Azarielle

Des emplois, ce n'est pas ce qui manque. Partout où on va il y a des affiches indiquant que l'entreprise recrute. Maintenant, ça dépend aussi des conditions que vous avez. Avez-vous la RP? Un permis temporaire? Un permis d'études? Je viens de voir que vous avez le passeport, vous êtes donc citoyenne. C'est donc très facile de trouver autre chose.

Depuis la dernière rentrée, les cas Liés à la COVID sont traités différemment. L’an dernier, la santé publique avertissait systématiquement les écoles de tous les cas dans l’établissement. Ce n’est pas le cas cette année. Ce sont les parents qui avisent l’école et ce n’est pas toujours fait. J’ai appris qu’une de mes élèves avait eu la Covid bien après son retour en classe. Si ça se trouve, elle est venue en classe alors qu’elle était contagieuse puisqu’elle n’a pas été très longtemps absente. Et ça c’est sans compter les cas contact qui ne s’isolent pas tout le temps. Cette année scolaire, on est beaucoup moins informé de la situation dans les écoles. J’imagine que c’était trop de travail pour la santé publique, ils ont donc changé leur façon de faire.

Ceux qui viennent s'installer pour l'argent sont souvent déçus. Pour faire ce gros changement de vie, ça prend d'autres raisons que le salaire. Si dès le départ, ça vous inquiète tant. Ne le faites pas. Vous êtes en informatique, il y aura encore d'autres possibilités si vous changez d'idée.

Et pourquoi ne pas prendre de vrais Québécois plutôt que de tenter de faire si maladroitement l’accent? Envoyé de mon iPhone en utilisant application mobile Immigrer.com

Bah, j'ai aussi un problème avec cette réalité, mais je suis plus modérée que Jimmy. Je ne comprends pas non plus qu'une personne de la France (qui jouit d'un tarif préférentiel) vienne étudier au Québec en anglais. Mais bon, je n'ai pas envie de débattre là-dessus. (signé une ancienne étudiante de McGill ou comme dit juetben, une méchante pas fine souverainiste qui a ldoit)

J'ai des prélèvements à chaque paie, je paie en plus lors de la déclaration provinciale. En plus, je dois payer de ma poche pour enseigner. Admettons que ça me mettrait en %?#$$#"$# de savoir que je ferais partie des rares à payer de l'impôt.

Hein? Ça sort d'où cette statistique?

Alors là ce n'est pas souhaitable. Si notre nord se réchauffe et que le pergélisol dégèle, c'est une augmentation fulgurante des gaz à effet de serre, ce sont des glaciers qui fondront encore plus rapidement et des territoires qui disparaitront sous les eaux. C'est un véritable drame pour l'humanité.

Le début de la vidéo me semble assez juste. Les descriptions du territoire et des relations internes et externes sont plutôt justes. Je n'aime pas l'expression "problème québécois", mais c'est vrai qu'il y a une opposition entre les deux solitudes. Là où je décroche c'est sur la solution annoncée : ouvrir largement les portes à l'immigration. Le territoire est grand, on peut donc recevoir beaucoup d'immigrants ce qui augmentera notre rapport de force avec les États-Unis. Le problème c'est que les immigrants ne choisissent pas d'aller vivre en régions éloignées, ils s'installent dans les grands centres. Cette idée de développer le potentiel du grand nord avec les immigrants est donc, selon moi, une véritable lubie. Le choc thermique est déjà grand pour certains d'entre eux alors qu'ils vivent dans les grands centres où les infrastructures adoucissent la saison hivernale, alors imaginons-les dans des régions très exposées à la rudesse de l'hiver, où le froid est plus mordant, où la durée de la nuit hivernale dépasse celle du sud, où les achats du quotidiens ont des coûts prohibitifs. Tout ça est bien beau en théorie, mais en pratique... L'immigration est positive quand la société d'accueil et les nouveaux arrivants y trouvent leurs comptes. Pour cela, il faut des emplois à la hauteur des qualifications des arrivants, il faut des services d'accueil favorisant une bonne intégration au milieu. Trop souvent, ce sont les gens de la communauté d'origine qui jour ce rôle ce qui favorise le communautarisme et le "vivre à côté" plutôt que le "vivre ensemble". J'édite pour ajouter que la grandeur du territoire ne signifie pas qu'il peut être entièrement colonisé. Pense-t-on installer des personnes dans les grands déserts? Le grand nord canadien est un désert alimentaire. Dans un sol gelé en permanence on ne peut pas faire pousser d'aliments. Y installer des serres a un coût énergétique et environnemental.

N'est-ce pas ce qui rend notre pays intéressant? Une qualité de vie intéressante sans avoir tous les projecteurs sur nous.

Voilà un bon conseil. À cet âge, l'enfant a déjà beaucoup d'attaches ailleurs qu'au Québec et il ne voudra peut-être pas rester. C'est sage de voir ce que l'enfant envisage pour son avenir. Ça permettra de prendre une décision éclairée.

