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Enseigner le français


Invité sabrinasurlenet

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Malheureusement, personne ne va pouvoir t'embaucher tant que tu n'auras pas obtenu le visa de résident permenant. Pas le droit de travailler au Canada avec un permis de touriste.

L'employeur dans le cas des écoles, c'est le gouvernement provincial/territorial, pas l'école elle-même.

Désolée de devoir te donner une réponse si peu agréable...

En plus, tu ne seras pas embauchée comme prof avec une titularisation tout de suite même avec le visa - il y en a beaucoup qui passent des années comme prof sur appel avant de se voir titularisés. Mais ils gagnent TRES bien leur vie et ils peuvent refuser des remplacements = ils choisissent quand ils veulent bosser, c'est un autre style de vie mais ô combien appréciable pour qui veut vivre comme ça.

Au Yukon par exemple, si tu as une diplôme universitaire et que tu t'es fait(e) connaître comme un(e) bon(ne) remplaçant(e), tu peux travailler tout au long de l'année scolaire, et c'est environ 27 $ de l'heure. Mon mari a dû insister TRES lourdement pour qu'ils ne l'appellent plus (parce qu'il doit d'abord finir notre cabane, hihihi) parce qu'il est bilingue, matheux, scientifique, 1 m 83 et une grosse voix... et les enfants de tous âges finissent par apprécier le bonhomme si sévère !

Bon courage !

Monika

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  • Habitués
Merci Monique :)

Si je comprends bien, je fais le visa, puis ensuite je prends mon sac à dos et mes diplômes...

Y a t-il des profs de français sur le forum qui pourraient m'indiquer les zones géographiques dans lesquelles il y a le plus de besoins et plus l'assurance d'être embauché?

En commençant les démarches de visa dès aujourd'hui, est il possible d'envisager de l'obtenir pour la prochaine rentrée?

Merci pour vos réponses :)

Concernant les delais d'obtention du visa, je doute que tu sois dans les temps pour la rentree de septembre (va faire un petit tour sur les statistiques du site, ca t'eclairera un peu sur les delais).

Je sais qu'ici, en Alberta, la demande de professeurs de Francais est constante et soutenue (va faire un tour sur le site http://www.cbe.ab.ca/, c'est le Board of Education de l'Alberta)

Une amie a nous vient de faire valider ses diplomes ici (elle est professeur diplomee au Nigeria), ca lui a pris un an en tout et pour tout. Je pense que tu devrais bien te renseigner sur ce sujet (j'avoue ne pas savoir du tout ce qu'il en est des equivalences, mais je sais que notre amie a eu besoin de s'armer de patience).

Bon courage pour la suite.

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  • Habitués

Bonjour,

Le Francais est en demande...cote anglophone! Si tu decides de demander un visa de resident permanent, les demarches sont tres longues, et il est impossible que tu l'aies pour la rentree prochaine.

Par ailleurs, la profession d'enseignant est une profession reglementee, donc si tu veux enseigner dans le systeme scolaire "classique", il faudra faire reconnaitre tes diplomes et ton experience. Meme dans l'enseignement prive, cela est de plus en plus demande.

Les seuls ne demandant "rien", ce sont les ecoles de langues. Mais les salaires sont moins interessants aussi.

Stephanie.

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  • 3 weeks later...
  • Habitués
Si je comprends bien, je fais le visa,

C'est déjà tout un programme.

T'es tu renseignée ? Eventuellement, passe par le Québec, obtiens ton CSQ (certificat de sélection du québec) puis demande le visa.

Pour demander directement le visa en question, on te demandera de démontrer de grosses réserves financières.

puis ensuite je prends mon sac à dos et mes diplômes...

+ certificats de travail si t'as eu de l'expérience (ils adorent)

Y a t-il des profs de français sur le forum qui pourraient m'indiquer les zones géographiques dans lesquelles il y a le plus de besoins et plus l'assurance d'être embauché?

De français, non, en tout cas pas moi.

Le plus de besoin, c'est soit dans des endroits reculés soit au contraire au centre des villes, là où peu de gens ont envie d'enseigner.

MAIS je souhaite porter ton attention par rapport à certaines exigences administratives.

Il y a des commissions scolaires, ici.

Il y a des "permis d'enseigner".

Au Québec (on peut imaginer qu'il y a là plus de profs de français que chez les anglophones), on t'invitera à refaire un cycle d'étude de plusieurs années.

Eventuellement une commission scolaire pourra, si bon lui semble, te délivrer un "permis de suppléance", valable sur son territoire.

