Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 (modifié) Hdelmondo je ne sais pas ce que les gens dirons si mon texte est publié un jour ... ce texte est protégé par un copywright d'ailleurs.Mais me basant sur des faits véridiques je ne vois pas comment on pourrait me taxer de racisme. La vérité est la vérité ... même si elle n'est pas jolie ... même si elle n'est pas proprette tout le temps. Modifié 1 janvier 2008 par Lilideslacs Citer
Habitués Neo-quebecois V.08 Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 C'est palpitant comme histoire et aussi réaliste. Pathétique et prévisible....malheureusement Dès qu'il a parlé d'aller au Maroc pour la première fois depuis son immigration, je savais d'ore et déjà qu'il y marierait une fille du bled...Oh, combien d'immigrants j'ai connu qui ont fait de même...Pour qui les québécoise sont bonnes à assouvir leur bas instincts mais surtout pas pour devenir leur épouse légitime... Pas assez bien pour être présenté aux parents (sauf bien sûr dans les cas de parainnages) ou dans ces moments là, les parents acceptent bien sûr puisque cette dernière va permettre à leur merveilleux fiston de pouvoir aller vivre au Canada...Mais dans la vrai réalité, quand il s'agit de commencer à faire sa VRAIE vie, faire des enfants etc. oups, la québécoise n'est plus utile...bref, pour beaucoup d'immigrant, ''chasser le naturel'' c'est à dire, courir après tout ce qui bouge avec les québécoises, ''et il revient au galop'' c'est à dire, se caser avec une fille du peuple qui fera l'honneur de la famille...y'a pas que ca...(.prenons mon cas puisque c celui que je crois maitriser le mieux...)...je pense que c pas facile la vie avec une canadienne ou quebecoises.....moi c pas la religion qui me derange mais la facon de vivre....trop de che pas quoi :maxpayne: ...je ne saurais meme pas le decrire ,j'arrive pas a trouver les mots justes ...je vais dire un truc mais ne me tomber pas dessus amis quebecoise et quebecoises....une phrase qui resume le tout:les filles( quelle soeint mghrebine, europenne surtout du sud..ou feuj) sont trop exigeantes alors que les quebeocise sont chiantes....voila les deux defauts de chacune...rayan: honntemnt j'ai beaucoup aime cette histopire de lili je suis pas un grand lecteur...pour dire les livres que je lisais sont ceux qu on nous obligeais a lire au lycee notemment pour passer le bac...lire les confessions de rousseau faut vraiment etre obliger ...par contre cette histoire me touche ....non pas que je pense comme lui mais c des trucs que l'on vit.... Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 33Le retour à la maison se passa très bien. Ma mère veillait au grain et aidait Sara à devenir une maman en lui montrant tout ce quil fallait faire pour prendre soin dun bébé.Sara retrouva bien vite sa taille davant et elle semblait avoir un meilleur moral depuis que ma mère était là.Un soir, ma mère me prit à part et me demanda ce qui se passait au juste. Elle avait remarqué que je ne recherchais pas lintimité avec ma femme, au contraire ! Dès quelle me disait quelle allait sortir avec la petite pour sa promenade quotidienne, je me dépêchais de les accompagner laissant ainsi Sara seule à la maison.Je ne voulus pas inquiéter ma mère avec nos problèmes de couple et je lui promis que tout rentrerait bientôt dans lordre. Que je voulais juste être prudent et attendre quelle soit complètement remise de laccouchement !Un jour que nous étions ma mère, Latifa et moi au centre commercial de notre quartier, nous croisâmes Emmanuelle venue faire des courses.Jétais ravi de pouvoir présenter ma mère et ma fille à Emmanuelle. Celle-ci eut les larmes aux yeux lorsque je lui mis Latifa dans les bras. Il fallait voir le tableau. Une petite basanée toute dodue dans les bras de cette sirène aux cheveux dor. Les gens se retournaient sur notre passage avec un sourire aux lèvres.Emmanuelle tomba immédiatement sous le charme de Latifa surtout que cette dernière sétait