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kin, une autre histoire de parrainage qui a mal viré


Sarkos

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Jimmy2, un homme qui frappe sa femme c'est un salaud, point. Il n'y a pas d'excuse pour ça.

comme s il n y a pas de salopes au quebec qui, n ont seulement,elles cassent la gueule a leurs maris,mais elles s en vont avec les enfants sans autorisation du pere a l etranger,,,et qn c est le contraire, on remu ttes les presses du monde avec des histoires a dechirer les coeurs...de ttes facon,c est fini cette gatterie ici au quebec ,les petites Myriam Bedard font egalement face a la loi!

Mes amis , on ne peux pas comparer le cas relaté par madame Elkouri à Myriam Bédard , franchement un peu de rigueur intellectuelle s.v.p.

Il faut penser au bien des enfants avant tout et à la victime de cet escroc

Si tu savais combien d hommes sont expulses et les enfants sont reste ici sans leurs peres...si au moins tu savais...si aussi tu pouvais visiter certaines eglises ,tu veras combien de peres refugies dedans pr ne pas subir le sort de cette pauvre femme....Le Canada c est un paradis...a l etranger !!!!!

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Jimmy2, un homme qui frappe sa femme c'est un salaud, point. Il n'y a pas d'excuse pour ça.

comme s il n y a pas de salopes au quebec qui, n ont seulement,elles cassent la gueule a leurs maris,mais elles s en vont avec les enfants sans autorisation du pere a l etranger,,,et qn c est le contraire, on remu ttes les presses du monde avec des histoires a dechirer les coeurs...de ttes facon,c est fini cette gatterie ici au quebec ,les petites Myriam Bedard font egalement face a la loi!

Tu devrais modérer tes propos, ils sont grossier des termes comme "salope" n'a pas sa place sur un forum. Il me semble qu'il y a moyen de s'exprimer sans ce genre de propos.

La violence de la part d'une femme ou d'un homme ne serait jamais acceptable. Dans un sens comme dans l'autre ce comportement est abominable.

et ca:

Jimmy2, un homme qui frappe sa femme c'est un salaud, point. Il n'y a pas d'excuse pour ça.

la prochaine tu te mele de tes affaires jusqu a ce q tu deviens moderateur point.

Ce terme utilisé pour une femme n'a pas la même "portée" ou est plus "chargé", péjorativement parlant. De plus, il a 2 sens différents. Il faut donc comprendre la réaction de Amisimo...C'est (très) dur à mes oreilles également. Nous pourrions parler par exemple, d'individu (d'une femme ou d'un homme) ignoble ?

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Jimmy2, un homme qui frappe sa femme c'est un salaud, point. Il n'y a pas d'excuse pour ça.

comme s il n y a pas de salopes au quebec qui, n ont seulement,elles cassent la gueule a leurs maris,mais elles s en vont avec les enfants sans autorisation du pere a l etranger,,,et qn c est le contraire, on remu ttes les presses du monde avec des histoires a dechirer les coeurs...de ttes facon,c est fini cette gatterie ici au quebec ,les petites Myriam Bedard font egalement face a la loi!

Tu devrais modérer tes propos, ils sont grossier des termes comme "salope" n'a pas sa place sur un forum. Il me semble qu'il y a moyen de s'exprimer sans ce genre de propos.

La violence de la part d'une femme ou d'un homme ne serait jamais acceptable. Dans un sens comme dans l'autre ce comportement est abominable.

et ca:

Jimmy2, un homme qui frappe sa femme c'est un salaud, point. Il n'y a pas d'excuse pour ça.

la prochaine tu te mele de tes affaires jusqu a ce q tu deviens moderateur point.

Ce terme utilisé pour une femme n'a pas la même "portée" ou est plus "chargé", péjorativement parlant. De plus, il a 2 sens différents. Il faut donc comprendre la réaction de Amisimo...C'est (très) dur à mes oreilles également. Nous pourrions parler par exemple, d'individu (d'une femme ou d'un homme) ignoble ?

moi je parle au niveau de la justice:un homme salaud,,et on doit se la fermer qn c est une femme ?

any way...j ai deja dis ce q je pense,,,ne me sortez pas des eglises pr corriger un language dont le site est rempli de pires expression par certains!

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  • Habitués

La violence, la méchanceté etc. ne sont pas l'apanage des hommes c'est sur.

Dans toute cette histoire nous n'avons ici qu'un côté de la médaille.

Il y a des points bien nébuleux dans tout ça. Nonobstant les questions que j'ai préalablement soulevé dans un précédent message, il faut aussi admettre qu'il y a des femmes qui sont capables aussi de bien des choses, histoire de s'attirer la sympathie des gens. Même de mentir.

Si cette histoire est vraie ... je suis navrée pour cette femme qui a subit des mauvais traitements ... encore plus navrée de savoir qu'il y a des enfants innocents dans le décor ... mais la loi est là pour être respecté.

Si le gouvernement cède parce qu'une femme est enceinte tous les illégaux vont se mettre à faire des enfants à qui mieux mieux. Devons nous ouvrir la porte toute grande à tous les abus ? En avons nous les moyens ? Non.

Il faut que le message soit clair pour tous.

Ce qui n'empêche pas d'avoir de la compassion pour cette personne.

