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jimmy

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Tout ce qui a été posté par jimmy

  1. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Guille : Alors la Guille, je regrette mais tu viens de toucher a mon domaine. Les activités culturelles de Toronto confirme tout a fait ce que je prétend. Bien sur qu'ils construisent un Opéra en ce moment; mais que vont-ils y présenter ? Des opéras Italien, Allemand, Francais, Russe etc...mais rien de Canadien, car il n'y a pas d'opéra Canadien. En ce moment il y a Toronto la comédie musicale "Lord of the Ring" . Le concepteur est british, de même que celui qui a écrit le livret, la musique et celui qui l'a mis en scène....encore une fois rien de Canadien..et le livre original est Néo-Zélandais si je me rapelle bien....tout de la culture d'ailleurs. Pendant longtemps dans les différents théâtre du centre ville de Toronto il y a eu les comédies musicales suivantes : Phantom of the Opera (british), Mama Mia (British-Suédois), Hairspray (États-Unis), Ragtime (États-Unis) encore une fois, rien de Canadien. Ne cherchez pas il n'y en a aucune. Il y a environ 20 ans ils ont fait "Anne of Green Gables" qui était une histoire et une création Canadienne. Elle a été abandonné car les spectateurs était rare. Comme je l'écrivais précédemment, les films Canadiens anglais représente 0.02% des entrées au cinéma. (37% pour les films Québécois au Québec) Tu es au courant qu'ils construisent également un théâtre pour le National Ballet ? Encore une fois que vont-ils y présenter ? Des ballets étrangers car il n'y a pas de créations canadiennes. Au même moment il y explosion que compagnie de ballet Québécoise qui crée des ballets Québécois. Certains sont connu internationellemnt, comme LA LA LA Human Step. Il n'y a aucun, je répète AUCUN artiste Canadien Anglais qui performe a Las Vegas. Alors que les artistes Québécois représente a eux seuls 46% des billets vendus a Las Vegas (Céline Dion, Cirque du Soleil, André-Phillippe Gagnon). Mon point est simplement qu'il n'y a pas de créativité culturelle foisonnante au Canada anglais (comparativement au Québec) tout simplement parce qu'ils sont submergés (écrasé) par la culture états-uniennes. En fait Guille quand tu dis que le ROC se fout pas mal du Québec et de nos revendications, ils devraient justement ne pas 'en foutre et vouloir nous garder parce que avec notre créativité Québécoise, nous sommes le seul rempart qu'ils ont contre l'américanisation complète de leur société. Je penses que les gens qui se proposent d'immigrer dans le ROC devraient être conscient de ces choses...tout simplement. Je ne vois pas ou c'est injurieux de dire cela. jimmy ps. avant que quelqu'un le dise; au Québec également il y a des spectacles étrangers (Opéra, comédie musicale, films étrangers etc...) mais il y aussi des créations Québécoise...les deux sont nécessaire dans une société équilibrée.
  2. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Encore ? Cibole, j'ai les genoux rouges a force..... jimmy (the extreme ROCbuster)
  3. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Laurent : hi hi, tapez pas, c'est pas moi cette fois ci qui l'a dit jimmy
  4. jimmy

    C.R.A.Z.Y. sort en France ...

    Bonjour Mimosa06, Tu sais nous avons constamment des films Francais sur les écrans Québécois avec des protagonistes qui parlent avec l'argot Parisien ou Marseillais et cela ne nous dérange pas du tout, au contraire on trouve cela savoureux, drôle et dans le cas du marseillais "pitoresque". Attention, cela ne me dérange pas du tout qu'il y aie des sous-titres pour le film CRAZY. C'est un film superbe et tant mieux si les sous-titres aide a sa notoriété et si cela permet a plus de Francais de l'apprécier. Je me demandais simplement pourquoi nous, au Québec, on a pas besoin de sous-titres pour complètement apprécier un film Francais et que a l'opposé, les Francais "décrocheront" si il n'y a pas une espèce de traduction. jimmy
  5. jimmy

