cherry

Bah, c'est juste UN Français, ça... Moi c'est les 10 Québécois avant qui m'ont fait ch... !!!!!!!!! Allez, ne désespère pas, tout être a forcément quelque chose de bon en lui! ← Touché JayJay. Une chose est sure, je barre les Français de passage ici, de même que ceux qui ont une femme dans chaque port...

Vous battez-pas, il y en a pour tout le monde. Naaaaaaan, c't'une joke! Et je n'oublies pas les Français, c'est juste que le dernier en liste m'a faite ch...! Laisse-moi un peu de temps pour panser mes plaies.

Je suis sortie dans un bar avec mes voisins français et après avoir payé chacun nos consommations, j'ai réalisé qu'ils n'avaient pas donné de pourboire. J'ai rappelé la serveuse et lui ai donné son pourboire manquant en disant: "Excuse-les, ils sont Français", ce qui l'a fait rire. Mes amis eux, n'ont pas apprécié mon humour... Je préfère que l'on donne le pourboire nous-même plutôt qu'on nous l'impose comme en France. J'ai croisé quelques serveurs parisiens qui n'auraient rien eu... Une fois, j'ai failli me sauver en ne payant que ma consommation tant le serveur était bête et se "câlissait" de moi. Si je n'avais pas été avec un Français, je vous jure que je l'aurais fait!

Comme d'hab, très belle chronique fort bien écrite et instructive de maîtresse JayJay. À propos de la commission Gomery, vous avez vu la pub pour le film Jeancula? [attachmentid=262]

Moi j'aime bien totof. Un peu bougon sur les bords, mais un grand sensible. Totof, je bois une bière à ta santé!

Ça va jimmy? C'était une blague... Chéri, pour toi je ramperais 15 milles sous des barbelés juste pour aller boire ton café.

Je peux ajouter une troisième raison: on parlait de ratons laveurs, pas de vaccins! Vous "contagiez" le fil d'une autre là...!

Tu veux dire du verre concassé, non? Parce que si tes genoux sont couverts de vers, tu ne réussiras pas à conquérir grand chose, sauf peut-être un poisson...! Et cette poésie ne s'applique pas à moi: je n'ai qu'une douche!

Salut compatriote! Bienvenue sur le forum des immigrants, squatté par une poignée de Québécois... Cherry Une Québécoise, mais Canadienne sur son passeport

http://www.forum.immigrer.com/index.php?sh...&hl=litterature

Il semblerait que cela soit authentique, je l'ai trouvé sur une page web au ton léger consacrée à la bière au féminin. http://www.broue.com/chroniques/feminin/labireau.htm Si ces filles l'avaient conçu elles-mêmes, me semble que l'image serait plus clean.

Merci... C'est réciproque. Et il n'y a pas que Vanessa qui est en forme. On vous aime les mecs...!

moi sur toi toi sur moi dans neuf mois nous serons trois Bon, OK, c't'un poême poche...

Parlant de pub de bière visant les femmes, regardez ce que j'ai trouvé! C'est le logo d'une bière provenant d'Amsterdam. [attachmentid=261] C'est fort, non?

Et pour que des fleurs puissent y pousser et s'épanouir, il faut de l'humidité, de la chaleur et de l'attention. Paraîtrais aussi que de leur parler peut aider.

Moi, je la trouve drôle cette pub. Tous les Québécois peuvent s'identifier. Répétez après moi: Kroooo-nên-bourrrg... Et totof, plutôt qu'une paire de boules, pourquoi pas de beaux pectoraux bien découpés? Perso, ça me donnerait plus envie d'en boire. Et pour pas que les mecs soient en reste: une pitoune siliconnée dont le nombril sert de verre. Hmmmm...

C'est drôle, je pensais la même chose, ça m'a surprise de le voir dans la liste de Laurence...! Du même réalisateur, "Mon Oncle Antoine" est beaucoup plus connu mais je n'ai jamais été capable de le regarder jusqu'au bout, il a un effet soporifique sur moi.

Bonjour, J'ai déjà monter un reportage sur un gîte touristique où la sympathique propriétaire nourrissait les oiseaux et les animaux sauvages qui venaient sur son domaine. Elle avait ses habitués: une famille de renards et une famille de ratons laveurs entre autre. Une petite escapade dans les Laurentides, ça te dit? http://www.zoizeaux.com/accueil.htm

Oups! "À tout prendre" a été produit en 1963...! Je n'avais pas été vérifier tant j'étais certaine. En tout cas, c'est un film très particulier, assez flyé pour l'époque, surtout au niveau du montage.

