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beamazone

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  1. J'aime
    beamazone a réagi à guylou973 dans Consultant RH / SIRH   
    hello
    Dans la région on vous pensez vous installer il faudra parler l'anglais. Ta femme est dans un domaine compliqué car selon les entreprises il faut être membre de l'ordre requis, et attention souvent les entreprises recrutent des personnes qui connaissent bien le marché de l'emploi et qui ont assez souvent un petit portefeuille d'entreprises.
    Si vous partez de suite et quelle souhaite rester dans ce domaine, il faudrait quelle se positionne sur un poste qui lui permette de travailler sa reconversion (cours d'anglais, l'ordre des métiers...) cela prendra du temps mais elle restera dans le circuit !!
    bonne chance et ne lachez rien !
  2. J'aime
    beamazone a réagi à Libelluleh1v dans Consultant RH / SIRH   
    Elle a jamais dit Ca! T as vraiment un PB d infériorité!

    Envoyé par l'application mobile Forum IC
  3. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Libelluleh1v dans Consultant RH / SIRH   
    et je maintiens mes propos qui sont que sit tu cherches un poste interessant dans les ressources humaines, je te conseille vivement de parler francais ET anglais.
  4. J'aime
    beamazone a réagi à Libelluleh1v dans Consultant RH / SIRH   
    Et bien c est un fait. Je travaille également dans les RH (et on a bien précise a Montréal) et le bilinguisme est exige! Y a qu a regarder les offres d emploi!

    J ai hâte de te rencontrer. En vrai.
    Pour savoir pourquoi tu es si agressif et tu vois le mal la ou il n y en a pas.

    Envoyé par l'application mobile Forum IC
  5. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Libelluleh1v dans Consultant RH / SIRH   
    Effectivement, je n'ai jamais dit ca. Je parlais de mon experience a Montreal dans les Ressourcess humaines. Meric de ne pas me prêter des propos qui ne sont pas les miens ni de les interpréter à ta sauce.
    Je pars en Baie James dans quelques semaines, alors tu vois, mon Québec et mon immigration, ca ne se limite pas a Montréal (et je tinvite à venir me voir en Baie James, c'est une tres belle région et les gens y sont vraiment géniiaux)
    Bonne journée
  6. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Libelluleh1v dans Consultant RH / SIRH   
    Bonjour
    je travaille dans le domaine des RH et je te confirme que
    - le bilinguisme est essentiel
    - à Montréal, on est en concurrence avec les diplômés locaux... c'est plus dur de se faire une place. Pour ma part, les meilleurs postes en RH qu'on m'a proposés étaient en région.
    Mais dans les SIRH, c'est un peu différent quand même

    Pour l'ordre des CRHA, il faut prévoir un budget important pour en être membre:
    20 heures de formation annuelle OBLIGATOIRE soit la modique somme de 2500 a 3000 dollars, plus le prix de la cotisation annuelle.
    Et puis, au début, c'est pas indispensable pour travailler !

    Bonne chance pour votre installation !
  7. J'aime
    beamazone a réagi à DidierVancouver dans 5 mois et une assimilation   
    Bonne continuation dans ton parcours québecois qui est un succès.

    L' assimilation est ce que combattent avec vigueur Québecois et Canadiens francophones, donc c'est une notion très négative ici.

    En Colombie-Britannique, il y a en ce moment un énorme procès (le 1er du genre ici, même si ce n'est pas médiatisé) lancé par la fédération de parents d'élèves francophones et CSF (conseil scolaire francophone) contre la province pour réclamer d'avantages de moyens budgétaires pour développer les écoles francophones.
    Et l'assimilation est justement ce que redoutent les plaignants.. En effet, faute de services proposées dans certaines écoles francophones, beaucoup de parents mettent leurs enfants dans l'anglophone et le cercle vicieux commence, avec le risque d'assimilation (l'enfant ne parle plus le français et ne s'y intéresse pas) lorsque les 2 parents ne sont pas francophones.