    Intégration en région

    Moi j'ai l'accent du 450...ca compte tu ? jimmy
  6. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    En voila une source : Une nation divisée Au printemps 2004, un sondage de la firme Léger Marketing démontrait que les Canadiens étaient fortement divisés sur la question des mariages gais, avec 47 % des sondés qui se disaient défavorables contre 43 % de favorables. Toujours selon ce même sondage, c'est au Québec que l'on retrouve, avec 51 % des répondants, la plus forte proportion de Canadiens favorables au mariage gai. Les Albertains sont, à l'inverse, ceux qui sont le plus opposés à cette idée, avec 56 % d'opinions défavorables. Près d'un an plus tard, un autre sondage, réalisé par la firme Ekos pour le compte du Toronto Star, indiquait très peu de changement dans la perception qu'ont les Canadiens du mariage gai. Ainsi, selon ce dernier sondage, 42 % des Canadiens appuieraient le concept du mariage gai contre 40 % qui s'y opposent. La même dichotomie entre un Québec « pour » et une Alberta « contre » peut s'observer dans le sondage Ekos. Méthodologie: le sondage Léger Marketing a été réalisé entre le 6 et le 11 avril 2004 auprès de 1511 Canadiens et Canadiennes et comporte une marge d'erreur de plus ou moins 2,6 %, 19 fois sur 20. Le sondage Ekos, quant à lui, a été réalisé auprès de 1046 personnes entre le 7 et le 9 février 2005 et comporte une marge d'erreur de plus ou moins 3 %, 19 fois sur 20. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/actua...iage-ACTU.shtml
  7. L'opinion méconnue de Jane Jacobs sur le Québec Robin Philpot Auteur du Référendum volé (Les Intouchables, 2005) dont un chapitre entier présente l'une des dernières entrevues accordées par Jane Jacobs. Édition du mardi 2 mai 2006 Jane Jacobs était libre penseur. Elle préconisait une société de libres penseurs, déplorant au passage la quasi-absence de pensée libre et indépendante là où elle serait le plus utile, dans les médias et dans les universités où la tyrannie du consensus l'emporte sur les faits et l'étude empirique. Grâce à sa pensée libre, la vie urbaine, autant à Montréal que dans le monde entier, est beaucoup plus agréable et intéressante qu'elle n'aurait été si elle n'avait pas écrit, en 1961, son livre phare Déclin et survie des grandes villes américaines. Décédée le 25 avril à l'âge de 89 ans, Jane Jacobs m'a fait l'honneur d'une longue entrevue le 2 mai 2005 en vue de la publication de mon livre Le Référendum volé, chose qu'elle refusait généralement depuis quelques années parce qu'elle avait encore deux projets de livres sur le métier et que les entrevues étaient une source de distraction. La raison de sa générosité à l'endroit d'un journaliste qu'elle ne connaissait point : l'entrevue devait porter sur la souveraineté du Québec, sujet sur lequel aucun média ne voulait plus la laisser s'exprimer. Pourtant, dès 1980, elle avait commis un livre sur ce sujet brûlant d'actualité intitulé The Question of Separatism : Quebec and the Struggle over Sovereignty, livre qui n'a toujours pas été traduit en français. Sa bibliographie ne contient que sept livres, et pour chacun elle y mettait toutes ses connaissances et sa rigueur. Dans ce livre, elle est arrivée à la conclusion que la séparation du Québec représentait une solution gagnante autant pour le Québec que pour le Canada anglais. Et c'est son étude du rôle des villes dans la richesse des nations et l'expérience de la Norvège et de la Suède qui l'y a amenée. En bref, sans l'indépendance politique du Québec, Montréal passerait du statut de métropole à celui de ville régionale desservant Toronto, nouvelle métropole canadienne, un peu à l'image des villes coloniales desservant la métropole impériale. Cette dépendance économique aurait des effets désastreux pour Montréal et tout le Québec et elle ne serait pas intéressante non plus pour Toronto ! Le livre caché L'ayant connue vaguement comme étudiant à Toronto à la fin des années 1960, j'étais curieux de savoir si, 25 ans après la publication son livre de 1980 et 10 ans après le référendum de 1995, Jane Jacobs avait toujours la même vision du Québec et du Canada. Au cours de sa vie, on l'avait consultée et