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Des milliers de Français étudient en anglais au Québec


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désolé mais encore une fois, il s'agit d'une bonne grosse polémique inutile créée puis alimentée par les médias pour satisfaire l'égo froissé des québécois et se vautrer dans la crise identitaire....

Là c'est une histoire en or, non seulement on s'en prend à des immigrants, mais pas n'importe lesquels... les français!!!!!!!! Diablerie, les fourbes français viennent eux aussi pirater le fait français au Québec avec des études en anglais et leur accent parisien!!!

Salopards de français qui donnent la satisfaction ultime aux québécois.... ils sont les victimes, pour la 150.000éme fois ils sont les victimes. Alors après avoir été les victimes, des anglais, des fédéralistes, des souverainistes, des curés, des arabes, des immigrants, d'Ottawa..... ils ont la satisfaction ultime d'être victime de ces faux frères de français!!!!

C'est à gerber ces polémiques, qui n'ont pour but juste de se complaire dans la médiocrité.

1. Les échanges étudiants visent à une excellence universitaire et rarement à faire des calculs démographiques. (Ces améliorations universitaires ayant un impact confirmé sur le long terme)

2. Les français qui sont de plus en plus nombreux à McGill sont aussi de plus en plus nombreux dans les autres universités genre UQO ou sherbrooke.....

3. si le problème est vraiment un problème de financement alors faut demander une participation financière à la France à la hauteur et le problème financier n'a pas de lien avec l'université anglo..... puisque l'étudiant français qui va à HEC coutera tout aussi cher

4. Il est temps que les québécois (enfin ceux qui se sentent super menacé par le péril français) se posent des questions par rapport à leur relation avec les immigrants. Parce que là on rentre dans le franchement grotesque....

5. Ce problème est un problème d'égo et non de français.... Si il y avait 10.000 étudiants dans les universités franco, personne ne dirait rien alors que cela couterait encore plus cher!!!!

6. Même Jimmy n'oserai pas s'acharner sur un tel "non-débat".... autant dire que le fait français n'est pas franchement menacé!!!!

Amicalement

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  • Habitués
Concernant le ratio...

Je serais portée à penser qu'il y aura toujours plus de Français qui viendront ici que de Québécois en France pour la simple et bonne raison qu'on est 7M et la France 60M (c'est 8 fois (et des poussières) plus!)

Je ne suis pas statisticienne, cependant si on prend une portion d'âge (disons tous les 20-25 ans à une période donnée) dans les deux pays, normalement, au décompte, il devrait y avoir beaucoup plus de petits Français dans cette portion d'âge que de petits Québécois dans la même portion d'âge...

Ce n'est donc pas en nombre qu'il faille calculer cela... mais plutôt en pourcentage par rapport à la population cible...

On ne peut pas dire que tu penses trop "contribuables"?????

As-tu calculé ce que payer les études de 6,000 Français au Québec coutent aux 7,7 millions de Tremblay par rapport à ce que coutent les 1000 Québécois en France aux 62 millions de Dupont-Lajoie? Le Québec se fait baiser dans cette histoire. Faites vite là-bas parce qu'ils vont fermer les portes l'an prochain.

C'est sûr que vu de même je comprends ton point...

Seulement mon intervention était juste pour remettre les chiffres à leur vraie place... pas pour faire un débat sur l'argent des impôts! C'était clair qu'il y aurait toujours moins de Québécois en France et plus de Français au Québec dû à la taille de la population dans chaque pays... j'pense que le Québec devait le savoir en signant cet accord (peu importe dans quelle université iraient ces jeunes)!

Darianne voyons.... bien sûr que c'est une surprise.... ben tu sais bien.... je suis sûr que c'est un coup bas de Ottawa qui en 30 ans à fait en sorte que la france soit 10 fois plus grande!!!

Puis tout le monde le sait.... les echanges étudiants ne servent à rien.... ils font que couter de l'argent... c'est pas comme ci le mec sera tenté plus tard de faire des affaires avec son ancienne ville d,adoption, ou bien vivra peut être dans cette ville.... voyons...

Les echanges universitaires ce n'est qu'un coût, qu'une charge de court terme... d,ailleurs les universités aussi ce n'est qu'une charge.... on devrait les supprimer je pense

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  • Habitués

J'pense que tu as bien résumé ma pensée Franck...

