Habitués farah33 Posté(e) 3 mars 2012 Habitués Posté(e) 3 mars 2012 salut zinou63 je voulais te dire ke midda ton ami n'as pas pu te joindre alors essaye de parler avec elle .ou d'envoyer un message merci
Invité Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 Bonsoir, Comment expliquez vous le silence radio de la précédente équipe du fil?!! Ils sont occupés soit avec l'étape fédérale, ou en pleine préparation d'avant départ! ce n'est pas simple! Hakim78 Merci de me repondre mais je faisais allusion aux gens du Qubece! Je me posais la même question je ressens même de l'évitement pour certains!!! bof Je me dis qu'aprés tout c'est ça la vie...nous on est connectés à ce fil puisque on y trouve notre intérêt mais une fois au québec, il faut passer à être chose et avoir d'autres centres d'intérêts.. et biensur un témoignage ou des conseils des gens déja installés sont les bien venus et ça aidera beaucoup de gens C'est vraiment bizarre comme phénomène en effet, le plus étonnant, c'est qu'il touche que les Algeriens!!!
Habitués tchatcho Posté(e) 3 mars 2012 Habitués Posté(e) 3 mars 2012 Salut Vous entrez ces coordonnées dans google maps ou Earth dans la Barre Aller à et vous tomberez directement sur la nouvelle Ambassade du Canada à Tunis, 36.847217,10.276936
Habitués zoldar Posté(e) 3 mars 2012 Habitués Posté(e) 3 mars 2012 C'est le samedi, c'est le calme plat ! serait-ce le calme avantla tempête ? rezcam a réagi à ceci 1
aadam Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 Bonsoir, Comment expliquez vous le silence radio de la précédente équipe du fil?!! Ils sont occupés soit avec l'étape fédérale, ou en pleine préparation d'avant départ! ce n'est pas simple! Hakim78 Merci de me repondre mais je faisais allusion aux gens du Qubece! je fais partie de cette équipe je vous lis souvent ca me rapelle des souvenirs ,mon ami smidich a laissé ca pour vous
aadam Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 Wowww un message de l'au delà !! l,au dela sans étoiles ,tu dois etre la cause ,chasseur d étoiles
Invité Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 Du Soleil sur Montréal de Rachid Tridi, (Roman) - Casbah Éditions, Alger, 2004 Un roman à lire... Karima est immigrante, algérienne et musulmane pratiquante ; Michel est un Québecois « pure laine ». Un coup de foudre déclenchera une liaison mouvementée que Mohammed, le père de la jeune fille tentera vainement d’empêcher. L’hiver montréalais et la difficulté d’intégration de la communauté musulmane à la société canadienne composent la toile de fond de ce roman au dénouement duquel l’amour triomphera au prix d’une déchirure familiale. De l’amour triomphal Fuyant le terrorisme qui sévissait dans la ville de Médéa où il vivait avec sa famille, Mohamed Arribi, ingénieur de son état, décide d’émigrer au Canada. Un chamboulement immense s’opère dans sa vie. Il a du mal à trouver sa place dans ce pays au climat si froid et dans cette société où il se retrouve obligé d’exercer le métier de plongeur dans un restaurant tenu par un Grec, alors que dans son pays, il était chef d’entreprise. Son épouse est une femme douce et attentionnée mais très effacée et soumise à son mari plus par crainte que pour autre chose. Alors qu’elle n’a jamais travaillé auparavant, ici au Canada, elle est obligée de faire les ménages pour arrondir les fins de mois difficiles. Leurs trois enfants Sofiane, Karima et Nassima vont, quant à eux, à l’école et tentent de s’intégrer à la société montréalaise. Les filles portent le voile. Leur père, très pratiquant, est d’une jalousie maladive, notamment envers son aînée Karima qui n’a pas encore 18 ans. Il l’a surveille de très près et ne lui permet aucune liberté en dehors de celle d’aller au lycée ou à la bibliothèque. En fait, Mohamed Arribi voit le mal partout, il ne peut imaginer que ses enfants puissent s’adapter à cette société occidentale et vivre de la même manière que tous les jeunes de leur âge. Il exerce sur eux une pression constante, notamment sur les filles et va même jusqu’à les battre de façon très violente. Mais sa famille est plus ou moins habituée à ses accès de colère. Sauf, qu’un jour, cette violence dépasse les limites de l’acceptable. Karima fait, en effet, par le plus pur des hasards, la connaissance d’un jeune Québecois. Elle en tombe éperdument amoureuse