jimmy

Non non non, Qwintine n'avait plus rien a dire suite a mes arguments en béton

Oui mais la copine de 26 ans ; est-ce qu'elle est cute ?

C’est parce que tu es devenue une woke de droite J’espère que tu as honte

Je vois pas de quoi tu parles

Je comprend ce que tu veux dire....et oui en effet on pourrait dire que la dualité langue Kabyle versus Arabe est du même type. Mais attention ce dont je parlais c'est que oui il y a la langue, mais il y a surtout toute la ''culture'' qui vient avec la langue. Les immigrants qui adoptent la façon de voir des anglos adoptent aussi leur culture et parfois (souvent) la langue anglaise. Et vice versa, s'ils adoptent la langue anglaise et bien tout le bagage culturel anglo-américain vient avec. C'est la que ca fait bobo.

et Alors, premièrement félicitations, tu seras papa bientôt....c'est super Mais il faut que je te parle d'une particularité toute Québécoise et canadienne...que tu ne connais probablement pas....mais qui teinte toute la dynamique entre Québécois et les immigrants: Il y a au Canada deux langues et cultures principales : français et anglais. Les francophones du Québec sont environ 20% de la population Canadienne Les autres provinces sont très majoritairement anglophone. La ou ca se corse c'est que le gouvernement canadien (donc majoritairement anglophone) dit aux immigrants EXACTEMENT LE CONTRAIRE de ce que j'ai écrit dans le texte un peu plus haut et que tu as liké ! En effet le gouvernement canadien dit aux immigrants qu'ils peuvent vivre dans la langue et la culture de leur choix. Absolument aucune exigence de vivre dans une langue ou l'autre, dans une culture ou l'autre. Absolument aucune restriction quand a afficher sa religion publiquement. Il est même permis au Canada de dire publiquement '' il faut égorgés les Juifs'' ...si cela est dit dans le cadre d'un discours religieux. C'est ce que le Canada appelle le multiculturalisme. Certains immigrants au Québec adoptent la philosophie canadienne anglaise et d'autres la philosophie Québécoise francophone. Évidemment les Québécois sont tout a fait contre le multiculturalisme. D'où les tensions que tu as lu sur ce forum.

Intéressant ton commentaire. Oui je comprend ce que tu veux dire au sujet de mes propos qui semble contradictoire. J'aurais du mieux m'expliquer. Juste rappeler que le texte que j'ai publié n'est pas de moi (il est de Jean-François Lisée) Ceci dit je l'endosse a 100%. En fait c'est très simple et je pense que cela rejoint la pensée de beaucoup de monde au Québec (y compris de Jean-François Lisée que j'écoute avec intérêt a l'émission ''Les mordus de politique'' a RDI le midi.) De un; absolument tout le monde d'où qu'il soit, qu'il soit blanc noir ou mauve avec des pitons jaune orange, tous sont absolument le bienvenue au Québec...c'est ce que la vaste majorité des Québécois dirait. Mais ( y a toujours un ''mais'' ) : Icitte on vit en français...on s'attend a ce que tu fasses de même. De deux; tu es le bienvenue avec ta religion quelle qu'elle soit...mais tu la garde a la maison, dans la sphère privée. De trois : tu es absolument le bienvenue avec ta culture...cela enrichira la société Québécoise....cependant pas en ignorant la culture et les us et coutumes Québécois. Oui tu es le bienvenue avec ta culture d'origine mais puisque tu as choisis d'immigrer ici, nous nous attendons a ce que tu respectes, adopte et participe a la culture Québécoise. Et non pas en vivant uniquement avec des gens de ta culture en créant des ghettos de ton ethnie. De quatre; si tu veux (ou aurait voulu) immigrer aux États-Unis et bien fait une demande directement aux États-Unis ! Ah c'est trop compliqué d'immigrer aux États-Unis ? Et bien va te plaindre sur un forum de discussion américain....et ne vient pas nous emmerder icitte. Je pense que ca résume ma pensée.

