O'Hana
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Soyez sympa qu'ils disaient ... hi hi Mais ceci est une preuve supplémentaire que la population du Québec est vieillissante : même un chroniqueur néo-québécois du forum est touché Sérieusement, mon ancienne photo était pas très représentative de moi : trop surexposé j'imagine ou j'étais particulièrement en forme cette journée-là hi hi pourtant, elle ne date que de trois ans. Tant que je vieillis bien, c'est ce qui compte non ? O'Hana
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Salut la compatriote Effectivement, il est mieux de contacter directement le département de psychologie de l'Université qui t'intéresse pour savoir exactement la démarche à suivre. Cependant, je te colle ci-dessous une remarque importante que j'ai tiré de l'Ordre des Psychologues du Québec (http://www.ordrepsy.qc.ca/public/inscription/05_inscription.asp) : Bref, il est important que tu te demandes si tu souhaites rester vivre au Québec après tes études car le doctorat (4 ou 5 ans après le baccalauréat québécois) sera certainement obligatoire d'ici quelques années. Au cégep de Sherbrooke, les stagiaires en psycho étaient tous au doctorat ces trois dernières années. Par ailleurs, il s'agit de savoir dans quelle branche tu souhaites te spécialiser (clinicienne, scolaire, organisationnel, en recherche, etc) : cela peut avoir une incidence sur tes études. Un visa étudiant et il faudra prouver que tu as les ressources financières pour payer tes études et subvenir à tes besoins durant toute la durée de tes études : alors il devient donc important de savoir pour combien de temps tu vas étudier. Peut-être demander un visa de travail pour commencer afin de ramasser de l'argent et demander ensuite un visa étudiant une fois les ressources financières accumulées. Allez, tata ! O'Hana
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Salut Kun31, Malheureusement, en lisant l'entente Canada-Québec dont OM53 a gracieusement offert le lien, tu constateras que le travail hors campus pour étudiants étrangers est réservé uniquement aux universités situées hors des régions de Montréal et Québec. Il s'agit encore d'un projet expérimental avant qu'il soit étendu à toutes les universités québécoises. Pour le bénévolat, il te faudra quand même demander un visa de travail à CIC mais dont la délivrance sera gratuite. Bref, pas toujours facile la vie d'étudiant étranger au Canada ! O'Hana
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Salut Arslan, Personnellement, voici ce que ton message m'a inspiré : l'humanité se déshumanise mais pas de la même façon. Le Nord le fait en s'empiffrant de nourriture, de consommation et de superficialité et le Sud le fait en tuant et en massacrant pour simplement survivre. Peut-être est-ce là une vision manichéenne de la chose mais je crois qu'il ne faut pas trop idéaliser les pays dit développés car ils ont initié et consolidé une logique capitalistique qui opère une sélection naturelle entre les gens : d'un côté les performants qui n'ont pas le choix de continuer à performer et de l'autre les rejetés, marginaux et laissés-pour-compte qui n'ont pas été capables de suivre le rythme. L'esprit de compétition est sain car il vient solliciter le potentiel d'une personne mais il perd sa noblesse lorsque cette sollicitation exige d'écraser l'être humain qui est juste à côté de toi : l'ambition tue son maître et ça, c'est vrai autant dans le Nord que dans le Sud. Après cela, veut-on rentrer dans ce carcan ? Avoir la grosse maison, le gros char et le ski-doo qui va avec ? C'est subtil mais ce n'est rien d'autre que "marche ou crève", et les États-Unis ont su appliquer cette simple maxime avec une terrible efficacité. Je ne veux pas de cela pour mes enfants et je tenterai de les préserver du mieux que je pourrai. Mon discours n'est pas pessimiste car je crois en l'être humain et je croirai toujours en lui : il a cependant oublié qu'au lieu de naître dans le Nord, il aurait tout aussi bien naître dans le Sud et vice-versa. O'Hana
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Cela peut-il influencer les admissions des étudiants belges ou français (par exemple) car les exigences minimales peuvent être élevées (note cumulative d'au moins 3,2 sur 4,3 pour une maîtrise) selon certains établissements ou programmes ?
