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Drôles de questions lors d'une entrevue d'emploi


ThierryBxl

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  • Habitués

Bonjour à tous,

J'aurais voulu avoir votre opinion sur le fonds de la chose suivante. Pas par rapport aux réponses que j'aurais dû donner, mais bien sur la pertinence (et la légitimité) des questions suivantes, que j'ai récemment eues lors d'une entrevue pour un emploi à Montréal :

- Êtes-vous ici seul ? Avez-vous de la famille, des amis ?

- Je suppose que vous vous rendez compte que avec un accent en français venant d'Europe, il vous sera plus difficile d'être performant dans la fonction ? Cela ne fait quand-même que deux mois que vous êtes arrivé.

- Êtes vous bien au fait du coût de la vie à Montréal ?

- Où résidez-vous ? Pourquoi ce quartier en particulier ?

Ces questions ne semblent pas pertinentes, et assez discriminatoires. Qu'en pensez-vous ?

Pour votre information, le recruteur était lui-même francophone originaire d'Europe, avouant changer son accent lorsqu'il traite avec des québécois.

A bientôt,

Thierry

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  • Habitués

Bonjour à tous,

J'aurais voulu avoir votre opinion sur le fonds de la chose suivante. Pas par rapport aux réponses que j'aurais dû donner, mais bien sur la pertinence (et la légitimité) des questions suivantes, que j'ai récemment eues lors d'une entrevue pour un emploi à Montréal :

- Êtes-vous ici seul ? Avez-vous de la famille, des amis ?

- Je suppose que vous vous rendez compte que avec un accent en français venant d'Europe, il vous sera plus difficile d'être performant dans la fonction ? Cela ne fait quand-même que deux mois que vous êtes arrivé.

- Êtes vous bien au fait du coût de la vie à Montréal ?

- Où résidez-vous ? Pourquoi ce quartier en particulier ?

Ces questions ne semblent pas pertinentes, et assez discriminatoires. Qu'en pensez-vous ?

Pour votre information, le recruteur était lui-même francophone originaire d'Europe, avouant changer son accent lorsqu'il traite avec des québécois.

A bientôt,

Thierry

1)La première est un peu étrange mais je la prends dans le sens pour évaluer le niveau de sociabilité et si en 2 mois tu t'es fait des amis. Mais au niveau avec qui tu es venu selon moi cela frôle l'illégalité.

2) La première je l'aurais posé à l'envers, allez-vous comprendre l'accent des clients (mais mieux formulée)

3) Évaluer la recherche que tu as pu faire, mais assez étrage pour quelqu'un qui est à Montréal depuis 2 mois, mais ok si tu quittais la France ou le Rimouski pour venir pour ce poste à Montréal

4) Normale et de toute façon cela est dans le cv. Sans doute pour voir le processus décisionnel.

Je pense que l'on change tous nos accents selon la personne avec qui l'on parle.

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  • Habitués

Plus j'y pense plus je réalise que ses questions étaient connes. J'ai essayé de les comprendre, de me les expliquer, de me les rationaliser mais...................elles étaient connes. Je ne sais pas si tu as le job mais mon impression c'est qu'il ne te voulait pas mais devait (pourquoi je ne sais pas) te faire passer l'entrevue.

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Et puis, 90 minutes d'entrevue pour le deuxième tour dans le processus de sélection, c'était beaucoup, vraiment beaucoup.

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  • Habitués

C'est vrai que c'est pas mal gnochon comme questions.

Mais tout dépend du ton sur lequel les questions ont été posées.

Vu que le monsieur était aussi européen il a peut-être seulement vouloir en savoir un peu plus... genre il essayait d'être chummy/chummy.

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Et puis, 90 minutes d'entrevue pour le deuxième tour dans le processus de sélection, c'était beaucoup, vraiment beaucoup.

Je te confirme, ça sent le plan foireux ou l'employeur qui va te pourrir la vie, si tu as le choix, j'irais voir ailleurs...

