Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Deux noms qui circulent et qui font rêver : Henri-Paul Rousseau (président de la Caisse de Dépôt) ainsi que Joseph Facal, avec qui j'ai eu la chance de discuter récemment et qui a mentionné que la direction du PQ l'intéresserait certainement un jour. Quant à savoir c'est pour quand, ça c'est une autre histoire...Je ne connais pas l'homme, mais je connais très bien son épouse, avec qui je travaille. Elle est vraiment super, est issue d'une famille relativement modeste mais vit maintenant dans la haute bougeoisie et l'opulence crasse, tout en restant très simple, ce qui n'est pas rien. Pas compliqué, tout le monde l'aime sans exception. Elle a un profond respect pour les ouvriers, les petites gens comme on dit, et elle en a presque les larmes aux yeux lorsqu'elle aborde le sujet. J'ai toujours aimé conversé avec elle et elle est hyper calée en économie. C'est vraiment une grande dame, très professionnelle et sensible, et elle a l'air très proche de son mari et de ses enfants, avec qui elle parle souvent au cellulaire. Citer
Habitués Diego Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Je ne connais pas l'homme, mais je connais très bien son épouse, avec qui je travaille. Elle est vraiment super, est issue d'une famille relativement modeste mais vit maintenant dans la haute bougeoisie et l'opulence crasse, tout en restant très simple, ce qui n'est pas rien. Pas compliqué, tout le monde l'aime sans exception. Elle a un profond respect pour les ouvriers, les petites gens comme on dit, et elle en a presque les larmes aux yeux lorsqu'elle aborde le sujet. J'ai toujours aimé conversé avec elle et elle est hyper calée en économie. C'est vraiment une grande dame, très professionnelle et sensible, et elle a l'air très proche de son mari et de ses enfants, avec qui elle parle souvent au cellulaire. Oui, il me semble avoir lu dans un portrait de l'Actualité sur Rousseau qui était son épouse. Si je ne fais pas erreur sur la personne, c'est en effet une dame au professionnalisme irréprochable. Voici le profil de Rousseau, qui a été nommé par le PQ à la CDP en 2002, et que Charest n'a pas osé tasser à son arrivée, vu sa compétence.Henri-Paul Rousseau Président et chef de la direction Caisse de dépôt et placement du Québec Monsieur Henri-Paul Rousseau est président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec depuis septembre 2002. À ce titre, il décide des orientations stratégiques de la Caisse et coordonne l'ensemble des activités de gestion d'actifs de linstitution. Bachelier es Arts et bachelier en économie de lUniversité de Sherbrooke, Monsieur Rousseau détient un doctorat en sciences économiques de lUniversité Western. Dabord professeur d'économie à l'Université du Québec à Montréal, il a joint le corps professoral de l'Université Laval en 1975, pour en devenir ensuite le directeur du département d'économie. De 1986 à 1992, M. Rousseau a occupé plusieurs postes à la Banque Nationale dont celui de premier vice-président, Trésorerie et Marchés financiers. De mai 1992 à janvier 1994, il a été président et chef de la direction de la firme Boréal Assurances. Avant d'être nommé à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec, en septembre 2002, M. Rousseau était depuis 1994 président et chef de la direction de la Banque Laurentienne du Canada. Conseiller économique des gouvernements du Canada et du Québec dans plusieurs dossiers, M. Rousseau a notamment été directeur de recherche et cosignataire du Rapport sur lépargne au Québec, publié en 1980 et lun des deux experts-conseils pour le Comité permanent des finances, du commerce et des questions économiques de la Chambre des communes, qui a fait enquête sur les profits des banques en 1982. Il est également coauteur d'une analyse d'impact économique publiée en 1985 dans le cadre du Livre Blanc sur la fiscalité des particuliers. M. Rousseau a mérité le Prix T. M. Brown pour la meilleure thèse de doctorat en économie à l'Université Western Ontario, ainsi que plusieurs bourses d'études et de recherche dont le Woodrow Wilson Fellowship, le Bank of Nova Scotia Fellowship, la bourse de la Fondation Émile-Girardin, la bourse d'échange Ontario-Québec et la bourse du Conseil de recherche en sciences humaines du Canada. M. Rousseau a reçu, en juin 2004, un doctorat honoris causa en droit de lUniversité Concordia de Montréal. Henri-Paul Rousseau est membre du Cercle des présidents du Québec, du conseil dadministration de la Société du Havre de Montréal et du comité exécutif et conseil d'administration du Fonds de recherche de l'Institut de cardiologie de Montréal.Impressionnant! Nous verrons bien, mais Normand Lester et Pierre Maisonneuve ont parlé de lui comme un successeur potentiellement intéressant ce matin. You bet! Malheureusement, je ne pense pas qu'il soit intéressé. Mais s'il aime les défis, en voilà tout un! Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 J'ai plein de travail et ça fait 1/2 h que je cherche QUI est sa femme. Et le pire, c'est qu'il est le cousin de la femme de mon cousin !!! Sont tous économistes, là-dedans. Citer
Habitués Diego Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 J'ai plein de travail et ça fait 1/2 h que je cherche QUI est sa femme. Et le pire, c'est qu'il est le cousin de la femme de mon cousin !!! Sont tous économistes, là-dedans.Je n'ai rien trouvé en français malheureusement. Mais la réponse se trouve quelque part là-dedans : http://www.konradyakabuski.com/articles/2003_03.html Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Oooooooooooooooh... Elle est jolie en plus! Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Oooooooooooooooh... Elle est jolie en plus!Hé, hé... Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Ouf, j'ai quand même eu une larme en écoutant Boisclair et Diane Lemieux... Citer
Habitués jimmy Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Ouf, j'ai quand même eu une larme en écoutant Boisclair et Diane Lemieux...Oui, effectivement. jimmy Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Ouf, j'ai quand même eu une larme en écoutant Boisclair et Diane Lemieux...C'est drôle, moi aussi je me suis surprise à pleurer, comme ça d'un coup! Quoi qu'on dise, ce parti mérite d'être pris au sérieux, et Boisclair mérite d'être salué. Il ne l'a vraiment pas eu facile... Et j'aime beaucoup Diane Lemieux, ai toujours trouvé qu'elle en avait dedans comme on dit. Je comprends son désarroi.Pour ceux qui serais tenté de ch**r sur le PQ ou d'annoncer sa mort, comme un de mes collègues l'a fait et que j'ai rabroué assez vite merci, dites-vous que ce parti est LE parti derrière la Révolution Tranquille et l'émancipation des Québécois. Il a fait beaucoup pour nous. Alors ayez au moins la décence de le respecter un tant soit peu. Citer
Habitués JayJay Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 OK j'ai versé plus qu'une larme, mais je ne sais pas ce que j'ai aujourd'hui, j'ai pas arrêté de pleurer. Non je ne suis pas en SPM. Pour ceux qui serais tenté de ch**r sur le PQ ou d'annoncer sa mortAlors là si on doit discuter de la légitimité du PQ, si on en est rendus là, j'ai vraiment envie de dire à ceux qui seraient tentés de se lancer là-dedans :Achetez-vous un bouquin d'histoire, ou aller l'emprunter à la bibliothèque, lisez un journal, ouvrez la télé et regardez les nouvelles, consultez un psy, mais arrivez en VILLE diantre. Je refuse d'embarquer dans ce débat. Par contre Cherry je dirais plutôt que c'est la Révolution tranquille qui est derrière le PQ, et pas le contraire. Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Par contre Cherry je dirais plutôt que c'est la Révolution tranquille qui est derrière le PQ, et pas le contraire. Bon OK, mais reste que le PQ, René Levesque en tête, les a bien représenté pendant ce temps-là... Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Oooooooooooooooh... Elle est jolie en plus!Hé, hé... J'oubliais: elle a remporté le prix Judith-Jasmin pour une série de reportages concernant les Américains. Consciente que c'était un travail d'équipe, elle a invité les caméramans et monteurs qui ont travaillé sur ceux-ci - dont moi - dans un super restaurant chic et nous a payé la traite pour fêter ça. Vraiment cool la fille. Sont rares les journalistes qui reconnaissent le travail des techniciens. On a super bien mangé et bien bu. Mais elle est comme ça, simple et généreuse. Ah, s'ils étaient tous comme elle... Citer