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Salut Seelab, Un titre de voyage à usage unique (réservé aux RP non détenteurs de leur carte et qui souhaitent revenir au Canada) ne peut être demandé qu'à l'extérieur du pays auprès d'un service canadien des visas (SCV) à l'étranger. Je te pointe la procédure à suivre pour l'obtenir selon le SCV de Seattle : http://www.dfait-maeci.gc.ca/can-am/menu-f...&cat=1915&typ=1 Bon trip ! O'Hana
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Salut Indiana, C'est cool de te revoir te promener dans les corridors du forum, ça faisait une secousse O'Hana
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Salut, Je te recommande vivement le site ci-dessous du Centre d'information Canadien sur les diplômes internationaux. Je t'ai pointé la page qui parle des Renseignements à l'intention des diététistes et nutritionnistes ayant reçu leur formation à l'étranger , c'est très instructif et cela te donne les liens selon la province canadienne où tu désires travailler comme diététiste. Je te pointe aussi le site d'Emploi-Avenir (rattaché à DRHC) qui est de niveau pan-canadien et en particulier la page concernant la profession au code CNP 313 (Pharmaciens, diététistes et nutritionnistes) qui te donnera aussi des infos sur cette profession pour le Canada : Pharmaciens, diététistes et nutritionnistes (CNP 313) . Site que j'utilise beaucoup lorsque j'ai un client qui veut s'en alle étudier ou travailler dans l'ouest canadien. O'Hana
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Salut Grég62, Voici ce que je te suggère pour ma part : 1 - cibler la formation qui t'intéresse : en sachant cela, il est possible de savoir dans quel établissement cela se donne et aussi de connaître les préalables exigés pour y être admis 2 - une fois cela déterminé, rencontrer le responsable du département qui gère le programme en question pour faire valoir ta demande d'admission. Si tout est correct, tu dois ensuite remplir un formulaire d'admission et l'établissement te renvoie par la poste une lettre officielle d'admission 3 - muni de cette lettre, tu dois te rendre dans un Carrefour d'Intégration du MRCI pour faire une demande de CAQ (tous les détails ici : www.mrci.gouv.qc.ca) et il faudra ensuite déposer une demande de visa étudiant auprès d'une ambassade canadienne (www.cic.gc.ca - rubrique "Étudier") 4 - avec tous les documents demandés, cela prend environ un mois pour obtenir le visa que tu dois faire valider (en étant déjà au Canada, il te faudra faire le tour du poteau) pour avoir après officiellement le statut d'étudiant étranger 5 - tu peux ensuite t'inscrire officiellement dans l'établissement que tu as choisi et suivre tes cours normalement : le visa qui te sera délivré indiquera clairement sa durée et l'interdiction de suivre un autre programme Je m'étais essayé lorsque j'étais étudiant étranger auprès du Consulat de France à Montréal qui lui-même m'avait renvoyé au Ministère des Affaires Étrangères pis là, j'ai abandonné (trop compliqué, trop de papiers, trop de conditions à respecter, etc). Pour avoir goûté aux systèmes universitaires français et québécois, je trouve ben plus facile ici mais ça dépend des universités, de la faculté où tu es et même des professeurs qui t'enseignent Les études universitaires ici étant beaucoup plus chères ici qu'en France, les étudiants ne niaisent pas en général car la majorité financent eux-mêmes leurs études soit en travaillant à temps partiel à côté soit en faisant appel aux prêts étudiants (ce qui est une bonne et une mauvaise chose en même temps à mon avis). Mes profs étaient très accessibles (on se tutoie et je les appelais par leur prénom), des examens où l'important est d'évaluer tes connaissances et non de te piéger et un personnel administratif compréhensif. Tu parles d'étudier en enseignement : il est donc important de savoir à quel niveau d'enseignement tu veux travailler ensuite. Au primaire et secondaire, c'est un baccalauréat (maîtrise en France) de quatre ans. Au niveau collégial, un bacc ou une maîtrise dans la matière visée. Au niveau universitaire, une maîtrise minimum. Attention : si, par exemple, tu veux devenir enseignant en histoire au secondaire, ça sera l'histoire du Canada et du Québec que tu vas apprendre. Pour la reconnaissance une fois en France, bonne chance ... O'Hana