mise à lui faire de grands sourires à notre grande surprise à ma mère et moi ! Quand Emmanuelle me tendit Latifa, celle-ci se mit à pleurer de désespoir et il fallut à ma mère près de quinze minutes pour la consoler.En route vers la maison ma mère me questionna sur Emmanuelle et je répondis vaguement à ces questions.Une fois rentrés, ma mère ne parla pas de cette rencontre à Sara. Avait-elle pressentit quelques chose ? Je ne saurais le dire. Mais depuis ce jour ma mère me regarda toujours avec un air particulier. Il était évident quelle retenait les questions qui lui venaient aux lèvres. Puis vint le moment du départ. Mon père sennuyait trop. Il faut dire que ma mère était ici depuis plusieurs mois déjà. De plus ma mère trouvait lhiver difficile. Alors un soir de décembre elle prit le chemin du retour. Jétais triste de la voir partir mais cest la vie.A mon retour de laéroport, je me rendis dans la chambre de Latifa qui dormait à poings fermés. Je massurai que le moniteur de la petite radio de surveillance était ouvert dans sa chambre et dans la notre avant daller rejoindre ma femme endormit.A suivre Citer
Invité Posté(e) 1 janvier 2008 Posté(e) 1 janvier 2008 Hdelmondo je ne sais pas ce que les gens dirons si mon texte est publié un jour ... ce texte est protégé par un copywright d'ailleurs.Mais me basant sur des faits véridiques je ne vois pas comment on pourrait me taxer de racisme. La vérité est la vérité ... même si elle n'est pas jolie ... même si elle n'est pas proprette tout le temps.Chère Lili tu sembles oublier une chose extrêmement importante, nous vivons dans un régime de rectitude politique. Tant que le régime ne va pas s'écrouler il est hasardeux de sortir des sentiers de la pensée unique et du relativisme culturel.Au Québec, autrefois nous avions léglise catholique pour nous dire comment penser, aujourdhui tu verras quand le rapport de Con mission BT sera déposé, ils nous diront comment nous devons être raisonnable. Citer
Habitués brelle Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 C'est palpitant comme histoire et aussi réaliste. Pathétique et prévisible....malheureusement Dès qu'il a parlé d'aller au Maroc pour la première fois depuis son immigration, je savais d'ore et déjà qu'il y marierait une fille du bled...Oh, combien d'immigrants j'ai connu qui ont fait de même...Pour qui les québécoise sont bonnes à assouvir leur bas instincts mais surtout pas pour devenir leur épouse légitime... Pas assez bien pour être présenté aux parents (sauf bien sûr dans les cas de parainnages) ou dans ces moments là, les parents acceptent bien sûr puisque cette dernière va permettre à leur merveilleux fiston de pouvoir aller vivre au Canada...Mais dans la vrai réalité, quand il s'agit de commencer à faire sa VRAIE vie, faire des enfants etc. oups, la québécoise n'est plus utile...bref, pour beaucoup d'immigrant, ''chasser le naturel'' c'est à dire, courir après tout ce qui bouge avec les québécoises, ''et il revient au galop'' c'est à dire, se caser avec une fille du peuple qui fera l'honneur de la famille...Ce qui est pathétique c'est de voir ces pauvres Québécoises, négligées des Québécois parce que trop moches, trop grosses ou trop vieilles, s'amourracher éperdument des gars du bled qui eux les manipulent à fond, sans gêne aucune, dans le seul but de traverser la grand bleue.Combien de ces couples-internet sont encore ensemble après 3 ans? Un sur 10? Un sur 20? Un sur 30?