Habitués cherry Posté(e) 22 avril 2008 Habitués Posté(e) 22 avril 2008 On pourrait aussi te poser la question de savoir pourquoi il y a de plus en plus de famille monoparentale au Québec? Te connaissant tu répondrais surement : "parceque les hommes n'assument pas " et "la femme est libérée et on ne va pas retourner au siècle dernier". Et bien sache que ce type d'argument ne vaut pas mieux que de dire que les hommes se suicident à cause des québécoises. Si en effet la conséquence de tout cela c'est pour finalement avoir des familles qui se déchirent à tous les coins de rue, alors oui à la limite je préfère retourner au siècle dernier.Regarde chose, tu peux bien penser ce que tu veux, mais bien franchement, la seule personne qui a tenté d'expliquer le phénomène est Lili et elle l'a fait de façon très peu convaincante. Et contrairement à elle, je ne m'improviserai pas sociologue du dimanche en mélangeant absolument tout et n'importe quoi.
Habitués Biztalk Posté(e) 22 avril 2008 Habitués Posté(e) 22 avril 2008 (modifié) Ce qui me fait rire, c'est que l'on tente d'associer vie de couple équilibrée et taux de suicide. Pensez-vous vraiment que chez les personnes qui s'aiment, se vouent un respect mutuel et qui se tiennent en haute estime, il y a des histoires de suicide? Modifié 22 avril 2008 par Biztalk
Habitués elliot Posté(e) 22 avril 2008 Habitués Posté(e) 22 avril 2008 On pourrait aussi te poser la question de savoir pourquoi il y a de plus en plus de famille monoparentale au Québec? Te connaissant tu répondrais surement : "parceque les hommes n'assument pas " et "la femme est libérée et on ne va pas retourner au siècle dernier". Et bien sache que ce type d'argument ne vaut pas mieux que de dire que les hommes se suicident à cause des québécoises. Si en effet la conséquence de tout cela c'est pour finalement avoir des familles qui se déchirent à tous les coins de rue, alors oui à la limite je préfère retourner au siècle dernier.Regarde chose, tu peux bien penser ce que tu veux, mais bien franchement, la seule personne qui a tenté d'expliquer le phénomène est Lili et elle l'a fait de façon très peu convaincante. Et contrairement à elle, je ne m'improviserai pas sociologue du dimanche en mélangeant absolument tout et n'importe quoi.T'as mangé quoi?
Habitués Angela Posté(e) 22 avril 2008 Habitués Posté(e) 22 avril 2008 Ce qui me fait rire, c'est que l'on tente d'associer vie de couple équilibrée et taux de suicide. Pensez-vous vraiment que chez les personnes qui s'aiment, se vouent un respect mutuel et qui se tiennent en haute estime, il y a des histoires de suicide?Ça arrive, oui. Parce que même en couple, une personne reste un individu à part entière. Si mon compagnon pour la vie souffre de dépression (peu importe la raison), tout l'amour et le respect que je lui donne ne peuvent le sauver s'il va vraiment mal en dedans. Le suicide nous choque justement parce que vu de notre point de vue à nous, ces gens ne manquent de rien, mais de leur point de vue à eux c'est une autre affaire. Et chaque affaire est unique.Voilà pour la psy à 2 cennes. Il y a un documentaire émouvant d'une femme qui a perdu son mari (deux personnalités artistiques dont j'oublie les noms). Un film récent aussi ...
Habitués Angela Posté(e) 22 avril 2008 Habitués Posté(e) 22 avril 2008 On pourrait aussi te poser la question de savoir pourquoi il y a de plus en plus de famille monoparentale au Québec? Te connaissant tu répondrais surement : "parceque les hommes n'assument pas " et "la femme est libérée et on ne va pas retourner au siècle dernier". Et bien sache que ce type d'argument ne vaut pas mieux que de dire que les hommes se suicident à cause des québécoises. Si en effet la conséquence de tout cela c'est pour finalement avoir des familles qui se déchirent à tous les coins de rue, alors oui à la limite je préfère retourner au siècle dernier.Regarde chose, tu peux bien penser ce que tu veux, mais bien franchement, la seule personne qui a tenté d'expliquer le phénomène est Lili et elle l'a fait de façon très peu convaincante. Et contrairement à elle, je ne m'improviserai pas sociologue du dimanche en mélangeant absolument tout et n'importe quoi.T'as mangé quoi? Une vache enragée?
