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Posté(e)

Akum7  avait passé l  ivm  le mois surpassé au benin. Un ami, qui est de la procédure aussi et qui attend les ivm  depuis   16mois ns avait dit que 2  attendeux Togolais( residant au togo  )de l'IVM,   ayant fait leur dépôts fédéral en avril 2016  ont reçu l' ivm.

Si cette information est vraie ça veut dire que les ivm St tjrs envoyées mais pas sur la base de l ordre d'arrivée des dossiers. Ils ont une autre méthode qu on ne maîtrise pas.

Ce que je proposerais, c est que ceux qui ont déjà dépassé les 12 mois s'organisent et aillent ds le bureau d'accra pr chercher simplement à comprendre la situation.  Comme ça si ns devions  faire 36 mois supplémentaires, qu on nous le dise. 

merci.

  • Habitués
Posté(e)
à l’instant, Y4Qb a dit :

Akum7  avait passé l  ivm  le mois surpassé au benin. Un ami, qui est de la procédure aussi et qui attend les ivm  depuis   16mois ns avait dit que 2  attendeux Togolais( residant au togo  )de l'IVM,   ayant fait leur dépôts fédéral en avril 2016  ont reçu l' ivm.

Si cette information est vraie ça veut dire que les ivm St tjrs envoyées mais pas sur la base de l ordre d'arrivée des dossiers. Ils ont une autre méthode qu on ne maîtrise pas.

Ce que je proposerais, c est que ceux qui ont déjà dépassé les 12 mois s'organisent et aillent ds le bureau d'accra pr chercher simplement à comprendre la situation.  Comme ça si ns devions  faire 36 mois supplémentaires, qu on nous le dise. 

merci.

Merci pour ces infos. Concernant akum7, son cas est un peu particulier car c'est un fédéral récent qui a reçu son ivm directement de sidney,msans doute pour désengorger Accra.

  • Habitués
Posté(e)

Waouuuuuuuuu sa bouge ici pardon si vous partez a l'ambassade demandez les aussi par rapport a ceux qui ont faient leurs demandes de permit d'étude depuis Septembre et donc la rentrée est pour cette été.

Merci bien.

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour Chers amis,

Ceux dont le délai est dépassé peuvent écrire directement à CIC à travers le site. Je pense qu'il a une partie réservée à cela sur leur site.

Je ne connais même pas le bureau qui traite mon dossier. J'ai reçu mn IVM et la lettre de payement des 490$ en février et sur les différents courriers aucune adresse du bvc qui traite mn dossier. J'ai du payer les frais et envoyer le reçu et la copie de mon passeport à cic à travers mon compte clégc en signalant un problème technique et à l'adresse donotreply celle qui me notifie l'envoi d'un message ds mon clégc.

Finalement le 24 mars passé le cic m'a répondu en me notifiant que mes documents ont été transmis au bureau responsable du traitement de mn dossier sans me donner l'adresse dudit bureau.

Espérez toujours car avec cic tout est encore possible car j'ai lu des messages antérieurs sur le forum ou les attendeux togolais comme béninois ont dépassé le délai et ont obtenu le visa 1 ou 2 mois après leur VM. Du courage à tous. Personne ne sera oubliée.

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour à tous et toutes,

 

J’avais annoncé ici que j’enverrai des courriers à certaines autorités canadiennes pour s’enquérir du pourquoi de notre particularité, nous les attendeux du BVC Accra. J’avais à cet effet adressé un courrier au ministre fédéral de l’immigration le 20 février dernier. J’ai obtenu réponse à mon courrier quelques semaines plus tard soit le 07 avril de cette année. Conformément à ma promesse de vous en faire un retour, je fais ci-dessous un copier-coller aussi bien de mon courrier que de la réponse de l’autorité y afférente. Faites-en vous-même une idée du contenu.

 

 

 

Mon courrier en date du 07 avril 2017

 

 

Objet : Sommes-nous des damnés ?