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Et puis, 90 minutes d'entrevue pour le deuxième tour dans le processus de sélection, c'était beaucoup, vraiment beaucoup.

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Attention à ne pas prendre non plus tout comportement différent de celui de votre pays d'origine pour un comportement anormal. Ici, le tutoiement est extrêmement fréquent. Même pour des personnes ne se connaissant que depuis quelques minutes, même d'un subordonné envers son supérieur. On a tendance, plus qu'autrefois à aller vers le vouvoiement, mais ce n'est donné à tout le monde et ce n'est pas pour autant un manque de respect.

Et 90 minutes d'entrevue, que ce soit la première, la deuxième ou la troisième, on appelle ça ici une trés belle entrevue. C'est une de 30 min qui aurait été plutôt inquiétante. Ceci dit, moi aussi je trouve les questions complètement c..... :smile:

Les pratiques linguistiques et sociales belges sont en fait très, très proches de celle des Québécois. Le tutoiement est aussi très rapide dans mon pays d'origine.

Mais, la bienséance reste la bienséance, et pour la grande majorité des Québécois, le vouvoiement est de rigueur lors d'une entrevue. Le tutoiement peut commencer après l'engagement.

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  • Habitués

Vous savez, pour ce que je vous en dit ... Mon chum a eu, il n'y a pas si longtemps que cela une entrevue de 2 heures avec un grand ponte qui l'a tutoyé au bout d'une heure.... C'était juste par expérience que je vous relatais cet exemple.

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Attention à ne pas prendre non plus tout comportement différent de celui de votre pays d'origine pour un comportement anormal. Ici, le tutoiement est extrêmement fréquent. Même pour des personnes ne se connaissant que depuis quelques minutes, même d'un subordonné envers son supérieur. On a tendance, plus qu'autrefois à aller vers le vouvoiement, mais ce n'est donné à tout le monde et ce n'est pas pour autant un manque de respect.

Et 90 minutes d'entrevue, que ce soit la première, la deuxième ou la troisième, on appelle ça ici une trés belle entrevue. C'est une de 30 min qui aurait été plutôt inquiétante. Ceci dit, moi aussi je trouve les questions complètement c..... :smile:

Les pratiques linguistiques et sociales belges sont en fait très, très proches de celle des Québécois. Le tutoiement est aussi très rapide dans mon pays d'origine.

Mais, la bienséance reste la bienséance, et pour la grande majorité des Québécois, le vouvoiement est de rigueur lors d'une entrevue. Le tutoiement peut commencer après l'engagement.

Ah ouais, t'es là depuis moins de 3 mois et t'as déjà tout compris des pratiques linguistiques et sociales des Québécois et des relations professionnelles.

Excuse-moi d'être mort de rire :Crylol:

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  • Habitués

Salut Thierry. Un peu louche ton recruteur...

Quand à l'accent de chacun, je pense qu'il faut en être fier. Une tite marque de fabrique. On a vu, sur ce forum, des Européens avouer qu'il change leur accent pour je ne sais quelle raison. Commencer une conversation ou un entretien sur un mensonge, c'est la grande classe.

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Attention à ne pas prendre non plus tout comportement différent de celui de votre pays d'origine pour un comportement anormal. Ici, le tutoiement est extrêmement fréquent. Même pour des personnes ne se connaissant que depuis quelques minutes, même d'un subordonné envers son supérieur. On a tendance, plus qu'autrefois à aller vers le vouvoiement, mais ce n'est donné à tout le monde et ce n'est pas pour autant un manque de respect.

Et 90 minutes d'entrevue, que ce soit la première, la deuxième ou la troisième, on appelle ça ici une trés belle entrevue. C'est une de 30 min qui aurait été plutôt inquiétante. Ceci dit, moi aussi je trouve les questions complètement c..... :smile:

Les pratiques linguistiques et sociales belges sont en fait très, très proches de celle des Québécois. Le tutoiement est aussi très rapide dans mon pays d'origine.