Et puis comme l'a dit Grizzli (je crois), ça augmente les francophones dans les univ anglophones. Pourvu qu'ils se parlent en FRANÇAIS entre eux dans les corridors (j'ai toujours trouvé que ça faisait pitié deux personnes d'une même langue qui en parlent une seconde entre eux pour faire "cool") je ne vois pas le problème... peut-être même que ça pourrait (mais là je rêve peut-être) inciter quelques anglos à prendre des cours de "french 101" ou même à s'intéresser à la culture francophone (dans son aspect le plus large)

Sur un autre fil PP disait qu'on était dans une sorte de crise politique... ben je pense qu'il a raison (en plus de la crise identitaire etc)!

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  • Habitués

Je suis d'accord avec Franckgb et Grizzli; c'est un non-débat...

Comment en maitrisant le français on ne soutiendrait pas le fait francophone par notre seule présence ?? La majeure partie des gens que je connais ont étudié à McGill et Concordia en anglais pour améliorer leur anglais... Mais ça n'empêche que tu vis en Français...

Le hic c'est que les québecois sont pas clairs avec eux-mêmes, ils ne se rendent pas compte de la frustration de l'immigrant francophone qui ne trouve pas de travail car son niveau d'anglais n'est pas suffisant ;) Pourtant on est au Québec..... :innocent:

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  • Habitués
Je suis d'accord avec Franckgb et Grizzli; c'est un non-débat...

Comment en maitrisant le français on ne soutiendrait pas le fait francophone par notre seule présence ?? La majeure partie des gens que je connais ont étudié à McGill et Concordia en anglais pour améliorer leur anglais... Mais ça n'empêche que tu vis en Français...

Le hic c'est que les québecois sont pas clairs avec eux-mêmes, ils ne se rendent pas compte de la frustration de l'immigrant francophone qui ne trouve pas de travail car son niveau d'anglais n'est pas suffisant ;) Pourtant on est au Québec..... :innocent:

C'est peut-être que pour eux, un immigrant qui ne trouve pas de travail, ce n'est pas un problème. Alors que c'est un consommateur et un contribuable en moins, et, à plus long terme, un citoyen mal intégré.

Ce que je trouve absurde dans la nouvelle (je dois sans doute être la seule), c'est que le Québec, une Province francophone, vient de multiplier par cinq les frais chargés aux autres étudiants allophones qui étudient le français. Pourtant, 3/4 de ces étudiants choisiraient de rester au Québec. Cherchez l'erreur ...

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  • Habitués
Ce que je trouve absurde dans la nouvelle (je dois sans doute être la seule), c'est que le Québec, une Province francophone, vient de multiplier par cinq les frais chargés aux autres étudiants allophones qui étudient le français. Pourtant, 3/4 de ces étudiants choisiraient de rester au Québec. Cherchez l'erreur ...

Ca c'est clair! Ou comment ceux qui sont payés pour penser en arrivent à de telles absurdités!

Même les francos hors Québec qui voudraient venir ici étudier en Français parce que ce n'est pas possible dans le ROC doivent payer plus cher!

Mais bon ça fait longtemps qu'on sait que les francos hors Québec le Québec s'en tapent d'eux... Quant aux allophones... ben encore une fois beau message contradictoire!

Ah là là! On est pas sortis du bois nous autres...

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  • Habitués
Ce que je trouve absurde dans la nouvelle (je dois sans doute être la seule), c'est que le Québec, une Province francophone, vient de multiplier par cinq les frais chargés aux autres étudiants allophones qui étudient le français. Pourtant, 3/4 de ces étudiants choisiraient de rester au Québec. Cherchez l'erreur ...

Ca c'est clair! Ou comment ceux qui sont payés pour penser en arrivent à de telles absurdités!

Même les francos hors Québec qui voudraient venir ici étudier en Français parce que ce n'est pas possible dans le ROC doivent payer plus cher!

Mais bon ça fait longtemps qu'on sait que les francos hors Québec le Québec s'en tapent d'eux... Quant aux allophones... ben encore une fois beau message contradictoire!

Ah là là! On est pas sortis du bois nous autres...

:wub: Ahhh darianne...... tout pareil d'accord moi Amour37.gif

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  • Habitués
:wub: Ahhh darianne...... tout pareil d'accord moi Amour37.gif

Ah Grand dragueur!

