Le harcèlement moral par notre blogueur de Québec Soulman

[immigrer.com]

"Gros porc", "sale bougnoule", "pd", "fayot", "salope"...

Notre blogueur de Québec parle de ce phénomène de société.

À lire en page d'accueil.

Bonne lecture !

[mornmegil]

Je ne sais pas si la lecture est bonne mais en tout cas, c'est un sujet délicat et difficile.

Difficile pour celui ou celle qui vit cela et difficile parfois à détecter pour l'entourage.

J'ai par le passé connus des amis qui sont passés par la et etre loin en étant avec la personne au bout du fil qui parle de suicide, ce n'est vraiment pas simple. Ca c'était bien finit mais ca avait été dur et je n'étais pas très en "forme" à la fin de la discussion (qui avait dut durer presque 3h).

La communication est ce qu'il y a de mieux pour éviter le pire. Il ne faut pas se laisser ronger et chercher de l'aide.

Dans un monde où l'apparence, la renommée, l'intégration dans une communauté est souvent primordial, cela peut vite arriver de se retrouver perdu ou exclu voir montrer du doigt comme une erreur.

Je pense que les réseaux sociaux amplifient encore l'effet néfaste mais peuvent parfois amener d'autres amis pour aider.

Un problème à ne jamais laisser tabou mais qui n'est pas pret de s'arreter.

[soulman]

Je ne sais pas si la lecture est bonne mais en tout cas, c'est un sujet délicat et difficile.

Difficile pour celui ou celle qui vit cela et difficile parfois à détecter pour l'entourage.

J'ai par le passé connus des amis qui sont passés par la et etre loin en étant avec la personne au bout du fil qui parle de suicide, ce n'est vraiment pas simple. Ca c'était bien finit mais ca avait été dur et je n'étais pas très en "forme" à la fin de la discussion (qui avait dut durer presque 3h).

La communication est ce qu'il y a de mieux pour éviter le pire. Il ne faut pas se laisser ronger et chercher de l'aide.

Dans un monde où l'apparence, la renommée, l'intégration dans une communauté est souvent primordial, cela peut vite arriver de se retrouver perdu ou exclu voir montrer du doigt comme une erreur.

Je pense que les réseaux sociaux amplifient encore l'effet néfaste mais peuvent parfois amener d'autres amis pour aider.

Un problème à ne jamais laisser tabou mais qui n'est pas pret de s'arreter.

Tout à fait, c'est un sujet vraiment difficile et on met toujours un peu tout dans le même bateau, c'est compliqué. Ici par exemple on parle beaucoup de burn out, de crise d'angoisse, de fatigue psychologique et de dépression en mettant tout ça sur un pied d'égalité, comme si les symptomes étaient les mêmes. Les résultats peuvent être identiques, ils peuvent amener au suicide par exemple, mais ils restent foncièrement différents et selon les cas peuvent être traités. Si on comprend les causes on peut davantage aider ceux qui en ont besoin, sans jamais en prendre la pleine responsabilité. Comme tu l'as dit, parler 3 heures à quelqu'un de suicidaire est épuisant, imagine le faire à journée longue.

Mais comprendre qu'une situation permet au moins de déceler les cas qui pourraient se dégrader, accepter la dépression d'un proche c'est se donner une chance de l'aider.

[caroline77]

J'ignorais que tu étais éducateur spécialisé de métier, c'est marrant (pas dans le sens "rigolo", mais dans le sens "étonnant").

C'est intéressant que tu donnes en exemple le suicide de l'enfant. Je pense que si cela t'a fait pleurer en dessinant cette histoire, c'est parce que tu as été "concerné" au niveau professionnel par l'histoire d'un (jeune, certainement) enfant qui s'est terminé en suicide. Je pense, mais peut-être que je me trompe.

Le problème du suicide chez l'enfant, c'est que les signes de la dépression ne sont absolument pas les mêmes que chez l'adulte. Un enfant dépressif est souvent un enfant qui montre sa souffrance par de l'hyperactivité. La dépression passe donc inaperçue, l'enfant se suicide et les parents tombent des nues car ils n'ont rien vu venir. C'est ça la réalité du suicide chez l'enfant. Mais je pense que tu sais déjà tout cela vu ton métier.