    Plus d'info ici :

    http://www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2013/11/27/008-proces-csf-education-francais.shtml
  8. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de DidierVancouver dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  9. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Chacha25 dans 5 mois et une assimilation   
    ALors pour repondre à la question sur les amis, ben l'ami c'est la personne avec qui tu vas au ciné, faire un restau, boire un verre, visiter un musée,... et qui vient voler à ton secours pour t'apporter son aide quand tu te retrouves à l'hopital (et oui déjà testé l'hopital), qqn qui t'écoute sans te juger, qqn qui te remonte le moral quand tu ne l'as pas, etc... et tout ca évidemment dans la réciproque!
    Mais on peut débattre longtemps de la question de l'amitié et chacun aura sa définition

    Quand au comment je me suis fait des amis, je fais partie de groupes d'échanges culturels et avec certaines personnes, il y a eu plus d'affinités. Le seul moyen de rencontrer du monde ici, c'est de s'investir socialement, de faire des activités, du benevolat, d'aller vers les autres. Mais ca, c'Est encore mon point de vue et ca n'engage que moi et d'autres font sans doute autrement. En tous cas, c'est pas en restant dans son canapé qu'on va voir du monde (d'autant que je n'ai pas la tele alors ca m'incite à sortir!)
    Quant a l'assimilation, je ne me prétends pas assimilée, je n'ai pas cette prétention. Mais en voie d'assimilation! L'assimilation ne se fait pas en 5 mois... mais prend des années. Mais je pense qu'il y en a pour qui cela s'amorce mieux que pour d'autres qui restent entre eux. Mais ca n'engage que moi encore et toujours.

    Chacun son point de vue et je respecte les opinions divergentes sans les juger.
  10. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Chacha25 dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  11. J'aime
    beamazone a réagi à LaserGuillaume dans 5 mois et une assimilation   
    Félicitations à toi!! Ne t'inquiète pas pour les commentaires négatifs, il y a toujours des suspicieux ou des jaloux ou simplement des gens qui s'ennuient!! Prend ce qu'il y a à prendre et continue comme ça.

    J'ajouterai que c'est très bien aussi de témoigner à ceux qui sont dans les démarches que l'immigration, ça peut aussi se passer comme ça.

    Bonne continuation!
  12. J'aime
    beamazone a réagi à sophie.1940 dans 5 mois et une assimilation   
    Oui, mon gars vas-y!!!!
  13. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Fuschiagirl dans 5 mois et une assimilation   
    ALors pour repondre à la question sur les amis, ben l'ami c'est la personne avec qui tu vas au ciné, faire un restau, boire un verre, visiter un musée,... et qui vient voler à ton secours pour t'apporter son aide quand tu te retrouves à l'hopital (et oui déjà testé l'hopital), qqn qui t'écoute sans te juger, qqn qui te remonte le moral quand tu ne l'as pas, etc... et tout ca évidemment dans la réciproque!
    Mais on peut débattre longtemps de la question de l'amitié et chacun aura sa définition

    Quand au comment je me suis fait des amis, je fais partie de groupes d'échanges culturels et avec certaines personnes, il y a eu plus d'affinités. Le seul moyen de rencontrer du monde ici, c'est de s'investir socialement, de faire des activités, du benevolat, d'aller vers les autres. Mais ca, c'Est encore mon point de vue et ca n'engage que moi et d'autres font sans doute autrement. En tous cas, c'est pas en restant dans son canapé qu'on va voir du monde (d'autant que je n'ai pas la tele alors ca m'incite à sortir!)
    Quant a l'assimilation, je ne me prétends pas assimilée, je n'ai pas cette prétention. Mais en voie d'assimilation! L'assimilation ne se fait pas en 5 mois... mais prend des années. Mais je pense qu'il y en a pour qui cela s'amorce mieux que pour d'autres qui restent entre eux. Mais ca n'engage que moi encore et toujours.

    Chacun son point de vue et je respecte les opinions divergentes sans les juger.
  14. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Fuschiagirl dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  15. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de DEGRILLASSE dans 5 mois et une assimilation   
    ALors pour repondre à la question sur les amis, ben l'ami c'est la personne avec qui tu vas au ciné, faire un restau, boire un verre, visiter un musée,... et qui vient voler à ton secours pour t'apporter son aide quand tu te retrouves à l'hopital (et oui déjà testé l'hopital), qqn qui t'écoute sans te juger, qqn qui te remonte le moral quand tu ne l'as pas, etc... et tout ca évidemment dans la réciproque!
    Mais on peut débattre longtemps de la question de l'amitié et chacun aura sa définition