-------Ton matériel pourrait servir de base à une série télévisée. A l'heure des accommodements raisonnables, je suis sûr que ça prendrait Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 34Latifa devait navoir quun an lorsque Sara mannonça quelle avait lintention de retourner sur le marchée du travail.Bien sur jétais contre cette idée. Pas question de faire garder ma fille par des étrangers !Sara replongea à nouveau dans son mutisme et ses bouderies habituelles tant et si bien que la vie de la maison redevint rapidement irrespirable.Pour quelquun qui comme moi aimait le calme et la paix jétais servi. Quand ce nétait pas des crises de larmes cétait un boycott des taches ménagères et de la cuisine sans parler du nombre de fois ou javais retrouvé Latifa dans son berceau la couche malpropre !Je rentrais tôt, pour moccuper de la petite mais sitôt quelle était endormit, je ressortais pour aller respirer un grand bol dair voulant éviter ainsi de me retrouver en face à face à une Sara de plus en plus morose.Javais déjà suffisamment de soucis comme ça. Au bureau il y avait eu des suppressions de postes et jétais un peu inquiet quant à mon avenir dans cette société. Je ne voyais plus Emmanuelle depuis quelques semaines, elle avait coupé tous les ponts lorsque javais répondu négativement à sa demande de trancher enfin entre ma femme et elle.Jaimais Emmanuelle cest vrai mais pas au point de mettre en péril mon mariage et risquer lopprobre de ma famille. Et puis, il y avait Latifa. Il me serait impossible de vivre sans elle !Bref, je vivais une période de stress intense et voilà que Sara en rajoutait !Au bout de 2 mois de ce régime jacceptai quelle retourne travailler mais uniquement si elle trouvait une gardienne denfant qui soit à ma convenance.Quelques jours plus tard elle me présenta Fatima, Marocaine de 22 ans qui vivait au Québec depuis peu. Celle-ci vivait avec ses parents et son frère Mustapha dans un appartement situé non loin de notre maison.Fatima me fit rapidement bonne impression. Il se dégageait delle une confiance et un calme incroyable. Latifa laima tout de suite si lon se fie aux risettes quelle lui fit dès quelle la vit.Pour plus de commodités, Fatima viendrait garder la petite chez nous. Cela éviterait de trimbaler les jouets, couches, vêtements etc.Sara trouva rapidement un emploi dans un dépanneur situé dans un autre quartier que le nôtre mais sorganisa avec une collègue pour le « voyagement ».Dès les premiers jours jétablis une nouvelle routine et établis mon horaire de travail de façon à venir déjeuner à la maison ce qui me permettait de voir davantage la petite mais aussi de massurer que tout allait bien.Je navais que des éloges à faire sur Fatima qui non seulement soccupait de la petite de façon impeccable mais en plus trouvait le temps de soccuper de lentretien de lappartement et même, parfois, de préparer le repas du soir.Quant à Sara elle était épanouie comme jamais mais me repoussait de plus en plus fréquemment prétextant la fatigue ou une migraine.Javoue que labstinence ne mallait pas très bien. Et la masturbation encore bien moins !Surtout que mes fantasmes avaient de plus en plus le visage et le corps de Fatima !A suivre Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Hdelmondo ... j'ai jamais aimé le "politically correct" Je suis plutôt un mélange de Mère Térésa et de Robin des bois moi Brelle ... comme je l'ai écris ... l'homme propose ... la femme dispose.Quand tu dis que les québécoises se font avoir par des arnaqueurs ... je suis d'accord avec toi ... c'est moche ... mais la québécoise n'est pas non plus une colombe blanche sans expérience ... depuis le temps qu'ici et ailleurs nous entendons parler d'histoires de parrainages qui ont mal tournées.Oui je sais ... tout le monde à soif de bonheur ...on veut tellement y croire ... certaines s'accrochent à la pensée magique en débit du bon sens ... des avertissements de leurs proches ... des signes ... etc.C'est bien dommage ! Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 35Les semaines passèrent. Je mattachais de plus en plus à Fatima. La douce et tendre Fatima. La souriante Fatima. La toujours enjouée Fatima.Bien sur, je prenais garde de ne rien montrer de mes sentiments. Non mais ! Quest-ce que cette toute jeune fille pourrait bien faire dun vieux comme moi !Le temps passa. Un soir, ma femme, qui jusqu'alors se refusait sous divers prétexte, me prépara tout un numéro de séduction.Repas fin, chandelle, robe en soie, parfum etc.Et pendant quelques semaines elle se montra passionnée et chaleureuse comme jamais.Je nallais pas me plaindre de ce revirement de situation même si cela mintriguait.Un matin, en rentrant dans la salle de bain je remarquai la boite danovulants laissé par ma femme sur le bord du comptoir.En y regardant de plus près je constatai que cette boite datait dil y a 2 mois !!Serait-il possible que Sara est cessée de les prendre sans mavertir ? Sans me consulter ?Nous avions pourtant convenu dattendre au moins 2 ou 3 ans avant davoir un autre enfant !Je quittai pour le bureau bouleversé de ma découverte et bien décidé davoir une franche conversation avec Sara dès le soir même.Je nalla pas manger à la maison sur lheure du déjeuner et jappelai Fatima pour laviser. Je crus sentir, dans lintonation de sa voix, un certain désappointement mais javais en tête des choses trop grave pour my attarder vraiment.Le soir venu jeus une discussion avec Sara qui mavoua candidement queffectivement elle avait cessé la pilule qui la rendait malade et qui était responsable en partie de sa baisse de libido.Jétais furieux !Elle aurait du men parler et nous aurions pu obtenir pour une autre méthode contraceptive !De toute façon il était trop tard, cétait fait et il fallait espérer que cela naurait pas de suite désastreuse.A suivre Citer
Habitués Neo-quebecois V.08 Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 CJ’avoue que l’abstinence ne m’allait pas très bien. Et la masturbation encore bien moins !Surtout que mes fantasmes avaient de plus en plus le visage et le corps de Fatima !A suivrelol excellent Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 36Quelques semaines plus tard Sara mapprit quelle était de nouveau enceinte.De toute évidence elle était ravie de cette nouvelle ce qui nétait pas mon cas. Au boulot la situation nétait pas meilleure. Et avec cette nouvelle bouche à nourrir qui sannonçait jétais encore plus stressé face à lavenir. Je navais pas eu daugmentation de salaire depuis quelques années due à la situation économique de lentreprise et je mescomptais chanceux davoir encore un emploi avec toutes les coupures de postes quil y avait eu cette dernière année. Je me mis donc en quête dun nouvel emploi plus rémunérateur.Sara continua à travailler malgré une grossesse pénible. Bien sur cela lui donna dautres motifs pour me refuser. De la fatigue aux migraines voilà que sajoutait une longue liste de malaises féminins liés à la grossesse.De toute façon, plus son ventre grossissait moins javais envie delle. Sans parler de cette colère sourde que je contenais à lidée quelle mavait piégé pour faire cet enfant sans mon consentement.Par bonheur, Latifa me comblait à tout niveau. Elle était tout sourire. Un sourire montrant déjà 3 petites dents toutes mignonnes.Fatima soccupait delle avec grand soin. Je la trouvais toujours proprette avec une bonne odeur de lotion pour bébé. Un midi, Fatima me demanda ce quil adviendrait delle une fois que ma femme aurait accouché. Javoue que je ny avais pas du tout songé. Je dus admettre que force me serait de se séparer delle. Je doutais fort que ma femme retourne travailler avec deux enfants en bas âge à la maison !Fatima était triste mais promis de rester jusqu'à ce que ma femme accoucha. Cette fois Sara avait insisté pour que ce soit sa mère qui vienne laider pour les relevailles et je ne pouvais décemment refuser sans mattirer les foudres de toute la famille.Les semaines passèrent et je trouvai finalement un emploi dans une grande société. Cet emploi allait me donner un meilleur salaire mais aussi la chance de me perfectionner dans un domaine connexe au mien.Je voulus célébrer la chose avec ma femme mais celle-ci se montra plutôt tiède. « Tu es content, tant mieux! » Mais Fatima me félicita chaudement et fit même un gâteau pour célébrer la chose ce qui me toucha beaucoup.Est-ce cette attention qui déplu à ma femme ou le fait quelle sentit mon attirance de plus en plus forte pour Fatima voilà quelle