploi je souhaiterais occuper.Par conséquent, cette situation, si elle vous arrive, nest pas catastrophique. Cela permet même de réfléchir un peu au cheminement de sa carrière. Puis, lors dun chômage massif, on le prend moins personnel. Jai vu trop de gens en France occuper des postes et être accrochés à leur emploi comme des moules sur un rocher. Il faut savoir se remettre en cause et changer de job quand cest le moment. Citer
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