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  1. Nouvel organisme désigné d’évaluation des diplômes d’études pour les architectes Ottawa, le 15 avril 2024 — Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) désignera un nouvel organisme professionnel chargé de réaliser des évaluations des diplômes d’études (EDE) pour les architectes qui souhaitent immigrer au Canada. Les critères d’admissibilité aux programmes économiques de résidence permanente indiquent que les personnes demandeuses doivent démontrer que leurs diplômes ou certificats étrangers sont authentiques et équivalents aux titres de compétences canadiens. Pour ce faire, elles peuvent obtenir une EDE auprès d’un organisme professionnel ou d’un organisme d’EDE polyvalent désigné par IRCC. À compter du 20 mai 2024, le Conseil canadien de certification en architecture (CCCA) sera désigné par le ministre pour délivrer des EDE aux personnes demandeuses ayant indiqué comme profession principale la Classification nationale des professions des architectes (code 21200). Les EDE effectuées par le CCCA détermineront comment les diplômes étrangers se comparent aux diplômes canadiens nécessaires pour exercer la profession d’architecte. Les EDE constituent également une étape de la procédure d’agrément des architectes. Vous trouverez en ligne plus d’informations sur les EDE, notamment sur la manière et le moment d’en obtenir une auprès du CCCA. source : https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/nouvelles/avis/organisme-designe-devaluation-diplomes-detudes-architectes.html
  2. Anaïs Terka et Frédéric Laurent, originaires de France, résident au Québec depuis près de trois ans. Anaïs travaille comme infirmière clinicienne à l’hôpital de Granby, une ville située en Montérégie, et Frédéric est spécialiste du monde automobile. Leur projet d'immigration, initialement source de bonheur, est devenu un cauchemar en raison des complications administratives rencontrées avec le ministère fédéral de l’Immigration. Le couple est actuellement dans l’impossibilité de renouveler leur permis de travail et risque d’être contraint de quitter le Québec si la situation ne s'améliore pas. Depuis mars, ils vivent de leurs économies, sans pouvoir exercer professionnellement à cause des lourdeurs administratives. Ils sont également confrontés à la perspective d'un retour forcé en France, situation qu'ils souhaitent éviter à tout prix. Anaïs confie leur désarroi : « On est démunis, frustrés. On aime le Québec et on ne veut pas partir. On nous traite comme des parias. C’est un non-sens. » Frédéric exprime également sa frustration : « Ça fait cinq ans et demi que je travaille pour être ici. On n’est pas au Québec pour chercher du secours. On est partis d’une situation très bien pour découvrir une autre culture et apporter [notre bagage] ici. » Leur décision de quitter la région parisienne pour le Québec en 2019 était motivée par le désir de changer de décor et de vivre une nouvelle expérience. Séduite par une campagne de recrutement de Santé Québec, Anaïs, qui avait la possibilité de travailler sans problème en Suisse ou ailleurs grâce à son expérience dans un institut réputé en France, a choisi le Canada. Ils sont arrivés pour la première fois en février 2021. Leur tentative de renouvellement du permis de travail a été entravée par un problème technique lors du téléversement du certificat d’acceptation du Québec (CAQ), transformant une procédure qui aurait dû être simple en un véritable parcours du combattant. Suite et source Par Jean-François Guillet, La Voix de l'Est 30 avril 2024