mannonça tout de go quelle allait quitter son travail prétextant une fatigue accrue !Je dus renvoyer Fatima et cela me brisa le cur !Ce fut très pénible ! Dautant quelle comptait rester chez nous encore quelques mois.Deux jours plus tard, revenant dun rendez-vous avec son médecin Sara mapprit une grande nouvelle. Elle était enceinte de jumeaux ! A suivre Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 37Latifa eut beaucoup de mal à se faire à labsence de Fatima à qui elle sétait beaucoup attaché. Sa mère ne pouvait la prendre dans ses bras sans quelle ne se mette à pleurer de façon quasi hystérique.Un midi, je rentrai à la maison pour déjeuner, pour découvrir que Latifa était toute seule à la maison !Elle était là, dans son lit, pleurant à chaudes larmes, son pyjama souillé.Je la pris dans mes bras, lui donnai un bain, lui mit un pyjama tout propre, changeai les draps de son lit et réussis à lendormir en la berçant.Vingt minutes plus tard Sara rentra à la maison, surprise de me trouver là.En effet, depuis le départ de Fatima, je ne venais plus déjeuner à la maison.Jentrai dans une colère terrible. Comment avait-elle pu quitter la maison en laissant la petite toute seule ? Elle bredouilla quelle avait eu besoin de prendre lair, quelle en avait marre dêtre constamment enfermé.Ma rage était-elle que je perdis tout contrôle et je me mis à la secouer fortement. « Pourquoi ? » « Mais ou avait-elle la tête ? » « Quelle sorte de mère était-elle ? » Elle bredouilla que Latifa ne laimait pas. Quelle pleurait tout le temps ce qui lempêchait de se reposer ! Neut été des pleurs de Latifa, qui sétait réveillée en mentendant crier, jallais la frapper.Jenfonçai mon poing dans le mur y creusant un trou de la grosseur de mon poing et je sortis de la maison sans un regard en arrière.De retour au bureau je téléphonai à Fatima. Je lui expliquai que ma femme était très fatiguée et que je souhaitais quelle soccupe de la petite jusqu'à larrivée de ma belle-mère prévue dans 4 mois.Mais, pour permettre à ma femme de se reposer, serait-il possible que je dépose Latifa chez elle le matin pour la reprendre le soir à mon retour du travail ?Fatima était ravie. Elle navait pas trouvé dautre emploi et de plus elle sétait beaucoup attaché à Latifa. Comme ses parents travaillaient, elle était seule à la maison et elle serait ravie d'avoir Latifa avec elle.Le soir, à mon retour au travail, javisai Sara de ma décision. Elle voulut protester mais mon regard suffit à la faire taire.Ce soir là je dormis dans la chambre damis. A suivre Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 (modifié) Anecdote: Je revois encore le visage de cette femme qui m'a raconté la scène décrite plus haut.Elle n'a jamais su ce qui l'avait poussée à quitter la maison en laissant son bébé dans son lit ce matin là, si ce n'est qu'elle s'est sentit étouffer.Cette femme vivait dans une maison isolée sur la rive-sud de montréal. Sans famille, ni amies.Son mari avait renvoyé la dame du CLSC, venue faire une visite de contrôle après la naissance du bébé, car il n'aimait pas avoir des étrangers chez lui.Cela explique peut-être cet instant d'égarement qui n'eut, Dieu merci, aucune conséquence fâcheuse. Modifié 1 janvier 2008 par Lilideslacs Citer
Habitués Neo-quebecois V.08 Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 un effort lili encore 8 chapitres.... Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 38Les semaines passèrent. Je réintégrai le lit conjugal respectant ainsi les préceptes de notre religion. Je mefforçai de lui pardonner mais javoue que je ny arrivai pas.Il y avait en moi une colère sourde que je narrivai pas à chasser.Latifa était ravie davoir retrouvé sa nounou. Elle souriait et gazouillait tout le temps et avait même commencé à dire des mots en français et en arabe.Sara, cherchant à se faire pardonner sans doute, se montra attentive, presque doucereuse, mais je narrivai pas à me rapprocher delle malgré toute ma bonne volonté.Il y avait