N'oubliez pas une chose : la première étape, soit l'obtention du permis d'études, est déjà difficile. Une des raisons les plus fréquentes de refus est que la personne n'a pas réussi à convaincre les agents d'immigration qu'elle va retourner dans son pays une fois ses études terminées. Il faut donc identifier quelque chose qui soit en lien avec son parcours professionnel et qui soit ensuite (du moins théoriquement) utilisable en Algérie. Plus des liens d'attache avec le pays d'origine (famille immédiate, biens...) et bien entendu, des ressources financières suffisantes.
Les cas de refus sont nombreux car les autorités savent bien que dans beaucoup de cas, les études sont une voie détournée pour tenter d'immigrer.