Bauderons Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 (modifié) Je n'ai rien de mieux à faire. Les gens qui se déplacent -qui veulent survivre ailleurs- m'ont toujours paru plus libérés que les autres et donc nécessairement, plus forts (d'une certaine manière). Il est intéressant de converser avec des gens forts, car ils vous rappellent sans cesse qu'il y a autant de types de forces qu'il y a d'êtres humains et donc, qu'une culture qui n'accorde pas une valeur à chaque individu est une culture dégénérée. C'est ce que je pense. Je suis donc pour le multiculturalisme à condition qu'il soit basé davantage sur l'amour universel, sur l'amour d'autrui, que sur un déni des différences et sur une quelconque volonté d'universalisation de l'être humain. La nuance est importante ! Ceci dit, ce n'est que mon opinion. J'ai déjà discuté avec une Algérienne de 28 ans possédant des diplômes "internationaux" [qu'elle disait (je ne me suis toujours pas renseigné sur ce que s'étaient)] et ayant comme projet d'émigrer en France ou au Québec. Sur le coup, je lui ai répondu : « Bah, ici ou ailleurs, c'est partout pareil : pour qu'une femme puisse être heureuse, il lui faut trouver un homme qui l'aime. » Elle a rigolé donc j'imagine que s'était bien. Qu'en pensez-vous ? Je n'en suis pas encore sûr... Je vous pose la question parce que je trouve, qu'au fond, c'est vrai... Il faut préciser que cette Algérienne éprouvait une certaine forme de misandrie intérieure (qui ne l'empêchait pas de vivre) envers les hommes de son pays dû à leur culture (la polygamie et tout ça)... Je n'ai plus de nouvelles d'elle, car l'activité d'écriture à travers laquelle nous prenions contact était basée sur un forum trop immature pour moi et que j'ai eu le goût de le quitter : paix à ma pauvre âme de cet endroit virtuel que vous ne connaîtrez pas. Pour le reste, je suis plus qu'extrêmement critique du système capitaliste actuel. Pas tellement parce que je souhaite me borner à une vision idéale de l'humanité où tout le monde est heureux et « suffisant » (encore que : pourquoi pas), mais parce que je me sais individuellement supérieur sur le plan de la pensée aux individus qui sont responsables de ce monde irresponsable et, étant capable de me projeter plus loin dans l'avenir, je conçois d'une manière inéluctable leur échec (autant pour des raisons humaines que non-humaines). Si je suis plus qu'extrêmement critique alors, ce n'est pas pour restreindre en moi cette fatalité qui n'est que logique, mais parce que je sais aussi que ; plus tôt ce système tombera, moins lourd seront les dégâts. Plus nous arrêterons tôt d'empoisonner le corps et l'esprit de la planète, moins il y aura de morts quand ce poison commencera à faire effet. Il commence tout juste à faire effet. Il faut être réaliste, se renseigner auprès des plus savants et avoir philosophé longtemps pour comprendre [ou croire (croire qui est parfois suffisant ; il faut, je crois, humblement l'accepter)] qu'il puisse exister une réelle solidarité entre tous les gens authentiques qui peuplent la terre -ces gens authentiques qui bâtissent leurs forces sur le bien qu'ils font à autrui-. C'est ce que devinent, je crois, tous les gens les plus intelligents et qui se battent en suivant leurs intégrités : ils le devinent et ils ont raison, selon moi. Leurs discours sont éloquents, mais trop peu les écoute. Ils ont raison parce qu'ils sont logiques, je dis qu'ils ont raison parce qu'il semble que je le suis. Jamais je ne pourrais être absolument sûr de ne pas me tromper. Peut-être vivons-nous dans la matrice ? Cependant : et si s'était vrai ? Je pense que c'est par amour que je vous dis tout ça. L'amour, ce n'est pas très différent de l'admiration... et c'est de l'admiration que j'éprouve pour ceux qui veulent émigrer. Je les admire parce qu'ils sont beaux. J'ai déjà déménagé à l'intérieur de ma province (le Québec, c'est grand et varié) et j'étais beau (enfin, les filles trouvaient). Nos regards se transforment en des étoiles pétillantes d'excitation pour de nouvelles choses à apprendre, de nouvelles personnes à découvrir, une nouvelle identité à avoir, plus riche et plus authentique encore qu'avant : c'est la vie ! Pour moi, en tout cas, un changement de décor est comme un boost de vie : et c'est merveilleux. Jamais je n'ai regretté d'avoir suivi mon courage. J'y trouve même une conciliation avec ce qui semble être ma véritable nature humaine. Vous comprenez donc que je vous encourage vivement à tenter l'aventure, qui que vous