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220px-Vauquelin_Montreal.jpg

Bonjour à tous,

je ne savais pas trop ou mettre ce sujet ,je l'ai mis là ou il y a le plus de monde.

e voudrais vous parler dun de mes ancêtres qui a combattu et sest distingué pendant le siège de Québec.

Depuis des générations, ma famille est passionnée par lhistoire en générale et surtout la notre, mes ascendants avaient entrepris des recherches qui nétaient pas trop difficile, car on est tous originaire de Normandie dans un triangle le havre Rouen Fécamp, et sont remontés au XVIIIème siècle, larbre est dailleurs déposé chez un notaire. à savoir également qu'en france il n'y a qu'une seule famille vauclin avec 2 orthographes differentes .

Mon point de chute quand je viendrais sera quebec ville , vous devinerez pourquoi! :B)et sur les CV que j'ai envoyé j'ajoute toujours cet historique,c'est peut être pour cela que j'ai eu des reponses positives!:lol:

Voici son histoire (source marianopolis collège, Québec history)

Source : Louis LE JEUNE, «Jean Vauquelin», dans Dictionnaire général de biographie, histoire, littérature, agriculture, commerce, industrie et des arts, sciences, murs, coutumes, institutions politiques et religieuses du Canada, Vol. II, Ottawa, Université dOttawa, 1931, 829p., pp. 768-770.

Jean Vauquelin

VAUQUELIN (Jean) (1727-72), capitaine au long cours, capitaine en pied sur une frégate à ses frais, lieutenant de vaisseau.

Né à Dieppe en 1727, il accompagna, à l'âge de 12 ans, son père, capitaine marchand. En 1745, Jean émerveilla son père par son sang-froid et le courage qu'il déploya, dans une rencontre avec une frégate britannique. En 1750, il acheta un voilier pour son propre usage. Lorsque la guerre éclata, en raison de la rareté des officiers et des hommes de nier, on le rattacha à la marine royale et on lui confia le commandement de la frégate l'Aréthuse, pour croiser sur les côtes d'Angleterre.

En juin 1758, il se rend à Louisbourg, où il se distingua durant le siège. L'Aréthuse était armée de 36 canons. Le commissaire-ordonnateur Prévost écrivant au ministre, le 7 juillet, lui disait: « M. de Vauquelin est une personne qui mérite vos faveurs. Toute la colonie l'a vu se conduire en héros, entouré qu'il était de deux batteries de canons et de 18 mortiers, qui faisaient pleuvoir sur sa frégate coups et bombes, durant quinze jours; lui, il continuait à se battre et à bombarder constamment les retranchements ennemis, leur infligeant de grandes pertes et dommages, selon le rapport fait par six déserteurs anglais. Je ne puis vous cacher que les opérations effectives de la mer ont dépendu de l'énergique habileté de cet officier, fort capable de rendre encore de plus grands services au Roi. »

En effet, il entrava ainsi l'avance impétueuse du général Wolfe. Quand il se sentit inutile, il sollicita et obtint, de M. de Drucour et de son Conseil, l'autorisation de passer en France pour y porter des nouvelles et y demander des secours. Comme le comte Des Gouttes voulait s'y opposer afin de retenir ses services

« Eh parbleu! Monsieur le comte, répliqua-t-il, je resterais bien si vous me donniez un de vos gros vaisseaux de guerre, qui sont ici à ne rien faire; vous verrez que j'en tirerai bien meilleur effet que de ma seule frégate. »

Le 15 juillet, la méchante frégate, portant les dépêches officielles et deux ou trois déserteurs, appareilla à la faveur du brouillard et de la nuit, sortit du port et fut aperçue des Anglais postés dans un phare, qui la signalèrent par des fusées à l'escadre de l'amiral Hardy; plusieurs bâtiments furent détachés à sa poursuite, à certaine distance, jusqu'à ce qu'ils la perdissent de vue dans l'épaisseur du brouillard. « Si je l'avais sous mes ordres, dit plus tard l'amiral Boscawen, je le nommerais sur-le-champ commandant de vaisseau. » L'historien de Louisbourg ajoute : « Si Vauquelin avait eu le rang du comte Des Gouttes, le sort de la ville n'eût pas été le même; en tout cas, la défense eût fait plus grand honneur à la marine française » (V. MacLennan). L'Aréthuse accosta à Santander, le 2 août (V. Rapp. des Arch. can., 1911).

