cherry

Tu peux consulter l'annuaire Qui fait quoi, spécialisé dans le domaine, les coordonnées de toutes les boîtes y sont: http://www.qfq.com/ Quelques sites où l'on peut trouver des offres d'emploi dans le domaine: http://www.grenier.qc.ca http://www.infopressejobs.com Je t'en dirai plus plus tard, on vient de m'approcher au boulot pour travailler...

Oui, ça serait sympa de se rencontrer. Où je travaille, il y a peut-être des possibilités d'emploi pour l'été. Je t'envoies un MP très bientôt (suis fatiguée et vais me coucher). Cherry

Avec moi, 7 1/2. Je travaille pendant de courtes périodes mais de façon assez intense merci. Du genre: monter un reportage de 2 min en 20 min car le deadline est dans 20 min 1 sec et pas 1 sec de plus. Mais en dehors des heures de pointe (les journalistes arrivent tous en même temps), tant qu'à me "pogner le beigne", je surfe aussi. D'ailleurs, moi et Dariane se sont croisées sur un autre site... Et j'avoues que de peindre des pierres tombales ou garder des mannequins, c'est difficilement battable... Quoique, j'ai eu en job assez abrutissant merci. C'était dans une usine de pâtes destinées à être congelées. On m'avait mis sur l'extrémité du tapis roulant, devant la balance. En gros, je regardais les lasagnes passer dessus et si la lumière rouge s'allumait (donc que le poids n'était pas atteint), je disais "de la sauce!". J'ai passé huit heures à dire "de la sauce", à grelotter parce que l'énorme congélateur était juste à côté, et à tenter tant bien que mal de gérer l'afflux de lasagnes qui arrivaient parce que la fille que devait ajouter une louche de sauce tomate ne fournissait pas! Des lasagnes tombaient par terre, il y en avait partout! J'ai compris alors pourquoi on m'avait donné des bottes de pluie: aux quinze minutes, quelqu'un passait et lançait un seau d'eau sur le plancher sans avertissement au préalable. Le mal de tête...!!! J'ai démissionné à la fin de tout mon premier shift, mon record...

Je n'ai jamais côtoyé de fumeurs en salle de montage journalistique. Interdiction de fumer à la SRC. Jamais fumé en montant mes 3 films minables non plus. En tout cas pas de la cigarette. ← Je confirme: cigarette absolument interdite. C'est la loi et partout c'est comme ça, pas juste dans les salles de montage. Méchant contraste quand on sait comment ça se passe en France. Mon beau-frère, qui travaillait à la Défense à Paris, m'a dit que les étages impairs étaient fumeurs et les étages pairs ne l'étaient pas (ou vice-versa). J'ai trouvé ça très drôle...! Et JayJay, moi aussi j'ai goûté à "la chose" en plein montage. C'est un contrat de nuit que je faisais comme ça, pour dépanner. Le réalisateur -lui aussi pigiste de passage et que je venais tout juste de rencontrer- était plus préoccuppé a rouler ses joints, à m'offrir de la bière trouvée dans le frigo de la boîte, et à satisfaire ses "munchies", l'appétit ayant été réveillé par la force des choses. J'ai trouvé ça bizarre mais très drôle. On s'est bien amusé mais je n'ai jamais été rappelée, probablement parce que le montage n'était pas assez avancé à leur goût...!!! Mais bon, passons...

Un courreux ← Non! C'est un courailleux...! Non sans blague, au Québec, on dit marathonien. Répétez après moi: ma-ra-tho-nien.

Oui, bon... Euh, ton approche est tout à ton honneur mais, comme l'a signalé Zogu, ton dépend de ton domaine. Travaillant en TV, je peux moi aussi m'en permettre, mais de là à mettre le paquet comme toi, pas vraiment. Je suis une adepte du dosage et je crois qu'on peut être créatif sans servir une pizza toute garnie. Et j'ai entendu à travers les branches que les gens du domaine -surtout ceux de la pub- sont tannés de recevoir des "concepts"; ils veulent des feuilles de papier dans une enveloppe, pas un CV chanté, une cassette vidéo ou une boîte-à-surprise. Donc, à moins que ton idée soit vraiment vraiment bonne, je te conseillerais de t'auto-censurer un peu. Ce qui surprend un Français ne surprend pas nécessairement un Québécois, ça peut même jouer contre toi. Le sérieux de ton approche doit primer sur le olé-olé, il en va de ta crédibilité. Ça n'empêche pas d'être créatif, mais comme je l'ai dit précédemment: trop, c'est comme pas assez. Tu peux toujours joindre un port-folio à ton envoi pour montrer tes talents. Cela dit, je suis aussi une adepte de la franchise: c'est par elle que l'on peut établir un réel contact et créer un climat de confiance réciproque. Or, cet état d'esprit et ce naturel viennent avec le temps et l'expérience. Les jeunes diplômés sont beaucoup plus nerveux et ont l'impression de jouer leur vie. Quand on est passé par là, et qu'on a réussi, il est beaucoup plus aisé après d'approcher d'autres employeurs: on connaît nos forces et nos faiblesses, on connaît le milieu, on a gagné en confiance et en compétence, et surtout, on sait ce qu'on veut... et ne veut pas. Je mets donc le paquet sur ma lettre, la personnalise. C'est par elle que je me démarque vraiment, en expliquant franchement où j'en suis et ce qui me branche. Si ça les branche aussi, bingo.