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Salut la gang, L'enseignement au primaire et secondaire connaît beaucoup de changements depuis la dernière Réforme du MEQ il y a deux ans environ ... C'est pas évident à suivre, même pour les professionnels du milieu. Le Bacc en enseignement secondaire a été complètement refondu l'an dernier et se divise en quatre volets : - volet Français langue d'enseignement - Volet Univers social (histoire, géographie, connaissance du monde contemporain) - volet Mathématiques - volet Sciences et Technologies (informatique, chimie, sciences physiques, bio) Les deux premiers volets n'exigent aucun préalable mais les deux seconds en exigent (maths, physique, etc) qu'ils constituent presque des voies de compromis pour les Sciences Natures au collégial qui n'ont pas pu entrer dans leur premier choix universitaire (biologie, physique et même médecine). Nouvelle réglementation aussi pour enseigner au secondaire professionnel (dans les centres de formation professionnelle des commissions scolaires) et au collégial. - La règle générale d'admission est d'avoir un DEP, un DEC ou un Bacc en lien avec la matière qu'on souhaite enseigner et se prévaloir de 3000 heures d'expérience en entreprise et avoir atteint 4500 heures à la fin de sa formation pour le secondaire professionnel (bacc de 4 ans ou 120 crédits) - pour le collégial, sensiblement les mêmes règles sauf que c'est un bacc de 90 crédits ou 3 ans mais il faut être déjà être à l'emploi d'un collège pour y être admis Bref, même pour moi qui suis en information scolaire et professionnelle, ce n'est pas encore clair car c'est encore nouveau et je connais pratiquement aucun enseignant au collégial qui a ce fameux bacc. Par contre, au secondaire professionnel, la commission scolaire de Sherbrooke a bloqué toutes les demandes d'embauche et semble suivre à la lettre la nouvelle recommandation (avoir le bacc pour enseigner en formation professionnelle). J'avais discuté de cela avec le responsable du département de formation continue de l'Université et il semblerait que le MEQ ne semble pas encore s'entendre sur le nombre de cours en pédagogie qu'il faut avoir pour pouvoir enseigner maintenant ... O'Hana
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Merci Meiji de ce très beau texte en effet Ce passage me rejoint plus particulièrement par la force de ses mots. O'Hana
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Salut Balanel, Il faudrait que tu ailles sur le site de l'Université de Sherbrooke : - soit consulter la rubrique "Personnel" et aller dans la section Ressources Humaines pour voir les postes de professeur disponibles - soit aller sur le site de la Faculté des Sciences puis le département de Chimie et contacter le responsable du département pour faire valoir ton profil. Je sais que Sherbrooke met beaucoup l'accent sur la recherche : tu aurais avantage à te renseigner sur le Pr Taillefer, chercheur en physique, qui participe grandement au rayonnement de l'Université. Sinon, essaie de contacter aussi la forumiste Diablou : elle est doctorante en chimie à Sherbrooke et je pense qu'elle est mieux placée que moi pour te répondre (moi je suis en sciences humaines ). Oui, tu as tout à fait raison OM53 : cependant, je me dis que selon la question posée, cela peut se révéler utile à d'autres forumistes, sait-on jamais O'Hana