Merci pour les fleurs!

et euh en tant que bonne québécoise bien féministe voici mon cadeau pour toi: :vava: !

C'est "Mad-Cho" des fleurs! Tu es en train d'essayer de me dominer et de faire de moi ta servante! Ca marche pô d'même icitte!

:P:

:air_kiss:

Dariane qui aime bien les fleurs et qui est pas non plus une "chienne de garde" (mais attention! Je peux mordre)

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  • Habitués

Vous n'avez rien compris. L'idée derrière l'accord n'est pas de soutenir le fait francophone at large, mais d'abord et avant tout de soutenir les universités francophones. Les universités sont financées par tête de pipe. Si un grand nombre de Français vont à McGill ou Concordia, c'est de l'argent en moins pour les universités francophones, donc des services en moins, des jobs en moins, et ultimement, une qualité moindre. C'est ça l'effet pervers, c'est là où il y a un problème: en voulant aider nos universités à rester dynamiques tant au niveau du nombre d'étudiants qu'en favorisant les échanges culturels France-Québec, on se retrouve à aider les universités anglophones qui sont déjà surfinancées au pro rata de la population. L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC, qui sont nombreux ici.

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  • Habitués

Ah la Mamzelle des nouvelles apporte un nouvel éclairage... que je ne trouve pas bête du tout :) et qui n'est pas vraiment expliqué non plus de cette façon à la population...

La façon dont c'est présenté (juste les résultats des méchants français qui vont à McGill sans plus de détails ni surtout du POURQUOI ce serait important qu'ils aillent à l'université francophone) on a encore une fois tendance à y voir une fois de plus l'occasion d'alimenter facilement le débat sur les étrangers et les coûts terribles de leur passage ici... et bon j'sais pas mais moi ça me saoûle et c'est pourquoi je n'ai pas prêté plus d'attention à cette nouvelle... Le bashing à la longue c'est fatiguant...

Mais là sous cet élcairage je vois combien ça peut être problématique en effet...

Donc les Frenchies! Revenez-donc de ce côté-ci de St-Laurent pour renflouer les caisses de l'UQAM ;)

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  • Habitués

Cherry :

Vous n'avez rien compris. L'idée derrière l'accord n'est pas de soutenir le fait francophone at large, mais d'abord et avant tout de soutenir les universités francophones. Les universités sont financées par tête de pipe. Si un grand nombre de Français vont à McGill ou Concordia, c'est de l'argent en moins pour les universités francophones, donc des services en moins, des jobs en moins, et ultimement, une qualité moindre. C'est ça l'effet pervers, c'est là où il y a un problème: en voulant aider nos universités à rester dynamiques tant au niveau du nombre d'étudiants qu'en favorisant les échanges culturels France-Québec, on se retrouve à aider les universités anglophones qui sont déjà surfinancées au pro rata de la population. L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC, qui sont nombreux ici.
+1

L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC,

Parce que effectivement comme je le dis souvent, dans notre grande naiveté on assumait que les Francais de France serait de notre bord !

jimmy

Modifié par jimmy
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  • Habitués
Parce que effectivement comme je le dis souvent, dans notre grande naiveté on assumait que les Francais de France serait de notre bord !

jimmy

C'est drôle j'ai déjà entendu des francos hors Québec se dire exactement la même chose à propos du Québec! :whistlingb:

La journée où on comptera sur NOUS-MÊME avant de compter sur les autres, ça devrait déjà aller un peu mieux dans la cabane!

Je comprends la grogne, je trouve qu'elle commence à être légitime dans la mesure où c'est un accord, mais bon faut pas non plus capoter! Comme s'il n'y avait pas des Québécois pure laine qui étudiaient en anglais... auraient-ils donc plus de droits que les français bénéficiant d'un accord qui eux devraient obligatoirement aller dans les univ francos???

Il faudrait p-ê à ce moment-là rendre nos univ francos plus attrayantes (genre l'UQAM ces temps-ci en aurait bien besoin) ....

Modifié par Dariane
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  • Habitués

Ca vous efleure pas l'esprit que des gens souhaityent progresser en anglais dans un environement francophone....

vous trouvez pas bizarre que peu importe le média, on retrouve le même seul et unique témoignage pour alimenter cette puérile crise d'acné identitaire!!!!!! Quelle est la conséquence du fait que certains vont en université anglo.... AUCUNE!!!!! le coût est le même que si il choisi comme les 5000 autres une université franco.... Va t'il pourrir les franco ?! non il va juste avoir un meilleur niveau d'anglais.... Par contre il va aller se saouler à saint denis, il va avoir pour toujours un lien avec le québec qui lui a offert une opportunité d'étude unique!!!!