  3. 1. Document reviewer (Réviseur de documents) Average salary: $123,427 US 2. Telemedicine physician (Médecin en télémédecine) Average salary: $139,412 US 3. Forensic analyst (Analyste médico-légal) Average salary: $106,442 US 4. Real estate analyst (Analyste immobilier) Average salary: $103,157 US 5. Senior environmental scientist (Scientifique principal en environnement) Average salary: $92,018 US 6. Senior information technology specialist (Spécialiste senior en technologie de l'information) Average salary: $99,448 US 7. Senior staff engineer ( Ingénieur senior) Average salary: $174,743 US 8. Social media strategist ( Stratège des médias sociaux) Average salary: $81,329 9. Program analyst (Analyste de programme) Average salary: $98,392 10. Senior AI/machine learning engineer Average salary: $170,186 Source : https://www.cnbc.com/2024/04/29/the-most-in-demand-remote-jobs-companies-are-hiring-for-right-now.html
  4. Pénurie d'enseignants: 4200 profs non légalement qualifiés de plus d’ici trois ans dans les écoles du Québec Il s’agirait d’une hausse de plus de 50%, selon des prévisions du ministère de l’Éducation DAPHNÉE DION-VIENS Jeudi, 25 avril 2024 00:00 MISE À JOUR Jeudi, 25 avril 2024 00:00 Québec prévoit une hausse de 4200 enseignants non légalement qualifiés d’ici trois ans dans les écoles québécoises, soit une augmentation de plus de 50%, a appris Le Journal. • À lire aussi: Le nombre de profs non qualifiés en hausse constante: des écoles se démènent pour mieux les encadrer • À lire aussi: Situation «dramatique» dans nos écoles: deux fois plus de profs ont démissionné depuis quatre ans Le ministère de l’Éducation, qui mise sur des formations en enseignement plus courtes pour freiner cette tendance, a élaboré des «lignes directrices» pour encadrer leur développement, ce qui permettra à des aspirants profs d’être considérés comme légalement qualifiés dès leur inscription dans l’un de ces programmes, peut-on lire dans une lettre transmise au réseau universitaire mardi. «Si la tendance se maintient et qu’aucune action n’est prise, nous prévoyons, à la formation générale des jeunes une augmentation annuelle de 1400 personnes non légalement qualifiées sous tolérance d’engagement d’ici 2026-2027», écrit la sous-ministre, Carole Arav. Une tolérance d’engagement est une autorisation spéciale accordée à un centre de services scolaire lui permettant d’octroyer un contrat à un enseignant non légalement qualifié en cas de pénurie. Le réseau scolaire compte présentement 7949 enseignants embauchés en vertu de cette autorisation spéciale, selon des données recueillies en février auprès des centres de services scolaires. source et suite
  5. Vous pouvez faire une recherche de délais ici :https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/demande/verifier-delais-traitement.html Pas facile comme situation. Merci de nous tenir au courant. J'espère que ça sera rapidement réglé et que vous serez réunis bientôt.
  6. FRÉDÉRIC GUINDON (LE SAC DE CHIPS) 25 avril 2024 12H42 MISE À JOUR 25 avril 2024 12H42 Les Québécois ont plusieurs cordes sensibles, on le sait. Le prix de l’essence, la rivalité Canadien-Nordiques, les origines de la poutine et les tarifs d’Hydro-Québec en sont plusieurs exemples. • À lire aussi: Une influenceuse française veut patiner dans une fontaine glacée et les Québécois paniquent à cause d’un détail qui fait grincer À cette liste, on pourra peut-être bientôt ajouter «la qualité du jambon de chez nous». En effet, si on se fie à une vidéo publiée ce mercredi sur TikTok, l’excellence (ou pas) du jambon québécois serait un piton de plus sur lequel il ne faudrait pas appuyer si on ne veut pas semer l’émoi sur les réseaux sociaux. @agirlfromnice, une Française qui documente son expatriation à Montréal sur TikTok, l’a appris à ses dépens lorsqu’elle a publié une vidéo d’une minute dans laquelle elle émet des réserves quant à la qualité du jambon offert dans les supermarchés d’ici. Dans les commentaires sous sa publication, des Québécois outrés se sont occupés de la remettre à l’ordre. • À lire aussi: Coeur de Pirate participe à «Danse avec les stars» en France et reçoit une note exécrable Ils lui ont d’abord souligné qu’elle magasinait dans le comptoir des charcuteries. CAPTURE D'ÉCRAN / TIKTOK Ils lui ont aussi expliqué qu’on peut choisir, au comptoir des viandes, parmi une variété impressionnante de jambons que l’on peut faire trancher selon nos préférences. Suite et source : https://www.lesacdechips.com/2024/04/25/une-francaise-se-plaint-du-jambon-quebecois-sur-tiktok-et-le-quebec-monte-aux-barricades-pour-defendre-lhonneur-de-son-jambon
