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Tout ce qui a été posté par Petit-Prince
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Je crois que c'est Keynes qui a dit qu'un déficit public n'était pas nécessairement une mauvaise chose. Il y a un économiste dans la salle ? Quand à savoir qui paiera, j'aime assez cette citation de G Best (un footballer mort récemment sans le sou et cyrhosé) : J'ai dépensé 90% de mon fric dans la boisson, les filles et les bagnoles. Le reste ? Je l'ai gaspillé !. Oui, mais Keynes avait écrit cela à une époque où le déficit ne représentait pas 67% du PIB ! Encore une fois, quand la totalité des recettes de l'impôt sur le revenu ne sert qu'à payer les intérêts de la dette, ça ne prend pas la tête à Papineau pour s'apercevoir qu'il y a un sacré gros problème ! De plus, Keynes parlait bien de maîtrise des dépenses... or, lorsque l'on parle de la France, on voit juste un emballement des dépenses... On arrive à un point où l'on ajoute, chaque année, environ 50 milliards d'euros à la dette ! Le pire, c'est que l'on ne voit pas la fin... On va faire comment pour payer les retraites dans... disons 20 ans ? La sécurité sociale, comment elle va se comporter avec tous ces baby-boomers qui vont tomber malade dû à leur âge ? ll va falloir construire de nouveaux hôpitaux, former de nouveaux médecins... mais avec quel argent ? Le problème, c'est que lorsque tu dis ça aux Français, ils sont d'accord avec le constat... et sont les premiers à dire qu'il faut des réformes ! Mais, si tu es homme politique et que tu oses faire une réforme, tu as un millions de personnes dans les rues ! Je l'ai vu en décembre 1995 : les syndicats ont tout fait pour saboter un plan, peut-être pas parfait, mais nécessaire, non pas pour le bien collectif, mais juste pour défendre des intérêts catégoriels ! Beaucoup de Français sont pour un partage privé/public des retraites et de la santé... le problème, c'est que ce ne sera jamais eux qui bloqueront les routes, manifesteront dans la rue et briseront des commerces. Il reste les urnes n'est-ce pas ? Et bien NON ! Ça ne sert à rien puisque dès que l'opposition n'est pas d'accord, elle manifeste jusqu'à obtenir ce qu'elle veut... c'est rire des électeurs, c'est se foutre de leur gueule en leur montrant bien que même s'ils votent pour un programme, il ne sera pas appliqué entièrement. Me parlez pas de démocratie... l'on gouverne maintenant avec les sondages et en fonction de la rue. J'exagère, je schématise, je suis d'accord... Et pour finir, ce qui a permis aux théories de Keynes de fonctionner... c'est une guerre et l'effort économique qu'elle a permis de créer. Ne vous emballez donc pas trop sur ce genre de concept qui n'a jamais vraiment marché depuis.
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Bah tu sais, travailler avec des gardiens se sécurité n'apportent pas que des avantages... Certes, mais je travaille à l'administration ! Ils ont, pour la plupart, un niveau universitaire.
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Tu as entièrement raison. Mais je dois dire qu'aucun de mes collègues n'a voulu aller voir "Les Poupées Russes" et qu'une seule d'entre-eux avait vu "L'Auberge espagnole"... alors Frédéric Klapish, tu penses... Pour Francis Cabrel, on l'avait oublié celui-là ! J'ai souvent rencontré des Québécois qui l'aimaient bien et qui étaient même allé le voir en concert !
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Ça doit être encore de la faute de ces crisses de chasseurs de phoques ! Mais que fait BB ??? :kloobik:
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C'est un genre de Hockey pas de glace, pas de baton, pas de rondelles mais un ballon de peau de vache, puis pas trop de bagarre et pas trop de but ... faque, c'est plate en titi .... Quel intérêt alors ?
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C'est quoi le soccer ?