Est ce tant surprenant que 16% (1000 pour 6000 )des étudiants de l'échange choisissent d'aller dans les université anglophone du québec..... Non car finalement on reste dans des proportions similaires entre offre et demande....

Voyons les fleursdelysés c,est vraiment le super méga risque....

Allez moi je propose une idée.... on invente une usine à Robots immigrants, et vous les paramétrez pour être le parfait immigrant.... je suis sûr que même arrivé là vous trouverez moyens de ne pas être satisfaits....

Et puis sinon y a aussi le mur, le peloton d'execution pour tout ceux qui ne suivent pas la ligne du polit bureau!!!! C,est vrai après tout.... autant refuser ces étudiants... puis finalement tout les étudiants... c,est que des cons qui boivent de la bière fument des pétards et glandent... ca coute cher.... Non mais franchement.... vous vous rendez compte de la débilité de ce débat!!!! Des étudiants français choisissent de fgaire au Canada un truc qu'il ne peuvent pas faire ailleurs.... Améliorer leur anglais dans des université renommées tout en vivant en Français dans une ville génialissime, avec des québécois super sympas :) Puis on fait quoi de ceux qui vont à l'UQAM ?! on leur interdit les cours d'anglais?!

Atterrissez, car pour que ces étudiants aient des bourses d'études (pour financer leur année au québéc) ils faut qu'ils aient un projet personnel solide.... Et pour ce faire vaut mieux dire autre chose que : " je veux aller étudier là ou ça fera plaisir à une bande de journaliste en manque de bashing!!!!!"

ENFIN, le problème soulevé par les médias n'est pas un problème financier, mais le risque au fait français au Québéc..... Et je suis désolé mais personne d,entre vous ne trouve une argumentation expliquant ou est le risque pour le fait français au Québéc en faisant venir des étudiants français!!!!!

Amicalement

Modifié par franckgb
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  • Habitués
Vous n'avez rien compris. L'idée derrière l'accord n'est pas de soutenir le fait francophone at large, mais d'abord et avant tout de soutenir les universités francophones. Les universités sont financées par tête de pipe. Si un grand nombre de Français vont à McGill ou Concordia, c'est de l'argent en moins pour les universités francophones, donc des services en moins, des jobs en moins, et ultimement, une qualité moindre. C'est ça l'effet pervers, c'est là où il y a un problème: en voulant aider nos universités à rester dynamiques tant au niveau du nombre d'étudiants qu'en favorisant les échanges culturels France-Québec, on se retrouve à aider les universités anglophones qui sont déjà surfinancées au pro rata de la population. L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC, qui sont nombreux ici.

ah, c'est nouveau ca,

et ca sort d'ou ?

aurais tu par hasard le texte originale de l'accord ?

ou tout du moins un copie sur le net quelque part ?

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  • Habitués
Cherry :
Vous n'avez rien compris. L'idée derrière l'accord n'est pas de soutenir le fait francophone at large, mais d'abord et avant tout de soutenir les universités francophones. Les universités sont financées par tête de pipe. Si un grand nombre de Français vont à McGill ou Concordia, c'est de l'argent en moins pour les universités francophones, donc des services en moins, des jobs en moins, et ultimement, une qualité moindre. C'est ça l'effet pervers, c'est là où il y a un problème: en voulant aider nos universités à rester dynamiques tant au niveau du nombre d'étudiants qu'en favorisant les échanges culturels France-Québec, on se retrouve à aider les universités anglophones qui sont déjà surfinancées au pro rata de la population. L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC, qui sont nombreux ici.
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L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC,
Parce que effectivement comme je le dis souvent, dans notre grande naiveté on assumait que les Francais de France serait de notre bord !

jimmy

je suis souvent d'accord avec toi jimmy,

mais des fois comme ce coup-ci,

tu te decredibilise toi meme...

il y a tellement pas de rapport entre etre de votre bord ou pas dans ce cas la.

tu devrais meme etre content, des francais qui vienne vivre en francais au quebec...

ah bein oui il font leur etudes en anglais... quel traitre...

