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  • Habitués
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Lundi 24 novembre 2014 de 11h45 à 13h

M. Jean-Michel LACROIX (Professeur émérite/U. Paris3) parlera de : Le Canada et la France : les défis à relever

L’observation comparée du Canada/Québec et de la France peut proposer des pistes de réflexion sur les défis à relever dans le contexte de la mondialisation : la crise financière et économique, la diversité culturelle et la gestion de l’immigration, la gouvernance politique, les questions sociétales (parité homme/femme, mariage pour tous, système éducatif, laïcité). En essayant d’aller au-delà des stéréotypes, on tentera de dégager les convergences et les divergences entre nos deux sociétés.

Où ?
Université de Montréal
3150 Jean-Brillant
Pavillon Lionel-Groulx
Carrefour des arts et des sciences
Salle C2059

http://www.cerium.ca/Le-Canada-et-la-France-les-defis-a

  • Habitués
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Dommage que ce soit pas à Québec. Déjà je leur aurais proposé que les français paient le même prix pour leurs études que les étudiants provenant des autres pays.

  • Habitués
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Moi je leur proposerais une politique sur l'immigration a la canadienne pour la France et vu que cela se passe dans une université au Québec je ne risque pas de me faire traité de facho.

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Dommage que ce soit pas à Québec. Déjà je leur aurais proposé que les français paient le même prix pour leurs études que les étudiants provenant des autres pays.

En fait SarahJade, le problème est dans l'autre sens, mais avec un peu de magie à la Tout Le Monde en Parle et le peuple avec un réseau d'information si ruiné qu'il a réussi à transformer Charles Tesseyres en leader Syndicale avec une verve à faire palir Fidel lui même et bien on a une argumentation à la radio X.

Comme vous avez dû lire Sylvie machin la responsable des universités du Québec, cette dernière nous écrivait un violon sur le besoin d'avoir des français en brodant sur du rien "l'apport culturel" "nos amis pour eux on peut s'arranger", en cachant maladroitement la vérité, 1/5 en maîtrise est français...

La vérité pour traîner depuis trop longtemps dans les universités Québécoises et connaitre son administration c'est qu'après avoir arnaqué sa propre jeunesse, l'avoir endetté avec des promesses d'emplois mensongères, le taux d'inscription des Québécois par des universités Québécoise est catastrophique, les nouvelles génération moins naïves n'y vont plus.

Sans un gros volume de français pour maintenir l'illusion et remplir l'espace c'est l'ensemble de ses pôles d'emplois et de pompes à subventions que représente les Universités qui risquent d'être pris en flagrant délit de bricolage.

Enlever le volume serait comme allumer la lumière. Toutes les universités francophones flippent (tremblent) et la Sylvie qui sort pour donner des arguments trop facilement démolissable même par un calcul d'un enfant de 4 ans (ce qu'elle sait mais quand faut y aller, faut y aller).

Encadrez bien ce que je viens de dire Université - étudiants français = désert gênant.

Couillard n'est pas débile, il va essayé de récupérer des euros de maman la France et de faire pression sur les recteurs.

Modifié par felipe
  • Habitués
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Bim !

  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Dommage que ce soit pas à Québec. Déjà je leur aurais proposé que les français paient le même prix pour leurs études que les étudiants provenant des autres pays.

En fait SarahJade, le problème est dans l'autre sens, mais avec un peu de magie à la Tout Le Monde en Parle et le peuple avec un réseau d'information si ruiné qu'il a réussi à transformer Charles Tesseyres en leader Syndicale avec une verve à faire palir Fidel lui même et bien on a une argumentation à la radio X.

Comme vous avez dû lire Sylvie machin la responsable des universités du Québec, cette dernière nous écrivait un violon sur le besoin d'avoir des français en brodant sur du rien "l'apport culturel" "nos amis pour eux on peut s'arranger", en cachant maladroitement la vérité, 1/5 en maîtrise est français...

La vérité pour traîner depuis trop longtemps dans les universités Québécoises et connaitre son administration c'est qu'après avoir arnaqué sa propre jeunesse, l'avoir endetté avec des promesses d'emplois mensongères, le taux d'inscription des Québécois par des universités Québécoise est catastrophique, les nouvelles génération moins naïves n'y vont plus.

Sans un gros volume de français pour maintenir l'illusion et remplir l'espace c'est l'ensemble de ses pôles d'emplois et de pompes à subventions que représente les Universités qui risquent d'être pris en flagrant délit de bricolage.

Enlever le volume serait comme allumer la lumière. Toutes les universités francophones flippent (tremblent) et la Sylvie qui sort pour donner des arguments trop facilement démolissable même par un calcul d'un enfant de 4 ans (ce qu'elle sait mais quand faut y aller, faut y aller).

Encadrez bien ce que je viens de dire Université - étudiants français = désert gênant.

Couillard n'est pas débile, il va essayé de récupérer des euros de maman la France et de faire pression sur les recteurs.