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On fuit toujours quelque chose Mr. Pringles, tu as raison... parfois on a du mal à le reconnaître, parfois on n'a fait "que" fuir. Et même si j'admets volontiers avoir fuit certains travers de la France, ce n'est pas cela qui est l'unique responsable de mon arrivée au Québec. Peu s'en faut ! Tu es effectivement libre de ne pas être d'accord avec le fait de donner notre avis sur ce qu'il se passe en France depuis l'étranger. Je n'ai AUCUN problème avec ça... Ce que je n'ai pas apprécié, c'est que tu aies tenté de ridiculiser cette approche en comparant nos discussions à un salon de thé. Ce n'est pas une manière de donner son avis, surtout sans connaître le passé de ceux à qui ont parle. Je trouvais la discussion sereine et bien intéressante avant que tu essaies de la tourner en dérision, surtout que je me serais attendu à un commentaire un peu plus constructif.
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Je la trouve bien agressive cette Anitag ! ... Elle me fait un peu penser à Prune par moment. Je peux me tromper, mais je la trouve un peu spéciale... À surveiller je pense...
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C'est quoi ton problème ciboire ???? Il n'a même pas donné son avis ! Où est son opinion ? Où sont ses idées par rapport au sujet ? Voyons ! Faudrait savoir rester un temps soit peu objectif ! Il nous a juste dit, en clair, de fermer notre gueule vu que l'on ne vit plus en France ! Tu parles d'un avis ! Et ton avis... où est-il ? Anitag, ça sent le troll à plein nez !!!
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Je ne sais pas à qui tu t'adresses, vu que tu as "oublié" de le dire clairement... je pense que c'est la liberté de n'importe qui de pouvoir exprimer ses idées. Toi, personnellement, tu n'as pas d'idées sur les pays étrangers ? Tu t'interdit de donner ton opinion sur un pays dans lequel tu ne vis pas ? Si l'on suit ta logique, on ne doit pas critiquer la Chine et sa dictature, on ne peut pas donner son avis sur l'Afghanistan et les Talibans, on ne peut pas avoir d'opinion sur la détresse économique de l'Afrique... parce qu'on y vit pas ! Oui, je suis libre de parler de la France et en plus, j'ai fait ma part me semble... j'ai été engagé en politique durant plus de dix ans, dont six ans tout à fait bénévolement. J'estime donc, mais tu es libre de ne pas être d'accord, c'est vrai... j'estime donc que je suis en droit de donner mon avis, d'autant plus que je connais le sujet et que j'ai aussi vécu ce genre de problème. Ce que je ne comprends pas, c'est que si l'on dit que ce n'est pas notre problème, on nous répond qu'on renie la France... et lorsque l'on donne notre avis, on nous dit de la fermer et d'aller vivre en France ! Voyons ! On est là pour échanger des avis, des opinions... j'aurais préféré que tu puisses donner ton avis constructif sur la question et non pas de chercher un prétexte bancal pour essayer de clore le débat. De plus, si cela te gêne tellement, tu es libre de ne pas lire ce sujet !
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Je crois que la mentalité et l'atmosphère y sont pour beaucoup... Le Québec a aussi son lot de problèmes et le pays n'est pas parfait, on le sait tous très bien. Mais même s'il y a du chômage, même si tout ne va pas comme on le voudrait, l'optimisme est de rigueur. Faites la comparaison, par exemple, en regardant les nouvelles de France 2 et celles de Radio-Canada. Cette observation peut vous paraître futile, mais je pense que cela explique bien des choses. En regardant France 2, on sent de la morosité... on y parle de crise, de plan-sociaux, de découragement. On sent le pessimisme et le défaitisme ambiant. Même si ce n'est pas le cas pour tous les Français, je parle là d'une ambiance générale. Ici, même s'il y a des mises à pied et des congédiements, on ne sent pas cette morosité. Au contraire ! On sent un certain optimisme... même si nous connaissons notre lot de drames. Il n'y a pas cette fatalité, cette grisaille qui mine le moral. Il est clair que le moral est important. Si, en partant, on se dit qu'une réforme ne fonctionnera pas, que les dirigeants sont juste là pour nous fourrer, ça ne peut pas aller bien loin. Au contraire, dans une société plus responsabilisée comme celle du Québec, on est plus tenté de se prendre en mains sans attendre que cela vienne de l'état. Oui, je reviens peut-être toujours au même, mais je pense personnellement que c'est essentiel. En se reposant trop sur l'état, on ne fait plus autant d'efforts, alors qu'ici, nous savons tous très bien que l'état ne pourra pas grand chose pour nous si nous ne faisons pas le maximum. Résultat, même avec nos problèmes, j'ai vraiment l'impression que le Québec est plus dynamique, moins fataliste.