 

Monsieur le Ministre,

 

Je n’ai pas été mandaté par des demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du Bureau de Visas Canadiens (BVC) d’Accra. Je ne parle pas non plus en leur nom. Mais je suis plus que certain que tous autant qu’ils sont concernés par notre singularité, feraient siens la question objet de la présente : sommes-nous, nous les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du BVC d’Accra, sommes-nous damnés ?

 

Alors que dans tous les autres BVC les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec voient leur demande aboutir dans des délais raisonnables (12 mois en moyenne selon les informations indiquées par votre site web), ceux du BVC d’Accra font le constat douloureux et amer de l’immobilité de la leur. 17 (dix-sept) mois, est la durée record que l’un de ses derniers est en train d’effectuer pour la réception des Instructions pour la visite médicale.

 

C’est peu dire que nous vivons cette situation avec beaucoup d’amertume, de frustration et de sentiment d’injustice. Cet état d’esprit semble d’autant plus légitime qu’il trouve sa source dans la méthode de travail de CIC. Pour faire court, selon cette méthode, les dossiers ne sont plus affectés aux BVC selon le critère de résidence géographique mais plutôt selon le BVC à même de le traiter rapidement. Au regard de cette disposition, nous, les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du BVC d’Accra, ne cessons, au sein des forums internet où nous échangeons, de nous poser les questions suivantes :

 

1 – cette disposition est-elle valable pour nous ?

 

2 – il y a un peu plus d’un an que le BVC de Dakar a été secondé par celui de Rabah pour la décongestion des dossiers qui y étaient en souffrance. Pourquoi le BVC d’Accra ne bénéficie-t-il pas d’une telle mesure ?

 

3 – alors que manifestement les dossiers des demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec est en souffrance au BVC d’Accra, pourquoi cette structure continue-t-elle à recevoir les dossiers qu’elle n’est pas en mesure de traiter dans les délais similaires aux autres BVC ?

 

Monsieur le Ministre, l’objectif de la présente est moins d’obtenir des réponses à ces questions que d’attirer votre attention sur une situation qui met quotidiennement nos nerfs à rude épreuve. Tout en espérant que vous daigniez y remédier, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.

 

XXXXXX XXXXXXXX

 

 

 

 

Réponse de CIC en date du 07 avril 2017

 

 

Objet : Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada

 

Monsieur,

 

Je donne suite à votre courriel du 20 février dernier adressé au ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, l’honorable Ahmed Hussen, concernant les délais observés dans le traitement des demandes de résidence permanente à titre de travailleur qualifié sélectionné par le Québec au bureau des visas à Accra.

 

J’ai pris bonne note de votre sentiment d’injustice et de votre désir que les demandes de ce genre soumises à ce bureau soient traitées plus rapidement. Tout d’abord, j’aimerais préciser que toutes les personnes sollicitant l’admission au Canada, à titre permanent ou temporaire, sont soumises à des normes qui n’établissent aucune distinction fondée sur la race, la nationalité, l’origine ethnique, la couleur, la religion ou le sexe. Chaque cas est apprécié selon son bien-fondé. Ceci reflète la tradition d’équité et de justice naturelle du Canada ainsi que le caractère multiculturel de notre nation. Notre programme d’immigration est universel et les demandeurs de partout dans le monde sont évalués selon les mêmes critères.

 

J’aimerais également rappeler que Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) examine continuellement les activités et le rendement de ses bureaux, surveille les changements de la charge de travail, analyse les besoins en ressources humaines, et examine les plaintes pour déterminer comment et où le service pourrait être amélioré. Cependant, IRCC a des ressources limitées et doit les déployer dans l'ensemble de son vaste réseau de bureaux au Canada et à l’étranger. Il importe de comprendre ici que les bureaux des visas font face à des défis différents selon les régions et les pays où ils sont situés, et parfois même selon les divers bureaux d’une même région.