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En effet, La carte de résidence permanente a remplacé depuis juin 2002 l'IMM 1000 à titre de preuve de statut lors de voyages internationaux, ce dernier se révélant trop facilement falsifiable et pas évident à transporter en voyage. Je crois que CIC aurait pu envoyer un courrier postal à chaque immigrant devenu résident permanent avant la LIPR de 2002 pour les informer de ce changement majeur et pour leur indiquer la procédure à suivre pour déposer une demande de carte. Oui, c'est vrai dans un sens. Aucun problème pour sortir du Canada (vous n'êtes donc pas retenus en otage au pays) mais problème lorsque viendra le temps de revenir au Canada. Je pense que d'ici février 2005, vous devriez avoir obtenu vos cartes. O'Hana
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Salut Julie_ Tout comme Diablou, je te suggère l'excellent site de l'association étudiante de l'Université de Sherbrooke concernant le logement qui possède même un moteur de recherche te permettant de faire un choix selon le type de logement, le loyer, l'endroit, etc : le site d'Uni-Logis Essaie aussi ce site, celui du tour du proprio en sélectionnant Estrie comme région et Sherbrooke comme ville. Et finalement, les Annonces Classées de l'Estrie. Nuance : le nord peut être très abordable mais il faut bien chercher et il faut y aller évidemment selon ton budget et tes priorités (sachant fort bien qu'un budget limité classe à ta place tes priorités !). Dans l'Est, il y a de beaux coins mais c'est sûr qu'à distance, extrêmement difficile de se faire une idée. O'Hana
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... Et ce que je trouve paradoxal, c'est que l'on vit dans une société prônant de plus en plus la transférabilité des compétences, la polyvalence, l'adaptabilité, la fin de la spécialisation etc alors que de l'autre côté "on" nous rappelle régulièrement que cela prend précisément tel ou tel diplôme pour pouvoir exercer telle ou telle profession Bref, on compartimente ou on décloisonne ?? O'Hana
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Essaie, dans un premier temps, de déterminer quel genre d'études tu aimerais faire au Québec : ce choix permettra d'orienter le choix de programme, l'établissement d'enseignement et la marche à suivre où on pourra t'aider du mieux qu'on peut O'Hana
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Bravo Monika !! T'étais mieux de nous servir une fin heureuse à ta chronique Maintenant, ta prochaine étape est de te rendre jusqu'au Ministère Fédéral de l'Immigration pour qu'on puisse avoir une plogue dans la place hi hi Encore toutes mes félicitations ma chère amie, Eddy
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Tout à fait d'accord avec toi Zogu, Je connais aussi beaucoup de personnes dans mon entourage qui sont non seulement de solides spécialistes dans des matières qu'on enseigne au secondaire ou au collégial mais aussi d'excellents vulgarisateurs en matière de pédagogie. Sauf qu'ils n'ont pas le bout de papier pour enseigner .... Le seul bastion restant est l'université mais là, ça prend au minimum une maîtrise ou un doctorat ... Et dans mon cas, ça tombe bien parce que je n'aime enseigner qu'à l'universit. Et ce bastion le restera car non seulement un hypothétique "bacc en enseignement universitaire" n'aurait aucune allure auprès d'étudiants de bacc ou de maîtrise mais, en plus, les universités disposent d'un bassin extraordinaire de chargés de cours compétents, passionnés et disponibles. Je crois que cette tendance à l'institutionnalisation (détenir absolument un bacc en enseignement pour enseigner) relève à la fois d'une question économique (vaut mieux un enseignant polyvalent que spécialisé), d'une pression de différents acteurs (un parent d'élève verrait d'un mauvais oeil - et c'est légitime - que n'importe qui puisse enseigner à son enfant ... haaa, le pouvoir du diplôme) et, allez soyons fous, d'un accord implicite entre universités : parce que veux veux pas, obliger une personne à avoir un bacc pour enseigner, ça permet de beaux jours pour certains programmes universitaires ! O'Hana