Récit très intéressant. Le coup de la contravention m'a fait sourire... J'aime bien ces histoires. Ça me donne une idée de ce qui vous a poussé à vouloir immigrer ici plutôt qu'ailleurs. J'espère pour toi que votre voyage de noces se passera bien et que ta douce aura le même béguin pour le Québec. Vous comptez allez où cette fois? Je vous conseille de vous éloigner des centres urbains, d'aller en Estrie ou dans les Laurentides pour vraiment goûter à la nature canadienne. Comme vous venez en août, il y a toutes sortes d'activités possibles: camping, trekking, baignade dans un lac, activités nautiques, pique-nique, etc. En plus, c'est seulement à quelques heures de routes de Montréal, si vous voulez continuer à explorer cette ville. J'ai un ami qui a une superbe petite maison de campagne en Estrie et il la loue aux touristes. Si ça peut vous intéresser, toi ou les autres: http://www.geocities.com/kingscroftqc/ J'ai remarqué que les mois de juillet et août sont complètements "bookés". Mon ami s'est probablement réservé la maison pour l'été. Peut-être qu'il est possible d'avoir un weekend pendant cette période en lui écrivant, qui sait? Sinon, en septembre? En tout cas, c'est un bel endroit en pleine campagne et ça va sûrement intéresser quelqu'un...

Tu te trompes de cible... Fais une recherche sur ce que j'écris sur le forum depuis bientôt 2 ans. Tu vas voir qu'en matière de defenseur du capitalisme on trouve beaucoup mieux !!!! Je suis sûr que tu as dû en faire rire plus d'un !!! Tous les conseils que je donne ici vise à permettre à chacun de s'intégrer au système tel qu'il fonctionne ici. Pas de tomber dans ses travers mais de savoir en tirer avantage. Nuance. ← Totof capitaliste?!? Qu'est-ce qui se passe totof, tu fais de la fièvre...? Et chers forumistes, vous avez peut-être des problèmes à avoir votre première carte de crédit. Mais du moment où c'est réglé, que vous avez un historique et une première carte, attachez-vous! Vous allez être bombardés d'offres de toutes sortes jusqu'à en être écoeurés! Je reçois en moyenne deux offres par semaine pour une nouvelle carte, sans compter les offres de prêts préautorisés, les chèques et autres cochonneries. Toutes les compagnies de crédit sans exception ont alors vos coordonnées et connaissent vos habitudes de consommation. Vous vous achetez des billets d'avion? Ne soyez pas surpris de recevoir une offre pour des bagages en cuir véritable dans un envoi juste après. Ce sont de véritables requins!

Pour la lettre, tout dépend de votre domaine. Je n'écrirais pas le même genre de lettre si je cherchais un poste de comptable par exemple, que si je cherchais un job artistique. Je m'en permettrais moins disons... idem pour le look général de mon CV. Pour ma part, quand je cherche un job, c'est rarement en réponse à une offre, les offres d'emploi dans mon domaine n'étant pas affichées. Je commence donc ma lettre en m'introduisant, en expliquant mon cheminement, ce qui m'a poussé à les approcher, en disant ce que je cherche et pourquoi je pense que leur boîte pourrait satisfaire mes désirs, de même que pourquoi la dite boîte gagnerait à m'avoir dans ses rangs. Bref, je me vends et je les flatte dans le sens du poil tout à la fois. Le ton général laisse entendre que je ne suis pas désespérée, mais très intéressée à les rencontrer et à travailler pour eux. C'est surprenant comme ça peut fonctionner...! Et j'ai remarqué qu'il est encore plus facile de se trouver un job quand on en a déjà un, surtout s'il est dans le même domaine: ça prouve que l'argent n'est pas la seule motivation, ça montre qu'on veut exploiter à fond les compétences déjà acquises... et ça flatte leur égo en même temps. Je me répète peut-être mais dans mon domaine, les gros égos pullulent...