Habitués Lilideslacs Posté(e) 23 avril 2008 Auteur Habitués Posté(e) 23 avril 2008 (modifié) Texte intéressant de Monsieur Jean Gabbard:[email=http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=37076]Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contesté. Modifié 23 avril 2008 par Lilideslacs
Invité Posté(e) 23 avril 2008 Posté(e) 23 avril 2008 Ce qui me fait rire, c'est que l'on tente d'associer vie de couple équilibrée et taux de suicide. Pensez-vous vraiment que chez les personnes qui s'aiment, se vouent un respect mutuel et qui se tiennent en haute estime, il y a des histoires de suicide?Ça arrive, oui. Parce que même en couple, une personne reste un individu à part entière. Si mon compagnon pour la vie souffre de dépression (peu importe la raison), tout l'amour et le respect que je lui donne ne peuvent le sauver s'il va vraiment mal en dedans. Le suicide nous choque justement parce que vu de notre point de vue à nous, ces gens ne manquent de rien, mais de leur point de vue à eux c'est une autre affaire. Et chaque affaire est unique.Voilà pour la psy à 2 cennes. Il y a un documentaire émouvant d'une femme qui a perdu son mari (deux personnalités artistiques dont j'oublie les noms). Un film récent aussi ...Le voyage d'une vie ...http://www.levoyagedunevie.ca/
Habitués Lilideslacs Posté(e) 23 avril 2008 Auteur Habitués Posté(e) 23 avril 2008 (modifié) Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contestéDésolé le lien ne s'était pas inscrit correctement dans mon précédent message. Modifié 23 avril 2008 par Lilideslacs
Habitués Biztalk Posté(e) 23 avril 2008 Habitués Posté(e) 23 avril 2008 Les garçons plus «bollés» qu'on penseLes garçons québécois sont loin dêtre les cancres que dépeignent les médias. En fait, montrent les recherches, ils sen tirent aussi bien que les filles à peu près partout. Mais à lécole, la majorité du personnel continue de voir les gars bien pires quils ne sont en réalité...Les chercheurs rassemblés au Colloque sur la réussite éducative sont éberlués du contraste entre la réalité et la perception populaire, qui, depuis des années, veut que les garçons ne sont pas bons à lécole. «Ce discours est tellement fort que cest rendu que les garçons eux-mêmes ont développé une perception que lécole nest pas pour eux, mais pour les filles, remarque Steve Audet, un travailleur social de Québec. Cest pour ça quils vont se valoriser ailleurs que dans la performance scolaire.» Lorsquon analyse les résultats aux examens du ministère de lÉducation, dit le chercheur de lUniversité Laval Jean-Claude St-Amant, on trouve que les garçons réussissent aussi bien que les filles dans toutes les matières sauf en langue denseignement (français ou anglais).Ces faits ne franchissent pas le mur des perceptions, a pu constater le chercheur, en effectuant un sondage auprès de 1000 membres du personnel des écoles, dont les résultats sont inédits. «Seulement 35 % des répondants étaient au courant, alors que 55 % croient que les filles dépassent les garçons dans toutes les matières», dit Jean-Claude St-Amant. Selon lenquête, la grande majorité des enseignants ont tendance à surestimer les difficultés des garçons, alors que plus du tiers sous-estiment celles des filles. «Ça correspond à limage véhiculée dans les médias que toutes les filles vont bien et que tous les garçons ou presque sont en difficulté, note Jean-Claude St-Amant. Le danger, cest que si les profs basent leurs interventions sur des perceptions fausses, ça ne marchera pas.» Il ne sagit pas de nier les écarts entre les garçons et les filles, mais de les relativiser, ajoute Isabelle Archambault, professeure en psychoéducation à lUniversité de Montréal.Les filles sont 11 % plus nombreuses à obtenir un diplôme détudes secondaires en cinq ans que les garçons. «Les perceptions sont exagérées, convient Mme Archambault. Mais dans les classes spéciales, on trouve encore une majorité de garçons.»Des mesures progarçons inefficacesLes écoles, sous les fortes pressions des parents, se sont mises à essayer toutes sortes de projets pour favoriser la réussite des garçons. En 2003-2004, pas moins dune école sur cinq avait mis en place de telles initiatives. Le problème, dit le chercheur Jean-Claude St-Amant, cest que ces mesures ont un taux defficacité denviron... 