  7. 3000 ostéopathes se rapprochent d’une reconnaissance professionnelle Daniel Boily Davide Gentile Publié à 4 h 00 HAE Le gouvernement du Québec dit attendre la mise sur pied d’un programme complet de formation universitaire en ostéopathie avant d’approuver la création d’un ordre professionnel des ostéopathes ou leur intégration à un ordre existant. La ministre responsable de l'application des lois professionnelles, Sonia LeBel, a fourni quelques détails supplémentaires au sujet de l’encadrement des ostéopathes, mardi, à l’occasion de l’étude des crédits budgétaires du volet Lois professionnelles du Conseil du Trésor. On est dans les dernières étapes de la création d’un ordre professionnel, a déclaré la présidente du Conseil du Trésor, qui répondait aux questions du député libéral André Albert Morin. La ministre a précisé qu’une formation adéquate de plus de 3100 heures devait être offerte pour être capable d’y arriver. La ministre LeBel a confirmé que le ministère de l’Enseignement supérieur était en discussion avec l’Université de Sherbrooke pour mettre sur pied un tel programme de formation complet. Entre-temps, la création récente de deux microprogrammes en ostéopathie par l'UQAM pourrait permettre de qualifier des ostéopathes qui sont déjà formés pour s’assurer qu’il y ait des permis. À Ostéopathie Québec, on préfère attendre des clarifications et une réponse coordonnée de la ministre de l’Enseignement supérieur du Québec, Pascale Déry, et de la ministre Sonia LeBel quant à la formation universitaire. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2067291/profession-osteopathes-caq-sante
  8. Épuisée par ses conditions de travail et son salaire peu élevé, cette infirmière de 35 ans a décidé de tout plaquer pour s’installer au Canada avec son conjoint. Un revenu multiplié par quatre, des enfants épanouis… La jeune maman ne regrette pas une seconde son choix de vie. Tout quitter, abandonner une vie bien ancrée dans leur petit village de l’Allier pour traverser les frontières. Ce qui a toujours été un rêve un peu lointain pour Marion, 35 ans, et Yann, son conjoint de 36 ans, est devenu réalité il y a près de trois ans. Un jour de 2021, cette infirmière rentre « en larmes » de la maison de retraite où elle officie. « J’ai assisté à une scène de maltraitance liée à un manque d’effectif et je me suis dit : J’arrête le métier », nous raconte cette maman de deux enfants de 5 et 7 ans. Le soir même, elle dépose son CV sur une plate-forme destinée au recrutement des soignants au Canada. Sans savoir qu’un an plus tard, en décembre 2022, elle débarquerait au Québec avec son mari, ses fils et six énormes valises, pour entamer une nouvelle vie. Une semaine après avoir déposé son CV, Marion est appelée pour un entretien. Cinq minutes à peine après avoir raccroché, la réponse arrive : son dossier est accepté. « On me dit que je suis reçue, que j’ai l’opportunité de partir au Canada et on nous donne une semaine pour choisir où nous voulons nous installer au Québec. Je n’en avais aucune idée ! », se remémore la trentenaire depuis sa maison fraîchement acquise à Napierville, à cinq minutes de la frontière avec les États-Unis et une grosse demi-heure de Montréal. Un salaire multiplié par 4,5 Le choix de la famille s’est porté sur cette ville de 4 000 âmes, car elle correspondait à leurs critères : proche de l’hôpital