Habitués kabi Posté(e) 24 août 2008 Habitués Posté(e) 24 août 2008 Une année vient de s'écouler depuis que j'ai mis mes pieds dans la belle ville d'Ottawa, une bonne année qui restera ancrée dans mes souvenirs, avec comme toujours ses hauts et ses bas; pour être franc cette fois-ci il y a plus de bonnes choses que de mauvaises.Naturellement, chaque personne dans cette situation se pose la question : « un an plus tard, qu'est ce qui a changé dans ma vie ? » Tout d'abord quelles ont été les motivations pour avoir choisi de m'installer dans la capitale nationale du Canada? (j'en avais parlé dans ma chronique « bye bye Québec je te quitte » ) Je cherchais une meilleure stabilité personnelle et surtout professionnelle le tout en voulant à tout prix améliorer mon anglais. Donc après maintes recherches et plusieurs CV dans les autres provinces anglophones (l'Alberta, Régina, l'Ontario) Ottawa m'offrait cette chance. Je le dit d'amblé, j'ai trouvé à Ottawa une tranquillité et une qualité de vie comme nulle part ailleurs.Durant les 3 premiers mois, je commençais mon adaptation dans ce nouveau monde, la recherche des trajets, les noms des rues, des parcs, des bâtisses, des places, puis des café-restos branchés, les festivals et évènements etc comme une personne qui glisse dans l'eau pour s'acclimater avec la température. Les découvertes étaient amusantes mais coté travail cela n'allait pas bien fort. Le travail : L'hiver commença à pointer son nez, la routine commença à s'installer, le Ramadan arriva, et cerise sur le gâteau je perds mon travail : en fait mon boss disait que je faisais bien mon travail mais pas comme ELLE voulait que je le fasse, j'ai en plus découvert que certains dossiers manquaient ce qui engendrait un temps fou pour retracer l'information (dans certains cas elle avait du appeler d'anciens employés). Bref je me fais remercier et je recherche un autre travail en plein hiver, en pleins journées froides et pluvieuses, seul dans cette ville ou je ne connais personne. Après 2 mois et demi de recherches intensives ou j'ai fait sortir tout mon potentiel (et en Anglais s'il vous plait!!) Je reçois une bonne offre à quelques jours du réveillon, donc je commence une nouvelle année, une nouvelle vie avec un nouveau travail. Pour l'instant je ressens une meilleure stabilité professionnelle, exactement ce que je cherchais, mieux encore le contrat était de 8 mois et on m'offre un autre poste toujours dans la même société à durée indeterminée. L'Anglais : Ahhh mon dieu!!! Que puis-je dire de cet état d'esprit? Ça me travaille encore très fort dans mon intérieur et je pense passer encore plusieurs années à le vivre, cela ne s'arrêtera pas. Je m'explique :Quand on me demandait de décrire la ville d'Ottawa je disais souvent que « c'est une très belle ville ou il fait bon de vivre surtout pour un couple » je ne sais pas pourquoi mais c'est la toute première impression que j'ai eu (a kind of first feeling); jusqu'au jour ou j'ai lu cette phrase dans le journal de Ottawa Citizen et qui m'a fait vraiment rire. Cette phrase disait :« Ottawa is one of those places where the English and French smile for the cameras as they stab each other in the back. Two solitudes. One never-ending headache. Amazing! »(Ottawa est un des endroits où les Anglais et Français sourient en face de la caméra pendant qu'ils se poignardent dans le dos. Deux solitudes. Un mal de tête interminable. Stupéfiant!)Il est vrai que si j'ai quitté Montréal pour Ottawa c'est justement pour améliorer mon anglais, je le répète pour améliorer mon Anglais, mais qui a dit que je devrais oublier mon français et le mettre de coté dans l'a vie de tous les jours ? Qui a dit que je n'ai plus le droit de le parler ? qui a dit que je devrais éclipser mon français pour laisser la place à l'anglais?Je sais que malgré qu'il est écrit clairement, nettement et précisément que « Aux termes de la Loi sur les langues officielles, le Canada est officiellement