Maintenant que la go-gauche et la droite ici se sont évertué a laisser sous-entendre que le Québec n'a rien d'exceptionnel puisqu'il comporte lui aussi des racistes et des xénophobe et en sortant, comme d'habitude les pauvres petits autochtones ...moi j'aime mieux un discours disons plus positif et nuancé d'une société Québécoise absolument '' pas parfaite, mais quand même exceptionnelle '' Lorsqu’on calcule que, ces dernières années, un demi-million de migrants temporaires — travailleurs, demandeurs d’asile, étudiants — ont franchi nos frontières, sans compter les permanents, ne doit-on pas en tirer la conclusion que nous sommes spectaculairement attractifs ? Car, vous l’aurez remarqué, sur votre globe terrestre, nous ne sommes pas exactement à la porte à côté, mais plutôt au bout du bout des circuits de migration. Il faut faire exprès, le vouloir très fort, pour atterrir ici. Ces migrants savent peut-être quelque chose sur nous, notre qualité de vie, notre filet social, nos libertés, que nous nous refusons peut-être de nous dire à nous-mêmes, entre deux tirades — justifiées — contre nos cônes orange, nos listes d’attente en chirurgie et nos écoles mal climatisées. Dans le fatras d’avancées et de reculs, de hauts faits et de ratages, que constitue l’histoire d’un peuple, se pourrait-il qu’on trouve dans notre récit un fil rouge qui atteste que la nation québécoise est (cramponnez-vous) exceptionnelle ? Je vous sens sceptique. J’appelle mon premier témoin : Charles de Gaulle. Saviez-vous que, réfugié à Londres après l’invasion allemande, il estimait que les Français devaient, dans cette épreuve dont on ne connaissait pas la durée, afficher une même farouche endurance que les 60 000 colons français abandonnés en 1759 sur les rives du Saint-Laurent ? Nous étions son étalon or de la résilience dans l’adversité. Il y reviendra plusieurs fois, évoquant avec admiration la « persévérance inouïe » des Québécois. Je ne prétends pas que nous sommes, en tout temps, exceptionnels. Mais songez qu’en 1960, les jeunes francophones de 21 ans affichaient une éducation moindre que celle des Noirs américains du temps, alors victimes d’un racisme sans nom. Puis, face à une cible montante chez tous nos voisins, nous avons porté notre taux de diplomation postsecondaire des 25-64 ans plus haut (71 %) que celui des Américains (50 %) et plus haut que tous les pays du G7. Tous. Si vous ne trouvez pas cela exceptionnel, je ne peux rien pour vous. Si seulement nous n’étions pas aussi obtus et fermés, non ? Ben, à quoi faites-vous référence ? À notre taux de bilinguisme, le plus élevé sur le continent ? Au fait que les membres des minorités, y compris visibles, sont plus présents sur notre marché de l’emploi qu’en Ontario, surtout les femmes, et qu’ils sont mieux payés que chez nos voisins ? Au fait que notre Assemblée nationale est exactement représentative de la diversité de la population (12 % de minorités visibles, 20 % de non francophones) ? Peut-être, direz-vous, mais on porte un lourd passé xénophobe. Voyons voir : alors que les colons espagnols et britanniques pratiquaient le génocide des Autochtones, nos ancêtres furent les seuls sur le continent à négocier et à signer, en 1701, une « Grande Paix » avec 39 chefs autochtones. En 1798, des juges montréalais ouverts d’esprit déclarent l’esclavage des Noirs illégal au Québec, 26 ans avant sa disparition dans le Canada anglais, 36 ans avant le reste de l’Empire britannique et 65 ans avant l’émancipation des Noirs américains. Puis, en 1832, notre Parlement, à majorité patriote (l’ancêtre du Parti libéral du Québec et du Parti québécois), vota une loi accordant la pleine citoyenneté aux juifs, ce que le reste de l’Empire britannique ne fera que 29 ans plus tard. Percevez-vous une tendance, ici ? Ne serions-nous pas, en fait, des précurseurs ? N’avons-nous pas, avant d’autres, accepté la différence homosexuelle, les couples gais, le droit à l’avortement, celui aux soins de fin de vie ? Après une période terrible de dépossession des Autochtones, n’avons-nous pas été les premiers, avec René Lévesque en 1984, à reconnaître leur existence comme nation, puis à signer les premiers traités modernes — Convention de la Baie-James, paix des braves. N’est-il pas vrai que, selon le recensement de 2016, dans les provinces anglophones, les Autochtones vivant en réserve et connaissant leur langue d’origine ne dépassent pas les 46 %, alors qu’au Québec, c’est 80 % ? Laissons Monia Chokri ( comédienne et cinéaste, née dans la ville de Québec d'un père Tunisien) parler des femmes. Quand elle va en France, elle ose déclarer au journal le Monde : « J’ai toujours l’impression d’un voyage dans le passé, de revenir 30 ans en arrière sur certains sujets, notamment sur les violences faites aux femmes, l’égalité, la tolérance, l’immigration. J’aime ce pays, mais je le trouve violent. C’est très différent au Québec, où il est très mal vu de se comporter en autocrate, de ne pas être gentil, respectueux avec tous. » Imaginez : jusque dans les années 1960, les femmes étaient, ici comme ailleurs, des citoyennes de seconde zone, forcées par les curés à être dominées et fertiles. C’est pourquoi notre révolte laïque est imbriquée dans celle des femmes, et si fortement ancrée en nous. Voyez, à l’étranger, le bien que Chokri dit du Québec. Denis Villeneuve explique aux Américains comment son expérience québécoise a teinté sa lecture de Dune. Nézet-Séguin a fait à 60 Minutes un éloge de la qualité de vie montréalaise inestimable. Chacun sait, de Milwaukee jusqu’au bout du Zimbabwe, que Céline vient d’une famille modeste de cette bizarre partie francophone du Canada, qui produit des êtres et des talents exceptionnels. La modestie est une de nos grandes qualités. Entretenue, peut-être, par un environnement qui nous est souvent ouvertement hostile et accusatoire. On se contente d’être « pas pires ». On n’ose pas aller plus loin. Mais si, mettre le Québec à sa place signifiait reconnaître que cette place est à part ? Pas parfaite, mais historiquement admirable ? En fait, exceptionnelle ? Ce serait une audace folle. On ne pourrait se le permettre, je pense, au moins une fois par année. --- Jean-François Lisée