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Je viens d'écouter Jacques Demers, ancien entraîneur-chef du Canadien et dernier entraîneur à avoir gagné la coupe Stanley, et il a une théorie qui tient bien la route je pense... Nous avons deux gardiens... Aebischer et Huet. Aucun des deux n'ont déjà fait les séries. On ne sait donc pas comment ils vont se comporter, on ne sait pas comment ils réagiront sous la pression, même si Huet montre un calme extraordinaire en toute circonstance. Personnellement, je mettrais Huet, mais que fait-on s'il connaît une mauvaise séquence ? En faisant jouer Aebischer en ce moment, on sait qu'il est prêt au cas où... si on ne l'avait pas fait jouer, on n'en saurait rien... C'est tout de même plus rassurant ! Non ?
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Manuel du parfait petit "maudit français"
Petit-Prince a répondu à un(e) sujet de touareg dans Québec
http://www.lemonde.fr/web/articleinteracti...@45-2031,0.html -
Méfions-nous des sondages ! ... En novembre 1994 (sondage BVA) : Jacques Delors : 52% Édouard Balladur : 48% Au final, l'un ne s'est jamais présenté et l'autre n'a même pas fait 20% au premier tour ! Anyway, les deux personnalités que tu as cité sont deux étatistes, il n'y aura pas grands changements au niveau économique. Entre une sociale-libérale et un libéral-social, le résultat risque d'être le même. Dommage...
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Qui est-ce ?
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Manuel du parfait petit "maudit français"
Petit-Prince a répondu à un(e) sujet de touareg dans Québec
Ce qui est dingue, c'est que ce blog a été cité parmi les plus influent par le quotidien Le Monde ! -
Une partie de la dette est détenue par des institutions financières françaises, une autre partie par des institutions européennes et une autre encore par des banques étatsuniennes entre-autres. C'est assez difficile à quantifier puisque les titres émis par le gouvernement changent de mains, circulent au grès des spéculations. Il ne faut pas confondre cela avec le déficit (ou l'excédant) commercial qui n'a rien à voir avec la dette... en tous cas, pas directement.
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Destresse alors ! Car même si le Québec n'est pas un bon élève à ce niveau-là, le budget est beaucoup plus équilibré, on a même parfois frôlé l'équilibre recettes-dépenses. Donc, les efforts seront moins importants à faire pour ne pas aggraver la charge de la dette publique. Ce qui n'est pas du tout le cas en France où le budget est totalement déséquilibré depuis des décennies ! En France, le gouvernement crie victoire lorsque le budget est déficitaire de moins de 50 milliards d'euros ! Vous imaginez ? 50 milliards ! Certes au Québec, nous ne sommes pas encore arrivé au déficit zéro, mais l'objectif est réaliste.
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C'est pourtant essentiel ! ... rien que le remboursement des intérêts de la dette se chiffre à 40 milliards d'euros en 2004 en France, soit le montant total des recettes de l'impôt sur le revenu !!! Il se trouve que la France éprouve de plus en plus de difficulté à payer ces intérêts ! Je ne parle même pas de la dette là ! Imagine ce que la France pourrait faire avec 40 milliards d'euros en plus par an ! Au lieu de ça, les contribuables paye pour que l'état rembourse. Cet argent pourrait redynamiser l'économie, au lieu de cela, ça pèse sur la croissance et le développement. En 15 ans, la France à augmenté sa dette publique de +235% ! Ce qui fait un total de 1,067 milliards d'euros en 2007, soit 41,000 euros par habitants, soit 65% du PIB ! Combien de temps cela pourra durer ? Faudra t-il que la France soit un jour placé sous tutelle internationale ?