2 %.La très populaire solution des classes non mixtes na démontré aucun effet positif et peut même nuire à la réussite, estime le chercheur. «Le prof aura tendance à baisser ses attentes. Il se dit que comme les gars sont moins bons, il va leur en demander moins.» Par ailleurs, les statistiques ne montrent aucun lien entre la réussite et la proportion denseignants masculins dans une école.Lexemple de la France vient dailleurs démolir le mythe que les garçons réussissent mieux avec un professeur masculin. «Là-bas, le personnel masculin reste majoritaire au primaire et pourtant, ils constatent là aussi un écart défavorable envers les garçons», note M. St-Amant.Le milieu socio-économique de lenfant et la relation que le professeur tisse avec lui influencent bien davantage, disent les chercheurs. Pour aider les garçons, les enseignants devraient impérativement les faire lire, insiste Jean-Claude St-Amant. Et des lectures consistantes, dit-il. «Pas le Guide de lauto, comme jai déjà vu dans une école!»Source : CyberPresse
Habitués cherry Posté(e) 23 avril 2008 Habitués Posté(e) 23 avril 2008 (modifié) Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contestéDésolé le lien ne s'était pas inscrit correctement dans mon précédent message.Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Aussi, ce monsieur n'est pas très clair dans sa position: il veut ultimement un retour à l'autorité du père à la maison et il y va de belles théories psycho-pop pour appuyer son propos. Eeeeuh, de quoi on parle là? Qu'est-ce que ce pseudo-spécialiste veut au juste, que la mère laisse au père tout le pouvoir quand il s'agit de gronder l'enfant? Comment donc s'exprime cette autorité perdue, si essentielle au développement de l'enfant selon lui? Il tape sur la table? Il se gonfle le torse sans mots dire? C'est le retour au bon vieux chef de famille, c'est ça? Me semble qu'au contraire, le père est plus présent que jamais et dans toutes les sphères de l'éducation. Enfin, passons... La liberté a un prix et pour certains, c'est déjà trop semble-t-il. Tout changement social amène son lot de heurts et d'ajustements. Le féminisme, qui n'est pas anti-hommes et qui s'oppose au système patriarcal, ne fait pas exception à la règle. C'est NORMAL. Il faut donc laisser le temps au temps, on n'efface pas des millénaires d'inégalité d'un coup de baguette magique. Le balancier se calme et revient tranquillement au milieu, et ce n'est pas en paniquant et en lui donnant une nouvelle poussée qu'on va arriver à l'équilibre.Pour tous ceux et celles qui ont une certaine nostalgie du passé, rien ne vous empêche de recréer les bons vieux schémas stéréotypés dans votre propre couple ou votre propre famille. Le féminisme a beau avoir changé la donne au niveau sociétal, il existe encore et il existera toujours des hommes machos et des femmes soumises. Comme on dit, à chaque guenille son torchon.Au fait, ton monsieur répondait à cette madame: La complainte du mâle barréjeudi 21 février 2008, par Anne ZelenskyDepuis quelques années, un vent de désarroi souffle sur nos mâles. « Mal à l’aise », « en évaporation », « en difficulté », les magazines auscultent leur mal-être, et certains se répandent par voie écrite en jérémiades ou en insultes contre le sexe anciennement « faible », qui sous la houlette des sorcières féministes, est sorti du rang millénaire.Il n’y a plus d’homme, et tout fout vraiment le camp, pas seulement les saisons ! Passage obligé du grand chambardement entre sexes. Pas de quoi s’affoler. Mais plutôt se poser