Modifié par Lilideslacs
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  • Habitués

Les gens confondent France( Europe) et Canada ou l ILLEGALITE est permise.

Si cette femme avait maintenue un statut valide( REFUGIE EN ATTENDANT) on ne l aurait jamais expulsee et pouvait mm beneficier des conditions humanitaire!!

CIC n est aussi mauvais et je suis sur que son dossier y est pour bcp ici nous avons que le condense/PRESSE DE SURCROIT de son histoire mais la personne qui y a travaille sur son dossier va certainement dire des choses differentes :ph34r:

La RP rend les gens DINGUES!! ET CERTAINS EN ONT MAIS SONT SUR L AIDE SOCIAL :unsure:

Rima Elkouri

La Presse

Est-il normal qu'une femme qui prend son courage à deux mains pour dénoncer une situation de violence conjugale soit punie par les autorités canadiennes pour l'avoir fait? C'est pourtant ce qui arrive à Sylvie Mendo Me Ntyam, condamnée à être expulsée du pays, loin de ses enfants, après qu'elle eut quitté l'homme qui promettait faussement de la parrainer.

Originaire du Cameroun, Sylvie est arrivée à Montréal en mai 2003. Elle est tombée amoureuse d'un homme, réfugié africain lui aussi, rencontré dans un cours d'anglais. «Il m'avait dit qu'il avait été marié et divorcé et qu'il voulait une femme avec qui vivre le reste de ses jours», m'a-t-elle raconté tout doucement.

J'ai rencontré Sylvie au centre de détention d'Immigration Canada à Laval. C'était la veille de son expulsion. L'endroit, sinistre, sous haute surveillance, est entouré de barbelés. J'y accompagnais Blandine Tongkalo, directrice de la maison d'hébergement Transit 24, où Sylvie s'était réfugiée depuis janvier, fuyant son conjoint violent. Elle était venue lui porter sa valise noire et son sac à main. C'est tout ce qui lui reste de son aventure canadienne.

Sylvie nous attendait, assise bien droite, dans sa robe de tulle rose et son veston noir. Une belle femme de 40 ans, regard sombre, lèvres charnues, cheveux soigneusement rangés dans un chignon tressé. Elle n'avait pas l'air en colère. Elle avait surtout l'air triste, dépossédée. «La journée est trop longue, la nuit est trop longue, tout est long», a-t-elle murmuré. Blandine, qui l'avait vue la veille, au moment où elle avait dû faire ses adieux à ses enfants, ne l'a pas reconnue. «On dirait qu'elle a vieilli tout d'un coup.»

Sylvie m'a raconté son histoire d'un ton monocorde. Le plan, c'était qu'ils se marient et qu'ils aient des enfants. «Sois tranquille, je vais te parrainer», lui disait-il. Il ne l'a jamais parrainée. Ils ne se sont jamais mariés. Et ils ont eu trois enfants. Deux filles et un garçon, aujourd'hui âgés de 4 ans, 3 ans et 1 an.

Sylvie dit que son conjoint la harcelait pour qu'ils aient des enfants. Et les promesses de mariage et de parrainage? Des promesses en l'air. Tout en la nourrissant d'espoir, l'homme qu'elle aimait trouvait toujours des prétextes pour se défiler. Elle s'est donc retrouvée à vivre pendant toutes ces années dans la clandestinité, sa demande de statut de réfugié ayant été rejetée. Sans statut, sans droit, dans un foyer violent, à la merci d'un conjoint qui menaçait toujours de la dénoncer pour mieux la garder sous son emprise.

java script:toggleImage(Originaire du Cameroun, Sylvie Mendo Me Ntyam est arrivée à Montréal en mai 2003. Elle a été condamnée à être expulsée du pays, loin de ses enfants, après qu'elle eut quitté l'homme qui promettait faussement de la parrainer.

Photo fournie par Transit 24

Avec le temps, la situation est devenue invivable. Violence, intimidation, menaces. À bout de forces, Sylvie a fini par se réfugier dans un centre pour femmes battues avec ses trois enfants. Elle a fait une dénonciation à la police, dans laquelle elle a tout raconté: les fausses promesses, l'humiliation, les insultes, la fois où il a menacé de la tuer et où il a cassé la porte de la chambre des enfants où elle s'était réfugiée, les coups qui ont suivi, les nuits passées dehors après avoir été chassée de la maison. «Un soir, il a mis mes effets personnels dehors. J'ai passé la nuit dans un abri d'autobus. J'avais très peur de lui, il me disait: «Si tu appelles la police, ils vont t'expulser au Cameroun, dans ton pays.» J'avais très peur aussi de la police.»

Il y eut plusieurs épisodes de ruptures et de réconciliations. Et puis un jour, en faisant le ménage, Sylvie a découvert des papiers de Western Union lui laissant croire que son conjoint avait envoyé 900$ en Afrique pour parrainer une autre femme. Elle a finalement compris que son plan était de se débarrasser d'elle comme d'une vulgaire marchandise, de la séparer de ses enfants et de faire venir cette autre femme pour la remplacer. C'en était trop. Elle a décidé de le quitter une fois pour toutes. Et il a fini par mettre sa menace à exécution: elle a été livrée aux autorités.