pis les immigrant francais, ont-ils le droit de travailler a un endroit ou on parle pricipalement anglais ?,

ou ils doivent absolument bosser en francais ?

doivent-ils bosser absolument pour une compagnie quebecoise ? ou tu tolere qu'ils bossent pour une boite d'une autre province ?

ou pire encore d'un autre pays ?

enfin je sais que je suis un traitre,

je bosse pour une boite US au quebec...

et j'arrete pas de communiquer avec eux en anglais... :blushing:

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Vous n'avez rien compris. L'idée derrière l'accord n'est pas de soutenir le fait francophone at large, mais d'abord et avant tout de soutenir les universités francophones. Les universités sont financées par tête de pipe. Si un grand nombre de Français vont à McGill ou Concordia, c'est de l'argent en moins pour les universités francophones, donc des services en moins, des jobs en moins, et ultimement, une qualité moindre. C'est ça l'effet pervers, c'est là où il y a un problème: en voulant aider nos universités à rester dynamiques tant au niveau du nombre d'étudiants qu'en favorisant les échanges culturels France-Québec, on se retrouve à aider les universités anglophones qui sont déjà surfinancées au pro rata de la population. L'accord a été fait car on partait du principe que les Français étudieraient nécessairement dans une université francophone, contrairement aux Américains ou aux Canadiens anglais du ROC, qui sont nombreux ici.

Mouais, mettons.

Mais quoiqu'il en soit, et là je rejoins franckgb, ce qui est vraiment tannant (pour rester poli) avec les médias québécois, c'est le traitement de l'information sans aucune rigueur journalistique et avec en général des conclusions à l'emporte-pièce, où les Québécois tiennent toujours le rôle de la victime et les immigrants celui du bourreau.

Et évidemment, ici, en toile de fond, c'est encore la faute des méchants Français qui ne comprennent pas le combat identitaire et linguistique, et bla bla bla. Un seul mot me vient à l'esprit : Marre !

Il n'y a rien dans le reportage, ni dans l'article, qui mentionne explicitement les universités québécoises francophones. Et puis quand bien même, les immigrants français sont de loin les immigrants européens qui vont le plus étudier dans les universités québécoises francophones (j'en sais quelque chose pour moi-même terminer une maîtrise, il y a tellement de Français que certains Québécois parlent "d'invasion").

De plus, comme ça a été souligné, l'anglais est souvent une nécessité pour intégrer le marché du travail québécois.

Payer 10000$ piastres par session comme les autres étudiants internationaux ? Non merci, à ce tarif j'irai voir un peu plus à l'ouest ou au sud.

A ce petit jeu-là, à force de taper sur tout le monde, et surtout sur leurs derniers alliés "naturels", les Québécois risquent de se retrouver vraiment seuls...Faudra pas venir se plaindre après.

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  • Habitués
A ce petit jeu-là, à force de taper sur tout le monde, et surtout sur leurs derniers alliés "naturels", les Québécois risquent de se retrouver vraiment seuls...Faudra pas venir se plaindre après.

Pas mieux.

Et après, on dit que ce sont les Français qui pleurnichent et râlent sans cesse, mouais... :biohazar:

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  • Habitués
Et après, on dit que ce sont les Français qui pleurnichent et râlent sans cesse, mouais

hey, la pomme ne tombe jamais loin de l'arbre <_<

jimmy

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  • Habitués

Personne dans ce reportage na fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « dégo froissé » des Québécois.

Look whos talking :chechemeu:

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  • Habitués
Personne dans ce reportage n'a fait de France-bashing à ce que je sache. Alors pourquoi vous sentez-vous si offusqués au point de faire du Québec-bashing comme certains semblent vouloir le faire ici?

Et ensuite on parles « d'égo froissé » des Québécois.

Look who's talking :chechemeu:

Pris indépendamment peut-être, oui. Mais ce reportage est une suite de tous les autres: sans aller loin, on commence par les musulmans, soi-disant demandeurs d'accomodements. Puis les juifs qui nous font manger kasher. Puis les allophones-qui-refusent-de-parler-français. Puis la semaine dernière, les Irlandais. Aujourd,hui les Français. C'est ce "trop" dont on parle au fond. À croire qu'un journaliste se réveille le matin en se disant: "à qui vais-je trouver la petite bête, aujourd'hui?"

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