Habitués vanedor Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 et pour ceux qui ne savent pas lire ou déchiffrer une phrasequand tu affiches un prix sur un article tu ne vas pas l'augmenté sur la prochaine étiquette pour le ramené au prix initial en faisant passer cet article pour un solde donc 299$ y a 2 mois et plus tard afficher le même article a 399$ pour faire sois disant un rabais de 100$ et le ramener à 299$ on appel cela de la fraude le rabais se fait sur le 299$ mais c'est vrais que les maths c'est pas pour tout le monde,bref.[...]C'est beau, je crois qu'on avait tous compris ta catastrophe économique la première fois. Et pour certain je n'ai jamais dit que l'identité se raliais à un paquet de saucisse , ce que je veux dire c'est que je ne vais pas me servir du nom de mon voisin qui est plus connus que moi pour vendre mes produits. faudrait peut-être déchiffrer les lignes :edestudio: on européanise trop de produit et pourtant il y a de bon produits ici alors pourquoi étiquetter Européen???uh, oui, c'est exactement ce que tu as dis. Heureux d'entendre que ce n'était pas exactement ce que tu voulais vraiment dire... les saucisses "toulouse" est une saveur de saucisse. Un peu comme on dit de la crème glacé napolitaine. Et puis il y a une multitude de produit qui ont des étiquettes bien et des noms bien ici. Juste à voir les inventaires de fromage québécois par rapport aux fromages français, chez IGA. Dans un forum il est de nature de dire ce que l'on pense mais je vois qu'il y a des sujets qui sont susceptible ( sujets= individu)heh, éh bien, je crois pas qu'il y a grand monde qui écouteraient se faire insulter juste comme tu le fais sans rien dire. pour Vanedor je ne suis jamais venus ici avec une ''idée trop idéaliste du Québec''Ça me semble en effet le cas. Pourquoi le gouvernement du Quebec est la seule province du canada à faire du ''racolage en europe '' c'est bizarre mais à ma connaissance je ne connais pas d'autres pays qui cherche à tout pris des FrancophonesPetit cours de géographie.x <- Québecxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx <- Monde anglo-saxon aux alentours du Québec.Tu comprend mieux maintenant pourquoi on est la seule province qui recherche des immigrés spécifiquement francophones? en faisant ''miroiter''des idées fausses et bien des personnes se font encore avoir , Radio canada en a fait un reportage et les anciens de la délégation du quebec à Paris était plutôt gèné par leurs questions :chechemeu:J'ai écouté ce reportage de l'émission Enjeux qui date de 2004 et ils ne disent pas de faussetés comme tu le laisse entendre. Les délégations du Québec mettent seulement plus l'emphase sur les points positifs par rapport aux points négatifs, ce qui est parfaitement normal... puisque c'est leur travail de vendre le Québec. Et ça fonctionne. comment se fait t'il qu'un ingénieur bardé de diplômes se retrouve sans boulot ou alors faire 2 ou 3 années supplémentaires pour un équivalent qu'il faut payer?(...)La plupart des ordres professionels sont un peu trop protecteurs, en effet. C'est quand même normal de se renseigner avant d'immigrer pour voir le fonctionnement de la profession dans le pays où tu souhaite t'installer. J'espère cependant qu'ils simplifient éventuellement l'accès aux ordres pour des diplômés étrangers. Citer
Habitués JayJay Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 Il y a une chose que je ne comprendrai jamais. Vous savez que ça marche pas mal par réseautage ici, par bouche à oreille, par relations, par réputation, etc. Or, les forumistes nous gavent avec des statistiques qui ne nous intéressent PAS, mettez-vous ça dans la tête, ça ne nous intéresse pas de savoir que vous êtes arrivés le 2 juillet ou le 30 décembre. Pourquoi ne pas prendre une signature qui explique votre métier, le job que vous recherchez? Exemple : une forumiste m'a contactée parce que nous sommes un peu dans le même domaine. Je sais quelles sont ses études, je sais qu'elle écrit fort bien, elle semble intelligente. Je vais probablement lui envoyer un tuyau un de ces jours. Ce ne sera sans doute pas demain matin, mais c'est possible que ce soit dans un an, dans deux ans. Je ne vous dis pas de faire semblant d'être gentil avec votre voisin de palier pour vous "téter" une job, mais... mettez-vous en marché un peu!!! Tiens, Zelda, je te prends pour exemple. Tu écris que tu es caissière dans un dépanneur. OK. Mais à moins de vouloir en faire une carrière, pourquoi n'écris-tu pas dans ta signature quelque part ton vrai métier, tes équivalences d'études? Qui sait si quelqu'un ne va pas entendre parler de quelqu'un qui a besoin de telles compétences, etc...Le forum est une communauté. Servez-vous en.JayJayAgent des publications, des communications et de l'intranetFonction publique fédérale (qui ne se cherche pas de job)comment se fait t'il qu'un ingénieur bardé de diplômes se retrouve sans boulot ou alors faire 2 ou 3 années supplémentaires pour un équivalent qu'il faut payer?Parce que les études ne sont pas les mêmes, même si on prétend qu'elles sont équivalentes. Parce qu'en Amérique du Nord, le génie est focalisé sur la résolution de problèmes, l'esprit d'analyse, pas le par-coeur. Parce qu'on favorise l'autonomie. Parce que la terminologie n'est pas la même. Parce qu'il subsiste toujours un doute du fait qu'un ingénieur en France n'a pas l'appellation contrôlée qu'un ingénieur a au Canada. Un ingénieur québécois a SEPT années de formation, en incluant ses trois années obligatoires de stage. Un ingénieur junior québécois fraîchement diplômé doit aussi faire 2 ou 3 années de stages mal payés avant d'avoir le droit de se faire appeler "ing", dont une certaine quantité doit impérativement être effectuée au Canada. Pourquoi les autres auraient des privilèges spéciaux? Citer
