Laurent Posté(e) 5 avril 2006 Posté(e) 5 avril 2006 Notre chroniqueuse Petiboudange nous parle de l'immigration et de ses effets.À lire en page d'accueil. Citer
Habitués Jade Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 Que de réalisme et de pertinence ! ... Belle analyse et superbe chroniqueVéro ... chapeau bas Citer
Habitués djaz Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 Très interessant !pas mal la métaphore des montagnes russes, les montées et les descentes m'ont donné le tournis, le vertige a laissé place à l'excitation et j'ai hate de faire mon expérience ...Merci Véro Djaz Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 Bravo à toi Petiboudange, une fois de plus ton analyse est fine et pertinente, je ne peux pas encore dire qu'elle sera ma découverte, ce que je vais exprimer de moi dans ce parcours mais je garderais ds un petit coin de ma tête certaines de tes phrases.... Citer
Habitués tilda Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 Belle analyse ! Merci pour ton aide. Citer
Habitués Pimili Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 Merci Véro pour cette chronique très agréable à lire. Je pense que c'est une bonne chose de nous remettre en mémoire les différentes étapes auxquelles on sera confronté.Par contre, je me demande pour toi qui a déjà vécu un peu au Québec : est-ce que tu penses revenir à la première étape ou est-ce que tu penses qu'il y a un autre chemin pour les gens qui ont déjà une certaine connaissance du pays ?Paméla Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 5 avril 2006 Habitués Posté(e) 5 avril 2006 C'est une bonne question Pimili, et j'en sais rien. Je vais peut-être reprendre mon choc là où je l'avais laissé, le vivre de nouveau, le retrouver plus rapidement et plus fortement? Ou peut-être ne pas le revivre, mais j'en doute vu que je ne l'ai jamais vraiment terminé....Mais j'aimerai surtout dire merci à tous ceux qui témoignent sur ce forum chaque jour et de leur vie quotidienne et de leurs doutes ou difficultés et de leur bilan. Parce que les mots simples que j'ai pu trouvé pour traduire ce phénomène complexe, c'est aussi grâce à la lecture de leurs mots à eux.Je n'en ai pas parlé mais il existe aussi le contre choc culturel. Celui du retour à la culture d'origine, temporairement ou durablement. Ceux qui ont fait un séjour en France pour les vacances en parlent d'ailleurs très bien en général aussi.J'ai vécu le mien assez rudement en revenant de Thailande, où je revenais du soleil, de la vie simple etc. pour atterir dans le froid d'octobre et le stress de la ville (bon même si Bangkok en fin de séjour ça permet déja d'anticiper!).Mais celui du retour du Québec était plus fort parce que je suis restée plus longtemps, parce que j'y ai vraiment laissé un pan de ma vie entre parenthèse (pour preuve mes colocs reçoivent encore une partie de mon courrier, j'ai des boîtes dans la cave de ma belle-soeur). Et là vous voyez soudain tous ces gens que vous connaissiez avec un autre regard et parfois pas très rose le regard d'ailleurs. C'est difficile de reprendre ses marques en revenant aussi, d'autant qu'on revient jamais totalement pareil que lorsqu'on est parti... Je crois que c'est Zemida qui a mis dans sa signature que lorsque sa famille est revenue, leur coeur est resté. C'est un peu ça le retour je trouve. Un morceau de vous ne revient jamais et faut apprendre à vivre sans ce morceau au quotidien.Et je n'espère même pas le retrouver en revenant celui-là...Pas grave, ça me laisse encore plus de place pour aimer mieux le Québec Citer
Invité Posté(e) 5 avril 2006 Posté(e) 5 avril 2006 Un trés bon récit écrit des mains de maîtres et qui s'inspire d'une expérience personnelle, ce qui lui donne plus de mordant et le rend plus captivant et plus interessant.Tu as su aussi éviter le discours militant sans condition en faveur de l'immigration: ce discours volontariste, qui veut tout et tout de suite, méconnait la complexité des problèmes qui se posent à tout immigrant, quelque soit sa provenance et quelque soit sa personnalité. Citer
Bouh Posté(e) 7 avril 2006 Posté(e) 7 avril 2006 Vraiment génial ! C'est très bien analysé.Le seul problème, c'est que je n'arrive pas à déterminer dans quelle phase je me situe. J'ai l'impression de balloter entre toutes les phases dépendament des jours. C'est grave docteur ? En tout cas, bravo pour cette chronique originale, c'était passionnant.Katy Citer
Habitués Caribou Français Posté(e) 7 avril 2006 Habitués Posté(e) 7 avril 2006 Très interessant même si je l'ai lus en diagonale. Je le relirais complêtement & doucement plus tard. Ma motivation principale pour immigrer au québec est en fait que ça date de l'âge de 12ans (environ). Donc je suis conscient qu'il y aura sans doute des désillusions. Quand on a un projet comme celui-là il faut être prêt à des sacrifices, :mmm: Mais il faut aussi savoir rester soi-même tout en acceptant la culture du pays d'accueil ! :closedeyes: Je pense que c'est de cette façon qu'on peut le mieux réussir les différentes étapes d'intégration & de réussite de nôtre projet Citer
melokely Posté(e) 7 avril 2006 Posté(e) 7 avril 2006 C'était super clair, hyper intéressant, méga instructif....Bref, c'est une excellente chronique tant par la form que par le contenu... Bravo J'ai adoré, cela a bien éclairé ma lanterne sur le sujet étant complètement ignorante en terme d'immigration et de choc culturel Bonne journée Citer
Habitués fortsympa Posté(e) 7 avril 2006 Habitués Posté(e) 7 avril 2006 Tres bien Ecris, j'ai adoreJe suis comme Bouh, je sais pas trop ou je me situe en ce moment pour la phase 2 je l'ai pas trop ressenti (je ne parle pas de la descente du compte bancaire). je pense que je dois etre en fin de phase 3, debut de phase 4, rire MERCIII Citer
Habitués Tartine Posté(e) 7 avril 2006 Habitués Posté(e) 7 avril 2006 Intéressante, ton analyse... et pas mal juste! Les hauts / bas suivant les cironstances et l'humeur du jour, je connais... Dans mon cas, je dirais que je suis quelque part entre la phase 4 et 5. Le phénomène montée-descente n'est pas fini, mais il a plus à voir avec mes circonstances de vie qu'avec l'immigration elle-même. Même si il faut bien dire que la décision de changer de pays influence durablement les circonstances de vie, donc c'est un peu impossible de séparer ce phénomène du reste. Citer
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