Ailleurs qu'au Québec, une année académique suffit pour devenir enseignant. Par exemple à Ottawa. Les frais se chiffrent en milliers de dollars, sans compter le fait de vivre sans salaire.

Evite de penser qu'à force de faire des remplacements, tu deviendras titularisée.

Renseigne-toi auprès des commissions scolaires ... Très souvent, on t'expliquera que même pour faire des remplacements, il faut un brevet d'enseignement.

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  • Habitués
ils peuvent refuser des remplacements = ils choisissent quand ils veulent bosser

Euuh ... Est-ce que Kroston est toujours absent du forum ?

Parce que lui, me parlant de son expérience en colombie britannique, avait insisté sur la quasi obligation de faire tous les remplacements qui sont demandés, sans quoi le téléphone se met à sonner moins souvent, parce que 1°) on passe pour une espèce d'emmerdeur qui a osé refusé de se déplacer à tel ou tel endroit; 2°) la commission établit des priorités entre ceux qui sont "bien vus" et ceux qui le sont un peu moins.

Attention, donc.

L'effet "miroir aux alouettes" est parfois bien réel.

Autre truc à surveiller: si on te propose un bon salaire horaire ... Cotises-tu, ou non ?

Au Québec, pour un remplacement, on est bien payé mais on ne cotise à rien du tout. Retraite, maladie etc: à toi de gérer ça.

Modifié par dinoulet
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  • Habitués
Euuh ... Est-ce que Kroston est toujours absent du forum ?

Parce que lui, me parlant de son expérience en colombie britannique, avait insisté sur la quasi obligation de faire tous les remplacements qui sont demandés, sans quoi le téléphone se met à sonner moins souvent, parce que 1°) on passe pour une espèce d'emmerdeur qui a osé refusé de se déplacer à tel ou tel endroit; 2°) la commission établit des priorités entre ceux qui sont "bien vus" et ceux qui le sont un peu moins.

Attention, donc.

L'effet "miroir aux alouettes" est parfois bien réel.

Autre truc à surveiller: si on te propose un bon salaire horaire ... Cotises-tu, ou non ?

Au Québec, pour un remplacement, on est bien payé mais on ne cotise à rien du tout. Retraite, maladie etc: à toi de gérer ça.

Vivant en Colombie-Britannique, je confirme!! Pour cette province-la, et je pense que c'est le cas pour l'ensemble du pays, sans permis pas moyen d'exercer meme pour faire des remplacements. Meme dans les ecoles prives, c'est de plus en plus demande. Les seuls qui ne demandent pas de "certificat de la province" ce sont les ecoles de langues et autres instituts. Cela signifie bien souvent salaire moins interessant, aucune protection sociale et aucune garantie d'emploi.

Effectivement avec un statut de "vacataire", si tu veux bien gagner ta vie, ce n'est pas ton interet de refuser des remplacements d'une part, et ce n'est pas tres bien vu de le faire trop souvent non plus.

Comme le dit Dinoulet se mefier du "miroir aux alouettes". Oui l'enseignement est un metier en demande, et surtout le Francais cote anglophone, mais dans la realite ce n'est pas evident d'y acceder. Donc, bien se preparer et obtenir toutes les equivalences necessaires est essentiel.

Stephanie.

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  • Habitués
Bonjour à tous, je suis titulaire d'une maîtrise de lettres modernes et j'ai trois ans d'enseignement en tant que contractuelle. Je voudrais savoir si avec un visa touristique je peux venir prospecter directement au Canada et trouver un employeur pour faire les démarches d'obtention de visa. Je suis prête à travailler en zone isolée, en tout cas toutes celles qui sont les moins prisées par les enseignants en général.

Quelles sont mes chances??

Merci pour vos éclairages.

tu peux enseigner dans le privée en tant que contractuelle surtout du coté anglophone. Faire du tutorat et/ou postuler dans les ecoles montessori toujours coté anglophone. Une fois ta rp en poche, fais une année de pedagogie à l'université d'ottawa ou vancouver puis tu pourras enseigner dans le publique.

Bonne chance!!!

Comme je me destine au metier d'enseignante, si t veux des renseignements plus precis, tu peux m'ecrire en mp et je te donnerai mon email.

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  • Habitués
Une fois ta rp en poche, fais une année de pedagogie à l'université d'ottawa ou vancouver puis tu pourras enseigner dans le publique.

Bonne chance!!!

Comme je me destine au metier d'enseignante, si t veux des renseignements plus precis, tu peux m'ecrire en mp et je te donnerai mon email.