C'est ainsi que Sylvie s'est retrouvée en détention avant d'être expulsée vers les États-Unis, jeudi. Elle ne sait pas où elle ira, comment elle survivra, comment elle arrivera à revoir ses enfants, qui sont toute sa vie. Mardi, elle a tenu à les voir pour la dernière fois au centre de détention. Sa fille de 4 ans voyait bien qu'il se passait quelque chose d'anormal dans cet édifice entouré de barbelés. Elle disait: «J'ai besoin de ma maman.» Sylvie a serré ses trois petits dans ses bras. «Les mots me manquaient», m'a-t-elle dit, encore en état de choc. Les enfants pleuraient à chaudes larmes. Blandine, qui les accompagnait, pleurait aussi. «C'est un des cas les plus tristes que j'aie vus», m'a dit celle qui travaille auprès des femmes victimes de violence depuis 20 ans. «Même des agents formés pour avoir le coeur dur pleuraient.»

J'en reviens à ma question du départ. Est-il normal qu'une femme qui prend son courage à deux mains pour dénoncer une situation de violence conjugale soit ainsi punie par les autorités canadiennes? N'y a-t-il pas un devoir de protéger les femmes aux prises avec cette violence? Cette expulsion est-elle vraiment dans l'intérêt des trois enfants arrachés à leur mère? Comment la mère pourra-t-elle honorer sa garde partagée dans une telle situation?

Dans les cas de parrainages qui ouvrent la porte à des abus, Immigration Canada tient compte de la nécessité de protéger les victimes de violence familiale. Il existe aussi des mécanismes pour protéger les immigrées qui travaillent dans l'illégalité et qui osent dénoncer les abus de leurs employeurs. Pourquoi ces mêmes mécanismes n'ont-ils pas été mis en place ici?

J'ai appelé l'avocate de l'ex-conjoint pour obtenir sa version. Elle ne m'a pas rappelée. À Citoyenneté et Immigration Canada, la porte-parole, Jacqueline Roby, reconnaît que la situation est aussi absurde que difficile. Mais elle prétend que son ministère n'a pas été mis au courant de la situation et que, s'il avait su, il aurait pu agir. «C'est au requérant de faire valoir ses arguments.»

Or, l'avocat de Sylvie, Stewart Istvanffy, a bel et bien demandé un sursis administratif pour motifs humanitaires à l'Agence des services frontaliers, qui travaille en collaboration avec Immigration Canada. La demande est restée sans réponse. L'Agence a refusé de répondre à mes questions, prétextant la confidentialité du dossier.

Au final, le message troublant que les autorités canadiennes envoient aux femmes sans papiers qui vivent le même cauchemar, c'est qu'elles feraient mieux de continuer à subir les coups sans rouspéter. Pendant ce temps, quelque part à la frontière des États-Unis, une femme seule, anéantie, une valise noire à ses pieds, pleure ses trois enfants.

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Les gens confondent France( Europe) et Canada ou l ILLEGALITE est permise.

Si cette femme avait maintenue un statut valide( REFUGIE EN ATTENDANT) on ne l aurait jamais expulsee et pouvait mm beneficier des conditions humanitaire!!

CIC n est aussi mauvais et je suis sur que son dossier y est pour bcp ici nous avons que le condense/PRESSE DE SURCROIT de son histoire mais la personne qui y a travaille sur son dossier va certainement dire des choses differentes :ph34r:

La RP rend les gens DINGUES!! ET CERTAINS EN ONT MAIS SONT SUR L AIDE SOCIAL :unsure:

Rima Elkouri

La Presse

Est-il normal qu'une femme qui prend son courage à deux mains pour dénoncer une situation de violence conjugale soit punie par les autorités canadiennes pour l'avoir fait? C'est pourtant ce qui arrive à Sylvie Mendo Me Ntyam, condamnée à être expulsée du pays, loin de ses enfants, après qu'elle eut quitté l'homme qui promettait faussement de la parrainer.

Originaire du Cameroun, Sylvie est arrivée à Montréal en mai 2003. Elle est tombée amoureuse d'un homme, réfugié africain lui aussi, rencontré dans un cours d'anglais. «Il m'avait dit qu'il avait été marié et divorcé et qu'il voulait une femme avec qui vivre le reste de ses jours», m'a-t-elle raconté tout doucement.

J'ai rencontré Sylvie au centre de détention d'Immigration Canada à Laval. C'était la veille de son expulsion. L'endroit, sinistre, sous haute surveillance, est entouré de barbelés. J'y accompagnais Blandine Tongkalo, directrice de la maison d'hébergement Transit 24, où Sylvie s'était réfugiée depuis janvier, fuyant son conjoint violent. Elle était venue lui porter sa valise noire et son sac à main. C'est tout ce qui lui reste de son aventure canadienne.

Sylvie nous attendait, assise bien droite, dans sa robe de tulle rose et son veston noir. Une belle femme de 40 ans, regard sombre, lèvres charnues, cheveux soigneusement rangés dans un chignon tressé. Elle n'avait pas l'air en colère. Elle avait surtout l'air triste, dépossédée. «La journée est trop longue, la nuit est trop longue, tout est long», a-t-elle murmuré. Blandine, qui l'avait vue la veille, au moment où elle avait dû faire ses adieux à ses enfants, ne l'a pas reconnue. «On dirait qu'elle a vieilli tout d'un coup.»