Pour l'allemand, il y a peut-être quelques écoles privées qui l'offrent, mais en général, l'enseignement des autres langues est habituellement offert par un enseignant d'anglais qui est permanent dans l'école. Il faut savoir que hors le français et l'anglais, aucune autre langue ne fait pas partie du Programme de l'École québécoise (curriculum). L'enseignement des autres langues est donc optionnel, aucune école n'est tenue d'enseigner une 3e ou 4e langue. Dans les écoles où j'ai enseigné, l'espagnol est toujours enseigné par des enseignants d'anglais langue seconde qui ont été formés pour les deux langues, ce qui n'est pas le cas de tous les enseignants d'anglais. Si un enseignant de l'école avait la capacité d'enseigner l'allemand, l'italien, le portugais, le russe, ou autres, l'école pourrait peut-être offrir ce cours optionnel aux élèves, mais elle ne prendra pas le risque d'offrir une matière optionnelle pour laquelle elle n'est pas certaine d'avoir d'enseignant qualifié. L'école offrira donc des cours en fonctions des ressources déjà présentes dans l'équipe enseignante. Si la personne qualifiée et permanente décidait de quitter, le cours ne serait plus offert. Comme on vous a mentionné plus haut, pour enseigner au secondaire, il faut avoir une autorisation légale du ministère de L'Éducation (brevet, permis provisoire). Pour obtenir cette autorisation, il y a des critères à rencontrer ce qui oblige souvent à retourner à l'université.

"Qui vole un oeuf vole un boeuf!"

Pour le déménagement, il est possible de faire un changement d'adresse auprès de Postes Canada. Moyennant quelques dollars, votre courrier sera envoyé à la nouvelle adresse.

Il existe deux DEC, un préuniversitaire d'une durée de 2 ans, un autre technique d'une durée de 3 ans. Lui reconnaîtront-ils le double DEC, je n'en ai aucune idée. Mais je reviens à l'essentiel. Il faut communiquer avec les ordres. Les exigences et reconnaissances seront différentes. Il existe le DEC au Québec, pas en Ontario. Il y a des ententes entre la France et le Québec, mais pas avec les autres provinces. Bref, il faut aller à la source.

Non, non. DEP = infirmière auxiliaire DEC = infirmière BACC = infirmière-clinicienne Il est possible que l'ordre tienne compte de la formation (cours suivis) et de l'expérience pour déterminer si c'est le DEC ou le BACC qui sera reconnu. Mais si la formation a été faite en France, des accords facilitent sûrement une véritable reconnaissance. Avec ces deux organisations, vous serez davantage informés pour les reconnaissances et les démarches à entreprendre pour pouvoir pratiquer.

Il faut savoir qu'avec 2 enfants, vous obtiendrez des déductions et des aides qui réduiront les impôts à payer. Je ne sais pas où vous vivez en France, mais les logements à Montréal (même s'ils ont grimpés dans les derniers mois) restent plus abordables qu'à Paris. Voici une capture d'écran d'un site de Statistiques Canada. Je vous mets le lien aussi, mais un problème technique affecte certaines composantes de leur site (indiqué sur la page d'accueil). (lien)

J'ai l'impression que c'est le DEC en soins infirmiers lui sera reconnu sans problème, pour le baccalauréat, je ne sais pas. Cependant, il faut savoir que chaque province a ses critères pour l'exercice de cette fonction. La santé relève du provincial, il n'y a donc pas de possibilité de pratiquer partout au Canada. A-t-elle communiqué avec l'ordre des infirmières de la province visée? Les critères peuvent varier d'une province à l'autre. Voici ceux pour le Québec : https://www.oiiq.org/acceder-profession/exercer-au-quebec/infirmiere-de-la-france-admissible-a-l-arm Pour l'Ontario : https://www.cno.org/en/become-a-nurse/registration-requirements/

Dans le milieu de la musique, les reprises sont fréquentes, mais il y a des droits d’auteurs qui se paient. Eddy Mitchell a lui-même adapté une chanson d’un autre artiste. http://

L’accent, bah! Mon malaise se trouve ailleurs. Gad Elmaleh, je le trouvais intéressant avant de savoir qu'il recyclait les numéros d'autres humoristes. Il a perdu tout intérêt pour moi à ce moment-là. Et l'accent, il le possède moins bien qu'avant. Il faut dire qu'il y a longtemps qu'il n'habite plus ici. Des artistes francophones originaires du Canada, ce n'est pas ce qui manque à la France. Ne pouvaient-ils pas en choisir un parmi ceux-ci? Mon malaise est dans le reste de l'épisode. On voit finalement que le Canada n'est pas si connu que ça. Un des participants a utilisé la noix de coco en disant que la Martinique était une colonie du Canada. Le mariage entre séquoia et érable. Les deux étant aux antipodes du Canada. Et puis en terme d’inspiration québécoise ou canadienne, les recettes étaient très éloignées de ce qu’on trouve ici. Sirop d’érable dilué avec du miel et bleuets, point à la ligne. Ils auraient pu utiliser les canneberges, le sucre ou le beurre d’érable, l’amélanche, des épices boréales, etc. Ils auraient pu revisiter des classiques canadiens comme la tarte au sucre, la tarte au beurre, le pouding chômeur, les barres nanaimo et en faire des versions plus légères, plus gastronomiques. Ils on intégré la "pancake" dans un des desserts, mais sans plus.

Je ne possède pas la réponse, mais je me questionne sur un autre aspect. Il y a les règles d'entrée du pays où on atterrit, mais n'y a-t-il pas aussi les règles pour le pays d'embarquement? Je veux dire, Air Canada est aussi soumis aux règles de Transport Canada et donc du Canada quand il utilise un aéroport canadien. Non?

Caricature du jour dans Le Devoir : quand le serpent se mord la queue.

En effet, ceux qu'on voit dans le décor sont souvent des VUS ou des camion de type pick-up.

La fausse sécurité de la fermeture des frontières à certains pays. Comme ce variant a été détecté dans de nombreux pays, peut-être faudrait-il tester tous les gens qui entrent peu importe leur pays.

J’emprunte des routes de campagne avec une voiture électrique. Nul besoin d’un VUS. Envoyé de mon iPhone en utilisant application mobile Immigrer.com