:Crylol:

felipe, je n'ai jamais autant ri qu'en lisant ton message. :biggrin2:

S'il y a autant d'étudiants français dans les universités québécoises, c'est que ces Français reconnaissent la bonne qualité de l'enseignement dans les universités québécoises sinon ils choisiraient d'étudier en France...

Le taux d'inscription des étudiants québécois dans les universités québécoises est catastrophique ? lol. C'est ridicule. Il y a plusieurs étudiants étrangers dans les universités québécoises reconnaissant du fait la bonne qualité de l'enseignement dans les universités du Québec... C'est différent.

Il y a beaucoup d'étudiants étrangers dans la célèbre université Harvard aux USA parce qu'eux aussi reconnaissent la qualité de l'enseignement dans cette université... c'est le même principe.

" Encadrez bien ce que je viens de dire Université - étudiants français = désert gênant. " ? looooooooooooooooool ! C'est tellement risible que je me roulais par terre de rire ! L'Éducation en France est relativement médiocre, la France est en queue de peleton des pays industrialisés dans les classements de l'OCDE.., La France étant derrière le Québec... :whistlingb:

Bref cette entente sur les frais de scolarité entre la France et le Québec devrait être changée... cette entente est un lourd fardeau financier pour les contribuables québécois car les frais de scolarité des étudiants français dans les universités québécoises sont massivement subventionnés par le gouvernement du Québec ... j'ai lu que cette entente coûterait 80 millions de dollars aux contribuables québécois par année alors que très peu d'étudiants québécois sont intéressés à étudier en France... Bref il y a un déséquilibre. Et par exemple il est absurde qu'un Canadien francophone de l'Ontario paye plus cher pour les frais de scolarité lorsqu'il étudie dans une université au Québec alors qu'il étudie dans son propre pays alors que les étudiants français qui sont des étudiants étrangers paient des frais de scolarité moindres...

Modifié par orangejuice
  • Habitués
Posté(e) (modifié)

Dommage que ce soit pas à Québec. Déjà je leur aurais proposé que les français paient le même prix pour leurs études que les étudiants provenant des autres pays.

Dans ce cas-là, il ne faudrait plus que le Québec fasse référence à sa culture d"origine française, à son désir de promotion et de conservation de la langue française, bref, à tous ses liens avec la France.

Moi ce sera vite fait. Si le Québec juge que la France ne lui apporte rien de plus que les autres pays (souvent non francophones), hop, je switche en anglais.

Au moins, la question sera réglée

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

Modifié par Cherrybee
  • Habitués
Posté(e)

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

ce n'est pas comparable , en tant qu' ex étudiant étarnger non boursier en France je payais 500 euros les frais d'inscription pour toute l'année soit pour deux semestres, des peanuts comparé a ce que paie un étudiant étranger au Québec

  • Habitués
Posté(e)

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

ce n'est pas comparable , en tant qu' ex étudiant étarnger non boursier en France je payais 500 euros les frais d'inscription pour toute l'année soit pour deux semestres, des peanuts comparé a ce que paie un étudiant étranger au Québec

Aujourd'hui, on voit ou ca mène la France...

  • Habitués
Posté(e)

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

ce n'est pas comparable , en tant qu' ex étudiant étarnger non boursier en France je payais 500 euros les frais d'inscription pour toute l'année soit pour deux semestres, des peanuts comparé a ce que paie un étudiant étranger au Québec

Aujourd'hui, on voit ou ca mène la France...

comment ca ?

  • Habitués
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Erratum!

Modifié par Denniss
  • Habitués
Posté(e)

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

ce n'est pas comparable , en tant qu' ex étudiant étarnger non boursier en France je payais 500 euros les frais d'inscription pour toute l'année soit pour deux semestres, des peanuts comparé a ce que paie un étudiant étranger au Québec

Ben justement. La France a des tarifs très abordables pour d'excellentes écoles pour des étudiants québécois, pourquoi vouloir enlever la réciproque du Québec envers les étudiants français?

  • Habitués
Posté(e)

D'autre part, comme il existe des accords bilatéraux avec la France, les Québécois peuvent profiter de conditions extrêmement avantageuses pour étudier en France. Et on ne peut pas dire que l'enseignement universitaire français soit de seconde zone.

Serait-ce bien malin de tout mettre par terre?

ce n'est pas comparable , en tant qu' ex étudiant étarnger non boursier en France je payais 500 euros les frais d'inscription pour toute l'année soit pour deux semestres, des peanuts comparé a ce que paie un étudiant étranger au Québec

Ben justement. La France a des tarifs très abordables pour d'excellentes écoles pour des étudiants québécois, pourquoi vouloir enlever la réciproque du Québec envers les étudiants français?

Ce n'est pas seulement pour les étudiants québécois, c'est pour tous les étudiants étrangers quelque soit leur nationalité

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