choisi par Marion, « dans une zone pas trop grande, car nous venons d’un village de 300 habitants » et francophone, « car je ne parle pas l’anglais ». La destination choisie, la famille s’octroie un an pour préparer ce grand départ, vendre ses deux maisons, ses meubles, ses voitures et, surtout, prévenir ses proches de ce nouveau projet de vie. Le changement est immense. Ils n’ont jamais pris l’avion et ne connaissent que très peu de choses du Canada. « Dans l’Allier, on avait notre maison, mais avec notre salaire on mangeait et on payait nos factures, c’est tout. On ne partait jamais en vacances », glisse Marion, dont le conjoint travaillait alors comme intérimaire dans l’agroalimentaire. L’aspect financier de ce nouveau départ n’est pas négligeable : aujourd’hui, la jeune femme qui travaille de nuit à l’hôpital de Saint-Jean-sur-Richelieu et va bientôt devenir cadre de santé grâce à son ancienneté française, qu’elle a pu conserver, a multiplié ses revenus par 4,5. « Des conditions de travail qui n’ont plus rien à voir » Elle explique retrouver un sens à sa profession choisie « par vocation », et dépeint « des conditions de travail qui n’ont plus rien à voir ». « Alors qu’en France, je ne voulais plus exercer mon métier car j’avais l’impression d’être à l’usine, de ne plus être dans l’humain, là, j’effectue beaucoup plus de soins parce que j’ai le temps, salue Marion. Aux urgences, j’avais 60 patients sur une journée de 8 ou 12 heures. Ici, quand je travaille seule, j’ai six patients maximum ». Yann, lui, travaille à domicile pour un opérateur de téléphonie. Un emploi trouvé « très vite », mais qu’il voudrait troquer contre un poste qui lui permettrait d’avoir un bureau et des collègues, car « le télétravail, ce n’est pas idéal pour sociabiliser », constate sa compagne. La famille, qui adore passer du temps ensemble, dit avoir fait « pas mal de rencontres entre Français, et puis avec des Québécois au travail, via l’école, avec les voisins… » « Le fait de mieux gagner notre vie nous permet de faire plus de choses, on va essayer d’aller à New York et à Boston », se projette aussi Marion, qui se félicite que ses deux enfants, l’un scolarisé en primaire et l’autre accueilli à la garderie (l’équivalent de la crèche, car l’école débute à 5 ans au Canada) se soient très bien accoutumés à leur nouvelle vie. « On ne se donne pas de date de retour » « C’est sans regret », martèle l’infirmière, concernant son changement de vie. « Le contexte actuel en France faisait qu’on ne se sentait plus à notre place, plus en sécurité. Ici, nos enfants jouent dehors quand ils veulent, alors qu’il était hors de question qu’ils sortent seuls chez nous. » La douleur de l’éloignement s’est quant à elle atténuée grâce aux appels en visio. « On voit mes parents toutes les semaines, c’est notre rituel, tous les dimanches on s’appelle. Ça fait du bien à tout le monde. » Elle aurait aimé que ses parents puissent leur rendre visite prochainement, mais ce couple de retraités « a été obligé de reprendre le travail, pour boucler les fins de mois ». Ce sera donc pour plus tard. D’ici là, Marion, Yann et leurs deux fils ont prévu de retourner en France l’été prochain. Et quid d’un retour définitif, là où ils ont grandi ? « On ne se donne pas de date de retour, explique la soignante. Nos permis de travail se terminent en décembre 2025. On a commencé les démarches pour faire une demande de résidence et on espère être sélectionnés avant l’an prochain. » Une chose est sûre, « on ira jusqu’à la fin de nos permis de travail, au moins », assure-t-elle. « On est très bien ici, mais on ne veut pas se mettre en tête qu’on fera toute notre vie au Québec, car on ne sait pas ce dont demain sera fait. Alors on y va au jour le jour. » Source : Le Parisien