soyez ! Dans le doute : il faut se lancer ! Pourquoi ? Tout simplement parce que le monde est vaste et merveilleux ! Il ne m'a suffi que de peu pour en être convaincu ! J'espère ne pas vous avoir embrouillé avec les propos que peut contenir cette présentation qui s'éternise. Je ne parle pas du dernier paragraphe, bien sûr, mais de ceux qui le précèdent. Lesdits propos sont négatifs dans bien des sens. Comprenez seulement que je suis jeune (moins de 25 ans), que je suis un homme qui aime dire ce qu'il pense et qui a appris à le dire sans convenance. La plupart des gens trop convenables ne disent que des bêtises, alors je pense que j'ai moins de chance d'en dire en ayant des façons plus directes. Et puis, là où je suis, la liberté d'expression est une cause législativement dominante... La condition humaine est une condition qui fait pitié, au fond. Entre le questionnement et l'emprisonnement, une culture a-t-elle déjà connu une autre condition que la simple survie ? Remarquez, c'est peut-être ce vers quoi nous nous dirigeons : la simple survie. Et pourtant, chez l'être humain, il me semble si évident, à moi, que le questionnement est un meilleur gage de survie... Merci de m'avoir lu. Modifié 25 juin 2014 par Bauderons Citer
Penetang Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 « Bah, ici ou ailleurs, c'est partout pareil : pour qu'une femme puisse être heureuse, il lui faut trouver un homme qui l'aime. » Moi je dirais que la vie est très longue, un homme qui l'aime durant toute sa vie c'est peu probable de nos jours. Pour moi pour qu'une femme puisse être heureuse, il faut qu'elle puisse surtout être indépendante, pas à la charge de son amoureux, c'est cela la vraie liberté qui rend la vie bien plus belle ! Pour le reste de votre texte, je vais relire pour mieux comprendre, pour quelqu'un d'aussi jeune, ce sont des propos bien sérieux ! kuroczyd a réagi à ceci 1 Citer
Invité Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Bon, je ne reprends pas tous les points parce que ton message est long et fort intéressant par ailleurs. Je vais juste donner mon opinion sur l'Algérienne et le bonheur, pour l'instant ! Je ne suis vraiment pas sûre et en fait de moins en moins en vieillissant que le bonheur personnel puisse passer par quelqu'un d'autre. Pour moi, c'est plutôt une quête intérieure qui va te permettre d'accéder à une certaine sérénité (je suis bien avec toi, mais je suis bien aussi sans toi). Je suis un ou une à part entière et non, je ne recherche pas ma "moitié" ou mon "prince charmant". Ça, c'est un truc à ne pas faire entrer dans la tête des petites filles surtout !! Alors oui, peut-être que ta réflexion sur le bonheur n'a pas vraiment convaincu la dame algérienne. En même temps, faut-il absolument être heureux ?? Citer
Habitués kobico Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 En même temps, faut-il absolument être heureux ?? Connais-tu le dicton "vaut mieux être riche et en santé que pauvre et malade"? :-) Citer
Invité Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Oui, je le connais. Mais quel est le lien avec ma question ? Citer
Habitués kobico Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Qu'il n'y a pas d'obligation à être heureux mais que c'est préférable. Même sens que le dicton. Citer
Bauderons Posté(e) 25 juin 2014 Auteur Posté(e) 25 juin 2014 (modifié) Mon être s'est nourri des choses agréables qui sont venues à moi, mais j'imagine, même si je l'ignore encore, qu'une certaine forme de souffrance, de sacrifice, doit être plus agréable qu'une contemplation absurde de soi dans une folle et aliénée idée d'éternité. Je parle d'enfants. Peut-être la sagesse est-elle alors une nécessité pour l'être humain, pour pouvoir rester droit malgré toutes ces données qui nous rentrent dans la tête et qui, bien souvent, cherchent à nous nuire dans une culture où tous se battent pour soi-même d'abord et se qu'ils en perçoivent, de ce « soi-même », souvent à tort parce qu'ils surestiment la volonté de l'autre à le briser, surement plus par une sorte de stratégie de survie qui a plus de chance de réussir en présupposant le négatif que le positif de l'autre ? Mais l'humanité en est à un point, je crois, où son meilleur gage de survie est dans l'amour de la vie ne lui appartenant pas. Je pense alors autant en celle non-humaine qu'en celle humaine et qui, dans une saine humilité, sent exclue de la sienne. Certes, il peut paraître plus bénéfique dans l'évidence d'être riche et de croire en l'argent (car il s'agit bien là