d’utiles questions.Au fait c’était quoi, un « homme » ?Un être masculin formaté dès le biberon à devenir agressif, prêt à en découdre avec tout ce qui bouge, insensibilisé, méprisant avec les filles, obsédé par sa quéquette et son boulot, salivant comme un dogue dès que croise dans les parages un beau cul, mais incapable de regarder la femme qu’il a dans sa vie ?Voilà en gros l’idéal du « mec », le vrai. Pas de quoi faire rêver. Mais il faut justement se garder de confondre cette caricature du « mâle » avec ce qu’est un être humain masculin. C’est faire injure à la masculinité que de l’enfermer dans sa triste parodie.L’être humain masculin est à venir, tout comme l’être humain féminin. Ils sont en train de se forger dans l’intimité de nos recherches et de nos errements personnels. Alors au lieu de nourrir une nostalgie vaine pour un mythe, celui de l’homme, le « vrai », que vous ne réussissez heureusement pas à être, messieurs, renoncez aux fantasmes. Cessez de nous imaginer pour nous regarder. Redescendez des nuages étouffants où vous vous êtes exilés et nous avec. Nous ne détenons aucune toute puissance autre que celle que vous nous prêtez. Le fait de pouvoir enfanter ne nous donne aucune supériorité sur vous. Vous avez organisé le monde autour de vos peurs, imaginaires comme toutes les peurs.Quel gâchis de nous avoir mises à l’ombre pendant des millénaires pour nous garder à l’œil, nous et le fruit de nos entrailles. Vous nous avez privée, l’humanité entière, de forces et de bonheur. Vous n’allez pas prétendre que cette séparation drastique entre sexes que vous avez instaurée nous a rendu heureux ? D’où vient que dans votre monde l’amour rime avec toujours ! plus de souffrance ? Oui, mais vous avez fini par prendre pour « naturel » ce que vous aviez fabriqué ! Fabriqué.Comment voulez vous aimer votre semblable quand vous en avez fait une étrangère dont vous attendez le pire ?Oui, mais vous vous accrochez, comme une moule à son rocher , à « la différence des sexes ». On le sait qu’il y a deux sexes. Comme il y a la terre et le soleil. Et alors ? Qu’est que vous entendez par ce rabâchage compulsif de « la différence des sexes » ? Vous avez peur qu’on vous confonde avec une femme ? Ou bien, vous ânonnez cette incantation pour vous rappeler le bon vieux temps, où elle servait d’alibi à votre domination ? Celui qui juge de la différence de l’autre, s’en sert le plus souvent pour le disqualifier.Qui est différent ? Les autres, femmes, noirs ! Qui décide de qui est différent ? A t on jamais inclus dans les « différents » les « mâles » ? Non, les mâles n’en font pas partie, ils jugent la différence des autres pour en faire une arme à discriminer.Nous comprenons, messieurs que vous ayez quelque difficulté à passer de l’autre côté, du côté où il y a perte de privilège, de repère, de statut. On ne descend pas facilement du piédestal qu’on s’est aménagé. Pas plus qu’on ne consent à renoncer au piédestal où on a placé l’Autre.Mais toute cette construction sophistiquée prend l’eau. Piédestal, étal, vestale. Nous ne voulons plus de votre piédestal, où vous nous adorez , femme fatale et inaccessible. Nous ne voulons pas plus de l’étal, où s’exposent les pièces de notre anatomie, cul, nichons, guibolles... Etre la vestale de votre foyer, nous coûte cher en double journée et perte de loisir.Nous sommes en train de passer enfin à autre chose. Il y a un frémissement du côté de la relation entre sexes, figée si longtemps dans son scénario morbide. « L’amour », « cet infini à la portée des caniches » (L.F. Céline) reste à inventer, il aura peu à voir avec les pantomimes qui en tiennent lieu. C’est difficile de s’approcher d’un être, de concilier sa liberté, ses désirs et les nôtres, de suffisamment se connaître pour évaluer ce dont on est capable ou pas, de tenir la bonne distance entre besoin de fusion et souci de ne pas s’étouffer ensemble, de savoir naviguer entre