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Oui, si l'on parle des francophiles, comme toi... et certains autres Québécois. Par contre, je suis certain que si l'on s'adresse à la majorité, ils ne connaissent pas la moitié des personnes que tu as cité. Sortis de Aznavour, Drucker, de Funès (aussi), Chirac, de Gaulle et peut-être quelques autres, on arrive vite en terrain inconnu. Ce n'est pas une critique... c'est juste pas le même continent ! La seule collègue de travail avec qui j'ai pu parler d'artistes Français, c'est une fille qui a eu un chum Français et qui s'intéresse à ce qui se fait dans l'hexagone. Sinon, ça reste limité... ça tombe bien, j'aime beaucoup plus parler des artistes d'ici !
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Ils n'auront pas le choix un jour ou l'autre ! Le système dans lequel ils vivent, l'état-providence, aurait peut-être une raison d'être dans une société prospère, ayant une bonne croissance et ayant atteint le plein-emploi... mais dans la situation actuelle, il est suicidaire de continuer à vivre de la sorte alors que la dette publique n'a jamais été aussi grande, que le chômage des jeunes est parmi les pires de l'OCDE... Cette sécurité d'emploi et cette protection sociale a un prix : un état endetté, un chômage persistant. La Grande-Bretagne a su faire ce grand virage salutaire à la fin des années 70 que même les partis de gauche ne remettent plus en cause, pourquoi la France n'en serait-elle pas capable ? Évidemment, cela a pris une forte personnalité pour y arriver... cela prend des dirigeants qui mettent leurs culottes, non pas des flans-mous qui reculent à la moindre difficulté. Le problème, c'est qu'il a toujours fallu des grosses crises en France pour pouvoir bouger, rien de grand ne s'est fait sans douleur... alors que dans bien des pays, les réformes se font souvent en douceur. Pourquoi donc tant de conservatisme ? Avec des millions de chômeurs, une croissance économique ridicule et une dette publique vertigineuse, la France a t-elle les ressources pour vivre au-dessus de ses moyens ? Les Français attendent trop de l'état... quand on regarde bien, l'état devrait être la réponse à tout ! L'état doit nous trouver un emploi, nous le garantir, nous donner des aides en cas de problème, gérer notre vie et faire les choix à notre place... Après la religion d'état... voici la religion de l'état. On ne s'en sort pas...
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C'est normal d'avoir peur des changements, mais il ne faut pas pour autant dramatiser... Au Canada, pays où il y a beaucoup plus de flexibilité du travail, on n'est pas plus malheureux ! En France, j'avais sept semaines de congés payés, des ponts en veux-tu en voilà, une assurance privée défiant toute concurrence, un salaire correct et une job que j'aimais. Ici, j'ai commencé avec deux semaines de congés, pas d'assurance (au début), travaillant la fin de semaine et le soir... et pouvant être viré du jour au lendemain. Mais est-ce que j'étais plus stressé ? Non ! Au contraire ! ... Pourquoi donc ? Parce que cette flexibilité me permettait de me faire virer en cinq minutes, MAIS, procurait l'avantage de trouver autre chose très rapidement. Je schématise, mais pour un employé lambda, on peut se faire virer en cinq minutes et trouver un autre emploi dans la demie-journée. Certes, c'est plus compliqué pour un immigrant qui vient juste d'arriver, mais une fois l'expérience acquise, c'est beaucoup plus simple. En France, perdre son emploi devient un drame... drame familial, personnel et financier. On a honte et on abuse des calmants (la France est de très loin le premier consommateur mondial de calmants). Il faudra parfois des mois avant de retrouver un emploi... et il sera compliquer de démarrer une entreprise si tu n'as pas d'argent. J'ai des amis pourtant diplômés d'un troisième cycle et qui sont restés plus d'un an au chômage en France ! L'un d'entre-eux, parti en Grande-Bretagne, a trouvé son premier emploi en une semaine !!! Vous savez, la Grande-Bretagne, cet affreux pays qui vit encore à l'heure de la révolution thatcherienne ! Pourtant, la France est le pays où il y a le plus de protection et le plus d'aide au chômage... Qu'est-ce qui explique cette morosité ? Qu'est-ce qui explique que nous, immigrés dans un pays moins progressiste et plus flexible au niveau de l'emploi, rejetons ce sacro-saint "modèle" français ? Ici donc, alors qu'il y a beaucoup moins d'aide, beaucoup plus de flexibilité, les gens perdant leur emploi sont plus optimistes. Certains en profitent même pour prendre des vacances !!! Et ce n'est pas une légende. Entre les deux systèmes, je préfère... et DE TRÈS LOIN, la flexibilité nord-américaine. Masochisme ? Non ! Je trouve que je profite plus de mes temps libres, je me sens beaucoup moins stressé, beaucoup moins nerveux... ce qui ne veut pas dire que tout soit parfait !