O'Hana Posté(e) 9 mai 2007 Posté(e) 9 mai 2007 On perd pas de temps :Mise à jour: 08/05/2007 22h09 - Un sondage exclusif TVA-Léger MarketingQui sera le prochain chef du Parti québécois?Selon les résultats d'une enquête exclusive pour le compte de TVA, 31 pour cent des militants péquistes croient que Pauline Marois ferait le meilleur chef du Parti québécois. Gilles Duceppe suit avec 26 pour cent alors que 16 pour cent voient Pierre Curzi. Suivent Bernard Landry, Bernard Drainville et Diane Lemieux. Dans l'ensemble des 502 personnes interrogées, c'est également Pauline Marois qui arrive en tête. 28 pour cent des répondants croient qu'elle ferait le meilleur chef, contre 17 pour cent pour Gilles Duceppe et 10 pour cent pour Pierre Curzy. 33 pour cent des personnes interrogées n'ont pas voulu se prononcer.Source : LCN- O'Hana - Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Comme tu dis... Reste que c'est un sondage non-scientifique, auprès de gens qui ne sont pas nécessairement membres du parti. Fac ils peuvent se le foutre où je pense, ça veut rien dire.C'est bizarre, car durant la journée, la radio de Radio-Canada disait que le PQ allait se nommer un chef intérimaire dès ce soir. Faut croire qu'ils ont préféré dormir là-dessus... Citer
Habitués Petit-Lion Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 C'est ÇA qu'il nous faut, pas un chiâleux à la Duceppe, pas un populiste à la Dumont, mais un être humain qui a tout simplement à coeur l'avenir de son peuple, quelqu'un qui fait passer le bien commun avant ses ambitions personnelles, quelqu'un de vrai et qui a les deux pieds sur terre, quelqu'un qui admet ses torts autant qu'il célèbre ses petites victoires. C'est dans une personne comme ça que les Québécois peuvent et veulent se projeter. En tout cas moi, c'est pour un homme comme ça, quelqu'un d'autentique qui ne prétend pas être surhumain, que j'ai envie de voter. Pas sorcier, mais ô combien rare en politique...Waouh! tout ça! Mais Cherry, des politiciens comme ça, s'ils existent, ils se tiennent loin du PQ en ce moment! M'est d'avis qu'ils sont plus intéressés par l'ADQ, où tout est possible, hihi! Oui, le PQ fut un grand et prestigieux parti, mais le parti communiste français aussi. Un parti ne peut valoir plus que les hommes qui le font. Citer
O'Hana Posté(e) 9 mai 2007 Posté(e) 9 mai 2007 Petit-Lion :M'est d'avis qu'ils sont plus intéressés par l'ADQ, où tout est possible, hihi!Oui, effectivement tout y est possible à l'ADQ : le très bon comme le très moins bon et surtout le flou artistique pour le moment. Notamment en ce qui concerne sa position autonomiste bien entendu. J'ai très hâte que Mario Dumont se positionne clairement à ce sujet pour que je puisse enfin me faire une opinion.Tout y est possible ? Le chef adéquiste s'est récemment montré réticent à toute baisse d'impôt avec les 700 millions du fédéral ainsi qu'au dégel des tarifs de la SAAQ. Me semble qu'un allègement du fardeau fiscal et que le dégel de tarifs font pourtant partie du petit élémentaire d'un parti résolument de droite. Si je suis plutôt fermé à toute baisse d'impôt - avec toutes les réparations à faire au Québec - je suis par contre loin d'être contre un certain dégel de certains tarifs.Bref, selon moi tout y est possible seulement si l'électorat y trouve son compte. Ce qui est finalement la règle pour les trois principaux partis politiques québécois.Le PQ a manqué à cette règle de base aux dernières élections et l'a payé cher en martelant son référendum alors que les électeurs n'en voulait pas. - O'Hana - Citer
Habitués Mats Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 La politique donne parfois l'image d'un pitoyable univers. Bernard Landry est revenu ce matin sur les ondes de RDI pour asséner le coup de grâce à André Boisclair. Avec l'air faussement compatissant du fossoyeur, il a expliqué, en substance, que le désormais ex-chef du PQ n'avait de toutes les façons pas la stature d'une homme d'état car personne n'aurait fait confiance à un cocaïnomane. C'est ce qui s'appelle tirer sur une ambulance. Je crois que le PQ et ses idéologues n'ont toujours pas compris qu'il s'est passé quelque chose au Québéc le 26 mars. Je ne sais pas si quelqu'un a songé à le leur dire, mais ils ne semblent pas avoir compris qu'ils ne forment même plus l'opposition officielle. La sortie de Landry témoigne à mon sens de l'aveuglement ce parti qui pense toujours que la formation est plus victime d'une crise de leadership que d'une crise identitaire. Le PQ fonce vers le mur accélérateur au plancher avec pour fond musical un vieux standard des années 70 qui ne fait plus recette. Citer