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Salut, En effet, un bacc (équivalent de la licence) et parfois une maîtrise (équivalent du DESS / DEA) est nécessaire pour pouvoir enseigner au cégep. Après, cela dépend de la discipline où tu enseignes : en génie mécanique par exemple, je connais des techniciens qui enseignent mais en philosophie, ce sont des maîtrises en philo qui enseignent. Ainsi, chaque cégep a sa propre politique d'embauche de ses enseignants : chacun est donc indépendant même si la fédération des cégeps semblent s'entendre sur un niveau de formation général (bacc). Attention : la réforme scolaire se durcit davantage car il existe déjà un baccalauréat en enseignement au collégial qui s'offre au Québec, ce qui n'était pas le cas auparavant. Après l'enseignement primaire et secondaire, même l'enseignement secondaire professionnel (équivalent BEP / CAP) exige désormais un bacc en enseignement secondaire professionnel. Le quatre ans qu'on semble exiger de toi devrait corrrespondre au bacc en enseignement primaire ou secondaire : je te suggère de cibler une université qui t'intéresse et de prendre contact avec le responsable du département de pédagogie pour qu'il ou elle fasse une évaluation de ton profil et te dise ensuite ce qu'il te manque pour avoir le permis d'enseigner. Bref, magasine les universités O'Hana
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Salut Allemana, Oui, tu peux continuer tes études dans le domaine que tu désires et pour la durée que tu souhaites au Québec en étant résident permanent (en autant que tu satisfasses les conditions d'admission exigées du programme que tu vises). Il est important cependant que tu aies validé ton visa de résidence permanente pour avoir le statut officiel de résident permanent pour pouvoir étudier sans contrainte : avoir le visa apposé dans le passeport ne suffit pas. Il faut avoir sa carte RP et son CRP pour prouver ton statut de RP. Pour l'Aide Financière aux Études (www.afe.qc.ca), oublie tout de suite les bourses : tu en auras, mais très très peu. Ce sont surtout les prêts auxquels tu vas avoir droit au Québec. Il existe cependant les bourses du millénaire du système fédéral mais, à ma connaissance, c'est l'AFE au Québec qui décide de leur affectation. Sinon, il existe une multitude de fondations, d'organismes de recherche ou d'instituts qui offrent des bourses selon les disciplines mais il faut souvent être soit citoyen canadien ou résident permanent pour en bénéficier. Depuis ton pays d'origine, va sur internet et cible les établissements d'enseignement qui t'intéresse au Québec : sur chaque site, tout est expliqué en détail, la procédure à suivre, etc. Si tu as déjà une idée du programme qui t'intéresse, fais-le savoir et cela sera alors plus facile de t'aider. O'Hana
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Salut Capello, Je récapitule : - validation de ton visa le 17 novembre 2001 : ton statut de résident permanent expire normalement le 17 novembre 2006 (période de cinq ans) - il faut être présent au Canada au moins deux ans pour chaque période de cinq ans : un petit calcul m'indique donc que tu es très proche du délai maximum d'absence du Canada de trois ans (vu qu'on est proche du 17 novembre 2004) - cependant, tu es resté deux semaines au Canada après le 17 novembre 2001 (une à Toronto et une à Montréal) : tu as donc une petite marge de manoeuvre de deux semaines, soit jusqu'à début décembre de cette année environ pour pouvoir revenir au Canada sans perdre ton statut - mais étant donné que tu n'as pas ta carte RP, il faut que d'ici début décembre, tu fasses une demande de titre de voyage à usage unique auprès d'une ambassade canadienne pour pouvoir revenir au Canada sous le statut de résident permanent Je ne te cache pas que ton timing est très serré : prend contact alors au plus vite avec une ambassade car la validité de ton statut se joue sur une question de semaines d'après les infos que tu donnes. Si aucun titre de voyage ne t'est accordé ou si tu ne peux revenir au Canada avant début décembre 2004, tu devras, je pense, refaire toute la procédure d'immigration au complet (sauf si ton CSQ est encore valide). Je laisse les autres compléter, O'Hana
