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  • Habitués
Posté(e)

Bon ben alors... ça va quand même améliorer vos perspectives, non ?

  • Habitués
Posté(e)

Comment gérer vous cette frustation :sad: née du faite d'être obligé temporairement (parfois pour une longue durée) à faire de petits boulots (Jobine ) afin de survivre au Québec avec ou sans sa famille nucléaire :blush2: .

Etre hautement diplomé (ingénieur, docteur, etc) d'une université/école européenne ou occidentale voir du reste du monde et se retrouver préposé a l'entretient (balayeur, videur de poubelle), au dechargement de conteneur, au picking et j'en passe.....brise fortement le moral :sad: en tant qu'immigrant selectionné pour des compétences :huh2:.

Je me rappelle très bien de tes premiers messages sur le forum. Tu affirmais que tu voulais t'investir dans l'industrie du sexe et bla bla bla.

Si tu avais passé moins de temps à dire des niaiseries et investir ton énergie à profiter des informations sur le marché du travail offertes gratuitement par la communauté I.com, tu aurais probablement moins galéré. Une bonne âme t'aurait probablement aiguillé vers des offers.

Non Kweli mon coup de gueule :biggrin2: à l'époque n'était des niaiseries comme on le dit ici.

Dans le cadre des formations transversales liées à ma formation doctorale, j'ai, suite à la proposition d'un éminent sociologue européen, choisir de refléchir sur le thème "exportation intercontinentale de l'industrie du sexe : faiblesses, atouts et faisabilté" en vue de dégager des pistes de discussions entre doctorants.

Ce n'était pas du temps perdu pour moi bien au contraire :kiss:

Bon ben alors... ça va quand même améliorer vos perspectives, non ?

Je l'espère bien :smile: et c'est mon souhait

  • Habitués
Posté(e)

Dans le cadre des formations transversales liées à ma formation doctorale, j'ai, suite à la proposition d'un éminent sociologue européen, choisir de refléchir sur le thème "exportation intercontinentale de l'industrie du sexe : faiblesses, atouts et faisabilté" en vue de dégager des pistes de discussions entre doctorants.

Ce n'était pas du temps perdu pour moi bien au contraire :kiss:

En bon français : yeah, right. Et en bon québécois : houin, genre.

  • Habitués
Posté(e)

D'ailleurs je lui ai proposé de l'aiguiller et il ne m'a jamais repondu... alors je pense c le genre grande gueule qui fou rien... c pour ca il a rien trouver... moi je connais un ingenieur algerien qui a trouver un boulot chez bombardier en meme pas 3 semaines... mais le gars agissait au lieu de parler.

  • Habitués
Posté(e)

D'ailleurs je lui ai proposé de l'aiguiller et il ne m'a jamais repondu... alors je pense c le genre grande gueule qui fou rien... c pour ca il a rien trouver... moi je connais un ingenieur algerien qui a trouver un boulot chez bombardier en meme pas 3 semaines... mais le gars agissait au lieu de parler.

Merci pour votre intérêt au sujet que j'ai posté

Excusez moi pour le retard je me suis mélanger les pinceaux, je viens de vous envoyer un MP, au plaisir de vous relire

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour,

Hier j'ai vu ce blog : http://www.provincec...ne.blogspot.fr/

Le monsieur, français, est également ingénieur agronome. Il a dû étudier de nouveau pour obtenir un titre au Québec.

Peut être, le mieux serait de le contacter est de connaître son parcours et les chances de travailler dans ce secteur particulier sur Montréal.

Bon courage

quebecoupas

Merci pour le lien, mais je ne voie pas l'expérience partagé par l'auteur que tu cites en rapport avec l'état de ma question

  • Habitués
Posté(e)

quebecoupas

Merci pour le lien, mais je ne voie pas l'expérience partagé par l'auteur que tu cites en rapport avec l'état de ma question

C'est drôle, j'ai trouvé en 2 minutes le message où il parle de son admission à l'Ordre.

Tu sais, si tu souhaites devenir chercheur, ce n'est pas mauvais de savoir chercher...