Habitués cherry Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 (modifié) comment se fait t'il qu'un ingénieur bardé de diplômes se retrouve sans boulot ou alors faire 2 ou 3 années supplémentaires pour un équivalent qu'il faut payer?Parce que les études ne sont pas les mêmes, même si on prétend qu'elles sont équivalentes. Parce qu'en Amérique du Nord, le génie est focalisé sur la résolution de problèmes, l'esprit d'analyse, pas le par-coeur. Parce qu'on favorise l'autonomie. Parce que la terminologie n'est pas la même. Parce qu'il subsiste toujours un doute du fait qu'un ingénieur en France n'a pas l'appellation contrôlée qu'un ingénieur a au Canada. Un ingénieur québécois a SEPT années de formation, en incluant ses trois années obligatoires de stage. Un ingénieur junior québécois fraîchement diplômé doit aussi faire 2 ou 3 années de stages mal payés avant d'avoir le droit de se faire appeler "ing", dont une certaine quantité doit impérativement être effectuée au Canada. Pourquoi les autres auraient des privilèges spéciaux?Je suis très brièvement sorti avec un ingénieur français. Tou ce qu'il avait à faire, c'est payer quelque chose comme 300$ pour être membre de l'Ordre, et il était un junior. Et à partir de là, on se rapproche du titre officiel... Pour les ingénieurs français en tout cas, et contrairement à la croyance populaire, ça semble assez facile de faire sa petite place au soleil. À condition bien sûr que l'école française soit reconnue et que la spécialisation soit en demande.Quant au mythe des chauffeurs de taxi médecins, je suis un peu tannée de le lire. Chaque fois que je prend un taxi, et j'en prends TRÈS souvent, j'engage la conversation avec le chauffeur et je m'arrange pour savoir si le chauffeur a fait des études. Newsflash: je n'ai jamais rencontré de médecin. En fait, rares sont ceux qui avaient faits des études poussées...Quant à toi Moon Light, je comprends que tu puisses traverser une phase de désenchantement. C'est normal. J'irais ailleurs et moi aussi j'aurais un choc, même en douce (sic) France. Mais tu n'es ici que depuis 4 petits mois et demi, et tu es arrivée à la fin octobre, quand le climat n'incite pas à la bonne humeur. Attends au moins que le printemps arrive et tu verras à quel point ça change la perception. Et donne-toi une chance: on passe tous par des phases où ça branle dans le manche, où on aimerait donc que ça débloque. C'est la vie, quel que soit le pays où l'on est. Les Québécois de souche passent aussi par là, crois-moi. Allez courage, accroche-toi. Si tu veux vraiment t'en sortir, tu y arriveras, et tu savoureras alors ta réussite. Et SVP, éloigne-toi des gens qui râlent sans arrêt ou qui ne font pas la différence entre un trait culturel et de la simple malchance, comme drc83 par exemple... Modifié 10 février 2007 par cherry Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 signé:ton islamiste dévouéCest drôle, moi à ta place, je m'en vanterais pas.... Citer
Habitués e-ch@m Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 signé:ton islamiste dévouéCest drôle, moi à ta place, je m'en vanterais pas.... je te rappel que c'est toi qui ma classé dans cette catégorie Citer
Habitués Baguette Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 Quant au mythe des chauffeurs de taxi médecins, je suis un peu tannée de le lire. Chaque fois que je prend un taxi, et j'en prends TRÈS souvent, j'engage la conversation avec le chauffeur et je m'arrange pour savoir si le chauffeur a fait des études. Newsflash: je n'ai jamais rencontré de médecin. En fait, rares sont ceux qui avaient faits des études poussées...C'est tellement triste de vouloir se montrer veritable au prix meme de nier la realite. Cela frole presque la mauvaise foi. C'est insulter sa propre intelligence.On peut deduire [de ce genre d'ecrits] que les immigrants hautement qualifies (parmi lesquels des medecins) ont immigre majoritairement au ROC (expression amusante).Dans toute les stations du metro torontois on trouve cette affiche publicitaire; If Canada is a land of opportunity why Dr. ...... (un immigrant photographie sur l'affiche) drives a taxi.Peut-etre qu'une partie des problemes entre des gens comme moi avec ceux qui pensent comme toi se trouve dans le fait que ce qui est l'evidence meme pour les uns n'est qu'un mythe pour les autres. Pourtant et pour dissiper toute confusion, demain matin en prenant le metro (et pas le taxi), je mettrai mes lunettes et regarderai de plus pret les affiches en question. Il se peut que c'est moi qui suis de mauvaise foi! Citer
Habitués petiboudange Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 Quant au mythe des chauffeurs de taxi médecins, je suis un peu tannée de le lire. Chaque fois que je prend un taxi, et j'en prends TRÈS souvent, j'engage la conversation avec le chauffeur et je m'arrange pour savoir si le chauffeur a fait des études. Newsflash: je n'ai jamais rencontré de médecin. En fait, rares sont ceux qui avaient faits des études poussées...C'est tellement triste de vouloir se montrer veritable au prix meme de nier la realite. Cela frole presque la mauvaise foi. C'est insulter sa propre intelligence.On peut deduire [de ce genre d'ecrits] que les immigrants hautement qualifies (parmi lesquels des medecins) ont immigre majoritairement au ROC (expression amusante).Dans toute les stations du metro torontois on trouve cette affiche publicitaire; If Canada is a land of opportunity why Dr. ...... (un immigrant photographie sur l'affiche) drives a taxi.Peut-etre qu'une partie des problemes entre des gens comme moi avec ceux qui pensent comme toi se trouve dans le fait que ce qui est l'evidence meme pour les uns n'est qu'un mythe pour les autres. Pourtant et pour dissiper toute confusion, demain matin en prenant le metro (et pas le taxi), je mettrai mes lunettes et regarderai de plus pret les affiches en question. Il se peut que c'est moi qui suis de mauvaise foi!Euh ben moi je suis pas persuadée que les pubs qu'on trouve dans le métro soit une preuve exempte de tout doute. On trouve aussi des pubs qui te promettent de gagner beaucoup d'argent en restant chez toi... Alors tu sais les pubs, c'est pas tellement plus probant que le témoignage d'une personne sur un forum. Faque, ni toi ni cherry ne pourraient gagner un procès en diffamation ainsi. Je me montrerai moins pédant dans ce cas à ta place...Mais oui peut-être que tous ces chers docteurs et autres sont tous dans le canada anglophone, qui sait, à force d'en lire certains cracher de l'acide sur le Québec, ils ont réellement fini par croire que dans le roc on les prendrait moins pour des niais? À te lire, sont vraiment cons, puisqu'ils y sont "aussi" chauffeurs de taxi. Pas futés les toubibs de nos jours! Citer
