Habitués chom Posté(e) 23 mai 2007 Habitués Posté(e) 23 mai 2007 Bonjour tout le monde;J'ai trouvé un article hier dans le Quotidien LIBERTE sur les USA, j'aimerais le partager avec vous tous, voici le lien :http://www.liberte-algerie.com/rub.php?idr...rtage%20:%20UsaIl y a de quoi avoir envie d'y allé aux usa :D Bonne lécture Citer
Habitués chom Posté(e) 23 mai 2007 Auteur Habitués Posté(e) 23 mai 2007 mmmmm, Le lien ne marche pas, voyons, je vais le copier :Reportage : UsaVoyage dans lAmérique de bushLa liberté , Dieu et le billet vertPar : Karim KebirPays mythique. The American way of Life, le rêve américain, autant dattributs sur un pays qui ne cesse de faire rêver des millions de personnes à travers le monde. Et parfois les partage. Quelle est la part de vérité de ce cliché ? de ce réel, de ce préjugé ? Loin de Bush, dHollywood et de lair country et blues, il y a une Amérique méconnue. Quelques images éparses du pays de la démesure.He George, read my lips, peace now ! He George, lis sur mes lèvres, la paix maintenant ! We are sacrificing a lot on a trop sacrifié. Face au célèbre bureau Ovale, à une cinquantaine de mètres environ, Conception Picciotto explique aux touristes dun jour qui la sollicitent, son idéal, son combat et les raisons de sa protest song, sa chanson engagée. Édentée, cheveux poivre et sel, haute comme deux pommes, la quarantaine consommée, cette petite dame dorigine hispanique le détail importe peu, répond-elle invariablement à ceux qui souhaitent connaître ses origines fait de la dénonciation de la guerre et de la lutte contre la course au nucléaire, son cheval de bataille. Sa raison de vivre. À la lisière du parc Lafayette, sous un abri de fortune, sous lil discret mais bienveillant de la police fédérale, en plein cur de Washington, celle que les médias désignent par Mme Picciotto, y a élu domicile ici depuis bientôt trente années. Son rêve à elle, bien que visiblement utopique ? Faire le forcing, en compagnie de quelques comparses, à la maison-Blanche, dont seul, semble-t-il, Ronald Reagan a daigné jusque-là la recevoir pour ramener à la maison les bidasses et arrêter les expéditions belliqueuses du pays de lOncle Sam. Il faut arrêter ces guerres ! La seule guerre qui mérite dêtre menée est celle de la paix, dit-elle à la myriade de touristes venus. Arrêter le temps sur un cliché devant ce qui se passe pour être le centre du pouvoir de la première puissance mondiale. Ni les nuits humides ni parfois sa solitude ne semblent len dissuader.Les écrits de presse et les photos qui lui sont consacrés, accrochés à un panneau adossé à ce qui lui fait office de gîte semblent lui apporter quelque bonheur. Elle en est fière et le montre aux visiteurs. Quant aux moyens de subsistance, des âmes généreuses et des associations sen chargent. Loin de là, en longeant la Connecticut Avenue, une gigantesque avenue qui traverse la ville, il nest pas rare de voir des pancartes frappées de slogans comme Bush go home (bush rentre à la maison), allusion à la guerre en Irak, accrochées aux fenêtres. Ces deux images susceptibles dêtre assimilées, sous dautres cieux, à de la trahison ou au manque de patriotisme, participent de ce que les américains ont de plus cher. De plus fort.De ce dont ils sont fiers, quils tentent de vendre à létranger : la liberté. Cette liberté qui se décline sous plusieurs formes. Même dans les plaques dimmatriculation des véhicules. Taxation without représentation (on paye la taxe mais on nest pas représenté), proclame celle des véhicules des résidents de la capitale fédérale. Fait cocasse, il est vrai, les habitants de Washington ne sont pas représentés à la chambre des représentants et au sénat ! Une ville qui nappartient à aucun État et à laquelle se réfère tous les États ! Notre société est fortement individualiste ! Dans les plaques minéralogiques, on remet en cause lautorité et on refuse quon nous marche dessus ! Il y a un deuxième autocollant quon trouve : laisse-moi faire ce que je veux, c'est-à-dire le choix, résume Robert Mcclure, professeur en sciences