L'année suivante, l'intrépide Dieppois retourne à Québec et reçoit le commandement du port, durant le siège : il est à bord de la frégate l'Atalante. Mais c'est au mois d'avril 1760 qu'il s'illustra dans le dernier épisode, dont M. de Lévis et lui furent les deux héros. Lui-même a fait le récit de l'aventure, où il seconda l'entreprise contre Québec par la bataille de Sainte-Foy.

« Je partis, dit-il, le 20 avril de la rivière de Sorel (Richelieu) où il avait hiverné avec nos bâtiments chargés de canons, affûts, poudres et ustensiles : la Pomone, l'Atalante, frégates, la flûte la Pie et deux bateaux chargés d'effets pour l'armée, qui partit le même jour des côtes de la rive nord. Le 28, à l'Anse-au-Foulon, où était la flûte la Marie, avec deux bâtiments et deux goélettes, chargées à Montréal, M. de Lévis venait de gagner la bataille sur les troupes ennemies, rentrées ensuite à Québec, ayant abandonné toute leur artillerie. Partie de notre flottille à l'Anse-au-Foulon, à une lieue de la place, partie à l'Anse-Sillery à une demi-lieue au-dessus de la première, on débarqua journellement ce dont l'armée des Plaines d'Abraham avait besoin, munitions et vivres. Les travaux avançaient.

Mais, le 9 mai, un vent nord-est nous amena une frégate anglaise de 30 canons : ce qui nous surprit, mais ne nous inquiéta point. Je demandai à M. de Lévis 60 Canadiens pour augmenter mon équipage de 110 hommes, pour servir 11 canons de 8 et avoir un peu de mousqueterie. Le 11 au matin, nos batteries commencèrent à tirer. Le 15 au soir, on fit, de la Pointe-de-Lévis, signal d'un vaisseau ennemi, le nord-est continuant. J'ai fait partir aussitôt un officier en informer M. le Chevalier et lui demander ses ordres. Le 16, l'officier rapporta que j'eusse à appareiller au-dessus de la place, aussitôt que je verrai l'ennemi sous voile, car M. de Lévis avait vu un vaisseau et une frégate à lÎle d'Orléans, allant rejoindre la première sous Québec. Le même matin, ces trois voiliers remontent vers nous. Aussitôt, je donne ordre aux miens de faire voile. Par malheur, la Pomone, abattue du mauvais côté, s'est trouvée échouer dans l'Anse-au-Foulon. J'ai continué à faire route avec les autres bâtiments, mais en marchant mieux qu'eux; et la première des frégates m'approchant, je pris le parti de les faire donner dans la rivière du Cap-Rouge, à deux lieues de l'endroit d'où nous partions, pour sauver le dépôt par cette manuvre et le mettre à portée d'être enlevé par l'armée, bien persuadé que les frégates ennemies s'acharneraient à me chasser. Je fis mettre toutes voiles dehors, faisant canonner la plus proche; mais un bateau du roi et la chaloupe s'étant remplis d'eau, j'ai été obligé d'en faire couper l'amarre : celle du canot ayant déjà manqué, je me suis trouvé sans un bateau. La seconde frégate anglaise doublait presque notre sillage. Voyant qu'elles me joindraient sous peu, j'ai cherché un endroit commode pour échouer la mienne et sauver les équipages si nécessaires à la colonie. Le pilote indiqua la Pointe-aux-Trembles, où nous sommes arrivés à sept heures et demie, ayant les frégates à une portée et demie de mousquet derrière nous.

« La frégate ayant échoué, les deux ennemies se sont mouillées par ses travers, à demi-portée de canon, et ont fait autant de feu qu'elles ont pu. Nous avons aussi fait feu; et, pour que la frégate se tint plus longtemps droite, j'ai fait couper son grand mat. A neuf heures et demie, on s'est trouvé sans poudre, l'eau ayant gagné la soute et submergé quatre barils. On s'est restreint à avoir le mousquet dans les bras et à nous munir de cartouches contre leurs canots. On cria à quelques habitants de nous envoyer un bateau pour débarquer; je chargeai le sieur Sabourin de préparer un artifice, pour brûler la frégate. Longtemps attendu, le bateau est enfin venu, dans lequel il s'embarque le plus de monde possible, et on leur donna un bout de cordage pour faire un va-et-vient; mais, arrivés à terre, ils ont largué (lâché) le cordage et laissé le bateau prendre la fuite, de sorte que, comme il y avait marée descendante il s'est trouvé à sec, nous isolés sur la frégate, qui commençait à donner un grand gîte (lieu où un bateau est échoué).