un pays bilingue » mais cela concerne les services du fédéral, provincial, et à une légère partie Municipal, je veux dire par à une légère partie que s'il y a une large population francophone dans une municipalité alors là on fait l'effort de fournir le service en français si par contre elle est minoritaire, pas de français pantoute! Ce qui revient à dire que les municipalités ne sont pas tenues légalement d'offrir des services dans les deux langues officielles du Canada si l'une d'entre elle est minoritaire, donc pour les institutions gouvernementales, « le bilinguisme d'État » consiste à fonctionner dans les deux langues, sans que chacune ne soit obligée d'être bilingue.J'ai voulu essayer et en me rendant à un service fédérale (Service Canada), une dame me crachait en plein visage la phrase « Ohh sorry sir I don't speak French » ) Elle essaya de chercher la personne bilingue du service (qui soit est une immigrante, soit une québécoise, soit une franco-Ontarienne), j'ai par force des choses parler en anglais non pas par replis mais pour lui montrer que moi étant immigrant ce n'est pas une langue que je parle ou même deux mais trois et la quatrième est toujours dans sa phase initiale. Citer
Habitués kabi Posté(e) 24 août 2008 Auteur Habitués Posté(e) 24 août 2008 Pour certaines grandes gueules vous allez entendre la fameuse réponse : «On n'est pas au Québec ici, mais en Ontario,» justement nous sommes en Ontario par conséquent au Canada.. et si j'étais ce client du Tim Horton le premier de la ligne dont une 30taine est en attente de son tour et qui s'adresse à cet employé et qui lui demande : « un petit déjeuner uf et fromage s'il vous plait !» et que cet employé ne parle pas un mot en Français et que moi je parle pas un mot en anglais que fera t il? Faire attendre toute cette foule et perdre toute une clientèle ou faire l'effort de me servir en français et si je le faisait chaque jour ?? le comble c'est que je tombe sur des immigrants comme moi qui en sont à leur 3ième langue, comme le gars de ROGERS qui est Iranien (donc il parle perse) et parle portugais (sa femme est portugaise) et maintenant anglais, même si cela n'est pas une excuse car nous sommes dans un pays qui possède deux langues officielles et qui sont : le Français et l'Anglais, mais que dire à ces anglophones qui eux déjà en parle une (par naissance) qui n'ont pas vraiment fournis d'effort pour l'apprendre et n'arrive pas à faire d'effort pour parler celle qui fait partie de CE « officiellement bilingue ».Hummmm un vrai délire !! Tenez je vais vous raconter une anecdote de Toronto cette fois : à Toronto, la ville a une ligne téléphonique francophone qui est le 416-392-7342. Cette ligne n'est qu'un service de renseignements. Si vous voulez des renseignements sur le ramassage des ordures, on pourra vous envoyer de la documentation en français. Mais si vous voulez déposer une plainte parce que la ville n'a pas ramassé vos ordures, il faut le faire en .ANGLAIS.Il y a eu une personne à Ottawa qui a poussé les choses plus loin pour avoir son droit de faire servir en Français et il l'a eu même si cela a pris 7 ans.C'est l'histoire de Michel Thibodeau contre Air canada :Air Canada vient d'être condamnée à verser 7 000 $ :L'incident s'est produit en août 2000 alors que Michel Thibodeau, d'Ottawa, était passager à bord d'un vol Montréal-Ottawa de la compagnie Air Ontario, alors une filiale d'Air Canada.Il avait demandé de se faire servir en français mais l'agente de bord en service ne parlait que l'anglais. Il avait ensuite revendiqué son droit d'être servi en français, ce qu'il n'avait pu obtenir.