  • Habitués
Posté(e)

C'est drôle, j'ai trouvé en 2 minutes le message où il parle de son admission à l'Ordre.

Tu sais, si tu souhaites devenir chercheur, ce n'est pas mauvais de savoir chercher...

j'étais sûrement distrait par les photos sur son blog...mais bon je suis chercheur (sans emploi) car la formation acquise est une formation à la recherche par la recherche...et ça il ne faut pas en douter

  • Habitués
Posté(e)

Houin ben tu sais quoi - j'hésite entre le terme "vaseux" et le terme "fumeux" en te lisant. J'espère dans ton intérêt que lorsque tu t'adresses à un employeur potentiel, ça sonne un petit peu plus sérieux tout ça...

  • Habitués
Posté(e)

Non Kweli mon coup de gueule :biggrin2: à l'époque n'était des niaiseries comme on le dit ici.

Dans le cadre des formations transversales liées à ma formation doctorale, j'ai, suite à la proposition d'un éminent sociologue européen, choisir de refléchir sur le thème "exportation intercontinentale de l'industrie du sexe : faiblesses, atouts et faisabilté" en vue de dégager des pistes de discussions entre doctorants.

Ce n'était pas du temps perdu pour moi bien au contraire :kiss:

Ouais ... en effet, tu ne perdais pas ton temps, tu perdais juste le nôtre :whistlingb:

Et pendant que tu nous tournais en bourrique, tu as manqué l'occasion d'apprendre que les agronomes, ce n'est pas à Montréal qu'ils doivent aller (à moins que ta spécialité ne soit la culture sur l'asphalte). Avoir su avant, tu serais allé à St-Hyacinthe, à Victoriaville, à La Pocatière ou en Beauce. J'espère que tu sauras trouver tout seul pourquoi je parle de ces villes.

Tu te demandes sûrement pourquoi je perds patience avec toi. C'est juste parce qu'il est deux fois plus dur pour un Africain de faire son trou ici. Si, en plus, tu manques de sérieux ...

Je sais, je sais, je ne suis pas ta mère :Crylol:

  • Habitués
Posté(e)

Houin ben tu sais quoi - j'hésite entre le terme "vaseux" et le terme "fumeux" en te lisant. J'espère dans ton intérêt que lorsque tu t'adresses à un employeur potentiel, ça sonne un petit peu plus sérieux tout ça...

Non Kweli mon coup de gueule :biggrin2: à l'époque n'était des niaiseries comme on le dit ici.

Dans le cadre des formations transversales liées à ma formation doctorale, j'ai, suite à la proposition d'un éminent sociologue européen, choisir de refléchir sur le thème "exportation intercontinentale de l'industrie du sexe : faiblesses, atouts et faisabilté" en vue de dégager des pistes de discussions entre doctorants.

Ce n'était pas du temps perdu pour moi bien au contraire :kiss:

Ouais ... en effet, tu ne perdais pas ton temps, tu perdais juste le nôtre :whistlingb:

Et pendant que tu nous tournais en bourrique, tu as manqué l'occasion d'apprendre que les agronomes, ce n'est pas à Montréal qu'ils doivent aller (à moins que ta spécialité ne soit la culture sur l'asphalte). Avoir su avant, tu serais allé à St-Hyacinthe, à Victoriaville, à La Pocatière ou en Beauce. J'espère que tu sauras trouver tout seul pourquoi je parle de ces villes.

Tu te demandes sûrement pourquoi je perds patience avec toi. C'est juste parce qu'il est deux fois plus dur pour un Africain de faire son trou ici. Si, en plus, tu manques de sérieux ...

Je sais, je sais, je ne suis pas ta mère :Crylol:

Pour ajouter mon grain de sel, je dirais vaseux, fumeux et qu'il nous tourne encore en bourrique.

C'est pas sérieux pantoute son truc. Étudier la faisabilité de la chose pour se donner des trucs entre doctorants... :innocent:

J'ai pas de poignée dans le dos....