MDR Zogu! Je parlais de phrases, sujet-verbe-complément, pas de langage codé! C'est parce que j'ai regardé le CV d'un ami français et c'était de looooongs paragraphes pas très vendeurs qui ne disaient rien de bien pertinent en plus. Tout ça, avec une mise en page qui rendait difficile la lecture. Un peu comme énumérer ses loisirs, on sentait qu'il était désespéré. Du genre: "je tape des textes, je fais des photocopies, je les mets dans des enveloppes, j'adresse les enveloppes et je mets des timbres, tout ça avec le sourire." Poubelle...! Comme on dit ici: simple is beautiful ou trop, c'est comme pas assez...

100% d'accord avec toi totof! Peaufinez la mise en page, rendez le tout agréable et facile à lire, et surtout, préférez les phrases courtes qui résument tout aux romans qui n'en finissent plus. Vous pourrez développer en entrevue. Et je pense aussi qu'il est plus efficace de cibler la personne responsable d'un département x aux ressources humaines, surtout quand aucune offre n'a été affichée. Il suffit d'appeler pour savoir le nom. En plus, ça flatte leur égo! J'ai personnellement été convoquée à des entrevues parce que j'avais by passé les ressources humaines. Dans les grosses boîtes surtout, votre CV risque moins de se perdre. J'ai aussi indirectement aidé une copine à être embauchée où je travaille -une station de TV- en lui donnant les noms de plusieurs personnes susceptibles d'être intéressées pas ses services. Je lui ai dit d'envoyer aussi son CV aux ressources humaines, au cas où. Elle a été rappelée grâce au CV qu'elle avait envoyé à une animatrice télé! Comme quoi tous les chemins mènent à Rome...

Bonjour Phil, Un récit très intéressant. Elles sont drôles les activités auxquelles tu as participé (bingo, course VTT). Même pour moi, une Québécoise "pure laine", ça dépayse..! J'attends la suite.

Cherry, je tiens à te présenter mes excuses pour m'être senti agressé par cette phrase. Mais je dois t'avouer que je ai eu un moment, cette sensation. ← Désolée, mais c'est parfois l'image que j'ai en lisant quelques commentaires acerbes sur notre langue. J'avais en tête un certain comte et ceux qui boivent ses paroles tels des adeptes suivant aveugément un gourou, sans se poser de questions. Facile de se foutre de notre langue, de nos anglicismes et de nos tournures de phrases calquées sur l'anglais. Je pourrais faire la même chose dans l'autre sens. Mais faut d'abord tenter de comprendre pourquoi on en est rendu là et proposer des solutions. Mes ancêtres ont tenu tête à l'impérialisme britannique -certains au prix de leur vie-, et mes contemporains font tout ce qui est en leur pouvoir pour améliorer la sitation. Faudrait peut-être saluer leurs efforts ou lieu de rire méchamment. Surtout que de mon point de vue, ça va de mieux en mieux. Une Québécoise francophone et francophile Cerise

Voici un extrait tiré du fameux rapport de Lord Durham, alors le gouverneur en chef de l'Amérique de Nord britannique: "En vérité, je serais étonné si, dans les circonstances, les plus réfléchis des Canadiens français entretenaient à présent l'espoir de conserver leur nationalité. Quelques efforts qu'ils fassent, ils est évident que l'assimilation aux usages anglais a déjà commencé. La langue anglaise gagne du terrain comme la langue des riches et de ceux qui distribuent les emplois aux travailleurs. Il apparut, par quelques réponses que reçut le commissaire de l'Enquête sur l'Instruction, qu'il y a à Québec dix fois plus d'enfants français qui apprennent l'anglais, que d'Anglais qui apprennent le français. Il s'écoulera beaucoup de temps, bien entendu, avant que le changement de langage s'étende à tout le peuple. La justice et la diplomatie demandent aussi que tant que le peuple continuera à faire usage de la langue française, le Gouvernement n'use pas, pour le forcer à se servir de la langue anglaise, des moyens qui, de fait, priveraient la masse du peuple de la protection du droit. Mais je répète qu'il faudrait commencer par changer tout de suite le caractère de la province, et poursuivre cette fin avec vigueur, mais non sans prudence que le premier objectif du plan quelconque qui sera adopté pour le gouvernement futur du Bas-Canada devrait être d'en faire une province anglaise ; et à cet effet que la suprématie ne soit jamais placée dans d'autres mains que celles des Anglais. " Le rapport date de 1839 et c'est sur cela qu'on se basa pour promulguer la Loi d'Union (Union Act) en 1840. Le Haut et le Bas-Canada devinrent le Canada Uni et on décréta alors que la langue anglaise était la seule langue officielle du pays. Cette manoeuvre et plusieurs autres, avant et après, avaient pour but d'assimiler les francophones. Ce qui se passe aujourd'hui n'est que la suite logique de ce qui s'est passé il n'y a pas si longtemps. À lire et à méditer... Cerise P.S. J'espère que ce ne seront pas que des Québécois qui vont s'y attarder! Merci Nissart de t'intéresser à notre histoire qui, bien que courte, met les choses en perspective...