    Quand au comment je me suis fait des amis, je fais partie de groupes d'échanges culturels et avec certaines personnes, il y a eu plus d'affinités. Le seul moyen de rencontrer du monde ici, c'est de s'investir socialement, de faire des activités, du benevolat, d'aller vers les autres. Mais ca, c'Est encore mon point de vue et ca n'engage que moi et d'autres font sans doute autrement. En tous cas, c'est pas en restant dans son canapé qu'on va voir du monde (d'autant que je n'ai pas la tele alors ca m'incite à sortir!)
    Quant a l'assimilation, je ne me prétends pas assimilée, je n'ai pas cette prétention. Mais en voie d'assimilation! L'assimilation ne se fait pas en 5 mois... mais prend des années. Mais je pense qu'il y en a pour qui cela s'amorce mieux que pour d'autres qui restent entre eux. Mais ca n'engage que moi encore et toujours.

    Chacun son point de vue et je respecte les opinions divergentes sans les juger.
  16. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de DEGRILLASSE dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  17. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de SONIA B dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  18. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de jackyna dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  19. J'aime
    beamazone a réagi à Axel_et_Vio dans 5 mois et une assimilation   
    Allo beamazone,

    Bravo pour ton bon sens, et ta simplicité.
    Moi, je suis certain que ton bonheur va continuer !

    Et je ne vois vraiment pas pouquoi certains remettent en doute le fait que tu te sois fait des amis en 6 mois. Pourquoi cela ne serait-il pas possible ? Parceque eux même n'ont pas réussi ? Pourquoi faudrait-il forcement à tout le monde des années pour se faire des amis ?
    Ils arrive bien souvent que l'on "accroche" en quelques instants avec des gens que l'on vient de rencontrer, et que l'on parle avec à eux comme si on les avait toujours connus, puis que l'on reste amis pour la vie (je vois ça comme une sorte de "coup de foudre amical").
    Je ne suis pas encore au Québec, mais je vois pas pourquoi les québecois seraient moins doués que les autres dans le domane de l'amitié.
    C'est quand même pas marqué sur le front des gens "Ca y est je suis au Québec depuis 5 ans maintenant, c'est bon maintenant vous pouvez devenir mon ami."...

    Je sais pas c'est bizarre ce forum, on dirait souvent que parceque certains n'arrivent pas à faire quelquechose, ils s'imaginent toujours que tous les nouveaux immigrants vont systématiquement avoir les même problèmes que eux.

    Après sur le mot assimilation ou intégration, pour moi tu peux bien utiliser celui que tu veux, l'essentiel est que l'on te comprenne (et entre nous, le fait de pinailler sur là-dessu ne me semble que servir à certains à justifier des échecs personnels... ouh là là, attention, ça va taper là.).

    En tout cas, je suis sûr que tu es mieux intégrassimilée en 6 mois que certains sur ce forum en 6 ans.

    Bref, bonnne continuation à toi, moi je suis sûr que tu es sur la bonne voie, et que les pessimistes continuent à parler....
  20. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Axel_et_Vio dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  21. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Axel_et_Vio dans 5 mois et une assimilation   
    Merci mille fois Chriseric, je suis comme toi et je trouve que les commentaires des Francais ici sont négatifs en général.
    Je vois qu'on a le meme etat d'esprit et ca me conforte, C'est sans doute la clé d'une bonne intégration (et tant pis pour les gens négatifs...)
  22. J'aime
    beamazone a réagi à emma1068 dans 5 mois et une assimilation   
    C'est mignon ce récit! Je pense cependant que quand on arrive de France, ces temps-ci par exemple, on a vite l'impression d'avoir de nombreuses opportunités ici. Ce n'est pas un tort et tant mieux si ça arrive vraiment. Après la notion d'amitié est très différente au Québec ou en Amérique du Nord/à la France. On peut passer des moments formidables avec des Québécois et que le lendemain la même personne ne vous dise plus bonjour. Il y a aussi les milieux de travail plus ouverts et plus intéressants avec des Québécois/étrangers qui ont voyagé pas mal ou qui connaissent bien les autres cultures. Mais un jour ou l'autre, on est confrontés aux lourdeurs du système et ça peut se transformer en cauchemar. Je pense qu'il faut vivre les bons moments comme ils arrivent, mais surtout ne pas se croire assimilé et surtout rester prudent! Déjà quand on débarque célibataire et en bonne santé (ou en couple éventuellement), on a pas trop de contacts avec les systèmes de santé et d'éducation bancals (avant l'université bien sûr). Donc, j'espère que ce récit sera toujours positif dans 5 ans. La lune de miel a duré 6 ans chez moi... mais il faut avoir aussi conscience de ce qu'on peut accepter ou non et toujours rester prudent!
  23. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de immigrer.com dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  24. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Cherrybee dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




