rayan Posté(e) 2 octobre 2008 Posté(e) 2 octobre 2008 (modifié) Javais déjà remarqué que limmigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet nest pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et dinfirmières dans le pays a été abordée, personne na parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que limmigration nintéresse que lorsquil faut la désigner comme responsable de certains maux dans le pays Modifié 2 octobre 2008 par rayan Citer
Habitués Baguette Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 Javais déjà remarqué que limmigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet nest pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et dinfirmières dans le pays a été abordée, personne na parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que limmigration nintéresse que lorsquil faut la désigner comme responsable de certains maux dans le paysOui et non. Le probleme d'integration des immigrants n'est pas le propre du Canada. Partout ou il y un flux d'immigration, ce probleme se pose ... d'une maniere ou d'une autre. Disons plutot que cette integration a plus de mal a se realiser au Quebec que dans le ROC, d'ou la difference du niveau d'attention qu'on y apporte. Citer
Habitués cherry Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 Javais déjà remarqué que limmigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet nest pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et dinfirmières dans le pays a été abordée, personne na parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que limmigration nintéresse que lorsquil faut la désigner comme responsable de certains maux dans le paysOui et non. Le probleme d'integration des immigrants n'est pas le propre du Canada. Partout ou il y un flux d'immigration, ce probleme se pose ... d'une maniere ou d'une autre. Disons plutot que cette integration a plus de mal a se realiser au Quebec que dans le ROC, d'ou la difference du niveau d'attention qu'on y apporte.On peut voir ça différemment: le Canada se câlisse de vous, point. C'est ça le multiculturalisme... Citer
Habitués Baguette Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 Javais déjà remarqué que limmigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet nest pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et dinfirmières dans le pays a été abordée, personne na parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que limmigration nintéresse que lorsquil faut la désigner comme responsable de certains maux dans le paysOui et non. Le probleme d'integration des immigrants n'est pas le propre du Canada. Partout ou il y un flux d'immigration, ce probleme se pose ... d'une maniere ou d'une autre. Disons plutot que cette integration a plus de mal a se realiser au Quebec que dans le ROC, d'ou la difference du niveau d'attention qu'on y apporte.On peut voir ça différemment: le Canada se câlisse de vous, point. C'est ça le multiculturalisme... Ce qui tout simplement n'est pas vrai. Pourquoi tu insultes constamment to intelligence? Citer
Habitués cherry Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 (modifié) J’avais déjà remarqué que l’immigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet n’est pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et d’infirmières dans le pays a été abordée, personne n’a parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que l’immigration n’intéresse que lorsqu’il faut la désigner comme responsable de certains maux dans le paysOui et non. Le probleme d'integration des immigrants n'est pas le propre du Canada. Partout ou il y un flux d'immigration, ce probleme se pose ... d'une maniere ou d'une autre. Disons plutot que cette integration a plus de mal a se realiser au Quebec que dans le ROC, d'ou la difference du niveau d'attention qu'on y apporte.On peut voir ça différemment: le Canada se câlisse de vous, point. C'est ça le multiculturalisme... Ce qui tout simplement n'est pas vrai. Pourquoi tu insultes constamment to intelligence?Le multiculturalisme ne cherche PAS à intégrer. En gros, c'est faites comme chez vous. S'il n'y pas pas de débat là-dessus, ce n'est pas parce que les immigrants sont mieux intégrés, mais parce qu'on s'en fout dans le fond. Pour intégrer, ça prend qqch dans lequel on intègre, et le flou artistique canadien, une invention libérale qui est devenue un mythe, ne le permet pas. Il peut certes y avoir débat sur la reconnaissance des diplômes par exemple, mais ça reste très superficiel. L'aspect culturel ne les intéresse pas, pas autant qu'au Québec, ou la survie de la langue entre autre est un défi constant. Le Québec contrôle la moitié de son immigration alors qu'ailleurs, c'est laissé au fédéral. Et je suis pas mal sûre que beaucoup de Canadiens ne sont pas du tout au courant du dossier. Même si depuis quelques années, on sent le vent tourner dans le ROC, c'est normal qu'au Québec, on soit plus portés à en discuter, pour le meilleur et pour le pire. Modifié 2 octobre 2008 par cherry Citer