« Alors j'ai réfléchi sur le projet de la brûler, et ayant combiné comme elle était crevée et hors d'état d'être renflouée, j'ai pensé mieux de ne pas le faire, ayant espoir d'en sauver plus tard canons et ingrédients utiles à la colonie. Mais l'ennemi continuait son feu, tuant et blessant toujours quelqu'un. La frégate a toujours tombé, couchée au point de ne pouvoir presque plus se tenir sur le pont : je fis couper le mat de misaine.

« La nécessité de faire descendre nos équipages et nos blessés à terre nous a fait faire un mauvais radeau, qui débarqua 12 à 15 hommes, lesquels remirent le bateau, échoué par la faute des premiers sauvés : avec lui, on continua le débarquement, tandis que l'ennemi recommença son feu. Il restait encore un voyage à faire, lorsque, à une heure et demie, les canots anglais vinrent à bord : nous les avons laissés monter et j'ai été fait prisonnier avec cinq de mes officiers : les sieurs Sabourin et Thomas lieutenants, Deshaies enseigne, Chaumillon écrivain et le sieur Bassens aumônier, ainsi que 6 hommes de l'équipage.

« Nous avons été conduits, moi et le sieur Sabourin, à bord du sieur de Schomberg, capitaine de la Diane, armée de 32 canons; les autres officiers ont été mis à bord de M. Deane, commandant le Lowestoff, armé de 24. J'ai prié le premier d'envoyer un parlementaire pour débarquer à terre les blessés du bord : ce qu'il a fait de la meilleure grâce du monde. Nous ignorons au juste le nombre des tués et blessés; mais cela va au moins à 43 hommes et la plupart des blessés le sont dangereusement, excepté les sieurs Sabourin, Thomas, Deshaies et moi qui le sommes légèrement. Puis ils ont envoyé leurs canots à bord de l'Atalante pour en tirer choses de quelque utilité; mais ils sont revenus tels qu'ils y étaient allés, ayant trouvé les cordages hachés, les voiles brisées et en pièces.

« M. Schomberg m'a dit avoir tiré 500 coups de canon et M. Deane 350. Le capitaine envoya, le lendemain 17 mai, mettre le feu à bord de l'Atalante. » (V. Abbé Casgrain, Coll. des manus. du maréchal de Lévis, t. XI.)

Quoi que M. Faucher de Saint-Maurice ait affirmé des égards du commodore Swanton du Vanguard envers le prisonnier, il est avéré qu'il était rapatrié au port de La Rochelle, le 9 du mois d'août suivant (V. Rapp. des Arch. can., 1911).

D'après les Archives de la Marine, la première commission officielle que reçut le commandant Vauquelin était celle de capitaine de brûlot, le 5 novembre 1761, puis celle de lieutenant de vaisseau le 1er octobre 1764. Ses états de service (pièce aux Archiv. Na­tion.) ajoutent : 21 campagnes, avant d'entrer au service, 3 combats, 2 contusions, plusieurs commandements : en 1761, a commandé la flûte la Bricole, du Havre à Rochefort; en 1765, la flûte la Coulisse, sous M. de Vendes Turgot, capitaine de vaisseau, à Cayenne, à la Martinique, à Saint-Domingue, désarmant le 3 juin; en 1766, la flûte la Garonne aux îles de France et Bourbon et a été chargé de différentes missions pendant cette campagne, en 1767-68, désarmant à Brest en décembre 1769, où il a été porté des plaintes contre lui pour avoir traité quelques nè­gres à son bénéfice ; en 1770, ordre du ministre, duc de Praslin, de l'enfermer au château du Taureau (estuaire de Morlaix), durant trois mois, puis à Nantes; remis en liberté, il se rend à Rochefort, en octobre 1770 et 1771; en 1772, le 4 août, nommé au commandement de la gabarre la Faune, armée à Lorient, il tombe malade à Nantes, obligé de retourner à Rochefort, où il meurt le 10 novembre 1772.