  • Habitués
Posté(e)

Bonjour,

Hier j'ai vu ce blog : http://www.provincec...ne.blogspot.fr/

Le monsieur, français, est également ingénieur agronome. Il a dû étudier de nouveau pour obtenir un titre au Québec.

Peut être, le mieux serait de le contacter est de connaître son parcours et les chances de travailler dans ce secteur particulier sur Montréal.

Bon courage

Allo tout le monde,

Je suis l'auteur du blog (merci statistiques blogger, car sans elles, je n'aurai pas retrouver votre conversation :-)

Je reste à votre disposition si vous avez des questions, des remarques ou des besoins de petits conseils pour ce qui a attrait à l'agriculture, dans la mesure de mes connaissances. Ce ma fera très plaisir de partager avec vous ma petite expérience.

Pour faire court, j'ai quitté la France en aout 2010, j'occupais un poste de conseiller pour les agriculteurs. En arrivant au Québec, j'avais le souhait de mettre à profit mon expérience et mon amour de l'agriculture. Je dois avouer que ce fut un peu dur au départ (peut-être avais-je trop l'impression que ca allait être plus simple). J'ai envoyé des CV à de nombreuses structures en lien avec l'agriculture, mais force est de constater que ca ne fonctionnait pas. Le taux de réponse frolait le 0. Mais on le sait tous, cette méthode ne fonctionne pas, elle n'est pas adaptée pour le Québec et c'est d'autant plus vrai que le milieu agricole est un monde fermé, qui ne laisse pas toujours de la place à des candidatures extérieures (au monde agricole et au monde tout court).

De aout 2011 à décembre 2011, j'ai fais un peu de récolte de pomme tout en maintenant mes recherches d'emploi.

J'ai eu l'audace de maintenir mes envois de CV (sans réponse), mais j'ai surtout mis l'emphase sur une recherche plus pro-active. je pense qu'il est primordial de garder un rythme dynamique de recherche d'emploi où l'on se sent écouter et où l'on sent que l'on intégre progressivement le marché de l'emploi que l'on vise. Dès fin septembre 2011, j'appelais les entreprises québecoises (club Agro, FADQ, FAC, institutions financières privées, MAPAQ, UPA, etc,...) pour leur proposer un petit rendez-vous de 30 minutes à 1 heure pour qu'ils me parlent d'eux et de leur métier et apprendre à les connaitre. On prenais RDV, j'arrivais à l'accueil et je jasais avec eux, à leur coté, dans leur bureau. C'est une façon d'avoir des contacts et d'échanger sur nos expériences agricoles personnelles. A l'occasion, je me permettais également de leur proposer que l'on lise mon CV ensemble pour s'assurer que j'utilise bien leurs mots et qu'on se comprenne (indirectement, j'avais la garantie qu'ils lisaient mon CV et j'augmente la chance qu'il soit diffusé).

Ca a fonctionné. On m'a proposé un poste dans mon domaine, le conseil en gestion agricole. J'ai démarré technicien. Pour valoriser mon diplome pleinement, j'ai du revenir à l'Université pour passer 9 crédits. J'ai donc suivi 3 cours en meme temps que mon travail et j'ai passé mon examen de l'Ordre des Agronomes. Je suis maintenant Conseiller après un peu plus d'un dans l'entreprise. Je vis à Montréal et il est certain qu'il n'y a pas ou peu d'agriculture dans la métropole et je voyage beaucoup en voiture (50 000 km en moins de 2 ans), mais ca me fait connaitre la province et son agriculture (ca m'a d'ailleurs bien aidé pour l'examen de l'Ordre).

Il y a sans aucun doute une petite part de chance dans la réussite des recherches, mais il faut surtout s'adapter aux us et coutumes du pays et parfois forcer sa personnalité. Je dois avouer que c'est un exercice qui n'est pas toujours facile pour moi (je suis de nature assez réservé).

Voila en résumé ma petite expérience personnelle et si vous avez des questions ou l'envie de suivre un peu cette aventure, je remet le lien de mon blog : www.provincecanadienne.com, qui sans prétention aucune, permet de partager mes petites expériences d'immigré :-)

Au plaisir !

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