besoin de sécurité et désir d’indépendance, de s’inscrire dans une durée constructive !Pas aidés, nous sommes, dans cette entreprise à haut risque, avec leurs contes à dormir debout, « prince charmant, poupée barbie et ils eurent beaucoup d’enfants ».Cela coûte et coûtera des réaménagements personnels et collectifs, parfois douloureux. Au lieu de freiner des quatre fers, messieurs, laissez vous faire par le mouvement, accompagnez le, réjouissez vous de participer aux balbutiements du monde qui s’annonce. Faites comme ces hommes des années 70, nos compagnons de route dans la remise en cause des rôles et des stéréotypes sexuels. Sachez lever le nez de votre présent, et rêver à un avenir, où hommes et femmes se reconnaîtront comme les semblables qu’ils sont et renonceront aux guerres archaïques qu’ils se font. Cela, des hommes l’ont depuis longtemps entrevu. Des poètes, qui savent voir au delà de ce qui est. Il y a cent ans, l’un d’eux, Rainer Maria Rilke, écrivait ces lignes magnifiques dans « Lettres à un jeune poète ».Rilke a aimé une femme libre, la célèbre Lou Andreas Salomé, et ensemble ils ont tenté de vivre un amour inédit. « Les sexes sont peut être plus parents qu’on ne le croit : et le grand renouvellement du monde tiendra sans doute en ceci : l’homme et la femme, libérés de toutes leurs erreurs, de toutes leurs difficultés, ne se rechercheront plus comme des contraires, mais comme des frères et sœurs, comme des proches. Ils uniront leurs humanités pour supporter ensemble, gravement, patiemment, le poids de la chair difficile qui leur a été donnée ». (« Lettres à un jeune poète » Grasset)Anne Zelenskyhttp://www.ripostelaique.com/La-complainte...male-barre.html*Anne Zelensky est une féministe très connue en France. Elle a côtoyée Simone De Beauvoir pendant plus de 20 ans et a participé activement à la cause des femmes. Elle n'est ni enragée, ni intégriste, ni castratrice, ni lesbienne. Elle est humaniste. Modifié 23 avril 2008 par cherry
Habitués Angela Posté(e) 23 avril 2008 Habitués Posté(e) 23 avril 2008 Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contestéDésolé le lien ne s'était pas inscrit correctement dans mon précédent message.Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Cherry, tout de même! Tu es quand même capable d'argumenter sans revenir à la vie privée de Lili, non? Et si les autres le faisaient en ramenant tout à ta vie privée (épisode avortement par exemple), tu n'apprécierais certainement pas. Tu peus très bien démolir l'argumentation de Lili sans aller la chercher dans son intimité. Par exemple, si tu réponds à chacun de mes messages par "T'es Noire" ou "T'es né dans un pays du quart monde", ce serait exactement pareil à ce que tu fais à Lili.Désolée, je t'apprécie beaucoup, j'aime d'ailleurs ton petit côté décapant mais tu dépasses les bornes là. Tu es quand même une contributrice respectée de ce forum, pas un troll ...
Habitués cherry Posté(e) 23 avril 2008 Habitués Posté(e) 23 avril 2008 Le féminisme et ses dérives. Du mâle dominant au père contestéDésolé le lien ne s'était pas inscrit correctement dans mon précédent message.Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Cherry, tout de même! Tu es quand même capable d'argumenter sans revenir à la vie privée de Lili, non? Et si les autres le faisaient en ramenant tout à ta vie privée (épisode avortement par exemple), tu n'apprécierais certainement pas. Tu peus très bien démolir l'argumentation de Lili sans aller la chercher dans son intimité. Par exemple, si tu réponds à chacun de mes messages par "T'es Noire" ou "T'es né dans un pays du quart monde", ce serait exactement pareil à ce que tu fais à Lili.Désolée, je t'apprécie beaucoup, j'aime d'ailleurs ton petit côté décapant mais tu dépasses les bornes là. Tu es quand même une contributrice respectée de ce forum, pas un troll ...Où est la référence à sa vie privée dans ma dernière intervention?