Habitués JayJay Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 Dans toute les stations du metro torontois on trouve cette affiche publicitaire; If Canada is a land of opportunity why Dr. ...... (un immigrant photographie sur l'affiche) drives a taxi.Eh ben y a une progression puisqu'habituellement c'est le Québec qui est accusé de laisser les médecins conduire des taxis...Moi je vais vous dire honnêtement, si vous pensez que vous seuls en bavez, vous vous trompez. J'ai dû attendre 13 ans après avoir obtenu mon diplôme universitaire pour obtenir une VRAIE job, où mes compétences sont vraiment mises à profit, où j'ai une rémunération qui correspond à peu près à mes responsabilités et à mes compétences. 13 ans. J'ai gradué en 1993, j'ai dû prendre des petits boulots, je suis partie en France, j'avais une job pas pire, mais toutes les promotions me passaient sous le nez au profit de belles nunuches dont on récompensait l'incompétence notoire, pendant que moi, on me gardait à mon poste sous prétexte que j'y excellais. Revenue au Qc, mes boss m'ont augmentée, mais je n'avais toujours pas de crédibilité auprès de mes collègues qui me jalousaient. Il a fallu attendre 2006 pour trouver un poste et une rémunération qui soient "dignes" de mon parcours professionnel et académique... C'est pas toujours drôle pour nous autres non plus hein. Citer
Habitués cherry Posté(e) 10 février 2007 Habitués Posté(e) 10 février 2007 (modifié) Quant au mythe des chauffeurs de taxi médecins, je suis un peu tannée de le lire. Chaque fois que je prend un taxi, et j'en prends TRÈS souvent, j'engage la conversation avec le chauffeur et je m'arrange pour savoir si le chauffeur a fait des études. Newsflash: je n'ai jamais rencontré de médecin. En fait, rares sont ceux qui avaient faits des études poussées...C'est tellement triste de vouloir se montrer veritable au prix meme de nier la realite. Cela frole presque la mauvaise foi. C'est insulter sa propre intelligence.On peut deduire [de ce genre d'ecrits] que les immigrants hautement qualifies (parmi lesquels des medecins) ont immigre majoritairement au ROC (expression amusante).Dans toute les stations du metro torontois on trouve cette affiche publicitaire; If Canada is a land of opportunity why Dr. ...... (un immigrant photographie sur l'affiche) drives a taxi.Peut-etre qu'une partie des problemes entre des gens comme moi avec ceux qui pensent comme toi se trouve dans le fait que ce qui est l'evidence meme pour les uns n'est qu'un mythe pour les autres. Pourtant et pour dissiper toute confusion, demain matin en prenant le metro (et pas le taxi), je mettrai mes lunettes et regarderai de plus pret les affiches en question. Il se peut que c'est moi qui suis de mauvaise foi!Si tu as croisé un médecin-chauffeur de taxi sur une affiche dans le métro, ça ne veut pas dire que concrètement ceux-ci pullulent dans la vraie vie. C'est aussi stupide que de dire que les intégristes musulmans sont la norme parce qu'on en entend parler dans les médias... Je réitère ce que j'ai dit: je n'ai JAMAIS rencontré de médecin, et je prends un taxi plusieurs fois par semaine. Appelle ça de la mauvaise foi si ça te chante, je m'en sacre.À part ça, as-tu des conseils à donner à l'auteur de ce fil...? Modifié 10 février 2007 par cherry Citer
Habitués mardirar Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Salam amis forumistes,Voila un article paru aujourd'hui dans le quotidien le plus vendu en Algérie, en l'occurence, ElWatan, qui en dit long sur l'état d'esprit qui règne actuellement au sein de la communauté algérienneSmaïl Benamara. ambassadeur dAlgérie au Canada « Quittez le Québec, allez ailleurs ! » A loccasion de sa visite, samedi 3 février, au siège du Centre culturel algérien (CCA) à Montréal, une association communautaire tenue par des Algériens, Smaïl Benamara, lambassadeur dAlgérie au Canada, a reproché à la communauté de ne pas sintéresser à langlais et de rester cantonnée dans la province du Québec, particulièrement à Montréal. « Apprenez langlais et testez la mobilité », a-t-il martelé. Cette visite intervient aussi quelques jours après que la province francophone se soit réveillée en se découvrant « raciste » à près de 59% de sa population (7,6 millions en 2006) à la faveur dun sondage des plus biaisés et après une campagne médiatique des plus acharnées où il ne faisait pas bon dêtre étranger, particulièrement arabe ou musulman. Le conseil municipal dune petite bourgade de 1300 habitants, Hérouxville, dans la région de la Mauricie, a édicté un code de vie pour les immigrants qui, chose peu probable, sinstalleraient dans son village. Entre autres normes, ce code interdit « laménagement de locaux de prière de tuer les femmes par lapidation sur la place publique ou en les faisant brûler vives ». Il affirme, en outre, quil est impératif de « se montrer à visage découvert en tout temps dans les lieux publics. La seule exemption possible à cette règle se produit à lHalloween ». Un des conseillers municipaux de ce village, André Drouin, a même été invité à lémission dominicale de la télévision de Radio Canada, « Tout le monde en parle » (une copie de la défunte émission de France 2). Il a demandé au Premier ministre du Québec de décréter l« état durgence » pour protéger la culture québécoise. Le diplomate algérien sest toutefois défendu de vouloir vider la province du Québec de ses immigrants algériens qui ont été classés les premiers en apport de nouveaux arrivants aux 6 premiers mois de 2006, la langue française étant la principale raison du choix du Québec par les Algériens qui émigrent au Canada. Il a rappelé quil a fait cette déclaration