Éloge de l'instabilité par Guille

[Laurent]

Notre chroniqueuse de Toronto se questionne sur le choix d'immigrer.

À lire en page d'accueil.

[Dali31]

Slt

Un beau morceau de poésie... Pour "l'immigrante heureuse"...

Espérons de même pour tous...

Ya t il reéllement une recette miracle pour immigrer en douceur et puis retrouver tout de go tous ce qu'on recherchait???

Bonne immigration

[Pimili]

Guille,

Merci de nous avoir fait partager tes interrogations dans cette chronique.

Je pense que quand on a goûté au "risque" de partir, avec le taux d'adrénaline que ça nous envoie, on devient un peu accro et on a envie de revivre ça, de ressentir ça de nouveau.

Peut-être que tu repartiras, peut-être que tu resteras...tout dépend de tellement de choses !

Qu'importe ! L'essentiel c'est d'être heureux(se) alors profites au maximum de ta vie à Toronto !

Paméla

[scanlolo]

Salut Guille

Merci pour cette chronique qui me fait penser à une chanson de Michel Rivard sur la vie (la petite vie si mes souvenirs sont bon)

merci car la lecture de ta chronique a reussir à me sortir de mon coup de blues du mercredi

a+

Laurent

[Lleo]

Merci pour la chronique, Guille.

On me pose souvant le même genre de questions.

"Quand tu retournes?"

Retourner!?!?

[aline.ro]

Quel est le lien vers cette chronique? Je ne la trouve pas!

Merci d'avance!

[honguito_loco]

Voici le lien pour la chronique:

Eloge de l'instabilité

[peemti]

c'est exactement ce que je suis en train de me demander actuellement...

[schumarette]

hé oui, seul l'avenir te le dira. Mais en fait, la première fois est le plus difficile, c'est la plus grosse préparation, la séparation la plus difficile car on quitte nos racines, nos familles, nos amis, notre pays.

La seconde fois est sans doute plus facile : tout dépend du lieu où tu te décideras d'aller (ou peut être ne partiras-tu jamais), mais en tout cas, tu sauras déjà que tu es capable de le faire puisque tu as déjà réussi ton pari.

Belle chronique, bravo

[looleepop]

Il y a plusieurs jours déjà, quelqu?un en visite depuis la France m?a posé cette question : « alors vous êtes là pour combien de temps ?

Euh, c'est bien la personne à laquelle je pense (arrivée accompagné d'une valise nommée Titine) ? Si oui, je constate encore une fois qu'il a décidé de faire dans la question qui tue :

C'est drôle, parce que cette question on me l'a souvent posée à Vancouver quand j'annonçais mon intention de venir m'y installer. C'est peut-être dû au fait qu'il y a là-bas plus d'importés que de natifs

J'aime bien l'idée que rien n'est écrit dans le marbre et que demain je serai peut-être ailleurs. Je ne sais pas combien de temps je resterai à Vancouver, ni où j'irai ensuite, mais je suis absolument sûre que je ne pose pas mes bagages définitivement. Plus la date du départ approche et plus je suis persuadée que désormais ma vie tiendra dans 3 cantines (et 2 caisses à chats)

D'ailleurs j'ai RV en 2012 sur la péninsule de Mahia (NZ) avec copain surfer qui suit la vague depuis une quinzaine d'années maintenant... :w00t:

[Guille]

Merci à tous pour vos commentaires C'est finalement un thème qui nous touche tous, un jour où l'autre (enfin je parle des gens de ce forum, c'est à dire des immigrants potentiels)

Laurent je vais essayer de trouver la chanson de Michel Rivard dont tu parles (je connaissais même pas :blushing: )

Shumarette tu sais de quoi tu parles !!!! Le Yukon woohoo!!! Tu reviens nous raconter tes aventures.

Loolee: non ce n'était pas Joey...!! Mais oui ça aurait pu! Sinon l'histoire de la vague, ça fait rêver!

Modifié 9 mai 2006 par Guille

[aline.ro]

Voici le lien pour la chronique:

Eloge de l'instabilité

Merci!!!

[lavosgienne]

Moi apres 6 ans, j'entends toujours cette question...et je pense que je l'aurai encore plus d'une fois..Cela vient bien souvent des francophones d'ailleurs, ou de la famille...

Mais moi je pense des fois a bouger, j'aimerais essayer Vancouver, mais s'il pleut souvent...hum..je prefere le soleil de toronto...

Je sais que mon gout d'aventure me donne souvent envie d'aller voir un peu ailleurs...et pour l'instant je suis toujours celibataire, donc c'est plus facile, on verra...

En tout cas, je suis allee a l'enterrement d'une collegue et amie de 33 ans, qui etait enceinte de 9mois, qui allait se marrier, qui venait de refaire sa maison et qui attendait avec impatience son bebe...et voila, un jour tout s'ecroule...alors apres tout cela , la vie peut etre courte, et si l'on reve de quelque chose, il faut le faire...donc "tu vas rester a Toronto?" oui, pour l'instant, tant que j'y suis heureuse...puis il y aura "un"jour, ou peut-etre le vent changera...et je pense que c'est comme cela pour beaucoup d'immigrant...

(c'est marrant en meme temps d'entendre cette question, en france, ma soeur est partie a Aix-en-provence, et personne ne lui demande combien de temps elle va rester la-bas...)

Encore une bonne chronique,merci Guille

Lavosgienne

[Seila]

Loolee: non ce n'était pas Joey...!! Mais oui ça aurait pu! Sinon l'histoire de la vague, ça fait rêver!

Euh, c'est bien la personne à laquelle je pense (arrivée accompagné d'une valise nommée Titine) ? Si oui, je constate encore une fois qu'il a décidé de faire dans la question qui tue

Dites donc, c'est fini de casser du sucre sur mon dos!!!

Moi, ce qui m'intéresse, c'est de savoir "pourquoi la canada?", pas combien de temps!!!

Ca aurait pu... Non mais je rêve!!!