Tu te rassasies vite, toi! Permets-moi d'en ajouter: -Eldorado (de Charles Binamé, très urbain, très montréalais) -Léolo (de Jean-Claude Lauzon, inclassable, a recu le prix du meilleur film des critiques de L.A.) -Le Violon rouge (de François Girard, avec entre autre Samuel L. Jackson) -L'invention de l'amour (de Claude Demers, une fable moderne sur l'amour, très belle découverte) -La moitié gauche du frigo (un trentenaire fauché cherchant un emploi est filmé par son coloc) -À tout prendre (1969, de Claude Jutra, un trip psychédélique Nouvelle Vague) -Octobre (de Pierre Falardeau, on suit les kidnappeurs durant la Crise d'octobre 1970) -Mambo Italiano (inspiré de la pièce du même nom, à voir en anglais car la traduction est pourrie) -Comment ma mère accoucha de moi durant sa ménopause (de Sébastien Rose, très drôle) -Cosmos (plusieurs histoires interreliées, tournées par de jeunes cinéastes maintenant reconnus) -À hauteur d'homme (de Jean-Claude Labrecque, documentaire suivant Bernard Landry aux dernières élections, vous ne verrez plus les médias de la même façon...!) -Tous les films de Robert Lepage -Tous les films de Denys Arcand

En fait, dans le cas du fils d'isseo17, c'est deux cours - anglais et math - en deux petites semaines...!!! Le petit va sûrement s'en sortir et passer de justesse son année: le bourrage de crâne, n'importe qui peut le faire. Mais aura-t-il vraiment assimilé les matières? That's the question... Je comprends que l'on veuille éviter à un enfant de reprendre TOUS ses cours, TOUTE son année. Or, dans le cas qui nous occupe, isseo17 dit que son fils a "toujours été un élève moyen-moins, qui démarre donc chaque année avec un peu plus de lacunes, qu'il a de plus en plus de mal à combler". Et tu crois que deux misérables semaines vont réussir inverser la vapeur? Pourquoi ne pas assumer qu'il n'est pas prêt et lui répéter les enseignements, quitte à ce qu'il devienne calé dans certaines matières? Il a beaucoup plus de chance d'intégrer le tout, non? Et son estime de soi sera meilleure. Les parents et l'enfant ont leur mot à dire. Si les parents et l'enfant veulent un redoublement, on ne devrait pas leur refuser, quoi qu'en dise le MEQ. Des plans pour que l'enfant décroche vraiment et soit irrécupérable.

Quatre petites semaines de cours pendant l'été sont-elles suffisantes pour permettre à un enfant de rattraper son retard et sauver son année scolaire? À moins que cela soit dans une matière précise, j'en doute. On tourne nécessairement les coins ronds parce que l'on veut à tout prix que l'enfant ne redouble pas. C'est du nivellement par le bas et l'enfant, à moyen terme, en sortira perdant... et son estime de soi en prendra pour son rhume. Ironique quand on sait que l'estime de soi est l'argument du MEQ pour abolir le redoublement... Quant aux élèves qui eux, sont rendus plus loin, ils seront nécessairement ralentis par les difficultés d'apprentissage de leurs camarades. Les professeurs se battent présentement pour avoir plus de moyens, plus de personnel et moins d'élèves par classe. Ils sont débordés, essouflés, et se plaignent du fait qu'il est difficile de gérer non seulement des classes de plus en plus "populeuses", mais des classes où les élèves doués côtoient des élèves qui ont de sérieuses difficultés d'apprentissage. Attention, je ne dis pas qu'il faut faire redoubler tous les élèves dès qu'un pépin survient! Ce que je n'aime pas dans l'approche du MEQ, c'est que plutôt que de faire du cas par cas, d'avoir une approche personnalisée, j'ai plus l'impression que la directive donnée est: "Arrangez-vous pour qu'il n'y ait pas de redoublement, quitte à ce que certains enfants se retrouvent dans des classes où ils n'ont pas leur place. Ils vont finir par s'ajuster, mais il ne FAUT PAS qu'ils redoublent". L'approche est biaisée, il y a déjà un parti-pris.

Le MEQ (Ministère de l'éducation), dans sa réforme de l'éducation, veut abolir complètement les possibilités de redoublement car il dit que cela a un impact sur l'estime de soi des élèves. Déjà implantée au primaire, la réforme sera appliquée au secondaire l'automne prochain. Or, derrière ses voeux pieux, le MEQ veut surtout économiser du fric. Là réside l'injustice faite à l'enfant. Voici la lettre ouverte du président de l'Alliance des professeures et professeurs de Montréal, qui s'insurge contre le mythe de la "réussite totale": http://www.ledevoir.com/2004/09/04/63044.html Un extrait: Pour sa part, le gouvernement semble avoir fait son choix : au lieu de rehausser les exigences et d'investir dans les ressources de soutien pour permettre à tous les élèves de bénéficier des mêmes chances, on s'oriente vers une diminution des exigences pour faciliter la réussite. La récente politique d'évaluation des apprentissages, qui impose aux professeurs d'adapter les examens en fonction de la capacité des élèves, en est la preuve éloquente. Comme la réussite scolaire est étroitement associée à l'origine socio-économique, ne risque-t-on pas de perpétuer les inégalités sociales à travers les inégalités scolaires ? Est-on en train de sacrifier les élèves en difficulté et défavorisés de la province et en particulier ceux de Montréal ? Nous devons collectivement nous y opposer et dire non.