Mais, la bienséance reste la bienséance, et pour la grande majorité des Québécois, le vouvoiement est de rigueur lors d'une entrevue. Le tutoiement peut commencer après l'engagement.

Ah ouais, t'es là depuis moins de 3 mois et t'as déjà tout compris des pratiques linguistiques et sociales des Québécois et des relations professionnelles.

Excuse-moi d'être mort de rire :Crylol:

Je m'excuse mais il a raison, en entrevue on ne dit pas tu!

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  • Habitués

Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Attention à ne pas prendre non plus tout comportement différent de celui de votre pays d'origine pour un comportement anormal. Ici, le tutoiement est extrêmement fréquent. Même pour des personnes ne se connaissant que depuis quelques minutes, même d'un subordonné envers son supérieur. On a tendance, plus qu'autrefois à aller vers le vouvoiement, mais ce n'est donné à tout le monde et ce n'est pas pour autant un manque de respect.

Et 90 minutes d'entrevue, que ce soit la première, la deuxième ou la troisième, on appelle ça ici une trés belle entrevue. C'est une de 30 min qui aurait été plutôt inquiétante. Ceci dit, moi aussi je trouve les questions complètement c..... :smile:

Les pratiques linguistiques et sociales belges sont en fait très, très proches de celle des Québécois. Le tutoiement est aussi très rapide dans mon pays d'origine.

Mais, la bienséance reste la bienséance, et pour la grande majorité des Québécois, le vouvoiement est de rigueur lors d'une entrevue. Le tutoiement peut commencer après l'engagement.

Ah ouais, t'es là depuis moins de 3 mois et t'as déjà tout compris des pratiques linguistiques et sociales des Québécois et des relations professionnelles.

Excuse-moi d'être mort de rire :Crylol:

Je m'excuse mais il a raison, en entrevue on ne dit pas tu!

Ben écoutes, sur les 3/4 des entretiens que j'ai passé, le recruteur m'a tutoyé en 2/2 ... Et ce n'était pas que pour des jobines !

Ensuite, non, ces questions sont connes certes mais ne me surprennent pas. Tu devrais faire un petit tour à la formation de 3 semaines pour préparer les entretiens et tu verrais que ce n'est pas si surprenant :)

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Merci pour les infos, je ne le sens de toutes façons pas, ce gars. D'autant plus qu'il a immédiatement commencé à me tutoyer ce qui est en principe une chose à ne pas faire lors d'une entrevue. Il faut garder une certaine distance !

Attention à ne pas prendre non plus tout comportement différent de celui de votre pays d'origine pour un comportement anormal. Ici, le tutoiement est extrêmement fréquent. Même pour des personnes ne se connaissant que depuis quelques minutes, même d'un subordonné envers son supérieur. On a tendance, plus qu'autrefois à aller vers le vouvoiement, mais ce n'est donné à tout le monde et ce n'est pas pour autant un manque de respect.

Et 90 minutes d'entrevue, que ce soit la première, la deuxième ou la troisième, on appelle ça ici une trés belle entrevue. C'est une de 30 min qui aurait été plutôt inquiétante. Ceci dit, moi aussi je trouve les questions complètement c..... :smile:

Les pratiques linguistiques et sociales belges sont en fait très, très proches de celle des Québécois. Le tutoiement est aussi très rapide dans mon pays d'origine.

Mais, la bienséance reste la bienséance, et pour la grande majorité des Québécois, le vouvoiement est de rigueur lors d'une entrevue. Le tutoiement peut commencer après l'engagement.

Ah ouais, t'es là depuis moins de 3 mois et t'as déjà tout compris des pratiques linguistiques et sociales des Québécois et des relations professionnelles.

Excuse-moi d'être mort de rire :Crylol:

Je m'excuse mais il a raison, en entrevue on ne dit pas tu!

Ben écoutes, sur les 3/4 des entretiens que j'ai passé, le recruteur m'a tutoyé en 2/2 ... Et ce n'était pas que pour des jobines !

