depart imminent à Montréal en famille

[Chimel]

il y a 7 minutes, Cherrybee a dit :

 

Je ne peux vous parler que pour la France. 

 

En France, les établissements privés sont sous deux critères:

 

- Sans contrat d'association avec l'état  = 0 subvention

- Sous contrat d'association avec l'état = subventionnés

 

 

 Encore une preuve qu'on ne peut résumer un système complexe en 2  phrases chocs !   Malheureusement il aurait fallu abolir les subventions au privé dans les années soixante . Pour moi , notre système m'a valu un autobus scolaire pendant 3 ans pour m'amener  à une immense polyvalente ( grande école secondaire publique  ) de 2 200 élèves alors que l'état subventionnait une école secondaire privée à côté de chez moi.  Pourquoi faire simple ?

[Cherrybee]

il y a 10 minutes, Chimel a dit :

 Encore une preuve qu'on ne peut résumer un système complexe en 2  phrases chocs !   Malheureusement il aurait fallu abolir les subventions au privé dans les années soixante . Pour moi , notre système m'a valu un autobus scolaire pendant 3 ans pour m'amener  à une immense polyvalente ( grande école secondaire publique  ) de 2 200 élèves alors que l'état subventionnait une école secondaire privée à côté de chez moi.  Pourquoi faire simple ?

 

Disons que lorqu'on regarde la réalité de la vie ( pour ce qui nous concerne), le public est OBLIGÉ d'accueillir tout le monde, y compris des jeunes qui n'ont aucune envie d'étudier et d'être là. 

Le privé propose un contrat aux parents et aux enfants qui s'engagent à respecter le règlement. Même si les enfants ne sont pas particulièrement brillants ( le cas pour 2 sur 3 des miens), cela ne les tire pas vers le bas au moins. Ils sont en permanence dans un environnement où on les soutient et on les motive. Et la signature du contrat oblige les parents à le respecter sinon, c'est la porte et le public. 

Quant au choix de mettre l'enfant brillant au privé subventionné, c'était surtout pour lui donner l'occasion de faire ses études dans un environnement tranquille et sécuritaire, ce qui n'était pas forcément le cas au public à cause de notre sectorisation. 

Modifié 17 septembre 2016 par Cherrybee

[Chimel]

il y a 1 minute, Cherrybee a dit :

 

Disons que lorqu'on regarde la réalité de la vie ( pour ce qui nous concerne), le public est OBLIGÉ d'accueillir tout le monde, y compris des jeunes qui n'ont aucune envie d'étudier et d'être là. 

Le privé propose un contrat aux enfants qui s'engagent à respecter le règlement. Même si les enfants ne sont pas particulièrement brillants ( le cas pour 2 sur 3 des miens), cela ne les tire pas vers le bas au moins. Ils sont en permanence dans un environnement où on les soutient et on les motive. Et la signature du contrat oblige les parents à le respecter sinon, c'est la porte et le public. 

Quant au choix de mettre l'enfant brillant au privé subventionné, c'était surtout pour lui donner l'occasion de faire ses études dans un environnement tranquille et sécuritaire, ce qui n'était pas forcément le cas au public à cause de notre sectorisation. 

 Oui je comprends mais c'est l'oeuf ou la poule .  Avec tout l'argent qu'on donne au privé on aurait de bien meilleures écoles publiques .  On vit les erreurs du passé .  

[Jefke]

il y a 33 minutes, Chimel a dit :

  Juste un point de société. En tant que Québécois ça me fait toujours mal au coeur de penser que je paie des impôts pour faire la promotion d'une autre langue. L'exemple des étudiants français qui vont à l'université McGill pour apprendre l'anglais en  irrite beaucoup chez  nous...

Il faut etre pragmatique. Si j'etais encore en Belgique, mes enfants seraient dans une ecole neerlandophone. 

 

En tout cas, cela fait plus de sens, AMHA, de mettre ses enfants dans une ecole bilingue publique quebecoise plutot que dans un etablissement frequente tres majoritairement par des francais de France.☺

[Chimel]

il y a une heure, Jefke a dit :

Il faut etre pragmatique. Si j'etais encore en Belgique, mes enfants seraient dans une ecole neerlandophone. 

 

En tout cas, cela fait plus de sens, AMHA, de mettre ses enfants dans une ecole bilingue publique quebecoise plutot que dans un etablissement frequente tres majoritairement par des francais de France.☺

 Juste pour rappeler un fait cocasse . Je prends le train à Bruxelles pour aller en zone Flamande. L'afficheur au bout du wagon donne des infos bilingues mais une fois arrivé en bout de ligne, ce même afficheur ne donne plus les infos qu'en flamand ..Ha ! Ha ! Ha !     Et on dit qu'il n'y a que les Québécois pour être aussi à cheval sur les principes !