  9. Karine Boivin Forcier SAGUENAY – Le magasin Décathlon de Chicoutimi ouvrira ses portes le 13 avril. L’implantation du commerce spécialisé dans les articles de sport et plein air génère la création d’une vingtaine d’emplois. La succursale de Chicoutimi constitue la neuvième de la bannière française à ouvrir ses portes au Québec. Il est aussi la première à s’installer dans une région. « C’est important! Je suis très fière d’avoir eu le poste ici et de pouvoir représenter le Saguenay–Lac-Saint-Jean à travers Décathlon. Nous avons une région qui est un terrain de jeu incroyable. Le Saguenay–Lac-Saint-Jean, c’est beau, c’est magnifique. Je voulais que ça se ressente dans le magasin. […] Nous sommes donc allés chercher de petites touches régionales à l’intérieur du concept de Décathlon », indique la directrice générale, Marie-Claude Lapierre. L’implantation du commerce à Place du Saguenay a nécessité un remaniement majeur des locaux du centre commercial pour dégager les 43 000 pieds carrés nécessaires à Décathlon. Rappelons que le Brunet, le Coco Frutti et le San Francisco ont dû déménager, alors que d’autres commerces fermaient leurs portes. Sandalwood, propriétaire de Place du Saguenay, a indiqué que les rénovations du centre d’achat ont nécessité un investissement majeur, mais ne souhaitait pas en dévoiler le montant exact. Il n’était pas non plus possible de connaître avec exactitude les sommes déboursées par Décathlon pour les améliorations locatives, mais il s’agit également d’investissements importants. Ouverture La directrice affirme que le recrutement n’a pas été difficile à réaliser, puisqu’elle a reçu de nombreux CV. « Nous avons eu beaucoup de candidatures et nous en recevons encore. Ça démontre vraiment que les gens d’ici connaissent Décathlon et je suis vraiment heureuse de le constater. » Selon Mme Lapierre, l’équipe est très excitée à l’idée de faire découvrir le magasin à la population. Des démonstrations sportives et des activités familiales sont d’ailleurs prévues pour l’ouverture, lors de laquelle les clients pourront tester les produits. « Nous avons vraiment hâte! […] Nous serons aussi au Salon Expo Nature cette fin de semaine. Nous aurons un kiosque pour donner aux visiteurs un avant-goût de nos produits et de nos prix », mentionne-t-elle. source et suite : https://informeaffaires.com/regional/commerces-et-services/decathlon-ouvre-son-premier-magasin-en-region
  10. Situé à l'est du Canada, entre le Québec et la Nouvelle-Ecosse, le Nouveau-Brunswick est particulier. Tout d'abord, parce que c'est la seule province officiellement bilingue du pays. Ensuite parce qu'elle forme le coeur historique de l'Acadie, où près de 250 000 francophones résident encore aujourd'hui : les Acadiens, nos cousins d'Amérique. Ceux-ci continuent de défendre leurs traditions et leurs coutumes. Avec ses forêts, ses plaines, ses collines et ses falaises, le Nouveau-Brunswick est également une destination privilégiée pour tous les amateurs de nature et de grands espaces canadiens. Jérôme Pitorin débute son voyage en arpentant le littoral. Présenté par : Jérôme Pitorin Maison de production : Bo Travail / France Télévisions Échappées belles S18 : Canada, la fierté acadienne 1 h 27 min Diffusé le 13/04/2024 à 21h00 Disponible jusqu'au 20/08/2024 https://www.france.tv/france-5/echappees-belles/saison-18/5836851-canada-la-fierte-acadienne.html
  11. C'est aujourd"hui à 15 h que l'éclipse aura lieu. Vous êtes plus de 70 000 à vous êtes inscrit à notre évènement. Il est encore temps d'y ajouter votre nom. https://www.facebook.com/events/267875506387245