quelques chose de briser et je craignais que ce ne soit de façon irrévocable.Le soir, je sortais, histoire de satisfaire mes envies, avec des femmes de passage. Je me sentais à la fois coupable et amer mais je ne pouvais men empêcher. Jétais jeune, javais de grands besoins et je ne pouvais les satisfaire auprès de ma femme. Les mois passèrent. Ma belle-mère arriva au septième mois de grossesse de Sara. Celle-ci devait accoucher dune semaine à lautre aux dires du médecin. Fort heureusement Latifa aima tout de suite ma belle-mère qui le lui rendait bien. Tout comme ma mère, ma belle-mère était une femme vigoureuse et ordonnée. Elle ne mit pas longtemps à mettre la maison à sa main. Laccouchement se passa difficilement puisquil fallut pratiquer une césarienne, ce qui nétait pas rare dans les cas de grossesses multiples. Adem et Maryam virent le jour à quelques minutes dintervalles. Leurs têtes déjà recouvertes de cheveux noir jais. Ils étaient dune taille beaucoup plus petite que Latifa à la naissance et me semblait si frêle que jhésitais presque à les prendre de peur de leur faire du mal.Sara resta une semaine à lhôpital. Elle refusa dallaiter les enfants prétextant une grande fatigue.De retour à la maison ma belle-mère et moi nous partageâmes les tâches. Je moccupais du boire la nuit et elle des boires de jour de façon à permettre à Sara de se reposer le plus possible afin de bien récupérer de sa césarienne.Au bout de quelques semaines je remarquai que Sara ne sintéressait pas beaucoup aux jumeaux. Elle ne les prenait pratiquement jamais et ne recherchait pas leur présence. Un soir jen glissai un mot à ma belle-mère. Cette dernière avait elle aussi constaté a chose mais ne sinquiétait pas trop mettant le tout sur le dos de la fatigue.Adem et Maryam grossissaient à vue dil. Latifa avait commencé à faire ses premiers pas. Je lui achetai une marchette à roulettes. Il fallait voir avec quelle rapidité elle se déplaçait avec. Une vraie championne !Les jumeaux eurent bientôt 2 mois. Comme le temps passait vite ! Sara sétait rétablit complètement mais demeurait distante avec les enfants. A nouveau jeus une conversation avec ma belle-mère. Celle-ci mannonça quil était temps pour elle de partir. Une fois partie, selon elle, Sara reprendrait son rôle de maman et tout rentrerait dans lordre. Je nen étais pas convaincus mais les femmes savent des choses que les hommes ne savent pas et ma belle-mère était une femme dexpérience.Ma belle-mère nous quitta quelques semaines plus tard et comme elle me lavait dit, Sara sembla reprendre le contrôle sur elle-même et soccupa au mieux des enfants.Pour la soulager le plus possible jengageai une femme de ménage qui vint deux fois semaines soccuper de lentretien de la maison. Une amie denfance de Sara, mariée depuis un an avec un Canadien dorigine marocaine, arriva au Québec peu de temps après. Le couple emménagea près de chez nous. Je naimais pas Saïd. Je lui connaissais une réputation de coureur de jupon et de fauteur de troubles. Cest donc avec réticence, voire de linquiétude, que je permis à Sara de fréquenter la femme de ce dernier.Les premiers mois cette fréquentation sembla lui faire le plus grand bien. Sara avait perdu sa morosité des derniers mois et semblait avoir retrouvé son équilibre. Les enfants étaient en santé et heureux. Quoi demander de mieux ?Un soir, Sara invita le couple à un repas à la maison. Au milieu du repas, la conversation prit une direction qui me déplut. Saïd voulu savoir si la venue denfants avait changé beaucoup de choses dans notre couple. Je répondis vaguement à la question en mentionnant quil était normal que la venue denfant change un peu les choses puisque nous devions leur accorder beaucoup de temps etc. et voulu diriger la conversation vers un autre sujet lorsquil revint à la charge posant des questions un peu plus pointues. Jétais abasourdi ! Ce genre de questions était totalement déplacées. Voyant ma mine défaite, Saïd, Zhora, sa femme, et