Un monument lui a été érigé à Montréal et un autre à Dieppe, en vertu d'une souscription faite au Canada, le 14 septembre 1930.

Il a donné son nom à la place Vauquelin à Montréal, ainsi qu'à la classe Vauquelin de contre-torpilleurs français, construits entre 1931 et 1933.

Prochainement je vous parlerais d'un autre de mes ancétres qui s'est distingué en martinique.

  • Habitués
Posté(e)

C'est passionnant ! Vive la généalogie ! :wub:

Figures-toi que moi ma grand-mère s'appelait RIVERIN et que j'ai découvert dernièrement que c'était un nom très courant au Québec ! J'ai d'ailleurs pu lire grâce à Internet une thèse très complète sur l'arrivée des deux premiers frères RIVERIN au Québec.

Mais aujourd'hui je ne sais toujours pas si je fais partie de cette lignée ! Je creuse, je creuse ... -_- Qui sait un jour peut-être fais-je avoir une information intéressante de ce côté ... Et aujourd'hui on a la chance d'avoir accès aux vieux actes de l'état civil, en ligne, pour la France au moins, c'est génial ! Çà aide bien, surtout quand on est loin ! :)

Personnellement, l'histoire çà n'a jamais été mon truc, mais là, comme çà concerne la famille, c'est vrai que l'on finirait par s'accrocher et on a envie de tout savoir, c'est un peu comme mener une enquête !

A bientôt, pour la suite des aventures de tes ancêtres ... ;)

  • Habitués
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merci zemida, c'est vrai que lorsque j'étais jeune, l'histoire ça me passé au dessus de la tête et je ne comprenais pas pourquoi à l'époque mon père aimait ça alors que je suis plutôt science fiction. mais maintenant je trouve passionnant car en fait maintenant je lis l'histoire comme si c'était de la SF mais passée, drôle de contexte.

Mais l'histoire de sa famille quand elle est riche en récits est vraiment passionnant, après c'est sur si on s'appelle durand ou dupond ça doit être très complexe pour la généalogie.

  • Habitués
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en plus tu es de Normandie aussi zemida, et apparemment beaucoup de normands ont été au Québec,d'ailleurs si on regarde la Gaspésie et son rocher percé cela ressemble trait pour trait à la Normandie et la célèbre falaise d'étretat .

comme disait je ne sais plus qui , on descend tous du singe :lol:

  • Habitués
Posté(e)

C'est passionnant ! Vive la généalogie ! :wub:

Figures-toi que moi ma grand-mère s'appelait RIVERIN et que j'ai découvert dernièrement que c'était un nom très courant au Québec ! J'ai d'ailleurs pu lire grâce à Internet une thèse très complète sur l'arrivée des deux premiers frères RIVERIN au Québec.

Mais aujourd'hui je ne sais toujours pas si je fais partie de cette lignée ! Je creuse, je creuse ... -_- Qui sait un jour peut-être fais-je avoir une information intéressante de ce côté ... Et aujourd'hui on a la chance d'avoir accès aux vieux actes de l'état civil, en ligne, pour la France au moins, c'est génial ! Çà aide bien, surtout quand on est loin ! :)

Personnellement, l'histoire çà n'a jamais été mon truc, mais là, comme çà concerne la famille, c'est vrai que l'on finirait par s'accrocher et on a envie de tout savoir, c'est un peu comme mener une enquête !

A bientôt, pour la suite des aventures de tes ancêtres ... ;)

Bonjour Zemida!:)

À l'oreille ;) , le patronyme RIVERIN ne me semblait pas si familier mais de fait, il est classé au 948ième rang des noms les plus courants. Il est porté par ,017% de la population.

http://www.stat.gouv.qc.ca/donstat/societe/demographie/noms_famille/noms_famille_1000.htm

J'ai retracé des mariages "Riverin" dès le 17ième siècle.

  • Habitués
Posté(e)

et le singe d un rocher ou de l arbre .... :innocent:

  • Habitués
Posté(e)

Perso je suis employeur je reçois un CV avec un historique dont j'ai rien à foutre je met le CV à la poubelle sans lire d'avantage :lol:

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Perso je suis employeur je reçois un CV avec un historique dont j'ai rien à foutre je met le CV à la poubelle sans lire d'avantage :lol:

ah bon, tu mets pas d'historique, toi ?