Sylvie m'a raconté son histoire d'un ton monocorde. Le plan, c'était qu'ils se marient et qu'ils aient des enfants. «Sois tranquille, je vais te parrainer», lui disait-il. Il ne l'a jamais parrainée. Ils ne se sont jamais mariés. Et ils ont eu trois enfants. Deux filles et un garçon, aujourd'hui âgés de 4 ans, 3 ans et 1 an.

Sylvie dit que son conjoint la harcelait pour qu'ils aient des enfants. Et les promesses de mariage et de parrainage? Des promesses en l'air. Tout en la nourrissant d'espoir, l'homme qu'elle aimait trouvait toujours des prétextes pour se défiler. Elle s'est donc retrouvée à vivre pendant toutes ces années dans la clandestinité, sa demande de statut de réfugié ayant été rejetée. Sans statut, sans droit, dans un foyer violent, à la merci d'un conjoint qui menaçait toujours de la dénoncer pour mieux la garder sous son emprise.

java script:toggleImage(Originaire du Cameroun, Sylvie Mendo Me Ntyam est arrivée à Montréal en mai 2003. Elle a été condamnée à être expulsée du pays, loin de ses enfants, après qu'elle eut quitté l'homme qui promettait faussement de la parrainer.

Photo fournie par Transit 24

Avec le temps, la situation est devenue invivable. Violence, intimidation, menaces. À bout de forces, Sylvie a fini par se réfugier dans un centre pour femmes battues avec ses trois enfants. Elle a fait une dénonciation à la police, dans laquelle elle a tout raconté: les fausses promesses, l'humiliation, les insultes, la fois où il a menacé de la tuer et où il a cassé la porte de la chambre des enfants où elle s'était réfugiée, les coups qui ont suivi, les nuits passées dehors après avoir été chassée de la maison. «Un soir, il a mis mes effets personnels dehors. J'ai passé la nuit dans un abri d'autobus. J'avais très peur de lui, il me disait: «Si tu appelles la police, ils vont t'expulser au Cameroun, dans ton pays.» J'avais très peur aussi de la police.»

Il y eut plusieurs épisodes de ruptures et de réconciliations. Et puis un jour, en faisant le ménage, Sylvie a découvert des papiers de Western Union lui laissant croire que son conjoint avait envoyé 900$ en Afrique pour parrainer une autre femme. Elle a finalement compris que son plan était de se débarrasser d'elle comme d'une vulgaire marchandise, de la séparer de ses enfants et de faire venir cette autre femme pour la remplacer. C'en était trop. Elle a décidé de le quitter une fois pour toutes. Et il a fini par mettre sa menace à exécution: elle a été livrée aux autorités.

C'est ainsi que Sylvie s'est retrouvée en détention avant d'être expulsée vers les États-Unis, jeudi. Elle ne sait pas où elle ira, comment elle survivra, comment elle arrivera à revoir ses enfants, qui sont toute sa vie. Mardi, elle a tenu à les voir pour la dernière fois au centre de détention. Sa fille de 4 ans voyait bien qu'il se passait quelque chose d'anormal dans cet édifice entouré de barbelés. Elle disait: «J'ai besoin de ma maman.» Sylvie a serré ses trois petits dans ses bras. «Les mots me manquaient», m'a-t-elle dit, encore en état de choc. Les enfants pleuraient à chaudes larmes. Blandine, qui les accompagnait, pleurait aussi. «C'est un des cas les plus tristes que j'aie vus», m'a dit celle qui travaille auprès des femmes victimes de violence depuis 20 ans. «Même des agents formés pour avoir le coeur dur pleuraient.»

J'en reviens à ma question du départ. Est-il normal qu'une femme qui prend son courage à deux mains pour dénoncer une situation de violence conjugale soit ainsi punie par les autorités canadiennes? N'y a-t-il pas un devoir de protéger les femmes aux prises avec cette violence? Cette expulsion est-elle vraiment dans l'intérêt des trois enfants arrachés à leur mère? Comment la mère pourra-t-elle honorer sa garde partagée dans une telle situation?

Dans les cas de parrainages qui ouvrent la porte à des abus, Immigration Canada tient compte de la nécessité de protéger les victimes de violence familiale. Il existe aussi des mécanismes pour protéger les immigrées qui travaillent dans l'illégalité et qui osent dénoncer les abus de leurs employeurs. Pourquoi ces mêmes mécanismes n'ont-ils pas été mis en place ici?

J'ai appelé l'avocate de l'ex-conjoint pour obtenir sa version. Elle ne m'a pas rappelée. À Citoyenneté et Immigration Canada, la porte-parole, Jacqueline Roby, reconnaît que la situation est aussi absurde que difficile. Mais elle prétend que son ministère n'a pas été mis au courant de la situation et que, s'il avait su, il aurait pu agir. «C'est au requérant de faire valoir ses arguments.»

Or, l'avocat de Sylvie, Stewart Istvanffy, a bel et bien demandé un sursis administratif pour motifs humanitaires à l'Agence des services frontaliers, qui travaille en collaboration avec Immigration Canada. La demande est restée sans réponse. L'Agence a refusé de répondre à mes questions, prétextant la confidentialité du dossier.