après lintervention dun représentant du CCA qui a présenté le bilan de son association dans le domaine de laide à la recherche demploi. Un thème au centre de toutes les préoccupations, vu la quasi-fermeture du marché aux immigrants. Smaïl Benamara a été invité par le CCA à lapproche du 8e anniversaire du lancement de ses activités qui doit avoir lieu en avril prochain. Une rencontre à laquelle ont été conviés des représentants dautres associations algériennes activant dans la métropole québécoise et à laquelle a assisté le consul général dAlgérie à Montréal, Abdelaziz Sebaâ. Ce dernier vient juste de rencontrer, il y a quelques jours, les représentants de ces associations afin de leur présenter les vux pour le nouvel an hégirien et les informer que le consulat met à leur disposition ses locaux pour certaines de leurs activités. Intervenant à linvitation dAhmed Mahidjiba, président du CCA, Smaïl Benamara sest dit disposé à aider cette association et toutes les autres. « Je suis ici pour vous réitérer notre disponibilité à vous aider du mieux que lon peut, le consul général et moi. (...) Japprécie vos activités parce que votre valeur fondamentale est le travail, ce que nous partageons avec vous. » Le diplomate a remis au CCA un lot de livres dapprentissage de larabe et de tamazight pour les besoins de ses classes de langues. Des livres envoyés par le ministre de lEducation nationale, Boubekeur Benbouzid. On se rappelle quen mai 2006, Smaïl Benamara avait omis de citer le CCA lors de sa première rencontre avec les Algériens de Montréal Samir Ben Djafar Citer
Habitués JayJay Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Un des conseillers municipaux de ce village, André Drouin, a même été invité à lémission dominicale de la télévision de Radio Canada, « Tout le monde en parle » (une copie de la défunte émission de France 2).On dirait qu'ils se sont gardés de dire qu'il avait été invité pour être ridiculisé par l'animateur et les invités... qu'Hérouxville est tournée au ridicule dans tous les médias.... mais qu'il y a effectivement un malaise dans la société québécoise, comme il y a des malaises dans toutes les sociétés qui vivent l'immigration. Cet article présente une vue tellement courte, limitée intellectuellement, empreinte de mauvaise foi, que j'ai du mal à croire que des gens avalent ça. Faut croire que l'esprit d'analyse, c'est pas donné à tous. Citer
Habitués Hanine Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 (modifié) Salam amis forumistes,Voila un article paru aujourd'hui dans le quotidien le plus vendu en Algérie, en l'occurence, ElWatan, qui en dit long sur l'état d'esprit qui règne actuellement au sein de la communauté algérienne(...)« Apprenez langlais et testez la mobilité », a-t-il martelé. Cette visite intervient aussi quelques jours après que la province francophone se soit réveillée en se découvrant « raciste » à près de 59% de sa population (7,6 millions en 2006) à la faveur dun sondage des plus biaisés et après une campagne médiatique des plus acharnées où il ne faisait pas bon dêtre étranger, particulièrement arabe ou musulman.(...)Sondage des plus biaises???? Ils se basent sur quels criteres pour le categorise "biaise" ???"apres une campagne mediatique des plus acharnes ou il ne faisait pas bon d'etre etranger, particulierement arabe ou musulman..."Quelle campagne mediatique au fait???Acharnes??? Une campagne mediatique implique une concertation... qui, quoi, comment, quand????Je suis habituee de lire des articles de journaux TRES discutables, semblerait que l'Amerique du Nord n'est pas le seul touche par cette tare!Bon, semblerait que l'on mette de l'huile sur le feu dans le but d'attirer l'attention des lecteurs. *sic* Au fait, ce genre d'article n'est-il pas justement une campagne mediatique des plus acharnes ?? Toutes une series d'articles anti-Quebec qui s'alignent l'un apres l'autre ces derniers temps... *humm Modifié 11 février 2007 par Hanine Citer
Invité Posté(e) 11 février 2007 Posté(e) 11 février 2007 Je ne vous dis pas de faire semblant d'être gentil avec votre voisin de palier pour vous "téter" une job, mais... mettez-vous en marché un peu!!! Tiens, Zelda, je te prends pour exemple. Tu écris que tu es caissière dans un dépanneur. OK. Mais à moins de vouloir en faire une carrière, pourquoi n'écris-tu pas dans ta signature quelque part ton vrai métier, tes équivalences d'études? Qui sait si quelqu'un ne va pas entendre parler de quelqu'un qui a besoin de telles compétences, etc...Tout simplement parce que pour le moment mon emploi du temps au dépanneur est parfais pour que je puisse faire rentrer de l'argent tout en passant du temps avec ma famille. Ceci dit, effectivement, je ne veux pas en faire ma carrière , j'ai d'autres projets qui n'ont absolument rien à voir avec l'informatique et la bureautique, même si j'aime toujours beaucoup cela. Dès que cela sera possible j'irai passer le cours d'accompagnante à la naissance, puis faire celui d'accompagnante certifié et en plus de là passer le cours d'instructrice de massage pour bébé. Il y a beaucoup de choses à faire dans la périnatalité dans Lanaudière. Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Smaïl Benamara. ambassadeur dAlgérie au Canada « Quittez le Québec, allez ailleurs ! » Très, très intelligent de faire paniquer ses compatriotesOn voit que ce monsieur est un homme posé et réfléchi. A-t-il pensé aux milliers dAlgériens qui sont en processus dimmigration pour sinstaller au Québec ? À lécouter, on pourrait facilement en déduire que les Algériens de Montréal sont victimes de racisme régulièrement. Or, cest FAUX!Prenez le temps de lire cet article. Il a le don de remettre les pendules à lheure...Minorités culturellesL'autre visage des musulmansKatia GagnonLa PresseLes musulmans invisibles sont légion au Québec. Invisibles parce qu'ils se fondent dans la masse, s'intègrent à la société québécoise aussi bien au travail qu'à l'école. Sait-on qu'à peine 15 % d'entre eux se rendent à la mosquée tous les vendredis ? Que le discours fondamentaliste est très minoritaire à Montréal ? Même nos leaders ont des choses à apprendre à ce sujet, a-t-on découvert.Louise Tremblay, jeune quarantaine, doctorat en sciences économiques, est devenue chef d'entreprise après avoir été, pendant plusieurs années, cadre supérieur. Elle est là, devant moi, coupe garçonne, lunettes de marque, maquillage discret, sourire irrésistible. Elle habite tout près du Jardin botanique et adore le ski de fond et la raquette.Sauf qu'elle ne s'appelle pas vraiment Louise Tremblay.Amina Benrhazi est Marocaine d'origine et vit au Québec depuis cinq ans. Elle fait partie de ces musulmans montréalais que vous ne remarquez pas, puisqu'ils se fondent discrètement dans la masse. Et la majorité des 109 000 musulmans vivant au Québec sont comme elle. Très, très loin de ces imams rigoristes qui se posent à la télé en porte-parole de la communauté.