Habitués elliot Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 (modifié) Où est la référence à sa vie privée dans ma dernière intervention? Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large... Modifié 24 avril 2008 par elliot
Habitués cherry Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Où est la référence à sa vie privée dans ma dernière intervention? Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Ha! Ha! Elle est bonne! Newsflash: je parlais de l'homme qu'elle citait pour relancer la discussion...
Habitués elliot Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Où est la référence à sa vie privée dans ma dernière intervention? Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Ha! Ha! Elle est bonne! Newsflash: je parlais de l'homme qu'elle citait pour relancer la discussion... Bah c'était pô clair...J'sais pas ce qu'il se passe cherry mais t'as pas l'air dans tes baskets ces derniers temps toi. T sûre que ça va?
Habitués cherry Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Où est la référence à sa vie privée dans ma dernière intervention? Ton ti-nami est un Français. Faut croire que c'est de la "déchéance" de l'homme occidental dont on parle ici, donc on ratisse encore plus large...Ha! Ha! Elle est bonne! Newsflash: je parlais de l'homme qu'elle citait pour relancer la discussion... Bah c'était pô clair...J'sais pas ce qu'il se passe cherry mais t'as pas l'air dans tes baskets ces derniers temps toi. T sûre que ça va?Vous faites de la projection. Et ça va très bien, merci. Et toi, ça va? En tout cas, tu as l'air mieux dans tes baskets ces derniers temps.
Habitués elliot Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Vous faites de la projection. Et ça va très bien, merci. Et toi, ça va? En tout cas, tu as l'air mieux dans tes baskets ces derniers temps.Oui oui, moi ça va bien avec le beau temps qui revient et mes petites allées qui verdissent
Habitués cherry Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Vous faites de la projection. Et ça va très bien, merci. Et toi, ça va? En tout cas, tu as l'air mieux dans tes baskets ces derniers temps.Oui oui, moi ça va bien avec le beau temps qui revient et mes petites allées qui verdissent Je comprends tellement ce que tu veux dire. En plus, j'ai sauté le printemps et l'été derniers pour des raisons de santé, alors je suis pas mal due. Vive les bains de soleil dans le parc, les barbecues et les terrasses!
Habitués Dariane Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Vous faites de la projection. Et ça va très bien, merci. Et toi, ça va? En tout cas, tu as l'air mieux dans tes baskets ces derniers temps.Oui oui, moi ça va bien avec le beau temps qui revient et mes petites allées qui verdissent Je comprends tellement ce que tu veux dire. En plus, j'ai sauté le printemps et l'été derniers pour des raisons de santé, alors je suis pas mal due. Vive les bains de soleil dans le parc, les barbecues et les terrasses! Mets-en!Moi non plus l'été dernier je ne l'ai pas trop vu... On a du temps à rattraper Mais euh bon, tâche de guérir ta grippe hein... parce que t'en a sauté une terrasse cette semaine
Habitués Angela Posté(e) 24 avril 2008 Habitués Posté(e) 24 avril 2008 Vous faites de la projection. Et ça va très bien, merci. Et toi, ça va? En tout cas, tu as l'air mieux dans tes baskets ces derniers temps.Oui oui, moi ça va bien avec le beau temps qui revient et mes petites allées qui verdissent Je comprends tellement ce que tu veux dire. En plus, j'ai sauté le printemps et l'été derniers pour des raisons de santé, alors je suis pas mal due. Vive les bains de soleil dans le parc, les barbecues et les terrasses! Mets-en!Moi non plus l'été dernier je ne l'ai pas trop vu... On a du temps à rattraper Mais euh bon, tâche de guérir ta grippe hein... parce que t'en a sauté une terrasse cette semaine Ça explique une petite humeur de bouledogue, ça?
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