Au final, le message troublant que les autorités canadiennes envoient aux femmes sans papiers qui vivent le même cauchemar, c'est qu'elles feraient mieux de continuer à subir les coups sans rouspéter. Pendant ce temps, quelque part à la frontière des États-Unis, une femme seule, anéantie, une valise noire à ses pieds, pleure ses trois enfants.

C'est exactement ce que je veux dire:"La culture de l'Excuse"!où s'arrète la compassion! et pourquoi elle at pas un autre! C'est bizarre mais si elle était arrivé à ses fins ,ce n'est pas ce qu'on appelerait un mariage gris?

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  • Habitués

Je prends un bref moment, le temps d'écrire ce message pour seulement dire que c'est regrettable de voir tant de préjugés de certains forumistes, toujours prêt à tirer dans n'importe quelle direction, plusieurs ont leurs idées bien arrêtées. Cette histoire est hors du commun et doit être traité avec sérénité et de respect.

niceman

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  • Habitués

Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

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Quelle Cruauté! Quelle inhumanité! Quelle mechanceté! Que dira cet homme aux enfants relativement à leur maman dans 5, 10, 15 ans. Il devrait quand même penser à lui même ses tendres enfants, pour au plus vite régulariser la situation de leur mère. Mais que non!!! il a été faible, se laissant dominer par son desire malsain d'homme. Dans tous les cas tôt ou tard, il aura à repondre de son acte. AAAh!!! Vous les femmes aussi!!! J'ai souvent mal au coeur de savoir que des femmes sont si legères avec leur vie. Cela vous coûte quoi de prendre le temps de savoir si x ou y est de bonne moralité, s'il peut faire votre bonheur aujourd'hui, demain et toujours. Il suffit qu'on vous tende des biscuits et hop!!! vous tombez dedans. Il est temps pour vous de vous ressaisir, laisser votre esprit critique s'exprimer un temps soit peu avant de vous engager dans une quelconque relation. Tout ce qui brille n'est pas de l'or. En bon entendeur, salut! Le cas de cette dame est triste et beaucoup plus, mais le Canada ne fait qu'appliquer ses lois.

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  • Habitués
Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

voila une deposition raisonnable et ca pousse a trouver les failles...

Genial

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  • Habitués
Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

voila une deposition raisonnable et ca pousse a trouver les failles...Genial

Ça reflète également ma pensée ajouté aux bons points que soulève lilideslacs au début du fil. Il y a trop de si, d'incertitudes, de questions sans réponses (dans un article bâclé destiné à faire du sensationnel) pour organiser un débat cohérent et éventuellement prendre parti.

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  • Habitués

Cet article est très incomplet. par conséquent, je ne condamnerai pas le mari d'avance. Je veux simplement souligner ceci: j'ai l'impression que cette femme ne sait lié à cet homme que dans l'espoir d'obtenir la résidence permanente, dans un but donc bien précis, la résidence permanente. Pour cela, elle a été préte a tout. Je me dis peut être que dès l'instant qu'elle aurait obtenu cette résidence par parainage, elle aurrait claqué la porte de la maison de cet homme qui l'avait parainé avec a la clé un engagement financier de 3 ans sans compter la prise en charge des enfants par le mari. Peut être que le mari s'en ait rendu compte avant d'entamer la procédure de parainage, et donc à mis cet dame dehors. Je pense que dans ce genre de situation où l'interet personnel (et non l'amour) a été mis en avant dans la relation (l'obtention de la résidence), c'est une chance pour le mari que cela finisse ainsi, sinon c'est certain qu'elle allait le foutre dans la merde en la quittant dès la résidence obtenue. Ainsi, c'est l'Arroseur arrosé.

Donc moi, pas pitié à cette dame.

Modifié par AD88
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  • Habitués
Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

+ 1 Franckgb :)

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  • Habitués
Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

-1 mon cher ami

Si mme Elkouri n'avait pas parlée de ce cas, personne n'aurait su ce qui arrive à cette famille. Ici tout le monde s'en remet à la loi, une loi qui gère des causes humanitaires et souvent sans ressouces, avec tout ce que cela peut impliquer comme conséquences. Ici les journalistes ont le devoir de sensibiliser les gens des travers auxquels les sociétés font faces et ainsi provoquer les débats qui avec le temps amèneront des solutions. Il ne faut pas craindre les problèmes, il faut les résoudre. Pour ce genre de situation il est inutile de chercher les coupables mais il faut sans cesse améliorer les lois. Rien n'est parfait en ce bas monde et une société dynamique se remet toujours en question comme chaque être humain d'ailleurs.

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Salut,

C'est un article qui nous pousse dans le "pathos", les sentiments. L'interêt du sentiment, c'est que ça devient difficile de revenir à des considérations objectives. Et c'est où je trouve que parfois Rima Elkhouri s'égare malheureusement au détriment de sa qualité de travail par ailleurs reconnue.

Alors le principe du sentiment, c'est de balancer une histoire qui unanimement va faire pleurer, soulever l'indignation. ici le drame d'une mère qu'on sépare des enfants (gentil maman, méchant CIC). Et là même les gros durs comme moi, on ne peut s'empêcher d'imaginer le drame que vivent ces gens, ces enfants qui disent "au revoir" dans un jungle de barbelés. Voila, le piège s'est refermé on ne cherche pas plus loin, on s'indigne, on dénonce.