«Je me sens insultée quand on présente des reportages sur les musulmans et que tout ce qu'on voit comme illustration, ce sont des femmes voilées jusqu'aux yeux», dit Amina. «Alors que, pour la plupart, nous sommes invisibles.»Salah Ben Rejeb est aussi l'un de ces musulmans invisibles. Ce Tunisien d'origine est analyste à Développement économique Canada et planche toute la journée sur son ordinateur. Quand arrive l'heure de la prière, plutôt que d'aller en pause jaser près de la machine à café, il déroule son tapis dans son bureau et passe 10 minutes à prier.Le vendredi, il va se recueillir à la mosquée Badr, dont il est le président. Non, il n'a ni grande robe, ni turban, ni barbe fournie. «Les musulmans sont des gens comme tout le monde. Ils mangent, ils vivent, ils font l'amour! Sincèrement, on ne représente aucun danger!» dit-il en riant.Et la preuve que les musulmans s'intègrent très bien à Montréal, c'est qu'ils ne s'y sont pas regroupés en ghetto, observe-t-il. «Il y a un quartier chinois, une ville hassidique, mais il n'y a pas de quartier musulman.»Effectivement. Les musulmans montréalais, qui sont d'ailleurs d'origines ethniques très diverses (109 000 musulmans vivent au Québec. 62 000 sont arabophones, 28 000 sont issus des pays du Maghreb, 10 000 sont Libanais, 6700 sont Iraniens, 6800 sont Pakistanais, 5700 sont Indiens, 3200 sont Afghans, 2900 sont Bangladais, 2100 sont Égyptiens, 2000 sont Palestiniens, 1400 sont Irakiens. Ils ont immigré au Québec en plusieurs vagues, dont la plus ancienne date des années 70. Mais les musulmans issus du Maghreb forment une immigration beaucoup plus récente, qui date du début des années 90.) sont disséminés un peu partout dans l'île de Montréal, à Laval, sur la Rive-Sud. «Il n'y a pas de Londonistan à Montréal», dit Frédéric Castel, religiologue et fin observateur de la communauté musulmane québécoise.Ce qui ressemble le plus à un petit Maghreb s'étend sur quelques pâtés de maisons, rue Jean-Talon, entre les boulevards Pie-IX et Saint-Michel. Parmi des commerces italiens, grecs ou alors purement québécois, on trouve quelques boucheries halal, une boutique de vêtements pour dames, des cafés et une mosquée.Dans une pâtisserie algérienne, notre question a bien fait rigoler les clients. «Les Québécois sont-ils racistes? »Bien sûr que non, rétorque immédiatement Yazid Ben Medjeber, qui vend des vêtements dans les marchés aux puces du Québec. Les gros marchés, comme à Lachute, mais aussi les petits, comme à Saint-Polycarpe ou Saint-Zotique. Quand vient l'heure de la prière, il déroule son tapis et s'agenouille. Disons que ça cause une certaine surprise chez ses clients. «Mais jamais je n'ai eu le moindre commentaire désobligeant», dit-il.«On nous dépeint toujours comme une caricature», déplore Samia Bouzourène, qui habite avec son mari, Nassim Aoudia, et ses deux enfants, Zacharia et Adila, dans un grand appartement de Saint-Léonard. Elle lève les yeux au ciel quand on lui parle de Saïd Jaziri, le désormais célèbre imam de la mosquée Al Qods, invité à tous les micros. «Ce n'est pas vrai qu'on s'habille comme ça! Même en Algérie, on ne s'habille pas comme ça!»Et les accommodements raisonnables dans tout ça? Nassim travaille pour une compagnie d'entretien de machinerie. Après trois ans au boulot et une évaluation extrêmement favorable, ses patrons lui ont demandé s'il désirait améliorer quelque chose dans son cadre de travail. Il a demandé à être libéré pendant quelques heures, le vendredi, pour aller prier à la mosquée. Le patron, un Chilien, a dit oui.Quelques collègues ont rechigné. Mais ils se sont vite ravisés quand Nassim leur a expliqué qu'il n'était pas payé pour ces heures passées hors du boulot. «Et s'il y a une urgence, évidemment, je reste.»http://www.cyberpresse.ca/article/20070204...=73271784866705Cet ambassadeur installé à Ottawa (Ontario) ne semble pas très bien connaître le Québec et sa communauté algérienne et musulmanea moins bien sûr quil ai été intoxiqué par lhabituelle désinformation médiatique canadienne-anglaise qui a cours chez nos chers voisins ontariensJe me demande si le Consul général de Montréal, monsieur M.Abdelaziz SEBAA pense et conseille la même chose. Je serais bien curieuse de savoir son avis Citer
Habitués Lachtite Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Les musulmans invisibles sont légion au Québec. Invisibles parce qu'ils se fondent dans la masse, s'intègrent à la société québécoise aussi bien au travail qu'à l'école. Sait-on qu'à peine 15 % d'entre eux se rendent à la mosquée tous les vendredis ? Que le discours fondamentaliste est très minoritaire à Montréal ? Même nos leaders ont des choses à apprendre à ce sujet, a-t-on découvert.Je crois que c'est ce que demande la majorité des immigrants, le droit à l'indifférence.... Et le droit à l'indifférence ne s'accomode pas aux accomodements déraisonnables qui prônent la différence.... Citer