Moi je mets tout sur mon arrière grand père qui était un sacré gaillard.

Un jour il a étouffé un veau en lui serrant le cou de la main gauche alors qu'il se servait un pastis avec la droite. Et tout ça en embrassant mon arrière grand-mère.

Il a aussi incendié la maison d'un gars qui lui avait servi à manger une chèvre sans lui dire qu'elle avait crevé d'une maladie inconnue. Le tribunal l'avait acquitté tant il avait été convainquant. D'un autre côté, il mesurait 2m17 et connaissait l'adresse du juge.

Ben, je comprends pas, personne m'appelle en entrevue. Sont contre les immigrants dans ce pays...

  • Habitués
Posté(e)

certains se plaignent de quebec bashing mais la j avoue j en rie fort en effet meme pas debarque et tu fais du british bashing .... tu verras te trompes pas d entreprise dans ton domaine d origine beaucoup ne sont pas quebecoises ... du coup ca risque de ne pas marcher tout court et depuis que je suis ici j en ai vu des trucs bizarres mais un cv historique c est une premiere mais qui sait ca peut marcher si on se trompe pas de marche ...

par contre c est a double tranchant ne pas oublier que la France et un "bon" roi a choisi un jour un endroit plus ensoleille ....

:innocent:

  • Habitués
Posté(e)

certains se plaignent de quebec bashing mais la j avoue j en rie fort en effet meme pas debarque et tu fais du british bashing .... tu verras te trompes pas d entreprise dans ton domaine d origine beaucoup ne sont pas quebecoises ... du coup ca risque de ne pas marcher tout court et depuis que je suis ici j en ai vu des trucs bizarres mais un cv historique c est une premiere mais qui sait ca peut marcher si on se trompe pas de marche ...

par contre c est a double tranchant ne pas oublier que la France et un "bon" roi a choisi un jour un endroit plus ensoleille ....

:innocent:

Où vois-tu le "british bashing" dans l'historique joint par munetta?:unsure:

Munetta a une façon bien personnelle de présenter son CV. Force est de constater qu'à ce jour, cela lui a plutôt bien servi. Certains employeurs jugeront son annotation superflue alors que d'autres pourront en être séduits, soit à cause de son originalité (valeur reconnue comme étant positive au Québec) soit par son souci de créer des liens d'appartenance, ce qui démontre aussi sa volonté et son intérêt réel pour un emploi au Québec. C'est aussi un bon présage pour une future intégration réussie.

Qui ne risque rien n'a rien....

  • Habitués
Posté(e)

oui kobico je le vois comme cela , l'innovation .

j'étais employeur avant aussi , et j'aurais aimé je pense voir une chose originale dans un CV.

après qu'on soit employé ou employeur chacun a ses propres points de vues ,heureusement .

c'est vrai certains vont mettre mon CV à la poubelle et que sur une poignée d'autres seront intrigués voir intéressés.

si je compare avec la France j'ai eu plus de réponses positives pour le Québec qu'ici en france.

en plus je ne sais même pas ce que veut dire british bashing et je ne faisais que rapporter des faits riches en histoire de mes ancêtres. :B)

  • Habitués
Posté(e)

oui kobico je le vois comme cela , l'innovation .

j'étais employeur avant aussi , et j'aurais aimé je pense voir une chose originale dans un CV.

après qu'on soit employé ou employeur chacun a ses propres points de vues ,heureusement .

c'est vrai certains vont mettre mon CV à la poubelle et que sur une poignée d'autres seront intrigués voir intéressés.

si je compare avec la France j'ai eu plus de réponses positives pour le Québec qu'ici en france.

en plus je ne sais même pas ce que veut dire british bashing et je ne faisais que rapporter des faits riches en histoire de mes ancêtres. :B)

"Bashing" signifie "dénigrement" en anglais. Selon 747fan, les faits que tu rapportes à propos de ton ancêtre constituent une forme de dénigrement des britishs....-_-

En passant, les recherches généalogiques sont un loisir très populaire au Québec.

