Laurent Posté(e) 10 mai 2006 Posté(e) 10 mai 2006 Notre chroniqueur montréalais nous livre sa dernière création. Quelques réflexions avant un retour amical et familial en France.À lire en page d'accueil. Citer
Habitués Pimili Posté(e) 10 mai 2006 Habitués Posté(e) 10 mai 2006 Serait-ce le printemps qui nous fout le bourdon ?Entre l' "Eloge de l'instabilité" par Guille tout récemment, le coup de bleu post-brune de Petiboudange et mon coup de bleu du à l'angoisse de quitter mes proches, ce printemps semble être la saison des interrogations.Ce qui me frappe dans ta chronique c'est que 2 ans après les interrogations sont toujours là... On pourrait croire qu'on en a fini avec elles et paf ! elles réapparaissent comme ça...Alors, l'immigrant est-il condamné à se questionner éternellement ?Paméla Citer
Habitués Petit-Prince Posté(e) 10 mai 2006 Habitués Posté(e) 10 mai 2006 Super chronique Christophe... juste deux choses (mais tu me connais, je suis un tantinet tatillon lorsqu'il s'agit de hockey) hihihii :Ce sont les Hurricanes de la Caroline... pas de la Californie.Et les rondes des séries se gagnent en 4 de 7... la première équipe qui arrive à quatre victoires remporte la ronde.Voilà ! Citer
Habitués tof Posté(e) 11 mai 2006 Habitués Posté(e) 11 mai 2006 Super chronique Christophe... juste deux choses (mais tu me connais, je suis un tantinet tatillon lorsqu'il s'agit de hockey) hihihii :Ce sont les Hurricanes de la Caroline... pas de la Californie.Et les rondes des séries se gagnent en 4 de 7... la première équipe qui arrive à quatre victoires remporte la ronde.Voilà ! Ben voyons, je ne sais pas où j'avais la tête quand j'ai écris ces énormités ! Je le sais en plus ! Quelqu'un peut-il modifier ça dans ma chronique? J'ai honte :blushing: Pour ce qui est du questionnement éternel, ce n'est pas si dramatique rassures-toi Paméla ! Ma façon d'écrire un peu emphatique à peut-être exagéré les choses. C'est vrai qu'on pense encore à ce genre de questions, je ne peux pas le nier, mais elles ne font que passer l'espace d'un instant pour s'évanouir l'instant d'après. L'instant où elles passent est par contre... délicat ! Le jour où ces mêmes questions deviennent obsédantes, là il faut s'en poser d'autres beaucoup plus concrètes, comme celle d'un réel retour au pays d'origine. Citer
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