et les sentiments seront réciproques. Ce gentil garçon deviendra très vite la raison de vivre de la jeune fille qui lui reconnaît des qualités exceptionnelles. Quand son père s’en rend compte, il a l’impression que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Elle sera battue sauvagement à plusieurs reprises. Pourtant, la relation que Karima noue avec Michel est des plus platoniques mais si sa mère est plus ou moins conciliante, son père, lui, ne veut rien entendre. Sérieusement amochée au visage, la jeune fille restera plusieurs semaines cloîtrée à la maison. L’ambiance hostile et le climat délétère l’entraîneront doucement dans les abysses de la dépression nerveuse. Sa mère décidera alors d’agir, d’abord en la faisant hospitaliser dans un centre spécialisé. Là, elle s’en remettra peu à peu avec l’aide des médecins mais surtout avec le soutien moral indéfectible de son petit ami qui vient lui rendre des visites quotidiennes, à l’insu de son père. A sa sortie d’hôpital, ce dernier sur les recommandations du médecin de sa fille, accepte de mettre un peu sa rancœur de côté, en rencontrant Michel. L’invitation ne se passera pas comme les deux jeunes gens l’espéraient car M. Arribi montera très vite sur ses grands chevaux et laissera voir toute son agressivité et ses griefs à l’égard du jeune homme. Les deux jeunes gens ne veulent pas renoncer à leurs sentiments et à leur projet de vivre un jour ensemble. C’est cet attachement que le père de Karima ne veut pas accepter. Alors, un jour, il monte tout un stratagème pour amener sa fille à l’accompagner en Algérie pour quelques jours. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’il compte la marier à son cousin à son insu. Un livre à lire pour le plaisir et, peut-être, aussi pour une prise de conscience. Bonne lecure
Invité Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 Wowww un message de l'au delà !! :biggrin2: :biggrin2:
Invité Posté(e) 3 mars 2012 Posté(e) 3 mars 2012 (modifié) Bonsoir, Comment expliquez vous le silence radio de la précédente équipe du fil?!! Ils sont occupés soit avec l'étape fédérale, ou en pleine préparation d'avant départ! ce n'est pas simple! Hakim78 Merci de me repondre mais je faisais allusion aux gens du Qubece! je fais partie de cette équipe je vous lis souvent ca me rapelle des souvenirs ,mon ami smdich a laissé ca pour vous Intervention très sympathique ...Bonne chance et beaucoup de réussite a toi smidich et aux autres... de la part de l'équipe locale Modifié 3 mars 2012 par Replay2luxe
Habitués montreal_homesick Posté(e) 3 mars 2012 Habitués Posté(e) 3 mars 2012 Du Soleil sur Montréal de Rachid Tridi, (Roman) - Casbah Éditions, Alger, 2004 Un roman à lire... Karima est immigrante, algérienne et musulmane pratiquante ; Michel est un Québecois « pure laine ». Un coup de foudre déclenchera une liaison mouvementée que Mohammed, le père de la jeune fille tentera vainement d’empêcher. L’hiver montréalais et la difficulté d’intégration de la communauté musulmane à la société canadienne composent la toile de fond de ce roman au dénouement duquel l’amour triomphera au prix d’une déchirure familiale. De l’amour triomphal Fuyant le terrorisme qui sévissait dans la ville de Médéa où il vivait avec sa famille, Mohamed Arribi, ingénieur de son état, décide d’émigrer au Canada. Un chamboulement immense s’opère dans sa vie. Il a du mal à trouver sa place dans ce pays au climat si froid et dans cette société où il se retrouve obligé d’exercer le métier de plongeur dans un restaurant tenu par un Grec, alors que dans son pays, il était chef d’entreprise. Son épouse est une femme douce et attentionnée mais très effacée et soumise à son mari plus par crainte que pour autre chose. Alors qu’elle n’a jamais travaillé auparavant, ici au Canada, elle est obligée de faire les ménages pour arrondir les fins de mois difficiles. Leurs trois enfants Sofiane, Karima et Nassima vont, quant à eux, à l’école et tentent de s’intégrer à la société montréalaise. Les filles portent le voile. Leur père, très pratiquant, est d’une jalousie maladive, notamment envers son aînée Karima qui n’a pas encore 18 ans. Il l’a surveille de très près et ne lui permet aucune liberté en dehors de celle d’aller au lycée ou à la bibliothèque. En fait, Mohamed Arribi voit le mal partout, il ne peut imaginer