O'Hana Posté(e) 9 mai 2007 Posté(e) 9 mai 2007 Mats :Le PQ fonce vers le mur accélérateur au plancher avec pour fond musical un vieux standard des années 70 qui ne fait plus recette.Tu aurais raison d'écrire cela si l'option d'un couronnement de Duceppe à la tête du PQ se dessinait clairement à l'horizon . Or, ce n'est pas le cas. Ce que je lis et entends montre plutôt une profonde division au sein du parti : des noms comme Facal, Rousseau et Marois sortent ici et là. Et ce sont des personnes qu'on place résolument à droite dans l'échiquier idéologique péquiste (Facal fait d'ailleurs partie des Lucides).Si des noms comme Bernard - un pur et dur - ou Dubuc - SPQ Libre - seraient plutôt sortis, j'aurai été tout à fait d'accord avec toi. Car il renforce la déconnexion du PQ avec les préoccupations des québécois.Et à ce rythme-là, on pourrait aussi faire foncer le PLQ dans le même mur vu son échec auprès de l'électorat francophone et sa tendance à prendre les anglophones du Québec pour acquis.- O'Hana - Citer
Habitués cherry Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Landry est un loose canon et il devrait vraiment apprendre à se taire, surtout qu'il a sa part de responsabilité dans les malheurs du PQ. Quand à la prise de cocaïne de Boisclair, c'est vraiment pas ça qui a joué, alors de le rappeler alors que Boisclair vient tout juste de tirer sa révérence avec noblesse est pas mal bas à mon avis.La sortie de Landry témoigne à mon sens de l'aveuglement ce parti qui pense toujours que la formation est plus victime d'une crise de leadership que d'une crise identitaire. Le PQ fonce vers le mur accélérateur au plancher avec pour fond musical un vieux standard des années 70 qui ne fait plus recette.Wô, quand même! Je crois les péquistes savent très bien que ce n'est pas qu'une crise de leadership. Faut arrêter de délirer, sont pas complètement cons non plus. Citer
Habitués Mats Posté(e) 9 mai 2007 Habitués Posté(e) 9 mai 2007 Mats :Le PQ fonce vers le mur accélérateur au plancher avec pour fond musical un vieux standard des années 70 qui ne fait plus recette.Tu aurais raison d'écrire cela si l'option d'un couronnement de Duceppe à la tête du PQ se dessinait clairement à l'horizon . Or, ce n'est pas le cas. Ce que je lis et entends montre plutôt une profonde division au sein du parti : des noms comme Facal, Rousseau et Marois sortent ici et là. Et ce sont des personnes qu'on place résolument à droite dans l'échiquier idéologique péquiste (Facal fait d'ailleurs partie des Lucides).Si des noms comme Bernard - un pur et dur - ou Dubuc - SPQ Libre - seraient plutôt sortis, j'aurai été tout à fait d'accord avec toi. Car il renforce la déconnexion du PQ avec les préoccupations des québécois.Et à ce rythme-là, on pourrait aussi faire foncer le PLQ dans le même mur vu son échec auprès de l'électorat francophone et sa tendance à prendre les anglophones du Québec pour acquis.- O'Hana -Je crois surtout que le PQ à un équation presque impossible à résoudre, peu importe le chef : comment continuer d'exister alors que les Québécois ne veulent plus d'un référendum ? Autrement dit, la souveraineté est la raison d'être du PQ et sans volonté de souveraineté de la part de la population le PQ a-t-il encore des raisons d'exister ? Certains pensent même que l'épisode ADQ - qu'ils s'imaginent de courte durée - permettera d'entretenir la flamme en attendant que les Québécois aient à nouveau envie d'avoir envie. Sans aller jusqu'à dire que le PQ est mort, on peut, compte tenu de ce qu'il se passe, s'interroger sur ses chances de survie à court et à moyen termes. S'agissant du PLQ, je pense que son sort est lié à celui de son adversaire souverainiste. Le score de l'ADQ à mis brutalement un terme au clivage souverainiste-fédéraliste qui donnait le la de la vie politique québécoise depuis une trentaine d'années. Conséquence : tous ceux qui votaient PLQ par rejet du projet indépendantiste se sentent libres d'aller voir ailleurs. Paradoxalement, la survie du PLQ dépendra peut-être de la capacité du PQ à remettre ses troupes en ordre de bataille. Citer
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