Des renseignements plus précis en intéressent plus d'un, notamment en ce qui concerne les FRAIS.

- Scolarité: déjà de l'ordre de 4.000 dollars

- Logement, à Ottawa à Vancouver, pendant une année académique.

- Alimentation, transport etc: à combien estimer cela ? Très difficile.

- Un crédit est-il possible, et de la part de quelles autorités ?

Concernant "une fois ta rp en poche": au niveau paperasses, ça ne se joue pas si facilement !

1°) Il faut, en principe, s'être inscrit préalablement. Je ne suis pas sûr qu'il soit encore temps à présent, pour l'année académique 2007-2008.

2°) Pour s'inscrire il faut avoir probablement avoir déjà obtenu un numéro d'assurance sociale (NAS) et peut-être aussi une assurance-maladie et je ne sais trop encore quel document.

Se renseigner ! Et compter facilement quelques jours d'attente pour ces paperasses.

A inclure dans les frais ...

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  • Habitués
Une fois ta rp en poche, fais une année de pedagogie à l'université d'ottawa ou vancouver puis tu pourras enseigner dans le publique.

Bonne chance!!!

Comme je me destine au metier d'enseignante, si t veux des renseignements plus precis, tu peux m'ecrire en mp et je te donnerai mon email.

Des renseignements plus précis en intéressent plus d'un, notamment en ce qui concerne les FRAIS.

- Scolarité: déjà de l'ordre de 4.000 dollars

- Logement, à Ottawa à Vancouver, pendant une année académique.

- Alimentation, transport etc: à combien estimer cela ? Très difficile.

- Un crédit est-il possible, et de la part de quelles autorités ?

Concernant "une fois ta rp en poche": au niveau paperasses, ça ne se joue pas si facilement !

1°) Il faut, en principe, s'être inscrit préalablement. Je ne suis pas sûr qu'il soit encore temps à présent, pour l'année académique 2007-2008.

2°) Pour s'inscrire il faut avoir probablement avoir déjà obtenu un numéro d'assurance sociale (NAS) et peut-être aussi une assurance-maladie et je ne sais trop encore quel document.

Se renseigner ! Et compter facilement quelques jours d'attente pour ces paperasses.

A inclure dans les frais ...

Oui pour la rentrée d'automne 2007, il est trop tard voir même pour la rentrée de janvier 2008 pour l'université de vancouver car les inscriptions s'arretaient en principe le 1er mai (je ne sais pas s'il y a eu prolongement de la date). Effectivement en ce qui concerne l'université d'ottawa, l'année de pedagogie est tres demandée (d'apres ce qu'ils m'ont dit au telphone). Il faut deposer les dossiers en octobre 2007 pour la rentrée 2008 (si je me souviens bien). Il y a semble t'il plus de facilité pour l'université de vancouver (plus precisement la faculté simon fraser pour etre exacte!)mais l'année coute tres chere (8100$ par année cours+ frais compris). Cependant il y a toujours des bourses disponibles (d'apres les recherches que j'ai faites sur internet mais il faudrait que je les retrouve). En ce qui concerne l'inscription il n'est pas necessaire d'avoir un NAS dans les premiers temps. Il suffit de s'inscrire en tant qu'étudiant etranger et de preciser que ta demande de rp est en cours. Une fois la rp en main, tu peux faire le changement de statut.

A tout cela, il faut bien sûr ajouter les frais de logements, etc mais rien n 'est impossible; tous les etudiants du monde sont confrontés à ces difficultés et beaucoup y arrivent donc il ne faut pas se decourager et se prearer à avoir la vie dure pendant une periode plus ou moins longue. Pour ce qui est des credits, c'st selon la situation de chacun. Pour ma part, j'ai dejà un historique de credit donc je peux faire une demande aupres de ma banque. Pour les autres (les nouveaux arrivants),je ne pense pas que ce soit possible.

De toute façon, chaque université propose une liste de bourse ou pret-bourse attribués en fonction de divers criteres (domaines d'etudes par exemple)pour les etudiants etrangers egalements.

Voilà, j'éspère que je ne vou embrouille pas trop. A force de recherches sur tous les sites proposés sur internet, vous finirez certainement par trouver votre bonheur! En tout cas, soyez optimistes et ne vous bloquez pas à la moindre diffculté car le resultat en vaudra largement la chandelle!!!!!!! :rolleyes:

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  • Habitués
l'université de vancouver

L'universite de Vancouver n'existe pas. C'est UBC ou SFU.

Stephanie.