Ensuite, non, ces questions sont connes certes mais ne me surprennent pas. Tu devrais faire un petit tour à la formation de 3 semaines pour préparer les entretiens et tu verrais que ce n'est pas si surprenant :smile:

Tu as tout à fait raison de m'expliquer comment cela se passe ici. Mais selon mon expérience, je n'ai jamais été tutoyé et je n'ai jamais tutoyé lors d'une entrevue.. Mais je dois certainement me tromper vu que je suis né ici! Cela s'applique également pour les entrevues pour des jobs d'étudiant quand je l'étais, mais qui suis-je pour oser dire le contraire?

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  • Habitués

- Êtes-vous ici seul ? Avez-vous de la famille, des amis ?

- Je suppose que vous vous rendez compte que avec un accent en français venant d'Europe, il vous sera plus difficile d'être performant dans la fonction ? Cela ne fait quand-même que deux mois que vous êtes arrivé.

- Êtes vous bien au fait du coût de la vie à Montréal ?

Personnellement (mais ça ne tient qu'à moi!) j'interprète beaucoup ces questions comme l'expression d'une crainte de la part de l'employeur: que tu retourne en France au lieu d'honorer ton contrat.

"Etes vous seul ici, avez-vous des amis?": si tu es seul tu seras plus tenté de partir, au contraire si tu tisses des liens tu seras beaucoup plus désireux de te battre et de rester.

"Cela ne fait quand même que deux mois que vous êtes arrivé", la différence d'accent, ça renvoie aussi beaucoup au procesus d'intégration. Pareil pour le cout de la vie: même si c'est peu cher à Montréal, on pourrait avoir tendance à penser que les gens qui débarquent n'ont pas les ressources suffisantes pour rester.

N'oublions pas que le Monsieur est lui aussi originaire d'Europe: il est aussi passé par la case intégration, visa, parcours du combattant et compagnie, il sait ce que c'est la tentation de rentrer chez soi où tout est plus simple...

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  • Habitués

Tu as tout à fait raison de m'expliquer comment cela se passe ici. Mais selon mon expérience, je n'ai jamais été tutoyé et je n'ai jamais tutoyé lors d'une entrevue.. Mais je dois certainement me tromper vu que je suis né ici! Cela s'applique également pour les entrevues pour des jobs d'étudiant quand je l'étais, mais qui suis-je pour oser dire le contraire?

Quelqu'un qui peut ne pas tout savoir ?

T'es quand même pas croyable, on est quand même plusieurs à te montrer ce qui nous est arrivé en vrai, à nous, sur le sol québécois :flowers:

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  • Habitués

Tu as tout à fait raison de m'expliquer comment cela se passe ici. Mais selon mon expérience, je n'ai jamais été tutoyé et je n'ai jamais tutoyé lors d'une entrevue.. Mais je dois certainement me tromper vu que je suis né ici! Cela s'applique également pour les entrevues pour des jobs d'étudiant quand je l'étais, mais qui suis-je pour oser dire le contraire?

Quelqu'un qui peut ne pas tout savoir ?

T'es quand même pas croyable, on est quand même plusieurs à te montrer ce qui nous est arrivé en vrai, à nous, sur le sol québécois :flowers:

Toi aussi tu es incroyable! Oui tu as toujours raison, je m'incline et mon expérience de vie ici ne compte pas! Alors à tes prochaines etrevues, dis tu et tu auras raison, Je m'excuse d'avoir cité l'expérience d'une vie et de dre que cela n'était pas dans les habitudes de tutoyer lors d'entrevue surtout en regardant le nombre d'années que tu as passées ici. :blush2:

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  • Habitués

Personnellement (mais ça ne tient qu'à moi!) j'interprète beaucoup ces questions comme l'expression d'une crainte de la part de l'employeur: que tu retourne en France au lieu d'honorer ton contrat.

Ben, euh, je ne viens pas de France, moi : il y a aussi des Belges, des Suisses et des Luxembourgeois qui s'installent au Québec, et dans le reste du Canada. :-)

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