  25. J'aime
    beamazone a reçu une réaction de Frenchie_in_the_US dans 5 mois et une assimilation   
    Bonjour à tous !
    Je n'aime pas trop les bilans dans lesquels on se regarde le nombril et/ou dans le rétroviseur.
    Alors j'ai plutôt envie de vous faire partager ma belle expérience, qui je l'espère, donnera l'espoir à ceux qui doutent.

    - le travail
    c'est le nerf de la guerre d'une immigration réussie.
    Pour ma part, je me suis laissée le temps d'arriver, de faire les démarches administratives, etc.. et deux semaines après mon arrivée, j'ai découvert CITIM. Je me suis inscrite début aout, j'ai rencontré un conseiller emploi. Et début septembre, c'était parti pour 3 semaines d'ateliers d'aide à la recherche d'emploi.
    Ca m'a permis de m'inscrire rapidement dans une dynamique de recherche active de job. Le fait de se lever tous les matins pour aller à la CITIM, ca structure la journée. Le fait d'être en groupe, de partager ses expériences, ca aide à avancer.
    Pendant les trois semaines, j'ai passé 4 entrevues dans des agences de placement. Je n'ai pas hésité à alléger un peu mon CV pour avoir des postes avec moins de responsabilités et plus faciles d'accès. Je savais que je ne retrouverai pas le même poste qu'en France à mon démarrage ici. Car ici, je suis en concurrence avec des jeunes diplômés pur laines, et mon expérience française et mes diplômes, on s'en fout !
    Le plus dur, c'est de décrocher la première expérience, celle qui te fera poser un pied dans une entreprise québécoise.
    Et début octobre, après mes trois semaines d'ateliers, et 4 entrevues dans 4 agences de placement, je démarre une bonne job dans une entreprise géniale. C'est du temporaire, mais je me dis qu'il faut saisir une opportunité quand elle se présente.
    Je me vois très vite confier de nouvelles missions, de nouvelles responsabilités Et en peu de temps, mon job devient un vrai job, avec des missions semblables à celles que j'avais en France, Et cela en six semaines !!!
    Donc au Québec, si tu te bouges et que tu n'as pas peur de montrer ce que tu vaux, tu peux monter vite en responsabilité. Il faut juste éviter certaines structures trop syndiquées dans lesquels les postes sont tellement bordés qu'avant d'avant une promotion, tu attendras de longs mois, voire années.
    Apres deux mois dans la structure dans laquelle je travaille, plusieurs services veulent m'avoir et me confier un poste intéressant.
    Et mes collègues m'apprécient beaucoup et m'ont offert plein de cadeaux au party de Noel
    Vraiment, le Québec, c'est le pays où tout est possible

    - mon assimilation
    Au début, quand je suis arrivée, je suis restée avec des immigrés car cela avait un côté rassurant (ils parlent ma langue et nous nous comprenons car pas de différence culturelle). Puis petit à petit, je me suis liée d'amitié avec des purs laines... Et maintenant, mes amis sont principalement des québécois. Et quand je dis mes amis, ce sont des vrais amis. Ici, les cercles ne se mélangent pas. le Québécois ne t'invite pas chez lui, on se retrouve au restau, au bar etc... et c'est plutôt la famille qu'on reçoit chez soit. Ben pour ma part, mes amis m'invitent chez eux et j'ai eu plus d'invitations pour Noël que je ne peux en honorer.
    Quant à mes collègues de travail, ils croient souvent que je suis là depuis 5 ans. Et quand je leur dis que je suis arrivée depuis peu, ils sont assez impressionnés.
    C'est en cela que je trouve que mon assimilation est bien amorcée.

    - le reste
    bah je vous épargnerai les remarques sur la météo (j'adore le froid et la neige, sauf que le slosh c'est poche!), les québécois qui parlent québécois (ben oui, et les allemands parlent allemand ... pfiou on est au Québec, maudits Francais!), et que sais je encore !

    Bonne continuation à tous et un excellent temps des fêtes
    et beaucoup de réussite à ceux qui sont encore en processus. Ca vaut le coup d'attendre des mois je le promets!!




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