politiques, des affaires publiques et des droits de citoyens à Maxwell School, à Syracuse university (New York).Lincoln, Jefferson et les autresMais la forme la plus visible de la liberté et qui est perçue de lextérieur même des États-Unis reste sans doute celle de la presse. Véritable pouvoir de décision, la presse américaine, riche et diversifiée, jouit dune liberté à faire rougir bien des pays. À telle enseigne que parfois, les révélations, notamment sur les sujets inhérents à la sécurité, provoquent des polémiques. Tout comme dailleurs certains sujets dont on se doit de mesurer au préalable les conséquences sur les enfants, cette frange de la population qui est sacrée dans la société américaine. Quel est bien le secret de cette liberté des médias ? À lunisson, les responsables et les journalistes le répètent à satiété : la Constitution. Considérée presque comme une bible, attribut de lidentité, la Constitution américaine stipule dans son premier amendement que le Congrès ne peut adopter une loi qui contraigne la liberté de la presse (). On vous répétera aussi inlassablement cette formule non moins célèbre de Thomas Jefferson : Entre un gouvernement sans presse et une presse sans gouvernement, je préférerais la deuxième.Ou encore celle dAbraham Lincoln, père de labolition de lesclavage, dont le mémorial et la statue qui attirent des foules de touristes participent à perpétuer le mythe du héraut de la liberté : Informez le peuple et le pays ne sera que plus sûr ! Et ce nest sans doute pas fortuit que des monuments imposants, en guise de reconnaissance à leur grandeur, à leurs rôles et à leurs réalisations ont été érigés au Mall nom donné aux trois kilomètres et demi despaces verts qui séparent le Capitole du fleuve Potomac, où on y trouve de nombreux parcs, des monuments, la Maison-Blanche et plusieurs grands musées face à ce qui symbolise la démocratie américaine, le Capitole Hill, siège du Congrès et dont on a convenu quil doit rester comme lédifice le plus haut de Washington à lexception du mémorial dédié au premier président Georges Washington. Le rôle de la presse est de conforter les affligés et daffliger les confortables, soutient Joël Kaplan, ancien journaliste à Chicago Tribune et The Tennessian à Nashville, aujourdhui professeur en communication et spécialiste du journalisme dinvestigation à Syracuse.À propos de ce genre journalistique, très en vogue aux États-Unis depuis la fameuse affaire du Watergate au début des années 1970, révélée par le célèbre Bob Woodward, Joël Kaplan observe que linvestigation doit suivre la piste de largent ! Pouvoir et argent sont sources dinvestigation, décrète-t-il. Et les autorités, acquises à lidéal démocratique, mettent à la disposition des médias tous les documents officiels, hormis bien entendu ceux relatifs à la sécurité ou à lespionnage. Encore quici, le débat est toujours en cours ! Cependant, derrière cette image qui peut paraître idyllique se niche quelques inquiétudes de la corporation. Comme tous les médias à travers le monde, la presse américaine fait face à une concurrence féroce du Web. Bien plus, le recours abusif au sensationnel conjugué à quelques erreurs dappréciation, comme par exemple le soutien que lIrak disposait des ADM (arme de destruction massive) ont entamé son crédit. Depuis quelques années, la presse américaine a perdu de son crédit car, pour beaucoup, elle est moins crédible et moins professionnelle. Elle fait trop de sensationnel. Sur un autre registre, lapparition des blogueurs font quaujourdhui les citoyens sont devenus leurs propres fournisseurs dinformations, analyse Tom Rosentiel, critique des médias et directeur de projet pour lexcellence en journalisme. Et face à ce diagnostic et à ces difficultés, il prescrit une thérapie : Il faut une méthode scientifique, la notion dobjectivité est très utile aujourdhui. Le journalisme doit sancrer dans la vérité. À la question de savoir si toute la vérité est bonne à dire, il répond : Dire la vérité au public nest pas dangereux, cela participe à avoir une société