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Salut la gang, Exact : l'idée de "pureté" dont fait référence l'article en question me préoccupe également. Par ailleurs : Est-ce une déduction trop simpliste à faire mais ça se peut-tu que ces répondants plus aisés financièrement ne considèrent pas l'immigrant comme une menace pour leur propre emploi ? Et donc, que les moins nantis considèrent l'immigrant comme étant justement une menace pour "l'emploi local" ? Les statistiques d'Emploi-Québec démontrent le contraire (y'en a de la job et y'en aura de plus en plus) mais si je me mets dans la peau du gars (ou de la femme) de 45-50 ans, qui n'est pas allé plus que sa neuvième année de primaire dans le temps et qui a connu trois comités de reclassement dans les trois shops où il a travaillé, je peux concevoir qu'il ne puisse pas voir d'un bon oeil l'immigrant qui arrive ... Mais comprendre ne veut pas dire être en accord avec O'Hana
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Salut Peggy, Pour la neige, c'est plutôt du côté de la Nouvelle-Écosse que ça se passe pour le moment Mais ceci dit, je suis bien content que notre princesse de l'hiver s'en revienne, parce que les dunes c'est bien beau, mais je te rappelle que tu es mariée au Seigneur Hiver !! Je suis bien content que nous (le Québec et tes amis) ayons pu te donner autant le goût de revenir si impatiemment à la maison, y'étais temps ciboire ... Eddy
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Salut Nohadra, En commençant, je suis un peu sceptique car d'un côté, tu es en train de dire à l'immigration que tu veux immigrer comme résident permanent et de l'autre côté, tu vas probablement leur dire que tu veux étudier au Québec. C'est un message un peu contradictoire car devenir résident permanent au Canada, c'est affirmer détenir des compétences qu'on veut mettre immédiatement en action au profit des employeurs canadiens. Alors qu'être étudiant, c'est indiquer que tu n'es pas opérationnel tout de suite sur le plan du travail et que ta contribution au développement économique du pays ne se fera qu'à moyen ou long terme. O'Hana
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Salut Pussy08, Je ne crois pas que ton amie soit éligible au travail à l'extérieur du campus à titre d'étudiante car elle est dans une université ontarienne, qui n'est donc pas concernée par l'entente à ce sujet entre le Canada et le Québec. Il faudrait regarder l'entente Canada-Ontario à ce niveau. Quel genre d'études ton amie effectue en ce moment ? En clair, est-ce qu'elle va compléter un diplôme post-secondaire (ex : baccalauréat, maîtrise, doctorat) à la fin de ses études ? Si oui, elle peut être éligible à un visa de travail d'une durée maximum d'un an pour finissant mais elle doit déposer la demande à l'intérieur d'un délai maximum de 90 jours après la fin officielle de ses études et lors du dépôt de sa demande, son visa étudiant doit être encore valide. Ce visa de travail doit concerner un emploi relié à sa formation et cela lui permettrait de gagner du temps pour déposer une demande de résidence permanente à titre de travailleure qualifiée. Sinon, prolonger son visa étudiant : bien sûr, cela demande des ressources financières mais CIC prolonge sans problème un visa étudiant tant que l'étudiant peut subvenir à ses besoins (sans travailler) et que l'établissement d'enseignement lui a fourni une admission officielle. Enfin, à titre d'étudiant étranger, on peut déposer une demande de résidence permanente que seulement un an avant la fin officielle (ou prévue) de ses études : ce laps de temps étant généralement le temps moyen nécessaire pour obtenir sa résidence permanente. Elle doit aussi tenir compte du fait d'obtenir son VRT (visa de résidence temporaire = visa touriste) car l'Indonésie fait des pays dont un VRT est nécessaire pour résider légalement au Canada sous visa étudiant. O'Hana