Mais la journaliste si elle avait fait comme il faut son boulot, elle devrait faire un article à charge et décharge. Cet époux dont on ne fait pas de doute sur son ignominie, a t'il le loisir de donner un point de vue?! Et le méchant CIC qu'est ce qu'il dit..... Non tout cela on s'en branle..... Et la rigueur journalistique.... aussi!

Alors c'est bien beau tout ces bons sentiments, mais l'article n'est pas du journalisme, mais juste la transcription du point de vue de cette femme expulsée, et de son avocat. On est très loin d'un article objectif. Et si la femme était pas si angélique?! Et si CIC avait entamé une procédure pour le mari?! Et si la femme faisait un chantage émotionnel?! Et si elle ne faisait pas un chantage émotionnelle et était effectivement une victime?! Ben on ne le sait pas.

Alors le drame dans ce manque de rigueur journalistique, c'est qu'on laisse des failles qui peuvent se retourner contre les personnes.... et pas forcement les "méchants" mais aussi les "gentils".

C,est aussi au détriment de la notion de journalisme. Si je veux du sentiment à la pelle, je demande à un scénariste de le faire, pas à un journaliste.

Amic

-1 mon cher ami

Si mme Elkouri n'avait pas parlée de ce cas, personne n'aurait su ce qui arrive à cette famille. Ici tout le monde s'en remet à la loi, une loi qui gère des causes humanitaires et souvent sans ressouces, avec tout ce que cela peut impliquer comme conséquences. Ici les journalistes ont le devoir de sensibiliser les gens des travers auxquels les sociétés font faces et ainsi provoquer les débats qui avec le temps amèneront des solutions. Il ne faut pas craindre les problèmes, il faut les résoudre. Pour ce genre de situation il est inutile de chercher les coupables mais il faut sans cesse améliorer les lois. Rien n'est parfait en ce bas monde et une société dynamique se remet toujours en question comme chaque être humain d'ailleurs.

Là ou je diffère sur ce que tu dis, c'est que le rôle d'un journaliste n'ont pas comme tu le dis: "le devoir de sensibiliser les gens des travers auxquels les sociétés font faces et ainsi provoquer les débats qui avec le temps amèneront des solutions"

Dans ta définition tu oublies aussi que les journalistes ont le devoir de rapporter les faits de façon objectives et non suggestives. Ici ElKhouri - qui par ailleurs est une brillante journaliste, reconnue de tous - nous donne une histoire tronqué du point de vue de toutes les parties prenantes.

Elle suggère que la femme est victime d'un complot infâme ourdi par son ex-futur-mari qui est tout autant infâme. Je le répète c'est certainement la vérité, mais le manque de rigueur journalistique donne qu'on ne sait pas si on lit une nouvelle digne d'un livre de gare ou une information.

Quel sont les recours en cours d'enquête contre le mec (puisqu'il a une avocate c'est qu'il y a quelque chose qui se trame)?! on ne sait pas?! y a t'il eu d'autres développements judiciaires?! on ne sait pas?

Le seul fait avéré c'est que cette femme est tombée sous le coup d'une expulsion car sans titre de résidence valable au Canada. On sait aussi que la femme à vécu un moment traumatisant de séparation avec ses enfants. Le reste c'est de la soupe chiée à la dernière minute pour faire un joli papier.

Qu'est ce que cela apporte de sous entendre que les agents sont formés pour avoir le cur dur?! Qu'est ce que cela apporte de rigueur de sous-entendre que le Canada sciemment applique la politique politique qui diraient aux femmes en situation de désespoir: " c'est qu'elles feraient mieux de continuer à subir les coups sans rouspéter", alors que le porte parole du CIC (quelques lignes avant dans l'article) explique que les détails de la situation n'ont pas été portés à la connaissance, et reconnait que "la situation est aussi absurde que difficile".... c'est pas rien comme affirmation.

enfin je ne suis pas d'accord avec toi sur ton concept de s'en remettre à la loi. tu expliques que c'est comme ci tout le monde se cache derrière la loi. mais la loi que tu le veuille ou non doit être respectée..... changée si inadéquate.... Mais c'est ce qui fait la force d'une démocratie: sa capacité à légiférer librement sur les aspects de la vie de la société, et les moyens donnés à la justice pour appliquer ces règles. si on applique plus les lois alors on n'est plus en démocratie. Surtout quand la loi prévoit une flexibilité pour les cas spéciaux.

Bref au final on revient sur le côté "pathos" de l'article, qui empêche les libres penseurs, les gens qui savent faire preuve d'objectivité d'avoir une quelconque liberté de critiquer sans faire face à tout ses braves gens au coeurs meurtris qui objecterons à l'objectivité, le manque de sensibilité de celui qui pleure pas droit!

Donne moi le même article sans les petites phrases qui visent la corde sensible du lecteur mal réveillé, et tu trouveras toi aussi que c'est fait à la va-vite.