 

En effet, il va sans dire que le volume de demandes à traiter au bureau des visas à Accra est très élevé et que ceci peut entraîner des délais supplémentaires. Il faut savoir aussi que l’étude d’un dossier comporte de nombreuses étapes et souvent, pour des raisons indépendantes de notre volonté, il ne nous est pas possible de traiter les cas aussi rapidement que nous le souhaiterions. C’est pourquoi, les agents à Accra évaluent la possibilité de transférer certaines demandes vers un autre bureau des visas de la région qui possède l’expertise et la capacité requises. Ils nous informent toutefois qu’il pourrait s’écouler encore quelques mois avant qu’ils puissent communiquer avec les demandeurs pour leur faire part de tout nouveau développement.

 

Bien que nous soyons conscients des inconvénients que de longs délais peuvent occasionner, nous devons néanmoins composer avec les ressources et les effectifs dont nous disposons.

 

Je regrette de ne pouvoir vous aider davantage et je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

 

 

XXXX XXXXXXXXXXXXX

Services de renseignements ministériels

Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada

 

 

Posté(e)

Bonjour Mbella, merci en tout cas pour l'initiative. On espère donc voir leurs réactions dans les mois à venir. Encore une fois merci

Posté(e)

Merci Mbella pr le retour. En d'autres termes on patiente calmement.

  • Habitués
Posté(e)
Le 06/04/2017 à 21:28, okapi74 a dit :

Faudrait peut-être qu'on appelle les médecins agréés par cic au Togo et au Bénin pour savoir si ils ont encore des candidats qui viennent passer l'ivm chez eux ?

C'est une bonne idée okapi74

  • Habitués
Posté(e)

Merci Mbella pour ce retour.

Les amis cest compliqué  et très compliqué cette attente ... ". Ils nous informent toutefois qu’il pourrait s’écouler encore quelques mois avant qu’ils puissent communiquer avec les demandeurs pour leur faire part de tout nouveau développement."  Ca qui veut dire qu'on va devoir attendre encore des mois après 19 long mois d'attente !!! 

Dieu nous soutienne.

 

Si vous avez des amis ou frères qui comptent s'engager dans ce processus je vous prie de les conseiller de se déplacer pour déposer leur dossier soit cote d'ivoire ou au Sénégal ou encore au burkina faso sils le peuvent.

  • Habitués
Posté(e)

Merci Mbela. Au moins, on sait qu'on ne doit rien attendre pendant encore quelques mois, c'est déjà ça !

Posté(e)

Cette phrase a aussi retenu mon attention. C'est vraiment dégoûtante cette attente sempiternelle

  • Habitués
Posté(e)

bonjour lq communauté

je viens saluer de vive voix l'initiative de Mbélla

cela démontre de toute sens de l'engagement que chacun

de nous a vis à vis de ce projet.Toutefois à travers ce manifeste de mbella,

tous avons compris beaucoup de choses et nous en prenons acte.

En somme,personnellement je peux déduire de la réponse du jeune ministre que l'immigration au canada pour certains peuples du continent Africains est à subir dans le sens où,on peut se foutre gaillardement du temps que cela prendra et de l'avenir des postulants  en restant  dans la posture"pourvu que cela aboutisse un jour" c'est décevant pour un pays aussi avancé que le canada et moi je suis resté dubitatif devant un courrier aussi généraliste et évasif.

Puisse un jour ilse rende compte de leur erreurs et se corrige .Encore merci à Mbella.

  • Habitués
Posté(e)

Salut les glads,

Mbella, merci pour ton retour. Je me demande pourtant selon le ministre si c'est maintenant ou jusqu'à quand BVC Accra va évaluer la possibilité de transférer certaines demandes vers un autre bureau? Or ils reconnaissent que la demande est élevé mais ils continuent encore de recevoir au jour le jour. Hummm! Quelle triste conséquence que l'on endure de cette lourdeur administrative. Tout est chamboule,les parents sont devenus des menteurs auprès des enfants....