que ses enfants puissent s’adapter à cette société occidentale et vivre de la même manière que tous les jeunes de leur âge. Il exerce sur eux une pression constante, notamment sur les filles et va même jusqu’à les battre de façon très violente. Mais sa famille est plus ou moins habituée à ses accès de colère. Sauf, qu’un jour, cette violence dépasse les limites de l’acceptable. Karima fait, en effet, par le plus pur des hasards, la connaissance d’un jeune Québecois. Elle en tombe éperdument amoureuse et les sentiments seront réciproques. Ce gentil garçon deviendra très vite la raison de vivre de la jeune fille qui lui reconnaît des qualités exceptionnelles. Quand son père s’en rend compte, il a l’impression que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Elle sera battue sauvagement à plusieurs reprises. Pourtant, la relation que Karima noue avec Michel est des plus platoniques mais si sa mère est plus ou moins conciliante, son père, lui, ne veut rien entendre. Sérieusement amochée au visage, la jeune fille restera plusieurs semaines cloîtrée à la maison. L’ambiance hostile et le climat délétère l’entraîneront doucement dans les abysses de la dépression nerveuse. Sa mère décidera alors d’agir, d’abord en la faisant hospitaliser dans un centre spécialisé. Là, elle s’en remettra peu à peu avec l’aide des médecins mais surtout avec le soutien moral indéfectible de son petit ami qui vient lui rendre des visites quotidiennes, à l’insu de son père. A sa sortie d’hôpital, ce dernier sur les recommandations du médecin de sa fille, accepte de mettre un peu sa rancœur de côté, en rencontrant Michel. L’invitation ne se passera pas comme les deux jeunes gens l’espéraient car M. Arribi montera très vite sur ses grands chevaux et laissera voir toute son agressivité et ses griefs à l’égard du jeune homme. Les deux jeunes gens ne veulent pas renoncer à leurs sentiments et à leur projet de vivre un jour ensemble. C’est cet attachement que le père de Karima ne veut pas accepter. Alors, un jour, il monte tout un stratagème pour amener sa fille à l’accompagner en Algérie pour quelques jours. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’il compte la marier à son cousin à son insu. Un livre à lire pour le plaisir et, peut-être, aussi pour une prise de conscience. Bonne lecure Merci pour le partage
Habitués Sokhoy Posté(e) 3 mars 2012 Habitués Posté(e) 3 mars 2012 Du Soleil sur Montréal de Rachid Tridi, (Roman) - Casbah Éditions, Alger, 2004 Un roman à lire... Karima est immigrante, algérienne et musulmane pratiquante ; Michel est un Québecois « pure laine ». Un coup de foudre déclenchera une liaison mouvementée que Mohammed, le père de la jeune fille tentera vainement d’empêcher. L’hiver montréalais et la difficulté d’intégration de la communauté musulmane à la société canadienne composent la toile de fond de ce roman au dénouement duquel l’amour triomphera au prix d’une déchirure familiale. De l’amour triomphal Fuyant le terrorisme qui sévissait dans la ville de Médéa où il vivait avec sa famille, Mohamed Arribi, ingénieur de son état, décide d’émigrer au Canada. Un chamboulement immense s’opère dans sa vie. Il a du mal à trouver sa place dans ce pays au climat si froid et dans cette société où il se retrouve obligé d’exercer le métier de plongeur dans un restaurant tenu par un Grec, alors que dans son pays, il était chef d’entreprise. Son épouse est une femme douce et attentionnée mais très effacée et soumise à son mari plus par crainte que pour autre chose. Alors qu’elle n’a jamais travaillé auparavant, ici au Canada, elle est obligée de faire les ménages pour arrondir les fins de mois difficiles. Leurs trois enfants Sofiane, Karima et Nassima vont, quant à eux, à l’école et tentent de s’intégrer à la société montréalaise. Les filles portent le voile. Leur père, très pratiquant, est d’une jalousie maladive, notamment envers son aînée Karima qui n’a pas encore 18 ans. Il l’a surveille de très près et ne lui permet aucune liberté en dehors de celle d’aller au lycée ou à la bibliothèque. En fait, Mohamed Arribi voit le mal partout, il ne peut imaginer que ses enfants puissent s’adapter à cette société occidentale et vivre de la même manière que tous les jeunes de leur âge. Il exerce sur eux une pression constante, notamment sur les filles et va même