d'une croyance et de rien d'autre), mais... qu'il est insignifiant ! cet être riche et idiot qui ne s'applique à rien sauf à être riche ! Quel être humain lamentable ! dans le cours de l'histoire, dans le cours du monde et dans la grandeur que l'humanité a recherchée au fil des millénaires avec tant d'ardeur ! Il est absurde de croire que l'aboutissement de la vie puisse être dans une sorte d'interdiction de mort pour les plus puissantes insignifiances humaines. Il est absurde de le croire sur tous les plans de la réflexion humaine, qu'elles soient d'une logique élémentaire [l'égotisme est absurde (nous mourrons tous) et l'avenir sera toujours trop concret pour se nourrir de l'absurde], écologiques (penser l'humain comme étant l'aboutissement de la vie dénote d'une vision de la biodiversité dont l'erreur est expliquée ici), ou même philosophique (qu'est-ce qu'un être humain). Alors, pourquoi se borner à l'impossible continuation de la tyrannie des riches ? Pourquoi ne pas plutôt s'ouvrir, se poser les bonnes questions et commencer dès maintenant, le plus tôt possible, à tisser la toile de la solidarité humaine : cette toile dont l'humanité aura besoin pour vraiment s'épanouir ? Je pense que savoir outrepasser l'absurde est la plus grande preuve de sagesse et s'il est vrai, comme je l'ai dit au début sous forme de questionnement, que la sagesse est une nécessité pour l'être humain, alors autant ne pas faire les choses à moitié et dépasser ce dernier rempart de l'absurdité qu'est la croyance en l'argent. L'humanité a tellement plus de chance de survie et une tellement meilleure possibilité d'épanouissement dans la reconnaissance de la valeur de chaque individu, avec toute la richesse qui habite chacun de nous, que même si la responsabilité du temps présent doit cruellement être entière pour fonctionner -cruellement parce que c'est difficile-, je crois, et même je suis sûr, que cela vaudrait la peine de la faire fonctionner. Enfin, c'est mon opinion. Pour ce qui est de la première question, celle sur les femmes : je pense que chaque situation est unique et qu'il appartient effectivement à la femme en question de se questionner sur elle-même et de savoir ce dont elle a besoin. Cependant, je ne pense pas qu'un couple qui dure agréablement « toute la vie » soit plus appauvrissant qu'une expérience plus large, mais jamais aussi profonde (excusez mes adjectifs). Je crois que deux êtres humains suffisamment sincères ont toujours tout ce qui leur faut pour s'enrichir mutuellement d'une manière suffisamment perpétuelle. Enfin, ça aussi, ça reste mon opinion. Modifié 25 juin 2014 par Bauderons Citer
Invité Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Qu'il n'y a pas d'obligation à être heureux mais que c'est préférable. Même sens que le dicton. Parce que tu relies la notion de bonheur à la richesse et à la santé, c'est pour ça que je ne comprends pas. C'est un peu ça qu'on essaye de nous faire croire. La question est complexe parce qu'il n'y a pas une seule définition du bonheur. Chacun a la sienne ou n'en a pas, se contentant de vivre et de savoir profiter de ce que la vie t'apporte. Citer
Invité Posté(e) 25 juin 2014 Posté(e) 25 juin 2014 Mon être s'est nourri des choses agréables qui sont venues à moi, mais j'imagine, même si je l'ignore encore, qu'une certaine forme de souffrance, de sacrifice, doit être plus agréable qu'une contemplation absurde de soi dans une folle et aliénée idée d'éternité. Je parle d'enfants. Peut-être la sagesse est-elle alors une nécessité pour l'être humain, pour pouvoir rester droit malgré toutes ces données qui nous rentrent dans la tête et qui, bien souvent, cherchent à nous nuire dans une culture où tous se battent pour soi-même d'abord et se qu'ils en perçoivent, de ce « soi-même », souvent à tort parce qu'ils surestiment la volonté de l'autre à le briser, surement plus par une sorte de stratégie de survie qui a plus de chance de réussir en présupposant le négatif que le positif de l'autre ? Je ne pense pas surestimer la volonté de l'autre à me briser. Je pense par contre que je sous-estime parfois la volonté du capitalisme à nous briser. En même temps, je vois ça comme une bonne chose qu'on fonce à toute allure dans le mur. La planète ne nous en sera que plus reconnaissante ! (voir ma citation plus bas). Citer
Bauderons Posté(e) 25 juin 2014 Auteur Posté(e) 25 juin 2014 L'abandon n'est pas un argument, c'est le choix de ne plus en donner. Est-ce un bon choix ? Objectivement : jamais pour la vie. Citer