Sara se mirent à pouffer de rire. Selon eux, jétais vraiment trop coincé. Il ny avait pas de mal à discuter entre adultes de tout sujet etc.Je bouillais littéralement sur place !Le repas terminé je prétextai du travail à faire pour méclipser. Environ une heure plus tard jentendis la voiture de nos invités partir et je sortis de mon bureau encore furieux de ce qui sétait passé.Sara était à la cuisine en train de ranger des choses.Je lui demandai si elle trouvait normal de parler de notre vie privée avec des étrangers. Elle me dit que ce nétait pas des étrangers mais des amis et quelle navait rien vu de déplacé dans la question de Saïd.Elle poussa laudace jusqu'à me rire au visage en me disant que je me faisais une montagne de pas grand chose.Je restai quelques minutes sans dire un mot puis je lui dis qua compté de ce jour je ne voulais plus qu'elle fréquente ce couple.Sara se mit à rire. « Voyons, tu n'es pas sérieux !» « Ne fait pas le gamin ! » Jamais ma femme ne mavait parlé ainsi. Sans doute était-elle sous linfluence de ce couple de malotrus. Je réitérai mon ordre. Plus question quelle revoit Zhora ou Saïd !A suivre Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 39Bien entendu Sara accepta très mal mon injonction à ne plus parler ni revoir Zhora et Saïd. Les mois qui suivirent furent très pénibles. Sara se remit à nouveau à négliger les enfants. Elle ne préparait plus les repas et ne soccupait pas non plus de la maison. Jen avais plus que marre de ces enfantillages mais je nallais pas céder. Je demandai à Fatima de venir à la maison soccuper des enfants durant la journée. Bien évidemment cela mit Sara en colère et elle sen prenait régulièrement à la pauvre Fatima. Neut été son amour inconditionnel pour Latifa, je crois bien quelle aurait plié bagages sans demander son reste.Et puis, il arriva ce qui devait arriver. Fatima et moi devinrent amants. Javais pourtant lutté de toute mes forces contre cette attirance mettant le tout sur le compte de la privation et de labstinence mais quelques chose de plus fort que moi me fit franchir la ligne droite. Je me sentais à la fois honteux et heureux. Fatima était douce, gentille et dune telle fraîcheur ! Ça me changeait de ma mégère dépouse ! Sara continuait de bouder. Elle passait ces journées à lire, à regarder la télévision et à manger. Puis un jour, elle se mit à sortir seule. Elle quittait la maison dès larrivée de Fatima et ne rentrait quun peu avant mon retour.Quand Fatima ma parla, je ny portais guère attention au départ ! Après tout cela rendait les choses moins pénibles à Fatima qui avait ainsi plus de liberté dans la maison avec les enfants.Je ne savais pas alors que lépée de Dermocles me pendait au-dessus de la tête.A suivre Citer
Habitués boulama Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Encore!!!!!!!!!!!!!!!!Vas y Liliiiiiiiiiiiiiiiiiii Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 40Un jour je reçus un appel de Fatima au bureau.Ma femme venait de la chasser de la maison !Elle me dit quelle était très en colère et quelle avait peur pour les enfants.Je quittai le bureau précipitamment pour rentrer à la maison. Jy trouvai Sara assise calmement sur le divan du salon.Je lui demandai pourquoi elle avait chassé Fatima et elle me répondit quelle ne voulait plus dune étrangère dans la maison. Que cétait elle la maman des enfants et non pas fatima ! Je lui répliquai alors que si javais été dans lobligation de faire venir une « étrangère » comme elle le disait si bien cest parce quelle négligeait ces enfants et son foyer.Elle mannonça alors quelle avait lintention de partir au Maroc avec les enfants en vacance.Je lui dis que je trouvais les jumeaux trop petits pour voyager et que de plus, je la voyais mal prendre lavion toute seule avec trois enfants, elle qui avait de la difficulté à les amener au parc.Elle insista. Elle voulait aller montrer les enfants à son père. A ma mère etc.Je venais davoir un bonus au travail et nous avions