À l'arrivée à Ottawa, l'agente de bord avait demandé aux policiers de monter à bord de l'appareil pour intercepter M. Thibodeau. Toutefois, les policiers n'avaient trouvé aucune matière à condamnation.http://www.cyberpresse.ca/article/20070329/CPACTUALITES/703290360/5665/CPDROITLa question est : jusqu'à quel point afin de préserver le caractère culturel distinct des deux langues officielles de ce beau pays, les gens pourront faire des compromis aussi bien au niveau légal que pratique tout en poursuivant des objectifs communs? (la scène de ce client au TIM HORTONS)J'ai décidé d'améliorer mon anglais donc dorénavant avec mes amis anglophones je me lance dans des discussions interminables, mais le dimanche matin c'est un brunch dans un des beaux restaurants de Ottawa et les discussions se font uniquement en Français . J'assistais aussi au cours d'anglais du LINC néanmoins cela n'aide pas à améliorer son vocabulaire au travail, car comme on le sait au travail c'est un langage technique qu'il faut adopter, alors une chance que mes collègues du département financier sont anglophones.Le socialSociable comme je suis, j'ai cherché des contacts et à me faire des amis dans cette ville. Il m'a suffit de quelques mois pour connaitre du monde et élargir mon réseau et même être nommé assistant organisateur de deux groupes de rencontres l'un francophone (crée par des anglophones pour pratiquer leur français) l'autre de la communauté chinoise d'Ottawa (j'aime ce peuple, leur culture ainsi que leur art culinaire). J'ai apprécié tout cela bien plus que lorsque j'étais à MontréalJ'ai donc pu avoir un groupe d'amis que je vois régulièrement et qui sont Canadiens ou immigrants (hors de ma communauté), chose que je n'ai jamais eu la chance d'avoir à Montréal alors que j'y ai vécu pendant plus de 3 ans et que je m'efforçais à côtoyer toutes les cultures. Quelques mois m'ont suffit à Ottawa pour vivre cette sensation d'être citoyen du monde. Le fait d'avoir des amis m'a permis de profiter beaucoup plus de la découverte de ville et de tout ce qu'elle a à offrir. J'ai visité plus d'endroits, assisté à plus d'événements et vu plus de choses. Je n'ai toujours pas de dentiste, ni de médecin, (je sais je dois m'y mettre), j'ai commencé à pratiquais du vélos et profiter des belles pistes cyclables d'Ottawa, je n'ai pas de coiffeur non plus, j'ai gardé mon coiffeur de Montréal (oui je sais ça parait fou mais cela me donne une excuse d'aller visiter mes amis de Montréal et en profiter de cette faire une belle tête )En résumé : avoir un bon travail, améliorer son anglais et se créer un cercle social tels sont les ingrédients que j'ai pu déguster afin de vivre pleinement mon immigration, le tout en optant pour la meilleure place ou il fait bon de vivre au Canada : OTTAWA Citer
Habitués Osquare Posté(e) 24 août 2008 Habitués Posté(e) 24 août 2008 J'ai voulu essayer et en me rendant à un service fédérale (Service Canada), une dame me crachait en plein visage la phrase « Ohh sorry sir I don't speak French » ) Elle essaya de chercher la personne bilingue du service (qui soit est une immigrante, soit une québécoise, soit une franco-Ontarienne), j'ai par force des choses parler en anglais non pas par replis mais pour lui montrer que moi étant immigrant ce n'est pas une langue que je parle ou même deux mais trois et la quatrième est toujours dans sa phase initiale.Ce sont des expériences qui, à force d'être grotesques, en sont amusantes en effet. Le fameux "bilinguisme" en question ... N'importe quoi.Je me suis présenté dans une filiale à Ottawa de ma banque à Gatineau. J'avais ostensiblement quelques billets de banque à la main et j'ai dit, très clairement, "c'est pour un payement dans mon compte". A première vue, on pourrait se dire qu'un trisomique anglophone serait en état de reconnaître "that's for a payment in my count". Mais non. Tête profondément héberluée. La meilleure évidemment, c'est quand on tombe sur un francophone qui, reconnaissant qu'on ne parle pas comme lui, se met à parler anglais. Citer