jusqu’à les battre de façon très violente. Mais sa famille est plus ou moins habituée à ses accès de colère. Sauf, qu’un jour, cette violence dépasse les limites de l’acceptable. Karima fait, en effet, par le plus pur des hasards, la connaissance d’un jeune Québecois. Elle en tombe éperdument amoureuse et les sentiments seront réciproques. Ce gentil garçon deviendra très vite la raison de vivre de la jeune fille qui lui reconnaît des qualités exceptionnelles. Quand son père s’en rend compte, il a l’impression que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Elle sera battue sauvagement à plusieurs reprises. Pourtant, la relation que Karima noue avec Michel est des plus platoniques mais si sa mère est plus ou moins conciliante, son père, lui, ne veut rien entendre. Sérieusement amochée au visage, la jeune fille restera plusieurs semaines cloîtrée à la maison. L’ambiance hostile et le climat délétère l’entraîneront doucement dans les abysses de la dépression nerveuse. Sa mère décidera alors d’agir, d’abord en la faisant hospitaliser dans un centre spécialisé. Là, elle s’en remettra peu à peu avec l’aide des médecins mais surtout avec le soutien moral indéfectible de son petit ami qui vient lui rendre des visites quotidiennes, à l’insu de son père. A sa sortie d’hôpital, ce dernier sur les recommandations du médecin de sa fille, accepte de mettre un peu sa rancœur de côté, en rencontrant Michel. L’invitation ne se passera pas comme les deux jeunes gens l’espéraient car M. Arribi montera très vite sur ses grands chevaux et laissera voir toute son agressivité et ses griefs à l’égard du jeune homme. Les deux jeunes gens ne veulent pas renoncer à leurs sentiments et à leur projet de vivre un jour ensemble. C’est cet attachement que le père de Karima ne veut pas accepter. Alors, un jour, il monte tout un stratagème pour amener sa fille à l’accompagner en Algérie pour quelques jours. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’il compte la marier à son cousin à son insu. Un livre à lire pour le plaisir et, peut-être, aussi pour une prise de conscience. Bonne lecure Merci pour le partage SVP es que je peux trouver ce romain sur le net, merci beaucoup
Habitués sharpen Posté(e) 4 mars 2012 Habitués Posté(e) 4 mars 2012 (modifié) un poste trouvé d'un algérien qui à reçu ça date d'entrevue charif1982 salut tlm alors juste pour vous dire que jai reçu mon entrevue de sélection juste pour comparer les date pour les algérien jai envoyer mon dossier juillet 2008 et mon entrevue c pour le 9 mai 2012 inchalah merci Modifié 4 mars 2012 par sharpen
Invité Posté(e) 4 mars 2012 Posté(e) 4 mars 2012 un poste trouvé d'un algérien qui à reçu ça date d'entrevue charif1982 salut tlm alors juste pour vous dire que jai reçu mon entrevue de sélection juste pour comparer les date pour les algérien jai envoyer mon dossier juillet 2008 et mon entrevue c pour le 9 mai 2012 inchalah merci Bonjour tout le monde Merci pour la bonne nouvelle
Invité Posté(e) 4 mars 2012 Posté(e) 4 mars 2012 Du Soleil sur Montréal de Rachid Tridi, (Roman) - Casbah Éditions, Alger, 2004 Un roman à lire... Karima est immigrante, algérienne et musulmane pratiquante ; Michel est un Québecois « pure laine ». Un coup de foudre déclenchera une liaison mouvementée que Mohammed, le père de la jeune fille tentera vainement d’empêcher. L’hiver montréalais et la difficulté d’intégration de la communauté musulmane à la société canadienne composent la toile de fond de ce roman au dénouement duquel l’amour triomphera au prix d’une déchirure familiale. De l’amour triomphal Fuyant le terrorisme qui sévissait dans la ville de Médéa où il vivait avec sa famille, Mohamed Arribi, ingénieur de son état, décide d’émigrer au Canada. Un chamboulement immense s’opère dans sa vie. Il a du mal à trouver sa place dans ce pays au climat si froid et dans cette société où il se retrouve obligé d’exercer le métier de plongeur dans un restaurant tenu par un Grec, alors que dans son pays, il était chef d’entreprise. Son épouse est une femme douce et attentionnée mais très effacée et soumise à son mari plus par crainte que pour autre chose. Alors qu’elle n’a jamais travaillé auparavant, ici au Canada, elle est obligée de faire les ménages pour arrondir les fins de mois difficiles. Leurs trois enfants Sofiane, Karima et Nassima