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  • Habitués
l'université de vancouver

L'universite de Vancouver n'existe pas. C'est UBC ou SFU.

Stephanie.

j'ai deja precisé que c'est sfu entre parenthese(je parle de l universite de vancouver pouur simplifier les choses, c'est une mauvaise habitude que j'ai prise...)

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  • Habitués

Dans les "conseils" donnés aux futurs arrivants, deux sortes d'erreurs se rejoignent parfois:

- trop d'optimisme, par rapport à la lourdeur des démarches administratives au Canada;

- le style "amène-toi ici puis on verra".

Or, sur certains points, il est possible et franchement utile d'anticiper.

Si les diplômes sont importants ... et tel est le cas quand on s'intéresse à une activité d'enseignant ...

Il faut déjà s'assurer qu'on a tous les originaux (et non, une copie ou une copie certifiée conforme, qui ne vaudra rien ici) non seulement des diplômes, y compris d'étude secondaire, mais aussi des relevés des notes, où on doit trouver des informations sur les volumes horaires. Idéalement, avec des précisions sur le contenu des cours aussi.

Idem bien sûr pour tout certificat de travail: rien que des originaux. Et bienvenue aux "lettres de recommandation". Les canadiens adorent ça.

L'équivalence des diplômes aussi ... A ne pas prendre à la légère.

Au Québec, le MICC (immigration québéc) fait une "évaluation comparative". Si on la lance sur place, il faut compter 45 jours ouvrables, c'est-à-dire deux mois ou un peu plus.

C'est cette évaluation qui est demandée dans les commissions scolaires (en tout cas, dans celles que j'ai consulté).

Possibilité d'accélérer ? Oui, si la commission scolaire fait une lettre (en tant qu'employeur) pour expliquer qu'elle en a besoin.

Mais la meilleure façon, c'est de lancer cette démarche depuis l'Europe, à travers les délégations du Québec.

Pour les autres provinces, je ne sais pas ... J'imagine que c'est à peu près aussi lourd, voire encore plus, s'ils ne sont pas habitués à des diplômes issus de pays francophones.

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  • Habitués
Dans les "conseils" donnés aux futurs arrivants, deux sortes d'erreurs se rejoignent parfois:

- trop d'optimisme, par rapport à la lourdeur des démarches administratives au Canada;

- le style "amène-toi ici puis on verra".

Tout a fait d'accord avec cela! Et c'est ce qui conduit aux pires deceptions. Le style "ammene-toi ici et on verra" est le pire de tout!

Pour les autres provinces, je ne sais pas ... J'imagine que c'est à peu près aussi lourd, voire encore plus, s'ils ne sont pas habitués à des diplômes issus de pays francophones.

En Colombie-Britannique, il y a aussi un organisme d'evaluation des diplomes. Bien que le Francais soit en demande dans la province, les procedures administratives sont aussi lourdes qu'au Quebec. je le repete, enseigner au Canada, n'est pas aussi simple qu'il y parait.

Stephanie.

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  • Habitués

Ceci dit, sur internet et par téléphone, on peut obtenir pas mal d'infos utiles.

Exemple ... Pour s'inscrire à Ottawa ... il faut avoir eu une moyenne d'au moins 14/20 au cours de ses études, la moyenne étant calculée (à moins qu'ils changent d'avis) sur les 20 meilleures notes d'examen pendant toutes les études. Et on doit raconter ce qu'on a eu comme expérience: une sorte de concours. Avec à la clé un examen en français, si on n'est pas assez bon en la matière.

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  • Habitués
... les procedures administratives sont aussi lourdes qu'au Quebec.

C'est possible de voir ça du bon côté.

Une fois qu'on connaît les règles du jeu, il y a moins de surprises à craindre qu'en France, où les personnes sont séparées en deux groupes: ceux qui peuvent bénéficier d'une faveur et les autres.

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  • Habitués
Tout a fait d'accord avec cela! Et c'est ce qui conduit aux pires deceptions. Le style "ammene-toi ici et on verra" est le pire de tout!

Idem!!

Combien de fois ai-je vu sur ce forum des gens sur place( qui sont bien intentionnés) qui disent à de futurs immigrants de venir dans telle province parce qu'il y a une pénurie d'infirmières ou d'enseignants(par exemple) sans savoir vraiment les critères demandés pour exercer telle profession? Ou pire encore, de minimiser l'importance de l'anglais parce que eux cotoient et travaillent presque uniquement avec des francophones...

Informez vous auprès des organismes concernés(différents ordres professionnels, commission scolaire, etc) avant d'immigrer ici!

peanut

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