immigrer.com Posté(e) 5 décembre 2022 Posté(e) 5 décembre 2022 26 novembre 2022 3h00 Mis à jour à 9h18 Un homme coupable d'agression sexuelle sur sa belle-fille JUDITH DESMEULES Le Soleil Un homme originaire du Maroc, marié à une Québécoise, a été reconnu coupable d’agression sexuelle sur sa belle-fille de 10 ans. Malgré le jeune âge de la victime, la juge Sarah-Julie Chicoine a cru toute sa version des faits. Maryse*, une mère de cinq enfants, fait la connaissance de Mohamed Abbad en 2007 sur Internet, alors qu’il réside au Maroc et est âgé de la fin vingtaine. Ces derniers entretiennent d’abord une relation virtuelle. «Les séances de clavardage et les discussions à travers une caméra s’intensifient au point où elle passe la quasi-totalité de son temps accompagnée virtuellement de l’accusé», écrit la juge Chicoine. À la fin du mois de janvier 2011, elle voyage au Maroc pour visiter l’accusé. Ils se marient au mois de février et Maryse revient au Canada quelques semaines plus tard. Après tout le processus administratif d’immigration, Maryse accueille son mari à Québec en juin 2012. Il s’installe alors à la maison avec elle et les enfants. «Les deux premières semaines sont agréables. Elle profite de ses vacances en famille avec l’accusé. Par la suite, l’humeur de l’accusé se détériore. Elle croit qu’il en est ainsi à cause des contraintes qu’il s’impose en raison du ramadan [l’accusé est musulman]. Elle espère que la situation changera pour le mieux après cette période, ce qui n’arrive pas», écrit la juge dans sa décision. La relation se détériore Les chicanes sont ensuite de plus en plus nombreuses. Lorsqu’elle est prise au travail, l’accusé s’occupe des enfants, pour préparer le souper, notamment. «Maryse s’absente parfois du domicile, que ce soit pour aller visiter ses amies ou pour aller pleurer à l’abri des regards de ses enfants lorsque la situation est difficile avec l’accusé», note la juge Chicoine. Parfois, Maryse demande à l’accusé d’aller border les enfants le soir, lorsqu’elle effectue des tâches ménagères. «Au début de la cohabitation, la relation entre les enfants et l’accusé est harmonieuse. Vers l’automne, l’attitude de l’accusé envers la plaignante [la deuxième de la fratrie] change. L’accusé dit qu’elle est froide envers lui, qu’elle l’ignore», écrit la juge, selon le témoignage de Maryse. Le 28 décembre 2012, la femme demande à l’accusé, son mari, de quitter le domicile familial «puisqu’elle n’arrive plus à cacher aux enfants la violence qu’il lui fait subir». Le couple se côtoie ensuite de façon sporadique. À partir de mars 2013, la relation est terminée. À ce moment, Mohamed Abbad est un résident permanent du Canada. En juin 2013, Maryse décide de questionner ses enfants en privé, à tour de rôle, concernant les agissements de leur beau-père. Une connaissance rencontrée au dépanneur lui avait signifié quelques doutes concernant son ex-conjoint. suite et source: https://www.ledroit.com/2022/11/26/un-homme-coupable-dagression-sexuelle-sur-sa-belle-fille-18906f406cd509c707efa083c6ee8453 Citer
Habitués bencoudonc Posté(e) 5 décembre 2022 Habitués Posté(e) 5 décembre 2022 Ouache... déportation immédiatement après la peine de prison, j'espère. jimmy a réagi à ceci 1 Citer
JeanFelix Posté(e) 6 décembre 2022 Posté(e) 6 décembre 2022 10 hours ago, bencoudonc said: Ouache... déportation immédiatement après la peine de prison, j'espère. J'espere moi aussi Citer
Messages recommandés
Rejoindre la conversation
Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.