ouverte. Quant à la presse, elle obtient plus de liberté quen exerçant son métier, tandis que le rôle du journaliste est dêtre observateur, ajoute-t-il. Le rôle de la presse est de faire preuve de scepticisme, et plus il y a la démocratie, plus il y a un journalisme fort, conclut-il.Autre caractéristique bien que ne concourant pas à ce reflux : hormis le New York Times, dont la tradition désormais établie est douvrir sur un sujet international, la guerre en Irak intéressant beaucoup dAméricains tout de même, rares sont les médias qui accordent trop dimportance aux événements internationaux. Société de spectacles par excellence, la tendance imposée, notamment par des impératifs économiques, est à la peoplisation.On sintéresse beaucoup plus à ce que fait Britney Spears quà ce qui pourrait se passer en Afrique, confie un journaliste au Post Standard à Syracuse. Et eu égard à limmensité du pays entouré par deux océans et à la profusion des titres, des radios et des télés, linformation de proximité reste la règle. Ce qui confine à une certaine ignorance de ce qui se passe chez le voisin. Ils nous arrive, par exemple, de ne pas connaître ce qui se passe dans lOhio. De cause à effet, ne vous étonnez pas si de passage devant un agent des douanes, il écarquille les yeux devant la vue dun passeport dun pays nord-africain. LAlgérie ? Honnêtement, je ne sais pas où ça se trouve. Et il nest pas le seul. Beaucoup dAméricains vous le diront, non sans quelque gêne, bien entendu. Nous sommes nuls en géographie ! Seuls quelques pays sont connus : il y a bien sûr lIrak mais aussi la Chine, le Japon, lInde ou encore la France et le Royaume-Uni. Il faut dire quavec lUnion européenne, par exemple, les relations nont connu une évolution notable quaprès la Seconde Guerre mondiale. Nous avons une tendance isolationniste, admet Charlotte Grimes, ancienne reporter (elle a couvert, comme on dit dans le jargon journalistique, notamment linvasion du Panama, la guerre du Golfe, le Liberia), et depuis 1996, professeur en journalisme à luniversité Princeton.Queen Creek ou la démocratie en coursMais lorsquon ne compte que sur soi, il y a forcément des forces sur lesquelles on sappuie : en Amérique, on croit beaucoup en Dieu. Et rien de plus édifiant que cette devise inscrite sur les billets de banque : In God We Trust (en Dieu, nous avons foi). Beaucoup de familles observent, en effet, la prière pendant les dîners tandis que les dimanches, les messes attirent du monde. Dans les hôtels, vous trouverez toujours une Bible sur votre table de nuit. Mais dans le système de valeurs américain où la liberté de culte est consacrée par le premier amendement et la tolérance est sacrée, même lexistence des sectes est tolérée. Tous se côtoient : les évangélistes, les catholiques, les protestants, les musulmans, les juifs, les hédonistes, les luthériens, les hippies Très tape à lil, peut être une forme de bigoterie pour certains, et contrairement à des pratiques en usage en Europe, il est rare de voir les couples se bécoter dans la rue. Et ce conservatisme, connu du reste mais sans doute exagéré certains États sont très en avance par rapport à lEurope sur certains sujets comme lavortement , saccompagne par une pratique démocratique dont bien des pays doivent sans doute sinspirer. À Queen Creek, dans le comté de Maricopa dans la banlieue de Phnix, capitale de lArizona, rien ne se fait sans le consentement de la population. Celle-ci est consultée sur tout. Dune vingtaine de milliers dhabitants, Queen Creek affiche un taux de croissance à deux chiffres : entre 12% et 14 %, selon un responsable de la municipalité. Élu sur la base dun programme et non sur lappartenance politique les maires ne doivent pas être politiques aux États-Unis mais peuvent avoir la sensibilité le chef de lexécutif ne fait que coordonner le travail du conseil. Cest au manager, sorte de P-DG de la municipalité, quéchoit le rôle du suivi des projets. Le manager rend des comptes au conseil de la municipalité régulièrement, laquelle décide de le reconduire ou de mettre