J'ai trouvé un site très complet qui relate l'histoire du français au Québec, de l'époque de la Nouvelle-France (période pendant laquelle, curieusement, la France enviait la pureté de notre langue sans accent!), en passant par la Conquête britannique et les nombreuses tentatives d'assimilation, jusqu'à aujourd'hui. Car avant de cracher son fiel sur la langue québécoise, il faut commencer par regarder le chemin parcouru. Ne pas en tenir compte, c'est faire preuve de mauvaise foi, de malhonnêteté intellectuelle. http://www.tlfq.ulaval.ca/axl/francophonie/histfrnqc.htm À bon entendeur...

Ici, on ne joint pas une photo de nous à notre CV, alors ne compte pas là-dessus pour être convoquée à une entrevue.

Ce prétentieux personnage cite Lionel Meney. Vous vous rappelez de lui? C'est l'ancien professeur d'université qui s'est offusqué de la création d'un dictionnaire de la langue québécoise, et dont les propos ont été publiés dans le journal Le Monde. Vous vous rappelez du mépris qui émanait de son article? Il ne serait pas surprenant que le "comte de Mazan" - un choix de pseudo qui en dit long - soit chargé de cours au même endroit et ait travaillé pour lui. Grrrrrrooooarrr! (rugissement d'un lion) Non mais, quel con! Ce qui m'énerve dans sa description du français québécois, c'est son acharnement, son mépris évident, son manque de nuance, sa mauvaise foi. Il dit qu'on cite toujours les mêmes mots anglais utilisés par les Français pour se défendre. Or, il a cité les mots tirés de la mécanique automobile, exemple souvent donné par les Français pour nous fermer le clapet. Il ne tient pas du tout compte de notre situation géo-politique, du fait qu'il est normal que notre langue ait été contagiée par la langue anglaise, 98% des habitants de l'Amérique du Nord étant anglophones. Il ne dit pas qu'on se bat pour sauvegarder notre langue, qu'on est conscient du danger à long terme si on ne fait rien, et que les anglophones seraient bien contents si on fermait notre gueule pour de bon. Il ne relève pas l'utilisation du "vieux" français, qui est la langue de nos ancêtres. Il ne fait pas de distinction entre le français parlé, sa prononciation/son accent et le français écrit. Il exige de nous de parler le français "pur" alors que nous ne sommes pas Français mais Québécois. Il ne tient pas compte des différences culturelles, les Français étant profondément bavards et les Nord-Américains se prenant moins la tête, s'exprimant plus dans le non-dit. Il compare des pommes et des oranges. Je ne dis pas que le français d'ici n'a rien à se reprocher, je déplore moi aussi sa dégradation. Ce n'est pas pour rien que la loi 101 existe, qu'on force les francophones/allophones à aller à l'école française, qu'on rêve d'indépendance. Mais de là à dire que c'est du "petit nègre"!!! La différence entre les anglicismes utilisés ici et ceux utilisés en France: les Français n'ont aucune excuse.