vont, quant à eux, à l’école et tentent de s’intégrer à la société montréalaise. Les filles portent le voile. Leur père, très pratiquant, est d’une jalousie maladive, notamment envers son aînée Karima qui n’a pas encore 18 ans. Il l’a surveille de très près et ne lui permet aucune liberté en dehors de celle d’aller au lycée ou à la bibliothèque. En fait, Mohamed Arribi voit le mal partout, il ne peut imaginer que ses enfants puissent s’adapter à cette société occidentale et vivre de la même manière que tous les jeunes de leur âge. Il exerce sur eux une pression constante, notamment sur les filles et va même jusqu’à les battre de façon très violente. Mais sa famille est plus ou moins habituée à ses accès de colère. Sauf, qu’un jour, cette violence dépasse les limites de l’acceptable. Karima fait, en effet, par le plus pur des hasards, la connaissance d’un jeune Québecois. Elle en tombe éperdument amoureuse et les sentiments seront réciproques. Ce gentil garçon deviendra très vite la raison de vivre de la jeune fille qui lui reconnaît des qualités exceptionnelles. Quand son père s’en rend compte, il a l’impression que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Elle sera battue sauvagement à plusieurs reprises. Pourtant, la relation que Karima noue avec Michel est des plus platoniques mais si sa mère est plus ou moins conciliante, son père, lui, ne veut rien entendre. Sérieusement amochée au visage, la jeune fille restera plusieurs semaines cloîtrée à la maison. L’ambiance hostile et le climat délétère l’entraîneront doucement dans les abysses de la dépression nerveuse. Sa mère décidera alors d’agir, d’abord en la faisant hospitaliser dans un centre spécialisé. Là, elle s’en remettra peu à peu avec l’aide des médecins mais surtout avec le soutien moral indéfectible de son petit ami qui vient lui rendre des visites quotidiennes, à l’insu de son père. A sa sortie d’hôpital, ce dernier sur les recommandations du médecin de sa fille, accepte de mettre un peu sa rancœur de côté, en rencontrant Michel. L’invitation ne se passera pas comme les deux jeunes gens l’espéraient car M. Arribi montera très vite sur ses grands chevaux et laissera voir toute son agressivité et ses griefs à l’égard du jeune homme. Les deux jeunes gens ne veulent pas renoncer à leurs sentiments et à leur projet de vivre un jour ensemble. C’est cet attachement que le père de Karima ne veut pas accepter. Alors, un jour, il monte tout un stratagème pour amener sa fille à l’accompagner en Algérie pour quelques jours. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’il compte la marier à son cousin à son insu. Un livre à lire pour le plaisir et, peut-être, aussi pour une prise de conscience. Bonne lecure Merci pour le partage Pas de quoi..Merci Du Soleil sur Montréal de Rachid Tridi, (Roman) - Casbah Éditions, Alger, 2004 Un roman à lire... Karima est immigrante, algérienne et musulmane pratiquante ; Michel est un Québecois « pure laine ». Un coup de foudre déclenchera une liaison mouvementée que Mohammed, le père de la jeune fille tentera vainement d’empêcher. L’hiver montréalais et la difficulté d’intégration de la communauté musulmane à la société canadienne composent la toile de fond de ce roman au dénouement duquel l’amour triomphera au prix d’une déchirure familiale. De l’amour triomphal Fuyant le terrorisme qui sévissait dans la ville de Médéa où il vivait avec sa famille, Mohamed Arribi, ingénieur de son état, décide d’émigrer au Canada. Un chamboulement immense s’opère dans sa vie. Il a du mal à trouver sa place dans ce pays au climat si froid et dans cette société où il se retrouve obligé d’exercer le métier de plongeur dans un restaurant tenu par un Grec, alors que dans son pays, il était chef d’entreprise. Son épouse est une femme douce et attentionnée mais très effacée et soumise à son mari plus par crainte que pour autre chose. Alors qu’elle n’a jamais travaillé auparavant, ici au Canada, elle est obligée de faire les ménages pour arrondir les fins de mois difficiles. Leurs trois enfants Sofiane, Karima et Nassima vont, quant à eux, à l’école et tentent de s’intégrer à la société montréalaise. Les filles portent le voile. Leur père, très pratiquant, est d’une jalousie maladive, notamment envers son aînée Karima qui n’a pas encore 18 ans. Il l’a surveille de très près