fin à sa mission. Cette architecture institutionnelle permet déviter la corruption ! résume ce responsable. Fait incontestablement unique, sans pareil sous dautres latitudes, certains services sont sous-traités. Cest ainsi que la police, la collecte des ordures ou encore la distribution de leau sont assurées par des entreprises du comté que rémunère la municipalité.Et lorsquun projet est mis sur orbite, on organise un référendum comme, par exemple, pour la taxe foncière ou encore linstallation dune structure des pompiers en envoyant des bulletins de vote chez chaque résident, lequel est tenu de répondre dans un délai dun mois. Comme pour cultiver lentraide et la proximité, une journée appelée howdy doody neighbor days, destinée à permettre aux gens de se connaître, est organisée tandis que des prix de toutes sortes sont décernés à diverses catégories sociales pour encourager le bénévolat ou encore la réussite. Certaines commissions au niveau de la municipalité sont ouvertes aux jeunes pour donner leurs points de vue sur les projets et des photos du plan de la ville avec les conséquences sur laspect général ainsi que sur lenvironnement sont montrées avant lexécution de nimporte quel projet. Enfin, un site web et une chaîne de télévision locale se chargent de diffuser les offres demploi ou encore, de façon générale, les affaires intéressant la communauté. Seule ombre au tableau : la lenteur dans lexécution des projets en raison des consultations récurrentes de la population. Oui, la démocratie est lente, reconnaît le manager de Queen Creek. À Scottsdale, une autre ville périphérique de Phoenix, la maire, Mary Manross, résume en quelques mots la philosophie de la gestion dune cité américaine. Je suis démocrate, mais le maire ne doit pas afficher sa couleur politique. Nous sommes fiers mais cest lAmérique qui lemporte. Les lois fédérales lemportent sur les lois de lÉtat. Derrière son bureau flanqué du drapeau de lÉtat et de celui des États-Unis, un détail suscite la curiosité : deux portraits dindiens accrochés au mur. Cest mon père qui les a réalisés, dit-elle non sans quelque fierté, un rien de nostalgie lisible dans les yeux aussi. Son père est un artiste installé en Californie, un État limitrophe. Est-ce que vous êtes obligée daccrocher le portrait du président ? interroge, un tantinet curieux, un confrère. Réponse, un large sourire, de Mary : Aux États-Unis, on nest pas obligé daccrocher le portrait du président !Arizona, léden de la conquête de lOuest Historiquement lié à la conquête de lOuest, lArizona, qui veut dire petite source dans une langue indienne, incarne sans nul doute le génie de lAmérique. Dun pays semi-désertique où le soleil sévit pendant dix mois, les américains lont transformé en un pays, un éden, devrait-on sans doute dire, qui attire de plus en plus dimmigrants, dont lessentiel des contingents provient de lAmérique latine, mais aussi dinvestisseurs. Phoenix, la capitale, affiche une santé économique impressionnante : 1,5 million de travailleurs, soit plus que Denver dans le Colorado et deux fois plus que Las Vegas dans le Nevada (des États limitrophes) ; 40 000 diplômés duniversité et arrivée chaque année de 36 000 personnes âgées entre 25 et 40 ans ; presque 50% des habitants ont entre 18 et 54 ans ; 3,5% seulement de chômage ; un réseau autoroutier en plein essor ; un aéroport, le Phoenix sky harbor classé 12e des États-Unis et 17e dans le monde et qui enregistre 1 400 vols par jour ; présence de 200 sociétés étrangères sans compter la présence sur le territoire de géants de lindustrie comme Motorola ou encore de 468 compagnies de télécommunications et de 295 fournisseurs daccès à Internet. Notre atout essentiel cest la population jeune, le coût de la vie qui est raisonnable et bien entendu lespace, explique Michael Shelton, manager. Autre symbole de la prospérité mais aussi caractéristique de la mentalité américaine : la propriété privée. Autant à Washington, New York ou Phoenix, presque lessentiel de la population dispose de sa propre maison, jardin y