Habitués Osquare Posté(e) 24 août 2008 Habitués Posté(e) 24 août 2008 Le fait d'avoir des amis m'a permis de profiter beaucoup plus de la découverte de ville et de tout ce qu'elle a à offrir. J'ai visité plus d'endroits, assisté à plus d'événements et vu plus de choses. Je n'ai toujours pas de dentiste, ni de médecin, (je sais je dois m'y mettre), j'ai commencé à pratiquais du vélos et profiter des belles pistes cyclables d'Ottawa, je n'ai pas de coiffeur non plus, j'ai gardé mon coiffeur de Montréal (oui je sais ça parait fou mais cela me donne une excuse d'aller visiter mes amis de Montréal et en profiter de cette faire une belle tête )T'as bien raison.A signaler, une coiffeuse sympa comme tout, du côté québécois à Hull : Julie, "coiffeuse styliste" à Coiffure Novy au 569 Boulevard Saint-Joseph, 819 776 1311.C'est un peu au nord du carrefour avec Saint-Raymond.Nettement plus proche que Montréal. Citer
Habitués B52 Posté(e) 14 septembre 2008 Habitués Posté(e) 14 septembre 2008 J'ai voulu essayer et en me rendant à un service fédérale (Service Canada), une dame me crachait en plein visage la phrase « Ohh sorry sir I don't speak French » ) Elle essaya de chercher la personne bilingue du service (qui soit est une immigrante, soit une québécoise, soit une franco-Ontarienne), j'ai par force des choses parler en anglais non pas par replis mais pour lui montrer que moi étant immigrant ce n'est pas une langue que je parle ou même deux mais trois et la quatrième est toujours dans sa phase initiale.Ce sont des expériences qui, à force d'être grotesques, en sont amusantes en effet. Le fameux "bilinguisme" en question ... N'importe quoi.Je me suis présenté dans une filiale à Ottawa de ma banque à Gatineau. J'avais ostensiblement quelques billets de banque à la main et j'ai dit, très clairement, "c'est pour un payement dans mon compte". A première vue, on pourrait se dire qu'un trisomique anglophone serait en état de reconnaître "that's for a payment in my count". Mais non. Tête profondément héberluée. La meilleure évidemment, c'est quand on tombe sur un francophone qui, reconnaissant qu'on ne parle pas comme lui, se met à parler anglais.Bilinguisme! c'est plutot utopique. cela va malheureusement au detriment du francais et des francophones. Le comble c'est quand tu rencontres des francophones qui ne peuvent pas te faire une phrase bien correcte en francais sans y introduire des mots de la langue anglaise ou simplement sans y introduire des mots parachutés de la langue de Shakespeare qui n'existent ni d'Adam ni d'eve en francais. C'est pas une promotion de la langue francaise que l"on fait ainsi mais au contraire on participe à son instinction.La derniere fois j'ai appelé une ECOLE FRANCOPHONE afin d'avoir des informations. La secretaire qui m'a repondu au telephone en francais, est partie un bout de temps pour me prendre des informations complementaires en réponse à mes questions. Malheureusement à ma grande surprise, à son retour elle a preferé continuer la conversation en anglais. COMMENT peut on vouloir promouvoir une langue , et de surcroit dans une école dite francophone, et donner la suprématie à une autre langue?? Citer
Guille Posté(e) 1 octobre 2008 Posté(e) 1 octobre 2008 Très beau témoignage Kabi, merci beaucoup.Juste une petite précision, la loi sur les services en français en Ontario ne concerne pas les municipalités mais les services provinciaux (permis de conduire, carte de santé etc...) et l'éducation.Les municipalités peuvent choisir d'offrir des services en français mais n'y sont pas obligées, tout comme les hôpitaux, services sociaux...C'est dommage, mais c'est comme ça. Peut-être que dans l'avenir nous obtiendrons que l'Ontario soit bilingue et que donc les municipalités de grande taille offrent des services dans les 2 langues Citer
Habitués kabi Posté(e) 3 octobre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 3 octobre 2008 Les municipalités peuvent choisir d'offrir des services en français mais n'y sont pas obligées, tout comme les hôpitaux, services sociaux...Merci beaucoup GUILLE pour l'éclaircissement...Je trouve domage que cela soit ainsi mais j'imagine que si je suis hospitalisé et que je souffre et que le docteur devant moi ne pige pas un mot en français alors que la je ne suis aps en train de choisir d'etre mal .. me voir obligé de parler anglais au lieu de Français (sachant pertinement que ce ne sont pas du tout ma langue maternelle) et que ce docteur ne fait pas l'effort cela me met très mal à l'aise.es tu sure que les hopitauis sont pas obligé d'etre bilingue GUILLE ??? Citer