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Un article qui correspond assez à ce que je pense : à force de légiférer sur tout, la France a rendu la société rigide et réfractaire aux changements, tout en se construisant de véritables castes sociales. Tout cela coûte très cher, en argent, mais aussi en emploi... effectivement, le problème va bien au-delà du CPE qui n'était qu'un pis-aller. À force, on tue les initiatives, on emprisonne le travail et on crée une sécurité d'emploi artificielle ou se reposant sur l'effort des autres contribuables. C'est donc le travail et les initiatives qu'il faut libérer ! Est-ce la solution "miracle" ? Est-ce en changeant le nom du produit qu'il devient meilleur ? Nos aînés portaient aussi beaucoup d'espoirs dans la Ve république, et cela a fonctionné au début... Mais cette réussite ne venait-elle pas plus de la croissance des trente-glorieuses ? N'est-ce donc pas les mentalités et l'état qu'il faut réformer ? Même si j'ai mes propres réponses, je pense qu'il faut commencer tout de même par se poser les bonnes questions.
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Juste pour le fun, pourrais-tu nous dire où l'eau disparaît ? J'aimerai que tu expliques ça. Allez hop, juste pour en remettre une petite couche sur le sujet, que tout le monde puisse parler en connaissance de cause et qu'on arrête d'un côté, de dire tout et son contraire et de l'autre, d'opposer seulement cette vérité érigée en dogme, qui veut que le cycle de l'eau soit constant et permette d'éluder la question de sa protection en coupant court à tout débat : un dossier du CNRS. C'est long mais instructif et comme ça, on en saura tous un peu plus... sauf si on me prouve que les gens du CNRS sont de dangereux activistes écolos ! Mais là, les enfants, va falloir allonger des arguments un peu plus longs qu'une phrase de 6 ou 7 mots pour me convaincre !! Très intéressant en effet, et ce dossier ne contredit en rien ce que l'on a pu énoncer plus haut. Bien sûr, il faut distinguer l'eau potable du reste des reserves d'eau... mais ça, personne n'a dit que le traitement de l'eau n'était pas un problème !
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Personne n'a vraiment la réponse, à part Bob Gainey... mais il y a, par contre, plusieurs hypothèses : - Gainey a dit qu'il préférait que Huet reste un mystère pour les Sens. À cause du fait que l'on risque de les affronter en séries. Mais ce prétexte ne tient pas vu que Huet a déjà joué presque deux matchs contre eux cette saison. - Il y a deux gardiens... et c'est toujours bon de les faire jouer régulièrement tous les deux afin qu'ils restent à leur meilleur niveau. - Aebischer a connu un très bon match à Ottawa, il était logique de lui redonner une chance encore une fois, mais cette fois au Centre Bell. - Aebischer s'améliore de plus en plus et commence à bien s'intégrer dans l'organisation du Canadien. Il serait dommage de le couper dans son élan. - Peut-être aussi qu'il s'agissait de donner du repos à Huet avant l'entrée dans les séries éliminatoires. - Huet a une petite blessure et il doit avoir quelques jours de repos. - Dernière hypothèse : Gainey n'a pas encore choisi son gardien partant pour les séries et souhaite pouvoir les comparer tous les deux. Voilà un peu toutes les possibilités plus ou moins sérieuses... mais maintenant qu'il reste juste quatre matchs avant les séries, il est sûr que Gainey ne va pas dévoiler sa stratégie. Pour ce qui est des gardiens, cela n'a pas beaucoup d'importance. Maintenant, je pense que l'on peut compter sur nos deux cerbères, et ils ont tous les deux un bon niveau... ce que peu d'équipes peuvent se vanter !