Ah bon ! Aux yeux de qui par exemple ?

J'ai toujours su que mike_hustler était un Woke

Bravo Cèdre

Oui effectivement, ces médecins qui passent au privé c'est un problème. Ceci dit il faut savoir que le coût du médecin privé est déductible d'impôt. (c'est le cas de ma conjointe qui va au privé, mais le coût est a peu près nul car déductible d'impôt)

Le texte d'un ami qui répondait a un ti-coune qui se plaignait du système de santé au Québec : L'enfer est dans les détails... Le problème est que l'on a tendance à voir les détails irritants, souvent à raison, de notre système de santé, mais pas ceux de systèmes que l'on nous présente comme des modèles. C'est un cas flagrant ici. En effet, si on attend moins aux urgences à Taïwan, on oublie ici de parler de quelques « détails » gênants. Le premier: l'accès à un médecin n'est pas gratuit. Le deuxième: si on est hospitalisé, on n'a pas accès à des préposés. Donc si un proche se retrouve à l'hôpital, vous avez deux choix: soit aller le torcher et le laver vous-mêmes, soit payer quelqu'un pour le faire. Avouez que c'est moins séduisant... Notre système de santé a des problèmes, en particulier, d'accessibilité mais, une fois pris en charge, on reçoit de très bons soins, malgré ce que les ticounes, dont l'activité principale dans la vie est de passer leur temps à décrire le Québec comme un enfer, racontent. J'en ai été personnellement témoin, avec mes parents. Vous en doutez? Notre espérence de vie est élevée: six ans de plus qu'à Taïwan ou qu'aux États-Unis. Un hasard? Je ne pense pas.

Et misère....alors de un le système de santé au Québec n'est pas pire ni mieux que les autres provinces canadienne....et de deux les Québécois jouissent de la meilleure espérance de vie en Amérique du Nord. Donc oui CERTAINS Français (et autres nationalités) sont des chialeurs professionnels sans vraiment comprendre et savoir la réalité de leur nouveau pays

« Nous sommes venus il y a quatre cents ans et nous sommes restés (…) S’il est vrai que nous n’ayons guère appris, assurément nous n’avons rien oublié. (…) Nous avons marqué un plan du continent nouveau, de Gaspé à Montréal, de Saint-Jean-d’Iberville à l’Ungava, en disant : Ici, toutes les choses que nous avons apportées avec nous, notre culture, notre langue et jusqu’à nos faiblesses deviennent des choses sacrées, intangibles et qui devront demeurer jusqu’à la fin. (…) De nous-mêmes et de nos destinées, nous n’avons compris que ce devoir-là : persister… nous maintenir… Et nous nous sommes maintenus, peut-être afin que dans plusieurs siècles encore le monde se tourne vers nous et dise : Ces gens sont d’une race qui ne sait pas mourir. » HÉMON, Louis. Maria Chapdelaine, Fides, 1914.

Ca c'est vrai....sauf que la réalité c'est qu'ils utilisent très peu leur français dans la vie de tous les jours...et donc leur français est pas très bon. Cette blague (plus bas) illustre bien la réalité...c'est au sujet de BELL, mais c'est la même chose dans la fonction publique fédérale.

J'ai jamais dit qu'il n'y avait pas d'école francophone au Canada. Ce que je dis....et n'importe quel Québécois le moindrement informé le dit aussi....c'est que c'est complètement inutile ces écoles francophones au Canada anglais car il n'y a aucune vie sociale, culturelle, sportive ou collective en français au Canada hors Québec. Tout, absolument tout se passe en anglais en dehors de leur école francophone. Donc ces enfants qui sont éduqués en français...bravo ils seront bilingue...mais ca ne donne absolument rien puisqu'il n'y a pas de vie sociale en français hors Québec. L'expérience nous démontre que ces enfants vont tranquillement abandonner le français...puisque ca n'a aucune utilité.

