Qui part en ... ? Peur de se retrouver seul

[Alain]

Bien! En arrondissant les coins, on comprend mieux

Une fois les propos temporisés, on comprend

Bonne soirée,

Alain

[Benito]

Bonjour à tous

Eh bein à tous ceux qui appréhendent de partir, je dirais qu'il faut se dire que vous aller vivre une sacré aventure. Certes pour ceux qui seront parachuté dans un environnement totalement inconnu, ça peut être flippant. Mais les québécois ne sont pas des ours !!! Et d'après moi, ils sont en majorité prêt à partager de bon moment avec les français. Et pour les timides, vous verrez l'instinct de survie prend le dessus et très vite vous serez mené à aller vers les québécois. Un conseil, surtout ne rester pas toujours entre français ou du moins que entre français, ouvrez-vous vers les Québécois.

Moi même je suis resté sans amis qu'une semaine. Ensuiste j'ai crée des liens fort. Et même après 7 mois retourné en France, j'ai retrouvé tous mes anciens amis au Québec. C'est vraiment génial.

Alors conclure, n'ayer pas peur, et viver le Québec au maximum, soyer naturel oublier votre retenu à la française !

[Invité]

Je me suis peut-être mal exprimé. Me demandais simplement si le fait de demander "qui part...?" n'était pas une démarche pour se rassurer, éventuellement rencontrer quelqu'un qui vit la même chose, et pourquoi pas se faire un(e) ami(e) fraîchement arrivé, comme soi. Ça ne me semble pas si bizarre que ça, surtout pour les gens anxieux.

On n'se fait pas des amis en 5 minutes ( voir fil amitié ) et si tu rencontres un flippé de l'avion le jour du départ MERCI !

Que les gens appréhendent, c'est bien normal en effet mais je ne crois pas que ce soit vers des inconnus rencontrés à la dernière minute qu'il faille se tourner ce jour-là.

Ca n'engage que moi, bien entendu !

Nuit Bleue

[Nicolas]

Seul au milieu des Québécois...

Mais seul au milieu des Québécoises...

[fortsympa]

Seul au milieu des Québécois...

Mais seul au milieu des Québécoises...

[Invité]

Le sujet de Redflag est assez intéressant en effet : je m?explique, je crois que tous les immigrants ont au moins ceci en commun c?est qu?ils espèrent tous réussir très vite. Et ce sentiment les rend très anxieux même avant leur départ de leur pays d?origine. Et puis il ne faut surtout pas oublier que c?est quand même après tout une sorte de déracinement que nous allons tous subir, car même si nous sommes très désireux de vite commencer une newlife au Québec, il n?en reste pas moins que nous avons tous des choses auxquelles nous allons renoncer : notre petite vie avec toutes nos petites habitudes, nos quartiers, nos amis, nos familles? et c?est tout à fait normal que tout cela engendre une anxiété qui atteindra son paroxysme le jour du départ et qui ne s?estompera je le crois que lorsque nous commenceront a se créer de nouvelles habitudes, se trouver un nouveau toit sur la tête, un nouveau job, se faire de nouveaux amis?ceci est tout à fait normal en fait?l?être humain est ainsi fait je crois qu?il même s?il cherche de nouveaux horizons, un certain dépaysement, une fois qu?il y arrivent, tout ce à quoi il pense c?est de marquer son nouveau territoire?

Je vous pour exemple l?état d?esprit dans lequel je suis : une certaine anxiété s?est emparée de moi lorsque mercredi dernier je suis aller pour changer mon billet pour finalement réserver mon départ pour le 24 juin, je m?explique : lorsque j?ai vu les détails du billet je fut pris d?une sorte de panique qui heureusement n?as pas durée?

ok vous allez me dire que je m'en fais pour rien mais croyez moi c'est pas facile de penser qu'après son arrivée à 17h45 à Trudeau (7h20 de vol) et les formalités de l'immigration qui peuvent prendre une voir deux heures, je serais peut être livré à moi même, avec pour seuls compagnons une valise et mon laptop, malgré tout mon courage et mon sens de l'orientation je finirais par stresser un max...

J?en vois sûrement quelques uns parmi vous à qui ça rappelle quelques "bons souvenirs"...mais me diriez vous heureusement que je n'emporte qu'un seul bagage.

Mais plus j?y pense et plus je reprend mes esprits en me disant que même arrivé à une heure tardive j?arriverais à me débrouiller car je n?atterrit tout de même pas en pleine jungle?.

Et puis cela me permettra d?admirer la ville dans son habit de lumière?une sorte de tenue de gala rien que pour moi et pour me souhaiter la bienvenue?.

[La Féline]

Mais c'est naturel d'avoir peur ou d'appréhender ! Surtout à ce moment-clé de notre vie ! Il n'y a pas de honte à ça !

Hé oui plus le départ approche, plus on est excité, entre les bonnes et mauvaises surprises qui peuvent nous attendre à l'arrivée. Voyager seul(e) ? Oui, je peux vous dire que ça fait bizarre quand on l'habitude de passer X heures de vol pour partir en vacances avec la famille ou des amis, de se retrouver seule pour 7 heures de vol sans avoir un plan détaillé de ses projets, ni personne pour nous attendre à l'arrivée. Il y a de quoi fliper en effet ! Maintenant, si on peut rencontrer, pendant ce moment fatidique, quelqu'un dans la même situation que nous ou quelqu'un vivant déjà là-bas, évidemment ça rassure. Le fait de discuter de choses et d'autres, de partager les mêmes craintes ou les mêmes espoirs, pendant ce temps-là, on ne passe 7 heures à ruminer les mêmes questions qui nous travaillent depuis des mois ("Comment ça va se passer ?", "Par quoi je vais bien pouvoir commencer ?", "Et si je n'y arrive pas ?", "Et si ceci", "Et si cela"...)

[Luca]

Salut,

Je pense que de rencontrer des immigrants qui arrive en meme temps que soit n'est pas une mauvaise idée.

J'ai evidemment envie de connaitre des québecois et pas seulement des Francais et des Belges (sinon à quoi bon immigrer, ça fait aussi partie de notre integration).

Mais je pense aussi qu'au debut on fait plus vite connaissance avec les expartriés

vu qu'on est dans la meme situation de depart et que l'on peux s'échanger pas mal d'infos aussi (concernant les demarches administratives et autres).

Ceci dit, çela fait une semaine que je suis içi, je me suis deja inscrit dans un club de course à pied et de salle de sport.

Je commence à rencontrer des Quebcois et j'en suis ravi.

Mais il est vrai que ça prends plus de temps à creer des liens que les expatries, et quand on arrive seul....

[Nicolas]

Quand je vais l'étranger je déteste entendre parler Français, ça fait pas assez dépaysant

J'aurais plutôt tendance à ne pas vouloir rencontrer de Français je pense

[kabi]

salam Redflag;

"Juste pour dire que moi-même, après 5 années passées au Québec, j'ai peu d'amis québécois, et un seul à qui je peux tout dire"

justement moi , je connais un seul québécois (plus précisément, une seule québecoise: jennifer) que je connais et discute souvent .. c'est une collègue de travail...

ils se font rare comme ami, quoique j'en ai invité des tas à aller prendre un café.. en toute courtoisie.. et ai ouvert mon coeur .., mais ils sont distant...

pas tous heureusement.. mais ils sont pas assez nombruex