rayan Posté(e) 2 octobre 2008 Auteur Posté(e) 2 octobre 2008 Disons plutot que cette integration a plus de mal a se realiser au Quebec que dans le ROC, d'ou la difference du niveau d'attention qu'on y apporteJustement le débat était destiné aux francophones et donc dans une large proportion au Québec. Moi je dirais qu'il y avait de grosses façons de parler de l'immigration. La première façon, c'est de dire que l'immigration est une richesse et qu'il faut donc permettre aux immigrants de contribuer à l'essor du pays dans divers domaines, tout en insistant sur l'importance du respect, par les nouveaux arrivants, des valeurs de la société d'accueil et de sa culture. Pour leur permettre de contribuer pleinement au développement du pays, il faut commencer par reconnaître leurs compétences. La deuxième, c'est de pointer du doigt les immigrants ou une partie d'entre eux pour essayer d'engranger des voix. Pour la première, je crois que ce n'est pas porteur sur le plan électoral. On a peut être peur des gens qui pensent que les immigrants sont des voleurs de jobs et des profiteurs du système d'assistance sociale. Pour la deuxième, il aurait fallu qu'il y ait un vrai parti démago.La bonne nouvelle, c'est qu'on est encore loin de ce qui se passe en Europe. Citer
O'Hana Posté(e) 2 octobre 2008 Posté(e) 2 octobre 2008 Salut la gang,Je crois surtout que le contexte actuel (crise financière aux États-Unis et risque de récession économique) a provoqué une réorganisation des priorités de tous les canadiens qu'ils soient ici depuis plusieurs générations ou immigrants naturalisés. C'était d'ailleurs le premier thème du débat des chefs.Ceci veut dire qu'en tant que canadien naturalisé, il m'importe davantage actuellement la gestion de la situation économique que de la gestion de l'immigration.D'autre part, même si je considérais que les immigrants pouvaient se sentir légitimement lésés/oubliés, que dire des autres groupes sociaux : autochtones, personnes en perte d'autonomie, les femmes, les jeunes, etc. Ainsi, à moins de faire un débat des chefs de 24 heures - et nécessairement moins intéressant sur le plan médiatique - il y a des priorités à faire, conditionnelles au contexte actuel.- O'Hana - Citer
Habitués Mats Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 Javais déjà remarqué que limmigration était un sujet absent de la campagne électorale fédérale contrairement à la campagne des élections provinciales de 2007 au Québec. Le premier des débats des chefs qui a eu lieu (en Français), ce soir, confirme peut être que le sujet nest pas porteur dans la quête aux voix. Pourtant le Canada accueille chaque année autour de 260 000 immigrants et leur intégration ne se passe pas toujours dans de bonnes conditions. Même lorsque la question sur le manque de médecins et dinfirmières dans le pays a été abordée, personne na parlé de la non-reconnaissance des diplômes des immigrants. Il faut croire que limmigration nintéresse que lorsquil faut la désigner comme responsable de certains maux dans le paysLa question de l'immigration ne constitue pas pas un enjeu électoral au Canada... Citer
Habitués Kweli Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 La question de l'immigration ne constitue pas pas un enjeu électoral au Canada...Même que ce serait quasiment suicidaire de parler d'immigration quand des pertes d'emploi se profilent à l'horizon. Citer
Habitués cherry Posté(e) 2 octobre 2008 Habitués Posté(e) 2 octobre 2008 Salut la gang,Je crois surtout que le contexte actuel (crise financière aux États-Unis et risque de récession économique) a provoqué une réorganisation des priorités de tous les canadiens qu'ils soient ici depuis plusieurs générations ou immigrants naturalisés. C'était d'ailleurs le premier thème du débat des chefs.Ceci veut dire qu'en tant que canadien naturalisé, il m'importe davantage actuellement la gestion de la situation économique que de la gestion de l'immigration.D'autre part, même si je considérais que les immigrants pouvaient se sentir légitimement lésés/oubliés, que dire des autres groupes sociaux : autochtones, personnes en perte d'autonomie, les femmes, les jeunes, etc. Ainsi, à moins de faire un débat des chefs de 24 heures - et nécessairement moins intéressant sur le plan médiatique - il y a des priorités à faire, conditionnelles au contexte actuel.- O'Hana -Hé...Et pour ce qui est de la reconnaissance des diplômes, c'est de juridiction provinciale. Citer
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