Habitués Baguette Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Euh ben moi je suis pas persuadée que les pubs qu'on trouve dans le métro soit une preuve exempte de tout doute. On trouve aussi des pubs qui te promettent de gagner beaucoup d'argent en restant chez toi... Alors tu sais les pubs, c'est pas tellement plus probant que le témoignage d'une personne sur un forum. Faque, ni toi ni cherry ne pourraient gagner un procès en diffamation ainsi. Je me montrerai moins pédant dans ce cas à ta place...Mais oui peut-être que tous ces chers docteurs et autres sont tous dans le canada anglophone, qui sait, à force d'en lire certains cracher de l'acide sur le Québec, ils ont réellement fini par croire que dans le roc on les prendrait moins pour des niais? À te lire, sont vraiment cons, puisqu'ils y sont "aussi" chauffeurs de taxi. Pas futés les toubibs de nos jours!Donc et d'apres toi si quelqu'un dit que le nombre d'immigrants qualifies, faisant des boulots bien en decous de leur qualifications, au Quebec est signifiant cela montre sa pedanterie. Merci pour la clarification. En esperant que le Quebec recompensera (par le biais d'un membre de ce forum par exemple) ta flatterie et ton devoument en t'accordant un metier a la hauteur de tes qualifications.Eh ben y a une progression puisqu'habituellement c'est le Québec qui est accusé de laisser les médecins conduire des taxis...Moi je vais vous dire honnêtement, si vous pensez que vous seuls en bavez, vous vous trompez. J'ai dû attendre 13 ans après avoir obtenu mon diplôme universitaire pour obtenir une VRAIE job, où mes compétences sont vraiment mises à profit, où j'ai une rémunération qui correspond à peu près à mes responsabilités et à mes compétences. 13 ans.J'ai gradué en 1993, j'ai dû prendre des petits boulots, je suis partie en France, j'avais une job pas pire, mais toutes les promotions me passaient sous le nez au profit de belles nunuches dont on récompensait l'incompétence notoire, pendant que moi, on me gardait à mon poste sous prétexte que j'y excellais. Revenue au Qc, mes boss m'ont augmentée, mais je n'avais toujours pas de crédibilité auprès de mes collègues qui me jalousaient. Il a fallu attendre 2006 pour trouver un poste et une rémunération qui soient "dignes" de mon parcours professionnel et académique... C'est pas toujours drôle pour nous autres non plus hein. Cela confirme bien, Madame, ce que je pense du system inflexible, favoritiste et incompetant, dominant au nivveau professionnel, au Quebec. Pour ma part je n'ai meme pas mis 13 mois pour avoir cette vraie job, au roc(!), en tant que financier.Si tu as croisé un médecin-chauffeur de taxi sur une affiche dans le métro, ça ne veut pas dire que concrètement ceux-ci pullulent dans la vraie vie. C'est aussi stupide que de dire que les intégristes musulmans sont la norme parce qu'on en entend parler dans les médias... Je réitère ce que j'ai dit: je n'ai JAMAIS rencontré de médecin, et je prends un taxi plusieurs fois par semaine. Appelle ça de la mauvaise foi si ça te chante, je m'en sacre.À part ça, as-tu des conseils à donner à l'auteur de ce fil...?Je vais te dire, honnetement, quelque chose que tu sais fort probablement deja. Tu es intelligente. Et si j'ai un conseil a donner ce sera adresse a toi. Ecris a la hauteur de ton intelligence. Citer
Habitués e-ch@m Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Smaïl Benamara. ambassadeur dAlgérie au Canada « Quittez le Québec, allez ailleurs ! » Très, très intelligent de faire paniquer ses compatriotesOn voit que ce monsieur est un homme posé et réfléchi. A-t-il pensé aux milliers dAlgériens qui sont en processus dimmigration pour sinstaller au Québec ? À lécouter, on pourrait facilement en déduire que les Algériens de Montréal sont victimes de racisme régulièrement. Or, cest FAUX!Prenez le temps de lire cet article. Il a le don de remettre les pendules à lheure...Minorités culturellesL'autre visage des musulmansKatia GagnonLa PresseLes musulmans invisibles sont légion au Québec. Invisibles parce qu'ils se fondent dans la masse, s'intègrent à la société québécoise aussi bien au travail qu'à l'école. Sait-on qu'à peine 15 % d'entre eux se rendent à la mosquée tous les vendredis ? Que le discours fondamentaliste est très minoritaire à Montréal ? Même nos leaders ont des choses à apprendre à ce sujet, a-t-on découvert.Louise Tremblay, jeune quarantaine, doctorat en sciences économiques, est devenue chef d'entreprise après avoir été, pendant plusieurs années, cadre supérieur. Elle est là, devant moi, coupe garçonne, lunettes de marque, maquillage discret, sourire irrésistible. Elle habite tout près du Jardin botanique et adore le ski de fond et la raquette.Sauf qu'elle ne s'appelle pas vraiment Louise Tremblay.Amina Benrhazi est Marocaine d'origine et vit au Québec depuis cinq ans. Elle fait partie de ces musulmans montréalais que vous ne remarquez pas, puisqu'ils se fondent discrètement dans la masse. Et la majorité des 109 000 musulmans vivant au Québec sont comme elle. Très, très loin de ces imams rigoristes qui se posent à la télé en porte-parole de la communauté.«Je me sens insultée quand on présente des reportages sur les musulmans et que tout ce qu'on voit comme illustration, ce sont des femmes voilées jusqu'aux yeux», dit Amina. «Alors que, pour la plupart, nous sommes invisibles.»Salah Ben Rejeb est aussi l'un de ces musulmans invisibles. Ce Tunisien d'origine est analyste à Développement économique Canada et planche toute la journée sur son ordinateur. Quand arrive l'heure de la prière, plutôt que d'aller en pause jaser près de la machine à café, il déroule son tapis dans son bureau et passe 10 minutes à prier.Le vendredi, il va se recueillir à la mosquée Badr, dont il est le président. Non, il n'a ni grande robe, ni turban, ni barbe fournie. «Les musulmans sont des gens comme tout le monde. Ils mangent, ils vivent, ils font l'amour! Sincèrement, on ne représente aucun danger!» dit-il en riant.Et la preuve que les musulmans s'intègrent très bien à Montréal, c'est qu'ils ne s'y sont pas regroupés en ghetto, observe-t-il. «Il y a un quartier chinois, une ville hassidique, mais il n'y a pas de quartier musulman.»Effectivement. Les musulmans montréalais, qui sont d'ailleurs d'origines ethniques très diverses (109 000 musulmans vivent au Québec. 