compris. Et pour certains, on nhésite pas à planter un drapeau, un bien confus message de patriotisme mais aussi de liberté. Cette propension donne souvent aux villes des allures à nen plus finir. Melting pot à limage du pays de façon générale, lArizona regroupe toutes les races. Vous aurez dailleurs tout le loisir de le constater dans les transports en commun, dans les restaurants, les grandes surfaces Mais il y a aussi les autochtones : les Indiens que le cinéma, dont la ville symbole Los Angeles est à une heure de vol dici, a immortalisé. Confinés dans certaines réserves, les Indiens disposent de leur propre police et de leur propre gouvernement sur lequel le gouvernement de lÉtat fédéré nintervient pas. Mais les projets fédéraux comme le passage dune autoroute à travers le territoire dune réserve, à titre dexemple, font toujours lobjet de compromis entre le gouvernement de lÉtat et les responsables indiens. Pays limitrophe du Mexique, lArizona attire un nombre impressionnant de clandestins qui, souvent, se retrouvent en petits groupuscules attendant le passage de quelques patrons en quête de main-duvre bon marché. Il serait aujourdhui environ 12 millions à travers les États-Unis, selon le Shérif de Queen Creek.Si bien évidemment il est illégal dinterpeller quelquun dans la rue, étant considéré comme un profilage, explique ce chef de la police, il reste que laccès au travail et à la propriété dans une telle situation est extrêmement difficile, voire impossible. Il y a une loi qui stipule quil faut disposer de la nationalité américaine pour être certifié, explique Mme Carole Coles Henry, une Américaine dorigine africaine, directrice du département de légalité des chances, un organisme dont le rôle est dassurer lorientation et la sensibilisation en matière demploi et déducation, déliminer les disparités et de faire respecter la diversité. Pour organiser tout ce monde, voilà la recette quelle prodigue et qui donne visiblement des fruits étonnants. On organise un dialogue communautaire une fois par mois, nous travaillons étroitement avec la police pour améliorer les relations avec les citoyens et on a un programme de sensibilisation contre la violence contre les femmes et nous disposons des commissions dont lune est chargée des handicapés tout est aménagé pour les handicapés, dans les aéroports, les parcs et une commission qui enquête sur la mise en application des lois, soutient-elle. Autre mission : elle sassure que les entreprises, quelle que soit leur envergure, accèdent équitablement au marché et que celles-ci respectent légalité dans le recrutement des travailleurs indépendamment de la race. Surtout que la pauvreté touche certains segments de la société, notamment les gens de couleur et dont on voit quelques personnes faire la manche dans la rue. LArizona, cest aussi un grand pays du tourisme. Comme pour les chutes du Niagara près de Buffalo au nord-ouest de New York, le parc national du grand canyon, un fabuleux et impressionnant chef-duvre de la nature tracé par le fleuve Colorado, à 250 miles au nord de Phoenix où les âmes en peine peuvent y retrouver quelque paix intérieure et où près de 4 millions de touristes y affluent chaque année, vous renvoie à des rêveries du solitaire, à la méditation et à ce mythe de grandeur de lAmérique. Il y a aussi le château de Montezuma, dans la région de Cotton Wood Payson, une habitation de la tribu des Sinagua dans un escarpement dune montagne, ou enfin la région de Sédona, célèbre pour avoir été le théâtre de nombreux films du western dont certains ont été joués par John Wayne ou James Stewart. Au-delà, lAmérique reste-elle un mythe ? Certainement. Mao disait quil ny a pas de grand État mais de grand peuple. Et le peuple américain, descendant daventuriers, loin de cette image darrogance véhiculée par ladministration Bush qui lui colle à la peau, est très chaleureux. Et ce nest pas fortuit que Picciotto, qui sapprête à passer un autre été devant la Maison-Blanche, croit à son combatK. K. Citer
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