interviewée sur toutes sortes de sujets. Lorsque je lui ai demandé si on lui posait souvent des questions sur le Québec, elle a répondu : «Non. Presque jamais. Vous êtes le premier !» Peu surprenant donc de constater que le Globe and Mail, qui, le lendemain de son décès, a publié un article en une avec photo, ainsi qu'un très long article nécrologique, ne traite pas du tout de son livre sur le Québec. Pas un mot non plus dans la Gazette ni dans le National Post. Le New York Times, par contre, qui lui a accordé un article pleine page avec photos, en a parlé. Pourquoi cette peur au Canada anglais et, disons-le, cet étouffement des idées d'une grande dame qui, autrement, fut chérie et portée aux nues pour son originalité ? La réponse se trouve peut-être dans cette anecdote sur l'expérience de son mari qui travaillait temporairement à Calgary lors du référendum de 1980. «J'ai demandé à mon mari de demander à ses collègues albertains ce qu'ils pensaient du séparatisme. Il m'a dit qu'un jour il a soulevé la question à la cafétéria; il y a eu un long silence et puis quelqu'un a dit : "Et si on changeait de sujet". Pour eux, la meilleure chose à faire, c'était de ne pas y penser. Ils ne veulent même pas discuter des raisons favorables ou défavorables ou se demander pourquoi les Québécois pensent de cette façon.» Jane Jacobs croyait que cette réaction relevait de la peur. «Ça, je le sais. Au cours des deux référendums de 1980 et de 1995, le sentiment général à cet égard a été que, si le Québec devait se séparer, le Canada se désintégrerait : la crainte qu'il n'y aurait plus d'identité canadienne. C'est ridicule, parce qu'il y a tant d'exemples de séparation et rien ne s'est désintégré, à moins qu'il y ait une guerre. «Récemment, j'essayais de compter le nombre de cas de séparation. Sans mentionner ceux de l'Asie centrale, qui finissent toujours par "stan", il y a eu plus de 30 exemples dans l'histoire récente, tous depuis que l'idée a mûri au Québec.» Par ailleurs, dans une entrevue à CBC en 1996, rediffusée le jour de sa mort, elle a déclaré que l'expérience de la Norvège et de la Suède, comme tant d'autres cas, prouvent qu'il n'y a rien avait rien de désastreux dans la séparation, le seul désastre étant provoqué par ceux qui veulent monter aux barricades pour l'empêcher de se réaliser. L'intervieweuse de CBC a vite changé de sujet. Le monde entier reconnaît que Jane Jacobs a révolutionné notre façon de penser les villes. Sa disparition est une grande perte. Or, si nous prenons le temps de la lire et de comprendre pourquoi la séparation du Québec représentait pour elle une solution gagnante autant pour le Québec et le Canada, il n'y a pas de doute qu'elle peut continuer à révolutionner notre façon de penser le Québec et le Canada.
  8. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Oui bien sur, personne n'a parler de censure ou de d'exclusivité d'opinion. Nous sommes dans un pays libre jusqu'a nouvel ordre jimmy
  9. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Ouff Peanut, j'ai eu peur que tu me demanderais de me mettre a genoux....encore , c'est que je commence a avoir des trous dans mes jeans moé jimmy
  10. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Qui, moi ? jimmy
  11. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    T'es dure Looleepop, je te répond en MP. Merci, jimmy
  12. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Opal : Ce que Opal écrit la est TOUTE ma philosophie. Si il y a une chose a retenir de toutes mes interventions, qu'elles soient géniales ou complètement maladroite, c'est ce petit bout de phrase. Merci Opal. Curieuse : hi hi c'est ce que je disais, les grands esprits se rencontrent. jimmy
  13. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Peanut : C'est lui qui dit dans un de ses livres que les femmes Québécoises étaient des "truies". C'était comme ca qu'il expliquait que les familles Québécoises étaient nombreuses (beaucoup d'enfants).... charmant n'est-ce pas ? En passant Peanut, Neil Bissoondath très bon auteur qui est originaire de Trinidad, vit dans la belle ville de Québec...comme toi jimmy