  • Habitués
Posté(e)

Je vous suggère à tous d'envisager de clôturer vos demandes puis de changer de pays de résidence si possible et de voir enfin comment relancer la procédure ou bien j'ai lu quelque part que l'on peut solliciter que son dossier soit transféré vers un autre BVC pour peu qu'on immigre dans une autre zone peut être je me trompe je suis donc prudent .
Quand on est face à un problème alors on trouvera absolument sa solution mais si on est face à un obstacle alors il faut le contourner

  • Habitués
Posté(e)
Je vous suggère à tous d'envisager de clôturer vos demandes puis de changer de pays de résidence si possible et de voir enfin comment relancer la procédure ou bien j'ai lu quelque part que l'on peut solliciter que son dossier soit transféré vers un autre BVC pour peu qu'on immigre dans une autre zone peut être je me trompe je suis donc prudent .
Quand on est face à un problème alors on trouvera absolument sa solution mais si on est face à un obstacle alors il faut le contourner


Il faut changer d'adresse pour que vos dossiers soient traités à Dakar. C'est un bureau mieux que accra..

Envoyé de mon SM-G925F en utilisant application mobile Immigrer.com

  • Habitués
Posté(e)

Visiblement oui ou bien mieux

  • Habitués
Posté(e)

Hum mes frères qui comme moi n'avez pas encore obtenu de csq préparez vous dès maintenant
Immigrer en Civ ou au Sénégal dès maintenant ou bien venez même au cameroun et essayez de vous exercer à la recherche d'un emploi même comme le taux de chômage ici particulièrement est hummm..... [emoji4]

  • Habitués
Posté(e)

Et pourquoi c'est Accra dans ce viseur de délai non tenu. Quand je lie et relie tous les jours ce message du ministre, le monde est vraiment inégalement réparti sauf que CIC me prouve le contraire les deux mois à suivre

  • Habitués
Posté(e)
Le 4/12/2017 à 10:36, Mbella a dit :

Bonjour à tous et toutes,

 

J’avais annoncé ici que j’enverrai des courriers à certaines autorités canadiennes pour s’enquérir du pourquoi de notre particularité, nous les attendeux du BVC Accra. J’avais à cet effet adressé un courrier au ministre fédéral de l’immigration le 20 février dernier. J’ai obtenu réponse à mon courrier quelques semaines plus tard soit le 07 avril de cette année. Conformément à ma promesse de vous en faire un retour, je fais ci-dessous un copier-coller aussi bien de mon courrier que de la réponse de l’autorité y afférente. Faites-en vous-même une idée du contenu.

 

 

 

Mon courrier en date du 07 avril 2017

 

 

Objet : Sommes-nous des damnés ?

 

Monsieur le Ministre,

 

Je n’ai pas été mandaté par des demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du Bureau de Visas Canadiens (BVC) d’Accra. Je ne parle pas non plus en leur nom. Mais je suis plus que certain que tous autant qu’ils sont concernés par notre singularité, feraient siens la question objet de la présente : sommes-nous, nous les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du BVC d’Accra, sommes-nous damnés ?

 

Alors que dans tous les autres BVC les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec voient leur demande aboutir dans des délais raisonnables (12 mois en moyenne selon les informations indiquées par votre site web), ceux du BVC d’Accra font le constat douloureux et amer de l’immobilité de la leur. 17 (dix-sept) mois, est la durée record que l’un de ses derniers est en train d’effectuer pour la réception des Instructions pour la visite médicale.

 

C’est peu dire que nous vivons cette situation avec beaucoup d’amertume, de frustration et de sentiment d’injustice. Cet état d’esprit semble d’autant plus légitime qu’il trouve sa source dans la méthode de travail de CIC. Pour faire court, selon cette méthode, les dossiers ne sont plus affectés aux BVC selon le critère de résidence géographique mais plutôt selon le BVC à même de le traiter rapidement. Au regard de cette disposition, nous, les demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec dépendant du BVC d’Accra, ne cessons, au sein des forums internet où nous échangeons, de nous poser les questions suivantes :

 

1 – cette disposition est-elle valable pour nous ?