Guille Posté(e) 4 octobre 2008 Posté(e) 4 octobre 2008 A l'exception de l'hôpital Monfort, non, en Ontario les hôpitaux sont anglophones. Après tu peux avoir la chance de tomber sur un médecin francophone, mais c'est plutôt rare. Citer
Habitués Abouzyad Posté(e) 4 octobre 2008 Habitués Posté(e) 4 octobre 2008 Merci l'ami pour ce recit.Pour ce qui est du bilinguisme, il faut venir par ici ( en Alberta)pour te rendre compte combien les francophones ne sont pas les bienvenus. En plaisantant avec mes collegues au travail, le 'F' word precede toujours le ' french', et comme au fond de la plaisanterie il y a toujours un peu de serieux , no comment.Bonne continuation, un coup de fil me ferait plaisir, le dernier date de presque une annee.Time goes fast , isn't it?Abouzyad Citer
Gizele12 Posté(e) 26 novembre 2008 Posté(e) 26 novembre 2008 Bonjour mes cher forumisteBonjour KABI.JE SUIS VOS CONTRIBUTION DEPUIS MON INSCRIPTION SUR IMMIGRER ET J4AVAIS MÊME L'INTENTION D'IMMIGRER.vous avez vraiment une très bonne humeur et j'aime la simplicité dont vous prenez les choses et surtout l'immigration je vous remercie déjà de me lire, je voudrais votre avis sur cette question , est ce qu'il vaut mieux choisir le chemin Fédérale que les toutes de demandes par voix de la province elle même? , et spécialement pour la province d'ONTARIO?? aussi si les conditions sont elles les même? et surtout es ce que les délais sont aussi les mêmes? je souhaiterai l'avis des candidats ayant passé déjà cette étapes avec succé , sinon ceux qui ont eu des difficultés ,pour éviter tout risque.je vous signale que je suis marocaine et je vais procéder à mon immigration moi même sans faire appeler un avocat (pour économisé et évité toute fraude ou arnaque...)Et si je opterai pour les candidats de province, doit-je avoir un emploi à l'avance?je vous signale aussi que comme diplôme une licence en économie et gestion avec une expérience de 2 ans mais je ne suis déclaré que y a 6 mois.merci de me répondre!je vous poste mon mail si vous voulez bien me contacter[email protected] Citer
Habitués kabi Posté(e) 27 novembre 2008 Auteur Habitués Posté(e) 27 novembre 2008 Bonjour GisèleTout d'abord bonne chance pour votre projet d'immigration.voici mes réponses:"est ce qu'il vaut mieux choisir le chemin Fédérale que les toutes de demandes par voix de la province elle même? "Le choix du Fédérale est conditionné par le fait d'avoir des connaissances approfondie en Anglais, ainsi qu'une bonne bagatelle somme d'argent. Pose toi la question suivante : Ai-je ces deux éléments là? Si la réponse est oui : vas y fonce , sinon prépare toi ou pense au Québec."et spécialement pour la province d'ONTARIO?? "Sur ce point là je dirais que tu devrais voir qu'en est il des perspectives d'emplois dans le domaine ou tu voudrais travailler. Si elles sont excellentes ou bonnes dans cette province alors : vas y .De ma part j'aime bien cette province sinon j'aurais penser soit à l'Alberta soit à British-Columbia. "aussi si les conditions sont elles les même? "Tu veux dire entre le fédéral et le Québec, non pas tout à fait. " et surtout es ce que les délais sont aussi les mêmes? "Absolument pas, la procédure au fédéral est plus rapide que celle de Québec pour la simple raison que une fois que le fédéral accepte tu dois passé aussi par la procédure du Québec (si tu avais opté dès le départ pour le fédéral)"Et si je opterai pour les candidats de province, doit-je avoir un emploi à l'avance?"sur ce point ci mes connaissances sont nulles.Je te souhaite bonne chance . Citer
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