Ce n'est pas ca qui est important dans ce sondage. Ce qui est important c'est que les Anglais eux s'en foutent du bilinguisme. C'est ca qui est significatif. Quand aux Québécois et bien même moi je dirais OUI a une question sur le bilinguisme. Oui bien sur bravo si on peut nous recevoir des services et parler en français partout au Canada, bravo ! Ceci dit on sait bien que c'est faux, ca n'existe pas. D'ou l'importance d'en parler ici sur un site lu principalement par de futurs immigrants...et de les informer que c'est un mythe cette histoire de bilinguisme canadien. Donc le bilinguisme au Canada n’est qu’un mythe. Mais ça on le savait déjà. Selon un dernier sondage Léger & Léger: « Lorsqu’on leur demande s’il est important que le Canada demeure officiellement bilingue, les Québécois appuient massivement, à 83 % cette proposition, alors qu’une majorité (51 %) des Canadiens des autres provinces croit que non. ». Donc une majorité de Canadiens hors-Québec, croient qu’il n’est pas important que le Canada ait deux langues officielles. Ces gens n’y voient aucun avantage. Selon eux, le bilinguisme du gouvernement fédéral n’est qu’une faveur accordée aux francophones du Québec.

Hi hi...il y a quelque chose de savoureux la dedans : une QS qui se fait mettre sur le nez qu'elle est blanche et donc privilégiée. Un peu plus pis il te blâmerait de pratiquer du ''racisme systémique''....tsé la patente de QS pas trop défini mais qui permet de blâmer tout ce qui est blanc, Québécois et francophone (quelle horreur) et de nous mettre sur le dos tous les malheurs du monde. Welcome to the club my dear

Il a eu des rôles fabuleux qu'il a interprété fabuleusement...je pense a MASH entre autres. Bon évidemment comme c'était un gars super.....il vivait au Québec

comment le bilinguisme fonctionne :

Ben oui... le français leur sera d'aucune utilité....et de toute façon en une ou deux générations leurs enfants et petits enfants ne parleront plus un mot de français.

Euh non Nous savons par expérience que si tout est bilingue (écoles, institutions, commerces, gouvernements et autres) et bien c'est l'anglais qui l'emporte et 95% des gens (surtout les immigrants) vont utilisés UNIQUEMENT l'anglais dans leurs vies de tous les jours.

Un autre chose qui est complètement tordu avec toute cette histoire des Francophones hors Québec. C'est que le gouvernement canadien aide, subventionne, encourage, finance pleins d'organismes comme Radio-Canada ainsi que des écoles, des activités diverses (sportives et/ou culturelles) le tout en français partout au Canada . C'est t'y beau ca ? Bravo tu vas dire...ce qu'ils sont gentils ces canadiens Non non non, ce n'est pas parce qu'ils sont gentils du tout, c'est que cela leur permet ensuite de justifier des subventions aux Anglophones du Québec . Ben oui parce que la pauvre petite minorité anglophone au Québec a besoin de subvention pour survivre...pauvre elle qui est appuyé culturellement et socialement par 350 MILLIONS d'anglophones en Amérique du Nord....contre les méchants 8-9 MILLIONS de francophones ! Quand le Québec veut imposer des mesures comme par exemple imposer l'école francophone aux immigrants...le Canada anglais répond que nous sommes des méchants car eux au Canada Anglais n'imposent pas l'école anglaise aux immigrants. Évidemment crisse qu'ils ne l'imposent pas l'école anglaise...car il faut être un ostie de cave pour envoyer ses enfants a l'école francophone au Canada anglais...c'est presque criminel de faire ca a ses propres enfants dans une société a 99% anglophone. Tu vois pourquoi cette histoire d'une école privée francophone a Winnipeg est complètement débile ? Les anglais vont encore se servir de ca pour culpabiliser les Québécois qui insistent pour que les immigrants envoient leurs enfants a l'école francophone au Québec

Je comprend ce que tu veux dire. Mais je pense exactement le contraire....a mon avis RC véhicule une vision idéalisée d'un Canada bilingue qui n'existe pas. ET dans ce sens RC nuit énormément...surtout au niveau des immigrants (francophones) qui ne sont pas trop au courant et qui donc son vulnérable devant cette désinformation. Oui bien sur, une fois de temps en temps RC est bien obligé de décrire la réalité d'être francophone hors Québec. Mais je suis d'avis que l'impression générale qui se dégage lorsque l'on écoute, regarde, la télé et la radio et que consule le site de RC est que malgré quelques difficultés, la vitalité francophone hors Québec est bien vivante.... Or c'est faux. Il faut que vous soyez bien conscient du jeu politique que joue le gouvernement canadien avec tout ca; plus il (le gouvernement canadien) démontre combien c'est fantasmagorique d'être francophone au Canada, même hors Québec, plus cela discrédite les maudits séparatistes comme moi .