62 000 sont arabophones, 28 000 sont issus des pays du Maghreb, 10 000 sont Libanais, 6700 sont Iraniens, 6800 sont Pakistanais, 5700 sont Indiens, 3200 sont Afghans, 2900 sont Bangladais, 2100 sont Égyptiens, 2000 sont Palestiniens, 1400 sont Irakiens. Ils ont immigré au Québec en plusieurs vagues, dont la plus ancienne date des années 70. Mais les musulmans issus du Maghreb forment une immigration beaucoup plus récente, qui date du début des années 90.) sont disséminés un peu partout dans l'île de Montréal, à Laval, sur la Rive-Sud. «Il n'y a pas de Londonistan à Montréal», dit Frédéric Castel, religiologue et fin observateur de la communauté musulmane québécoise.Ce qui ressemble le plus à un petit Maghreb s'étend sur quelques pâtés de maisons, rue Jean-Talon, entre les boulevards Pie-IX et Saint-Michel. Parmi des commerces italiens, grecs ou alors purement québécois, on trouve quelques boucheries halal, une boutique de vêtements pour dames, des cafés et une mosquée.Dans une pâtisserie algérienne, notre question a bien fait rigoler les clients. «Les Québécois sont-ils racistes? »Bien sûr que non, rétorque immédiatement Yazid Ben Medjeber, qui vend des vêtements dans les marchés aux puces du Québec. Les gros marchés, comme à Lachute, mais aussi les petits, comme à Saint-Polycarpe ou Saint-Zotique. Quand vient l'heure de la prière, il déroule son tapis et s'agenouille. Disons que ça cause une certaine surprise chez ses clients. «Mais jamais je n'ai eu le moindre commentaire désobligeant», dit-il.«On nous dépeint toujours comme une caricature», déplore Samia Bouzourène, qui habite avec son mari, Nassim Aoudia, et ses deux enfants, Zacharia et Adila, dans un grand appartement de Saint-Léonard. Elle lève les yeux au ciel quand on lui parle de Saïd Jaziri, le désormais célèbre imam de la mosquée Al Qods, invité à tous les micros. «Ce n'est pas vrai qu'on s'habille comme ça! Même en Algérie, on ne s'habille pas comme ça!»Et les accommodements raisonnables dans tout ça? Nassim travaille pour une compagnie d'entretien de machinerie. Après trois ans au boulot et une évaluation extrêmement favorable, ses patrons lui ont demandé s'il désirait améliorer quelque chose dans son cadre de travail. Il a demandé à être libéré pendant quelques heures, le vendredi, pour aller prier à la mosquée. Le patron, un Chilien, a dit oui.Quelques collègues ont rechigné. Mais ils se sont vite ravisés quand Nassim leur a expliqué qu'il n'était pas payé pour ces heures passées hors du boulot. «Et s'il y a une urgence, évidemment, je reste.»http://www.cyberpresse.ca/article/20070204...=73271784866705Cet ambassadeur installé à Ottawa (Ontario) ne semble pas très bien connaître le Québec et sa communauté algérienne et musulmanea moins bien sûr quil ai été intoxiqué par lhabituelle désinformation médiatique canadienne-anglaise qui a cours chez nos chers voisins ontariensJe me demande si le Consul général de Montréal, monsieur M.Abdelaziz SEBAA pense et conseille la même chose. Je serais bien curieuse de savoir son avisAU VU DE TES INTEVENTION SUR LE FORUM CE QUE DIT L'AMBASSADEUR ALGERIENS DEVRAIT FAIRE TON AFFAIRE ALORS ASSEZ D'HYPOCRISIE................ Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Si tu as croisé un médecin-chauffeur de taxi sur une affiche dans le métro, ça ne veut pas dire que concrètement ceux-ci pullulent dans la vraie vie. C'est aussi stupide que de dire que les intégristes musulmans sont la norme parce qu'on en entend parler dans les médias... Je réitère ce que j'ai dit: je n'ai JAMAIS rencontré de médecin, et je prends un taxi plusieurs fois par semaine. Appelle ça de la mauvaise foi si ça te chante, je m'en sacre.À part ça, as-tu des conseils à donner à l'auteur de ce fil...?Je vais te dire, honnetement, quelque chose que tu sais fort probablement deja. Tu es intelligente. Et si j'ai un conseil a donner ce sera adresse a toi. Ecris a la hauteur de ton intelligence.Cest ce quelle fait. Mais malheureusement, cest ce que tu fais aussi... Citer
Habitués Curieuse Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Smaïl Benamara. ambassadeur dAlgérie au Canada « Quittez le Québec, allez ailleurs ! » Très, très intelligent de faire paniquer ses compatriotesOn voit que ce monsieur est un homme posé et réfléchi. A-t-il pensé aux milliers dAlgériens qui sont en processus dimmigration pour sinstaller au Québec ? À lécouter, on pourrait facilement en déduire que les Algériens de Montréal sont victimes de racisme régulièrement. Or, cest FAUX!Prenez le temps de lire cet article. Il a le don de remettre les pendules à lheure...Minorités culturellesL'autre visage des musulmansKatia GagnonLa PresseLes musulmans invisibles sont légion au Québec. Invisibles parce qu'ils se fondent dans la masse, s'intègrent à la société québécoise aussi bien au travail qu'à l'école. Sait-on qu'à peine 15 % d'entre eux se rendent à la mosquée tous les vendredis ? Que le discours fondamentaliste est très minoritaire à Montréal ? Même nos leaders ont des choses à apprendre à ce sujet, a-t-on découvert.Louise Tremblay, jeune quarantaine, doctorat en sciences économiques, est devenue chef d'entreprise après avoir été, pendant plusieurs années, cadre supérieur. Elle est là, devant moi, coupe garçonne, lunettes de marque, maquillage discret, sourire irrésistible. Elle habite tout près du Jardin botanique et adore le ski de fond et la raquette.Sauf qu'elle ne s'appelle pas vraiment Louise Tremblay.Amina Benrhazi est Marocaine d'origine et vit au Québec depuis cinq ans. Elle fait partie de ces musulmans montréalais que vous ne remarquez pas, puisqu'ils se fondent discrètement dans la masse. Et la majorité des 109 000 musulmans vivant au Québec sont comme elle. Très, très loin de ces imams rigoristes qui se posent à la télé en porte-parole de la communauté.