et ne lui permet aucune liberté en dehors de celle d’aller au lycée ou à la bibliothèque. En fait, Mohamed Arribi voit le mal partout, il ne peut imaginer que ses enfants puissent s’adapter à cette société occidentale et vivre de la même manière que tous les jeunes de leur âge. Il exerce sur eux une pression constante, notamment sur les filles et va même jusqu’à les battre de façon très violente. Mais sa famille est plus ou moins habituée à ses accès de colère. Sauf, qu’un jour, cette violence dépasse les limites de l’acceptable. Karima fait, en effet, par le plus pur des hasards, la connaissance d’un jeune Québecois. Elle en tombe éperdument amoureuse et les sentiments seront réciproques. Ce gentil garçon deviendra très vite la raison de vivre de la jeune fille qui lui reconnaît des qualités exceptionnelles. Quand son père s’en rend compte, il a l’impression que le ciel vient de lui tomber sur la tête. Elle sera battue sauvagement à plusieurs reprises. Pourtant, la relation que Karima noue avec Michel est des plus platoniques mais si sa mère est plus ou moins conciliante, son père, lui, ne veut rien entendre. Sérieusement amochée au visage, la jeune fille restera plusieurs semaines cloîtrée à la maison. L’ambiance hostile et le climat délétère l’entraîneront doucement dans les abysses de la dépression nerveuse. Sa mère décidera alors d’agir, d’abord en la faisant hospitaliser dans un centre spécialisé. Là, elle s’en remettra peu à peu avec l’aide des médecins mais surtout avec le soutien moral indéfectible de son petit ami qui vient lui rendre des visites quotidiennes, à l’insu de son père. A sa sortie d’hôpital, ce dernier sur les recommandations du médecin de sa fille, accepte de mettre un peu sa rancœur de côté, en rencontrant Michel. L’invitation ne se passera pas comme les deux jeunes gens l’espéraient car M. Arribi montera très vite sur ses grands chevaux et laissera voir toute son agressivité et ses griefs à l’égard du jeune homme. Les deux jeunes gens ne veulent pas renoncer à leurs sentiments et à leur projet de vivre un jour ensemble. C’est cet attachement que le père de Karima ne veut pas accepter. Alors, un jour, il monte tout un stratagème pour amener sa fille à l’accompagner en Algérie pour quelques jours. Mais ce qu’elle ignore, c’est qu’il compte la marier à son cousin à son insu. Un livre à lire pour le plaisir et, peut-être, aussi pour une prise de conscience. Bonne lecure Merci pour le partage SVP es que je peux trouver ce romain sur le net, merci beaucoup merci.. Normalement il est disponible...personnellement je l'ai acheté en 2005...(ehhh oui.. même à cette époque là j'était intéressé par l'immigration) .. Merci pour vôtre pasage..
Habitués riad308 Posté(e) 4 mars 2012 Habitués Posté(e) 4 mars 2012 BONJOUR LA COMPANIE OMAR alors que dit tu pour nous FIHA OULLA MA FIHECHE pour avril mai ????
Invité Posté(e) 4 mars 2012 Posté(e) 4 mars 2012 BONJOUR LA COMPANIE OMAR alors que dit tu pour nous FIHA OULLA MA FIHECHE pour avril mai ???? Bonjour Riad Je te donne mon avis et pour une autre fois ça ne reste qu'un avis (parce que le SIQ est imprévisible) Donc, moi je pense que cette session est programmée juste pour passer les retardataires des 36xxx, 37xxx, 38xxx et quelques 39xxx, et bien sûr ils peuvent ajouter les dossiers du mois de Septembre 2008 puisqu'ils ont reçu leurs DI selon des témoignages de nos amis omlima et faouzi qui ont déclaré précédemment que leurs amis 39xxx ont reçu leurs DI et bien sûr on attend pour qu'ils nous annoncent qu'ils ont reçu leurs RDV, voila j'attend vos avis pour animer la discussion et tous les avis sont les bienvenus
Invité Posté(e) 4 mars 2012 Posté(e) 4 mars 2012 Bonjour,j’ai 2 questions 1- J’ai un seul relevé de note globale pour mes études effectué , est ce que cela va pas me posé un problème le jour de l’entrevue 2- je veut savoir le code CNP d’un technicien programmeur en informatique , car j’ai cherché partout dasn les sites specialisé et j’ai pâs trouvé ce code pour les technicien en informatique, Mercie de me rendre un seul relevé de note globale ça ne pose de problème
Habitués soussou2 Posté(e) 4 mars 2012 Habitués Posté(e) 4 mars 2012 bonjour mes amis(e) merci alg-can pour le partage il est intéressent merci sharpen pour la nouvelle
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