Je j'imaginais déjà manger derrière la gang à Chuck Guité, zut. (Je me comprends). ← Si tu trouves leur repaire, mets des micros sur toi, on va t'acheter les enregistrements à prix fort. Et on fera un référendum juste après les avoir diffusés... (On se comprend)

Je confirme que les crêperies bretonnes de Montréal où j'ai été ont un menu "ordinaire". Pourtant j'adore les crêpes et je me suis régalé quand je suis allée en Bretagne (avec du bon cidre, hmmm). Une fois, à la Crêperie Bretonne sur St-Denis près du Carré St-Louis, je commande pour dessert une crêpe au chocolat. Et bien j'ai vu la serveuse passée avec un pot de Nutella! C'est une tartinade cheap aux noisettes... Peut-être y a-t-il de la place pour une crêperie nouveau-genre? Avec des garnitures différentes? Le traditionnel jambon-fromage, on finit par s'en lasser... Mon conseil: si vous ouvrez un restaurant à Montréal, il faut vraiment vous démarquer, par la déco, le menu, le concept. Sinon, il y a effectivement des régions qui sont mal desservies.

Je confirme que la lettre est TRÈS importante. Moi aussi ça m'a permis de me démarquer. Si votre lettre est calquée sur un modèle et que le texte est creux et impersonnel, votre CV risque fort de se retrouver dans ce qu'on appelle "la filière Z", autrement dit la poubelle... Et comme Nat92 l'a si bien souligné, il faut d'abord savoir où on va pour être efficace. Les employeurs cherchent des gens motivés et spécialisés. Tirer dans le tas ne vous mènera nulle part.

Euh, ça serait pas du vin de pomme ou du cidre par hasard? Hippocrate en vantait les vertus. Ils se sont peut-être amusés à baptiser la boisson en son honneur? Tout ce que je peux te dire, c'est qu'il y a un grand choix de boissons... Hic!

Avoir un réseau est certes un avantage, mais ce n'est pas absolument nécessaire. Mon approche: je cible les boîtes et compagnies où j'aimerais travailler (en supposant que je sais ce que je veux faire comme boulot), m'arrange pour avoir les coordonnées et, si possible, le nom de la personne responsable des embauches (sinon c'est les ressources humaines). Et j'envoies mon CV et une lettre de présentation, tout simplement. Je n'attends pas qu'on place une annonce ou qu'on me pistonne. Dans mon cas, travaillant en audiovisuel, un annuaire spécialisé dans le domaine est dispo, donc ça aide puisque tout est dans cette bible. Mais annuaire ou pas, il y a toujours moyen de trouver l'info, pour avoir les coordonnées mais aussi pour bien connaître le milieu: internet, association des gens de la profession, revues spécialisées, etc. Il ne faut pas se gêner et envoyer des dizaines et des dizaines de CV partout. Si ça te dit, tu peux aussi les appeler une dizaine de jours plus tard pour "vérifier s'ils ont bien reçu ton CV", ce qui te permet de te présenter en même temps de vive voix. Et un jour... Bingo! Sans contact aucun, mais avec un diplôme en poche, j'ai réussi de cette manière à trouver mon job actuel, dans une grosse boîte et avec un très bon salaire. Donc c'est possible, mais il faut persévérer, ne pas se décourager au premier refus. Bonne chance!

Autre endroit qui se démarque, un bar à oxygène: Oxygène Spa http://www.boulevardsaintlaurent.com/fr/no...op=s_ra&aid=125 Pour recevoir une dose d'oxygène pur à 95% et/ou un massage, tout en sirotant un jus ou une tisane. Ambiance zen avec musique douce et projections sur mur d'eau.

Bonjour à tous! Comme on est en train de dresser des listes d'endroits pour boire, danser ou manger, j'ai pensé partir un sujet sur les endroits thématiques à Montréal. Pour sortir des sentiers battus, vous divertir tout en mangeant/buvant, faire différent, il y a à Montréal quelques restaurants et cafés qui se démarquent par leur thème, par leur approche. -Pour renouer avec le Moyen-Âge, sa musique, sa déco, sa bouffe: L'Auberge du Dragon Rouge http://www.oyez.ca/restaurant/acceuildragon.htm -Même genre mais axé sur la Nouvelle-France: Le Cabaret du Roy http://www.oyez.ca/Cabaret/accueil.html -Pour avoir peur: La Maison Hantée http://www.maisonhantee.qc.ca/ -Pour peindre de la poterie tout en buvant un café avec bagel: Céramic Café-Studio http://www.montrealplus.ca/portalf/profile...profileID=69499 Il y en a sûrement d'autres mais je n'y pense pas pour le moment. Si d'autres veulent en ajouter, be my guest.

Si j'avais pu, je serais venu incognito, histoire de vous espionner un peu. Ça m'aurait bien amusée...! Mais bon, je ne peux pas, j'ai un barbecue-surprise alors... Cherry 007