suffisamment déconomies pour nous permettre ce voyage. De plus, avec Fatima ça devenait de plus en plus compliqué. Même si elle connaissait ma situation elle devenait de plus en plus exigeante et me demandait de divorcer pour lépouser ce que je me refusais à faire. En fait, javais toujours le secret espoir que Sara change et devienne une femme aussi admirable que sa mère et la mienne.Ce voyage au Maroc nous donnerait peut-être la chance de nous retrouver !Je dis alors à Sara que si je pouvais obtenir un mois de vacance nous irions au Maroc tous ensembles mais autrement, pas question quelle aille au Maroc, seule avec les 3 enfants !A suivre Citer
Habitués nakahi Posté(e) 1 janvier 2008 Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 ''Je naimais pas Saïd. Je lui connaissais une réputation de coureur de jupon et de fauteur de troubles. Cest donc avec réticence, voire de linquiétude, que je permis à Sara de fréquenter la femme de ce dernier.Tu parles, lui, c'est pas un coureur de jupons??? Oh non c'est vrai, lui il aime sa femme...il va juste chercher chez d'autres ce qu'il n'a pas avec elle.... C'est incroyable combien les défauts des autres sembles pires que les nôtres.... Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Chapitre 41Nous partîmes pour le Maroc en juillet. Lavion était bondé et le voyage fut un peu pénible surtout avec des enfants en bas âge sans parler des bagages ! Heureusement que Latifa se montra particulièrement sage. Ce que je pouvais laimer ma fille aînée !Mon frère Rachid nous attendait à laéroport. A ma demande il nous avait trouvé une villa ou nous pourrions demeurer pendant toutes les vacances.Cela navait pas été sans faire de la peine à ma mère ainsi qua la mère de Sara mais je préférais ne pas imposer la présence de 5 personnes à lune ou lautre famille et comme je voulais profiter de ce séjour pour me rapprocher de ma femme javais trouvé que cétait la meilleure solution.A la maison tout le monde nous attendait. Les jumeaux pleuraient de fatigue et de faim, seule Latifa demeurait stoïque recevant les baisers des uns et des autres sans mot dire.Il fallait la voir dire « salam alaïkoum » à gauche et à droite comme une grande !Une fois les embrassades terminées, commença la série de questions à nen plus finir sur la vie, là bas au Canada.Tout le monde me fit remarquer que javais prit du poids et mirent ça sur le compte des petits plats de ma femme. Celle-ci se contenta de sourire. Seule ma mère ne parla pas. Elle se contentait de me regarder fixement. Puis, avec ma belle-mère et les autres femmes présentent, elle se mit à la préparation du repas. Mais à chaque fois quelle passait dans la pièce ou je me trouvais avec les autres je pouvais sentir son regard sur moi.Après avoir bien mangé, la cuisine bien rangée, mon père décréta quil était temps pour eux de partir et de laisser les voyageurs se reposer.Tout le monde quitta la maison. Enfin, par petits groupes. Pour ne pas attirer le mauvais il. Une tradition de famille.Quand le dernier groupe sortit, je regardai Sara. Elle était épuisée et moi aussi. Et tout à coup, nous nous sommes mis à rire aux éclats ! Nous nétions plus capables de nous arrêter de rire.Tellement que cela réveilla Adem et Maryam ce qui nous fit rire encore plus. Ils nous fallut une bonne demi-heure pour réussir à les rendormir. Sitôt fait, nous allâmes dormir nous aussi. Contrairement à son habitude Sara vint se blottir dans mes bras. Juste avant de mendormir, je me mis à penser que peut-être tout nétait pas perdu.A suivre. Citer
Habitués Lilideslacs Posté(e) 1 janvier 2008 Auteur Habitués Posté(e) 1 janvier 2008 Nakahi tu as eu la même réaction que moi quand cet homme m'a dit ça !!!Je lui ai fais remarqué qu'il n'était pas un ange de vertue sa réponse a été édifiante.Il n'aurait jamais trompé sa femme si elle ne l'avait pas ainsi privé d'affection.Ce n'était donc pas pareil que ce "Saïd".Té cas ... Citer
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