  12. Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi certains de vos amis français, belges ou suisses installés au Québec depuis longtemps ont toujours leur accent? Du coup, on a posé la question à un sociolinguiste pour y voir plus clair. «Ce sont des processus individuels et d’une personne à l’autre, il y aura des motivations ou orientations différentes derrière les choix qui sont faits», précise d'emblée à 24 heures le professeur de linguistique à l’Université de Sherbrooke et directeur du Centre de recherche interuniversitaire sur le français en usage au Québec (CRIFUQ), Wim Remysen. Une question d'âge, de réseau, d'identité... et d'appréciation En se fiant sur des études anglophones, Wim Remysen a identifié des facteurs qui peuvent contribuer au fait qu’une personne qui parle la langue de Molière, de Rousseau ou de Fabian change (ou pas) d’accent après s’être installée au Québec. Il y a d'abord l’âge. «Après 13 ans, on va considérer que c’est plus difficile d’acquérir une variété de langue», explique l’expert. Il précise que plus les années passent, plus on a de difficulté à percevoir certaines nuances dans la prononciation et à les intégrer dans notre propre pratique. Le réseau dans lequel évolue la personne joue également un rôle. Wim Remysen prend l'exemple des Français, qui sont pas moins de 65 000 à habiter à Montréal. Si une personne originaire de France ne s'entoure que d'autres Français une fois au Québec, il y a fort à parier qu'elle conservera son accent d'origine, plutôt que de développer ce qu'on appelle nouvelle variété de langue. «Alors que si on fréquente des Québécois qui sont nés et qui ont grandi dans la province, on est plus exposé à l’accent donc plus de facilité à adopter l’accent québécois», précise-t-il. L'identité peut aussi contribuer au fait qu'une personne changera (ou ne changera pas) sa manière de s'exprimer. «En délaissant notre propre accent, il y a une part de nous qu’on met de côté, mentionne le professeur. Notre accent est aussi une sorte de passeport qui indique nos origines. C’est l’une des forces de l’accent.» Pour certains francophones nés de l’extérieur du Québec, l’accent de Tremblay peut finalement être perçu négativement, note Wim Remysen «On peut très bien imaginer que pour certains francophones, se conformer à un accent qui n’est pas le leur et qui n’est pas aussi légitime à leurs yeux que leur accent d’origine, ça peut les freiner à l‘adopter.» Un français hybride Wim Remysen remarque que bien des Français installés au Québec — ou encore des Belges ou des Suisses — finissent par adopter un français hybride. Au Québec, ils se font dire qu'ils ont encore leur accent «français», alors que de retour dans leur pays d'origine, ils se font dire qu'ils sonnent «québécois». Suite et source
  13. Pénurie de vétérinaires au Québec: de la main-d’œuvre de l’étranger à la rescousse L’OMVQ a octroyé une quarantaine de permis restrictifs temporaires pour répondre aux besoins criants CATHERINE BOUCHARD Lundi, 1 avril 2024 00:00 MISE À JOUR Lundi, 1 avril 2024 00:00 Une quarantaine de vétérinaires de l’étranger ont le droit de pratiquer ici temporairement depuis un an, alors que l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec cherche à minimiser les impacts de la pénurie des spécialistes de la santé animale. En février 2023, Le Journal publiait un dossier complet sur la situation de la médecine vétérinaire au Québec et le manque de main-d’œuvre amplifié par l’adoption massive d’animaux de compagnie durant la pandémie. L’Ordre des médecins vétérinaires du Québec (OMVQ) indiquait à ce moment qu’il faudrait plusieurs années avant de voir la situation se rétablir. Favoriser l’accueil de vétérinaires diplômés à l’étranger était au nombre des solutions. En 2023, un premier pas vers l’avant a été fait, alors qu’une quarantaine de vétérinaires de l’étranger ont obtenu un permis restrictif temporaire, en attendant d’obtenir leur équivalence. «On a de très beaux succès», admet d’emblée Dr Gaston Rioux, président à l’OMVQ. De beaux succès, oui, mais qui a ses limites, nuance-t-il. Un processus décourageant L’octroi de ces permis est accordé en attendant que ces médecins obtiennent leur équivalence pour