«Je me sens insultée quand on présente des reportages sur les musulmans et que tout ce qu'on voit comme illustration, ce sont des femmes voilées jusqu'aux yeux», dit Amina. «Alors que, pour la plupart, nous sommes invisibles.»Salah Ben Rejeb est aussi l'un de ces musulmans invisibles. Ce Tunisien d'origine est analyste à Développement économique Canada et planche toute la journée sur son ordinateur. Quand arrive l'heure de la prière, plutôt que d'aller en pause jaser près de la machine à café, il déroule son tapis dans son bureau et passe 10 minutes à prier.Le vendredi, il va se recueillir à la mosquée Badr, dont il est le président. Non, il n'a ni grande robe, ni turban, ni barbe fournie. «Les musulmans sont des gens comme tout le monde. Ils mangent, ils vivent, ils font l'amour! Sincèrement, on ne représente aucun danger!» dit-il en riant.Et la preuve que les musulmans s'intègrent très bien à Montréal, c'est qu'ils ne s'y sont pas regroupés en ghetto, observe-t-il. «Il y a un quartier chinois, une ville hassidique, mais il n'y a pas de quartier musulman.»Effectivement. Les musulmans montréalais, qui sont d'ailleurs d'origines ethniques très diverses (109 000 musulmans vivent au Québec. 62 000 sont arabophones, 28 000 sont issus des pays du Maghreb, 10 000 sont Libanais, 6700 sont Iraniens, 6800 sont Pakistanais, 5700 sont Indiens, 3200 sont Afghans, 2900 sont Bangladais, 2100 sont Égyptiens, 2000 sont Palestiniens, 1400 sont Irakiens. Ils ont immigré au Québec en plusieurs vagues, dont la plus ancienne date des années 70. Mais les musulmans issus du Maghreb forment une immigration beaucoup plus récente, qui date du début des années 90.) sont disséminés un peu partout dans l'île de Montréal, à Laval, sur la Rive-Sud. «Il n'y a pas de Londonistan à Montréal», dit Frédéric Castel, religiologue et fin observateur de la communauté musulmane québécoise.Ce qui ressemble le plus à un petit Maghreb s'étend sur quelques pâtés de maisons, rue Jean-Talon, entre les boulevards Pie-IX et Saint-Michel. Parmi des commerces italiens, grecs ou alors purement québécois, on trouve quelques boucheries halal, une boutique de vêtements pour dames, des cafés et une mosquée.Dans une pâtisserie algérienne, notre question a bien fait rigoler les clients. «Les Québécois sont-ils racistes? »Bien sûr que non, rétorque immédiatement Yazid Ben Medjeber, qui vend des vêtements dans les marchés aux puces du Québec. Les gros marchés, comme à Lachute, mais aussi les petits, comme à Saint-Polycarpe ou Saint-Zotique. Quand vient l'heure de la prière, il déroule son tapis et s'agenouille. Disons que ça cause une certaine surprise chez ses clients. «Mais jamais je n'ai eu le moindre commentaire désobligeant», dit-il.«On nous dépeint toujours comme une caricature», déplore Samia Bouzourène, qui habite avec son mari, Nassim Aoudia, et ses deux enfants, Zacharia et Adila, dans un grand appartement de Saint-Léonard. Elle lève les yeux au ciel quand on lui parle de Saïd Jaziri, le désormais célèbre imam de la mosquée Al Qods, invité à tous les micros. «Ce n'est pas vrai qu'on s'habille comme ça! Même en Algérie, on ne s'habille pas comme ça!»Et les accommodements raisonnables dans tout ça? Nassim travaille pour une compagnie d'entretien de machinerie. Après trois ans au boulot et une évaluation extrêmement favorable, ses patrons lui ont demandé s'il désirait améliorer quelque chose dans son cadre de travail. Il a demandé à être libéré pendant quelques heures, le vendredi, pour aller prier à la mosquée. Le patron, un Chilien, a dit oui.Quelques collègues ont rechigné. Mais ils se sont vite ravisés quand Nassim leur a expliqué qu'il n'était pas payé pour ces heures passées hors du boulot. «Et s'il y a une urgence, évidemment, je reste.»http://www.cyberpresse.ca/article/20070204...=73271784866705Cet ambassadeur installé à Ottawa (Ontario) ne semble pas très bien connaître le Québec et sa communauté algérienne et musulmanea moins bien sûr quil ai été intoxiqué par lhabituelle désinformation médiatique canadienne-anglaise qui a cours chez nos chers voisins ontariensJe me demande si le Consul général de Montréal, monsieur M.Abdelaziz SEBAA pense et conseille la même chose. Je serais bien curieuse de savoir son avisAU VU DE TES INTEVENTION SUR LE FORUM CE QUE DIT L'AMBASSADEUR ALGERIENS DEVRAIT FAIRE TON AFFAIRE ALORS ASSEZ D'HYPOCRISIE................Pas besoin de crier e-ch@m. Laisse ça à ceux qui ne peuvent sexprimer autrement Si tu vois quoi que ce soit de raciste dans lintervention que tu cites, cest que tas un méchant problème entre les deux oreilles. Vois-tu, cest tout le contraire que jessai de démontrer. Mais il y en a comme toi qui ne peuvent sempêcher de penser que tous leurs problèmes provient du supposé « racisme » des Québécois. Cest effectivement très pratique quand on est incapable de se remettre en question. Citer
Habitués JayJay Posté(e) 11 février 2007 Habitués Posté(e) 11 février 2007 Cela confirme bien, Madame, ce que je pense du system inflexible, favoritiste et incompetant, dominant au nivveau professionnel, au Quebec.Ben tu vois, non. L'université donne des connaissances théoriques, une capacité à apprendre, un esprit d'analyse (bon, pas tout le temps hein). Mais pendant la période dure, j'ai développé d'autres compétences. Et ce sont CES compétences qui ont fait que j'ai mon emploi actuel, même si un diplôme universitaire était également essentiel. Trop de gens finissent l'université en s'asseoyant sur leurs lauriers : "Bon ça y est, j'ai fini d'apprendre, maintenant embauchez-moi car je suis le meilleur". On n'a jamais fini d'apprendre. J'ai eu un collègue comme ça qui était bien satisfait de sa maîtrise dans une université française (sauf qu'il était incapable d'autonomie, d'initiative, d'analyse). On lui a suggéré de prendre quelques cours d'appoint dans une université québécoise (histoire de se mettre au jour de la composante québécoise de son domaine, qui était également très déficiente). Il a refusé. "Non je sais déjà tout ça" (alors que dans la phrase précédente il avouait ne pas connaître du tout cette composante québécoise et même nord-américaine de son domaine). Ben coup donc. Si les gens estiment qu'ils n'ont plus rien à apprendre et que tout leur est dû, on ne pourra pas les convaincre. Citer
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