Habitués Niklasky Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Quelle diarrhée verbale... Mcleod, Zazza et veronikalora ont réagi à ceci 3 Citer
Habitués Automne Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 je me demande pourquoi venir sur un forum d'immigration? Citer
Habitués Mcleod Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 (modifié) je me demande pourquoi venir sur un forum d'immigration? pour trouver une fille du tiers monde qui supporte ,arrive à l'écouter en souriant d'ou cette attirance pour l'algérienne... un pote avait un prof de philo qui a terminé en psychiatrie.Je comprends mieux pourquoi maintenant! Modifié 25 juin 2014 par Mcleod Citer
Bauderons Posté(e) 25 juin 2014 Auteur Posté(e) 25 juin 2014 (modifié) Les premiers échanges étaient intéressants, après vient « le reste »... C'est toujours comme ça. Au revoir « le reste », vous vous êtes répété si souvent que je connais par cœur votre maigre valeur. (Intellectuelle, pour le reste « du reste » je ne dis pas.) Modifié 25 juin 2014 par Bauderons Citer
Habitués SarahJade Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Quelle diarrhée verbale... Ça me rappelle trop mes cours de philo que je détestais! Denniss a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Mcleod Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Au revoir « le reste », vous vous êtes répété si souvent que je connais par cœur votre maigre valeur. consulte tes savants peut être auras tu l'illumination et toute les réponses à tes question jeune padawan! Et ne juge pas les autres de médiocre car tu ne sais pas quel niveau d'éveil tu as atteins!!! veronikalora a réagi à ceci 1 Citer
Habitués kobico Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Qu'il n'y a pas d'obligation à être heureux mais que c'est préférable. Même sens que le dicton. Parce que tu relies la notion de bonheur à la richesse et à la santé, c'est pour ça que je ne comprends pas. C'est un peu ça qu'on essaye de nous faire croire. La question est complexe parce qu'il n'y a pas une seule définition du bonheur. Chacun a la sienne ou n'en a pas, se contentant de vivre et de savoir profiter de ce que la vie t'apporte. Meuhhh non... C'est bien plus simple que cela. À ton questionnement sur l'obligation d'être heureux, je répond qu'il vaut mieux être heureux que malheureux, tout comme il vaut mieux d'être riche et en bonne santé que pauvre et malade. Je n'ai pas dit qu'il faut être riche et en santé pour être heureux. SarahJade a réagi à ceci 1 Citer
Habitués Blueberry Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 Meuhhh non... C'est bien plus simple que cela. À ton questionnement sur l'obligation d'être heureux, je répond qu'il vaut mieux être heureux que malheureux, tout comme il vaut mieux d'être riche et en bonne santé que pauvre et malade. Je n'ai pas dit qu'il faut être riche et en santé pour être heureux. Vérité de la Palice quand tu nous tiens.... ! Citer
Habitués Mcleod Posté(e) 25 juin 2014 Habitués Posté(e) 25 juin 2014 (modifié) "J'ai déjà discuté avec une Algérienne de 28 ans possédant des diplômes "internationaux" [qu'elle disait (je ne me suis toujours pas renseigné sur ce que s'étaient)] et ayant comme projet d'émigrer en France ou au Québec. Sur le coup, je lui ai répondu : « Bah, ici ou ailleurs, c'est partout pareil : pour qu'une femme puisse être heureuse, il lui faut trouver un homme qui l'aime. » Elle a rigolé donc j'imagine que s'était bien. Qu'en pensez-vous ? Je n'en suis pas encore sûr... Je vous pose la question parce que je trouve, qu'au fond, c'est vrai... Il faut préciser que cette Algérienne éprouvait une certaine forme de misandrie intérieure (qui ne l'empêchait pas de vivre) envers les hommes de son pays dû à leur culture (la polygamie et tout ça)... Je n'ai plus de nouvelles d'elle, car l'activité d'écriture à travers laquelle nous prenions contact était basée sur un forum trop immature pour moi et que j'ai eu le goût de le quitter : paix à ma pauvre âme de cet endroit virtuel que vous ne connaîtrez pas. :wink:" personne ne reconnaît ta haute valeur! Mais je comprends pas toute les femmes devraient être à tes pieds... Modifié 25 juin 2014 par Mcleod Citer
Invité Posté(e) 26 juin 2014 Posté(e) 26 juin 2014 (modifié) Quelle diarrhée verbale... Eh, ça dépasse largement tes capacités, hein? N'y vois aucun mal, il essaye juste de relever un peu le niveau. Mais rien à faire quand il est hautement bas. Modifié 26 juin 2014 par Saam Citer
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