pratiquer au Québec. Un processus qui peut décourager les vétérinaires devant l’ampleur du travail à y mettre et les frais qui y sont associés. Dr Rioux craint que des candidats se découragent. Il souhaite un autre assouplissement du gouvernement avec l’octroi de permis restrictifs permanents, pour ceux qui pratiqueraient uniquement dans leur spécialité. «Par exemple, un vétérinaire français qui a toujours travaillé avec les moutons et les chèvres et qui doit repasser tous les examens [pour l’ensemble] des animaux, ça décourage, observe-t-il. Avec un permis restrictif permanent, il resterait avec les chèvres et les moutons.» Dre Marie Poncet, qui est originaire de France et travaille dans une clinique de Mascouche, est l’un des premiers médecins à avoir obtenu ce type de permis. Des quatre examens à faire pour l’équivalence, il lui en reste qu’un à réussir. Elle admet toutefois que le processus est décourageant. L’option d’un permis restrictif permanent serait une bonne idée à son avis. «Je comprends qu’on n’est pas sur le même continent, il peut y avoir des maladies, des pratiques un peu différentes. Mais c’est vrai que des fois il y a des choses de base qu’on nous redemande et ça fait beaucoup de travail que nous avons déjà fait». Près de 8000$ pour un examen Dre Daria Malakhova a obtenu son diplôme de médecine vétérinaire en 2012, en Ukraine. Arrivée au Québec en 2021, elle a obtenu son permis restrictif en avril 2023. Il lui reste également un examen à passer pour avoir un permis régulier. «Il est vrai que le processus est long et très coûteux», observe-t-elle, précisant que son dernier examen, au coût de 8000$, est prévu pour mai prochain. Source et suite : https://www.journaldemontreal.com/2024/03/30/penurie-de-veterinaires-au-quebec-de-la-main-doeuvre-de-letranger-a-la-rescousse
  14. Suite au webinaire de cette semaine, un beau cadeau de l'auteur du livre pour vous ! https://www.immigrer.com/le-quebec-explique-aux-immigrants-offert-gratuitement/
  15. Lisa-Marie Gervais 27 mars 2024 Difficultés d’intégration, stress et anxiété, échecs. Un an et demi après l’arrivée des premières cohortes, le programme québécois visant à recruter 1000 infirmières et infirmiers à l’international connaît des ratés, selon ce qu’a constaté Le Devoir. Alors qu’environ 300 de ses étudiants ont passé l’examen de l’Ordre des infirmières et infirmiers mardi — les résultats seront connus d’ici quelques mois —, 737 sont toujours en formation ou sur le point de la commencer et une cinquantaine ont échoué ou abandonné en cours de route, selon les données du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI). Démarré à l’automne 2022, le programme, au coût de 65 millions, n’a pas eu pour seul effet d’amener de la main-d’oeuvre partout dans la province : il a également généré beaucoup de stress et de déception chez ces futurs soignants de notre réseau, dont plusieurs disent avoir été « trompés » par le Québec. « Ce n’est pas du tout ce à quoi je m’attendais. Il y a eu beaucoup de non-dits », a déploré Katia, une infirmière africaine toujours dans le programme qui veut taire son identité pour ne pas nuire à ses chances. « Ça n’a pas été facile du tout. » Il y a environ un an, cette mère de famille est arrivée dans une région québécoise seule avec quatre enfants, dont un bébé de quelques mois. L’organisme d’aide local lui avait trouvé un appartement, mais il lui a fallu le meubler, inscrire ses enfants à l’école et trouver une garderie pour son nourrisson. Tout ça dans les 10 jours avant que ne commence le cours. « C’est un programme intense. Tu dois étudier, tu dois t’occuper des enfants… Il y a beaucoup de paramètres à prendre en compte », raconte-t-elle. suite et source: https://www.ledevoir.com/societe/809753/immigration-stress-colere-infirmieres-recrutees-etranger
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