 

2 – il y a un peu plus d’un an que le BVC de Dakar a été secondé par celui de Rabah pour la décongestion des dossiers qui y étaient en souffrance. Pourquoi le BVC d’Accra ne bénéficie-t-il pas d’une telle mesure ?

 

3 – alors que manifestement les dossiers des demandeurs de résidence permanente au titre des travailleurs qualifiés sélectionnés par le Québec est en souffrance au BVC d’Accra, pourquoi cette structure continue-t-elle à recevoir les dossiers qu’elle n’est pas en mesure de traiter dans les délais similaires aux autres BVC ?

 

Monsieur le Ministre, l’objectif de la présente est moins d’obtenir des réponses à ces questions que d’attirer votre attention sur une situation qui met quotidiennement nos nerfs à rude épreuve. Tout en espérant que vous daigniez y remédier, je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.

 

XXXXXX XXXXXXXX

 

 

 

 

Réponse de CIC en date du 07 avril 2017

 

 

Objet : Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada

 

Monsieur,

 

Je donne suite à votre courriel du 20 février dernier adressé au ministre de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté, l’honorable Ahmed Hussen, concernant les délais observés dans le traitement des demandes de résidence permanente à titre de travailleur qualifié sélectionné par le Québec au bureau des visas à Accra.

 

J’ai pris bonne note de votre sentiment d’injustice et de votre désir que les demandes de ce genre soumises à ce bureau soient traitées plus rapidement. Tout d’abord, j’aimerais préciser que toutes les personnes sollicitant l’admission au Canada, à titre permanent ou temporaire, sont soumises à des normes qui n’établissent aucune distinction fondée sur la race, la nationalité, l’origine ethnique, la couleur, la religion ou le sexe. Chaque cas est apprécié selon son bien-fondé. Ceci reflète la tradition d’équité et de justice naturelle du Canada ainsi que le caractère multiculturel de notre nation. Notre programme d’immigration est universel et les demandeurs de partout dans le monde sont évalués selon les mêmes critères.

 

J’aimerais également rappeler que Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) examine continuellement les activités et le rendement de ses bureaux, surveille les changements de la charge de travail, analyse les besoins en ressources humaines, et examine les plaintes pour déterminer comment et où le service pourrait être amélioré. Cependant, IRCC a des ressources limitées et doit les déployer dans l'ensemble de son vaste réseau de bureaux au Canada et à l’étranger. Il importe de comprendre ici que les bureaux des visas font face à des défis différents selon les régions et les pays où ils sont situés, et parfois même selon les divers bureaux d’une même région.

 

En effet, il va sans dire que le volume de demandes à traiter au bureau des visas à Accra est très élevé et que ceci peut entraîner des délais supplémentaires. Il faut savoir aussi que l’étude d’un dossier comporte de nombreuses étapes et souvent, pour des raisons indépendantes de notre volonté, il ne nous est pas possible de traiter les cas aussi rapidement que nous le souhaiterions. C’est pourquoi, les agents à Accra évaluent la possibilité de transférer certaines demandes vers un autre bureau des visas de la région qui possède l’expertise et la capacité requises. Ils nous informent toutefois qu’il pourrait s’écouler encore quelques mois avant qu’ils puissent communiquer avec les demandeurs pour leur faire part de tout nouveau développement.

 

Bien que nous soyons conscients des inconvénients que de longs délais peuvent occasionner, nous devons néanmoins composer avec les ressources et les effectifs dont nous disposons.

 

Je regrette de ne pouvoir vous aider davantage et je vous prie d’agréer, Monsieur, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

 

 

XXXX XXXXXXXXXXXXX

Services de renseignements ministériels

Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada

 

 

Jaimerais fort bien dupliquer ton courrier et l'envoyer un député fédéral, ex-maire de la ville de victoriaville ou j'ai séjourné et travaillé.

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