  14. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Diego: Ben la Yottawa, tu vois ce n'est pas seulemement moi qui le dit. Pour ce qui est des autres exemples, ce sont des choses connus qui resortent régulièrement dans les journaux, dans les différents sondages. Dis moi Yottawa, est-ce que tu nies les différents exemples que je donne ? -Qu'ils sont contre le controle des armes a feu -contre les garderies subventionnées -contre les droits collectifs, pour les droits individuels -augmentation de la pratique religieuse (comme dans le "bible belt" états-uniens) Lorsqu'ils publierons les sondages de l'audiomat (TV) au Canada anglais, je te les enverrai, tu seras sidéré ! Lorsqu'ils re-sortirons les entrées au guichet du cinéma, tu verras que les films Canadiens se retrouvent a la queue des palmares, a genre 0.02% des entrées. (au Québec c'était 37% d'entrées au film Québécois en 2005) Pour ce qui est des mariages gais, les politiciens l'on approuvés a des fins électoralistes, ,mais la population Canadienne anglaise est majoritairement contre. Comme je le disais récemment, donne leurs (aux anglais) une couple de vers de scotch dans le nez et tu vas voir ce qu'ils pensent des "frogs", des "tapettes" (je n'écris pas le mot anglais qu'ils disent car c'est trop vulgaire), des immigrants Pakistanais, Polonais et surtout Francais...tu vas voir leur vrai visage...c'est pas toujours jolie jolie. jimmy
  15. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Diego : Euh, je la comprend pas celle la. Comme je l'écrivais dans un autre fil de discussion, contrairement aux Québécois, la majorité des Canadiens du ROC sont pour la peine de mort, contre les mariages gais, contre le controle des armes a feu, contre les garderies subventionnés (madame doit rester a la maison a s'occuper des enfants), 9 des 10 émissions de télé les plus regardés dans le ROC sont États-Uniennes (c'est exactement le contraire au Québec), ils ne vont pas voir leur cinéma Canadien anglais (encore moins le cinéma Québécois, même traduit), la pratique religieuse est en forte hausse (surtout dans l'ouest) , les Canadiens anglais favorise les droits individuels versus les droits collectifs comme le font les Québécois (Loi 101, assurance médicaments, No fault, Régie du logement etc...)et j'en passe. Tous ces exemples démontres très bien que les Canadiens Anglais sont bien plus près (culturellement) des États-Uniens que ne le sont les Québécois. Et vous remarquerez (dans mes exemples) que ce n'est pas une question de langue. Ca n'a rien a voir avec la langue. Ils sont différents, c'est tout. Pas mieux , pas moins bien, différent. jimmy
  16. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    peanut : Ouuuuuuuuh, aille, tu m'impressionne Peanut, bien dit +1 (a part le "molle" ) jimmy
  17. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    looleepop: Ah tiens, je me demande de qui tu parles ? Humm, j'ai lu quelques unes de tes interventions et je me demandais a quel moment nous allions nous "confronter" sur ce sujet...et bien allons y. Tu es au courant Looleepop que les Canadiens anglais n'écoute que la télé États-Uniennes, qu'ils n'écoutent et n'achètent que de la musique États-Uniennes (et quelques artistes Canadiens qui font carrière aux USA), qu'ils sont majoritairement pour l'intervention de l'armée Canadienne en Irak et ainsi de suite. Leur facon de voir les choses est très États-Uniennes parce qu'ils ne consomment que de la culture (au sens large) États-Uniennes. C'est leur droit, c'est correct, ce n'est pas de mes affaires, mais ne vient pas me dire que ce n'est pas vrai. Au Québec lorsque nous faisons un gala pour honorer nos artistes (cinéma, télé, chanson) nous choississons comme animateur de la soirée des gens qui ont du métier, qui sont respecté dans l'industrie, qui ont fait leur preuve. Il y quelques semaines, au Canada anglais, ils ont engagé Pamela Anderson pour faire l'animation du gala de la chanson Canadienne (les Junos). Il y a des gens qui préfèrent cette facon (Étast-Uniennes-Canadienne anglaise) de voir la vie, c'est ton cas (et de d'autres également) bravo pour vous et soyez heureux. Moi j'aurais honte d'élever mes enfants dans un endroit ou la culture c'est Pamela Anderson, mais bon ca c'est moi. jimmy
  18. jimmy