Le pire c'est d'écrire qu'elle a laissé un message à l'avocat qui n'a pas rappelé..... ouah dis donc elle est vraiment engagé à avoir le point de vue contradictoire.... elle laisse un message sur un répondeur.... C'est vraiment incroyable!!!! Je veux dire, que c'est du même niveau que.... j'ai envoyé un courriel à un fournisseur qui n'a pas répondu..... ton patron il te dirait quoi?! "c'est bien tu as fait ton boulot" ou alors " bouge toi le derch et prend le téléphone / va les voir"....

Sur ce....

bonne journée :)

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  • Habitués

oui c'est horrible et cela me rappelle l'histoire de la jeunne canadienne maltraité par son mari le saoudien en Arabie saoudite

mais cette fois ci je reste bouchbée cette histoir est bien deroulé sur le sol canadien ......la charte des droits humains !!!!!!

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  • Habitués
Salut,

(...)

Amic

-1 mon cher ami

Si mme Elkouri n'avait pas parlée de ce cas, personne n'aurait su ce qui arrive à cette famille. (...)

Personne ne lui reproche d'avoir écrit cet article ! Nous pointons simplement du doigt un travail incomplet et préjudiciable au débat.

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  • Habitués
(...)

Amic

(...)

Là ou je diffère sur ce que tu dis, c'est que le rôle d'un journaliste n'ont pas comme tu le dis: "le devoir de sensibiliser les gens des travers auxquels les sociétés font faces et ainsi provoquer les débats qui avec le temps amèneront des solutions"

Dans ta définition tu oublies aussi que les journalistes ont le devoir de rapporter les faits de façon objectives et non suggestives. Ici ElKhouri - qui par ailleurs est une brillante journaliste, reconnue de tous - nous donne une histoire tronqué du point de vue de toutes les parties prenantes.

Elle suggère que la femme est victime d'un complot infâme ourdi par son ex-futur-mari qui est tout autant infâme. Je le répète c'est certainement la vérité, mais le manque de rigueur journalistique donne qu'on ne sait pas si on lit une nouvelle digne d'un livre de gare ou une information.

Quel sont les recours en cours d'enquête contre le mec (puisqu'il a une avocate c'est qu'il y a quelque chose qui se trame)?! on ne sait pas?! y a t'il eu d'autres développements judiciaires?! on ne sait pas?

Le seul fait avéré c'est que cette femme est tombée sous le coup d'une expulsion car sans titre de résidence valable au Canada. On sait aussi que la femme à vécu un moment traumatisant de séparation avec ses enfants. Le reste c'est de la soupe chiée à la dernière minute pour faire un joli papier.

Qu'est ce que cela apporte de sous entendre que les agents sont formés pour avoir le cur dur?! Qu'est ce que cela apporte de rigueur de sous-entendre que le Canada sciemment applique la politique politique qui diraient aux femmes en situation de désespoir: " c'est qu'elles feraient mieux de continuer à subir les coups sans rouspéter", alors que le porte parole du CIC (quelques lignes avant dans l'article) explique que les détails de la situation n'ont pas été portés à la connaissance, et reconnait que "la situation est aussi absurde que difficile".... c'est pas rien comme affirmation.

enfin je ne suis pas d'accord avec toi sur ton concept de s'en remettre à la loi. tu expliques que c'est comme ci tout le monde se cache derrière la loi. mais la loi que tu le veuille ou non doit être respectée..... changée si inadéquate.... Mais c'est ce qui fait la force d'une démocratie: sa capacité à légiférer librement sur les aspects de la vie de la société, et les moyens donnés à la justice pour appliquer ces règles. si on applique plus les lois alors on n'est plus en démocratie. Surtout quand la loi prévoit une flexibilité pour les cas spéciaux.

Bref au final on revient sur le côté "pathos" de l'article, qui empêche les libres penseurs, les gens qui savent faire preuve d'objectivité d'avoir une quelconque liberté de critiquer sans faire face à tout ses braves gens au coeurs meurtris qui objecterons à l'objectivité, le manque de sensibilité de celui qui pleure pas droit!

Donne moi le même article sans les petites phrases qui visent la corde sensible du lecteur mal réveillé, et tu trouveras toi aussi que c'est fait à la va-vite.

Le pire c'est d'écrire qu'elle a laissé un message à l'avocat qui n'a pas rappelé..... ouah dis donc elle est vraiment engagé à avoir le point de vue contradictoire.... elle laisse un message sur un répondeur.... C'est vraiment incroyable!!!! Je veux dire, que c'est du même niveau que.... j'ai envoyé un courriel à un fournisseur qui n'a pas répondu..... ton patron il te dirait quoi?! "c'est bien tu as fait ton boulot" ou alors " bouge toi le derch et prend le téléphone / va les voir"....

Sur ce....

bonne journée :)

Encore une fois, rien à ajouter ! :)

C'est reposant pour mes dix doigts !... :P

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  • Habitués

La justice finira par etre saine un jour,,oui un jour ou homme et femme seront egaux devant les lois...moi je le redis ,je trouve ignoble qu on insulte cet homme tant et autant qu il n y a aucune accusation ni arrestation contre lui,,,il est suppose etre innocent jusqu a preuve du contraire...soyez dignes d effacer vos insultes contre lui...sinon pour quelle raison ne pas qualifier une femme(comme vs faites a cet homme) qui agit comme ca ?