    d'où vient le terme : ROC?

    Euh, non ce n'est pas a banir Hi hi , il fallait bien que je m'en mêle...n'est-ce pas Yottawa ? Bon, pour "amadouer" Yottawa, je vais admettre que la ville d'Ottawa est un peu différente. Pour toute sortes de raisons historique, sociale et politique, la région d'Ottawa ne ressemble ni au ROC, ni au Québec. C'est un amalgame des deux, parfois heureux, parfois pas très brillants. Il y a aussi les gens des provinces Maritimes qui ont leur cultures a eux également, peut-être a cause la présence de beaucoup de Francophones (les Acadiens). Non je blague, ce n'est pas a cause des Francophones, c'est simplement qu'ils sont isolés géographiquement et donc, ils ont développés leur propre facon de faire, leur propre us et coutumes (D'ailleurs ce sont des gens charmants ) De part mon métier, je voyage partout au Canada et cela depuis des années. Je peux vous dire que le reste du Canada (hors Québec et hors Maritimes) et c'est toute la même affaire. Statistiquement, études par dessus études, sondages par dessus sondage etc.... Tout cela confirme toujours que majoritairement (très grande majorité) le ROC est contre les mariages gais, pour envoyer l'armée en Irak, pour la peine de mort, pratique religieuse généralisée, consomme ÉNORMÉMENT de culture de masse États-Uniennes, contre la légalisation du pot, ils sont contre les garderies subventionnés (madame devrait rester a la maison pour s'occuper des enfants), favorise les droits individuels plutôt que les droits collectifs comme nous le pratiquons au Québec (exemple, loi 101). Je ne veux pas discuter pour l'instant des mérites d'une option ou de l'autre. Mon point (pour l'instant) est simplement d'illustrer que c'est très différent le Québec et le ROC. jimmy
  19. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Ca me fait penser...moi je suis parfaitement bilingue et je n'irais pas vivre ailleurs qu'au Québec....oui bon, moi ca compte pas jimmy
  20. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    J'aimerais bien te répondre mais j'avoue que je ne comprend pas ce que tu racontes dans ce texte: Nelju : Pour ce qui est des propos de Curieuse : Je suis a 200% d'accord avec elle. Je ne vois pas ou est le problème. Voici un exemple: il y a quelques années, un homme accusé de violence conjugale avait invoqué comme défense en cour que c'était une pratique normale dans son pays d'origine de battre sa femme (ne riez pas, cette histoire est vraie). Voila donc un exemple parfait de valeurs qui ne sont pas partagés par le peuple Québécois. Cet exemple est évidemment extrême, mais le point ici c'est que oui une immigration massive de gens qui auraient ces pratiques peut à la longue constituer un danger pour notre facon de vivre, notre société. Je précise comme je l'ai fait souvent sur ce forum que notre société n'est pas meilleure ou pire que les autres, elle est ce qu'elle est, avec ses qualités et ses défauts . Lbre a vous d'y adhérer ...ou pas. Faque..... jimmy
  21. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Hein ? S'tu vrai, on peut acheter la France ? Allright ! Aille j'ai ma paye jeudi, on partage tu Curieuse ? Tu prend le nord et je prend le sud de la France...c't'un deal ? jimmy
  22. Tiens, je me demandais quand elle sortirait celle-la jimmy
  23. Cherry : +1 jimmy
  24. jimmy

    Seriez-vous au Quebec...

    Ben quoi ? qu'est-ce que vous avez a rire, je fais tout ca moi jimmy
  25. Le Canada anglais doit comprendre que quoiqu'on dise et quoiqu'on fasse, le Québec est aujourd?hui et pour toujours une société distincte, libre et capable d?assumer son destin et son développement. Robert Bourrassa, premier ministre du Québec dans les années 70-80
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