Simple question...et j attends egalement la reponse a ma precedente question!

Modifié par jimmy2
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(...)

Amic

(...)

Là ou je diffère sur ce que tu dis, c'est que le rôle d'un journaliste n'ont pas comme tu le dis: "le devoir de sensibiliser les gens des travers auxquels les sociétés font faces et ainsi provoquer les débats qui avec le temps amèneront des solutions"

Dans ta définition tu oublies aussi que les journalistes ont le devoir de rapporter les faits de façon objectives et non suggestives. Ici ElKhouri - qui par ailleurs est une brillante journaliste, reconnue de tous - nous donne une histoire tronqué du point de vue de toutes les parties prenantes.

Elle suggère que la femme est victime d'un complot infâme ourdi par son ex-futur-mari qui est tout autant infâme. Je le répète c'est certainement la vérité, mais le manque de rigueur journalistique donne qu'on ne sait pas si on lit une nouvelle digne d'un livre de gare ou une information.

Quel sont les recours en cours d'enquête contre le mec (puisqu'il a une avocate c'est qu'il y a quelque chose qui se trame)?! on ne sait pas?! y a t'il eu d'autres développements judiciaires?! on ne sait pas?

Le seul fait avéré c'est que cette femme est tombée sous le coup d'une expulsion car sans titre de résidence valable au Canada. On sait aussi que la femme à vécu un moment traumatisant de séparation avec ses enfants. Le reste c'est de la soupe chiée à la dernière minute pour faire un joli papier.

Qu'est ce que cela apporte de sous entendre que les agents sont formés pour avoir le cur dur?! Qu'est ce que cela apporte de rigueur de sous-entendre que le Canada sciemment applique la politique politique qui diraient aux femmes en situation de désespoir: " c'est qu'elles feraient mieux de continuer à subir les coups sans rouspéter", alors que le porte parole du CIC (quelques lignes avant dans l'article) explique que les détails de la situation n'ont pas été portés à la connaissance, et reconnait que "la situation est aussi absurde que difficile".... c'est pas rien comme affirmation.

enfin je ne suis pas d'accord avec toi sur ton concept de s'en remettre à la loi. tu expliques que c'est comme ci tout le monde se cache derrière la loi. mais la loi que tu le veuille ou non doit être respectée..... changée si inadéquate.... Mais c'est ce qui fait la force d'une démocratie: sa capacité à légiférer librement sur les aspects de la vie de la société, et les moyens donnés à la justice pour appliquer ces règles. si on applique plus les lois alors on n'est plus en démocratie. Surtout quand la loi prévoit une flexibilité pour les cas spéciaux.

Bref au final on revient sur le côté "pathos" de l'article, qui empêche les libres penseurs, les gens qui savent faire preuve d'objectivité d'avoir une quelconque liberté de critiquer sans faire face à tout ses braves gens au coeurs meurtris qui objecterons à l'objectivité, le manque de sensibilité de celui qui pleure pas droit!

Donne moi le même article sans les petites phrases qui visent la corde sensible du lecteur mal réveillé, et tu trouveras toi aussi que c'est fait à la va-vite.

Le pire c'est d'écrire qu'elle a laissé un message à l'avocat qui n'a pas rappelé..... ouah dis donc elle est vraiment engagé à avoir le point de vue contradictoire.... elle laisse un message sur un répondeur.... C'est vraiment incroyable!!!! Je veux dire, que c'est du même niveau que.... j'ai envoyé un courriel à un fournisseur qui n'a pas répondu..... ton patron il te dirait quoi?! "c'est bien tu as fait ton boulot" ou alors " bouge toi le derch et prend le téléphone / va les voir"....

Sur ce....

bonne journée :)

Encore une fois, rien à ajouter ! :)

C'est reposant pour mes dix doigts !... :P

Pourtant il y a tellement à dire sur la manière qu'on réagi sur les dossiers chauds. Je suis toujours surpris que la grande majorité des gens portent toujours des questionnements et des jugements sur le bien fondé des victimes surtout si elles subissent les défauts de certaines lois. Personne ne se questionne vraiment sur l'autorité politique ou religieuse en ce qui concerne l'aspect humain et sur les conséquences. Je sens que la plupart des opinons reflètent une grande insécurité personnelle et sociale. Le pouvoir politique ou religieux dans une démocratie comme la nôtre est sensible aux cas dérangeant de peur de perdre la face ou des votes. Mais le cas unique est important aussi. C'est à travers lui que les systèmes de pensées sont mis à l'épreuve. Prenez le cas de Omar KAdher qui pourri depuis des années. Bush a adopté la ligne dure et intransigeante face à un enfant et notre éminente autorité gouvernementale continue de défendre ses lois tout en admettant l'injustice évidente.

Si je fait un bilan des opinions et si il y avait un vote parmi nos intervenants ici cette femme s'en retournerait dans son pays, Pourtant elle n'a fait de mal à personne,elle a protégée ses enfants et a subie des abus violents et des harcelements énormes de la part de son conjoint. Alors que les immigrants qui commettent des crimes graves ici sont tout simplement envoyés dans nos prisons à grand frais logis et bien nourris. Où est la justice M.Mme les forumistes?

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