  • Habitués
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oui kobico je le vois comme cela , l'innovation .

j'étais employeur avant aussi , et j'aurais aimé je pense voir une chose originale dans un CV.

après qu'on soit employé ou employeur chacun a ses propres points de vues ,heureusement .

c'est vrai certains vont mettre mon CV à la poubelle et que sur une poignée d'autres seront intrigués voir intéressés.

si je compare avec la France j'ai eu plus de réponses positives pour le Québec qu'ici en france.

en plus je ne sais même pas ce que veut dire british bashing et je ne faisais que rapporter des faits riches en histoire de mes ancêtres. :B)

"Bashing" signifie "dénigrement" en anglais. Selon 747fan, les faits que tu rapportes à propos de ton ancêtre constituent une forme de dénigrement des britishs....-_-

En passant, les recherches généalogiques sont un loisir très populaire au Québec.

oui montrez que son ancetre s est battu contre les anglais si c est pas du brits bashing c est quoi lol .... cela etant il y a encore des anglophones au Quebec et c est aupres d eux que ca passera le moins lol ...!!!

mais pour l instant le retour est positif mais meme si je lui souhaite sincerement une integration parfaite. seule l arrivee pourra le dire.

  • Habitués
Posté(e)

ty tous

en plus les batailles franco britanniques ça datent depuis très longtemps historiquement :lol: et québeco britanniques aussi.

  • Habitués
Posté(e)

mais sur ce sujet il y en a encore qui vivent avec la haine de l anglais ...!!!!

tu verras de quoi je parle une fois sur place ... :innocent:

  • Habitués
Posté(e)

j' en doute pas mais je n'ai pas la haine des anglais je suis natif de normandie et chez nous on a beaucoup d'anglais .

faut le prendre avec neutralité :lol:

  • Habitués
Posté(e)

oui kobico je le vois comme cela , l'innovation .

j'étais employeur avant aussi , et j'aurais aimé je pense voir une chose originale dans un CV.

après qu'on soit employé ou employeur chacun a ses propres points de vues ,heureusement .

c'est vrai certains vont mettre mon CV à la poubelle et que sur une poignée d'autres seront intrigués voir intéressés.

si je compare avec la France j'ai eu plus de réponses positives pour le Québec qu'ici en france.

en plus je ne sais même pas ce que veut dire british bashing et je ne faisais que rapporter des faits riches en histoire de mes ancêtres. :B)

"Bashing" signifie "dénigrement" en anglais. Selon 747fan, les faits que tu rapportes à propos de ton ancêtre constituent une forme de dénigrement des britishs....-_-

En passant, les recherches généalogiques sont un loisir très populaire au Québec.

oui montrez que son ancetre s est battu contre les anglais si c est pas du brits bashing c est quoi lol .... cela etant il y a encore des anglophones au Quebec et c est aupres d eux que ca passera le moins lol ...!!!

mais pour l instant le retour est positif mais meme si je lui souhaite sincerement une integration parfaite. seule l arrivee pourra le dire.

Bien franchement, 747fan, tu as l'imagination trop fertile. :ph34r:

Tu vois malheureusement de la haine partout, je veux dire là où il n'y en a pas. C'est dommage et bien triste....:(

  • Habitués
Posté(e)

oui kobico je le vois comme cela , l'innovation .

j'étais employeur avant aussi , et j'aurais aimé je pense voir une chose originale dans un CV.

après qu'on soit employé ou employeur chacun a ses propres points de vues ,heureusement .

c'est vrai certains vont mettre mon CV à la poubelle et que sur une poignée d'autres seront intrigués voir intéressés.

si je compare avec la France j'ai eu plus de réponses positives pour le Québec qu'ici en france.

en plus je ne sais même pas ce que veut dire british bashing et je ne faisais que rapporter des faits riches en histoire de mes ancêtres. :B)

"Bashing" signifie "dénigrement" en anglais. Selon 747fan, les faits que tu rapportes à propos de ton ancêtre constituent une forme de dénigrement des britishs....-_-

En passant, les recherches généalogiques sont un loisir très populaire au Québec.

oui montrez que son ancetre s est battu contre les anglais si c est pas du brits bashing c est quoi lol .... cela etant il y a encore des anglophones au Quebec et c est aupres d eux que ca passera le moins lol ...!!!

mais pour l instant le retour est positif mais meme si je lui souhaite sincerement une integration parfaite. seule l arrivee pourra le dire.

Bien franchement, 747fan, tu as l'imagination trop fertile. :ph34r:

Tu vois malheureusement de la haine partout, je veux dire là où il n'y en a pas. C'est dommage et bien triste....:(

heureusement tu es la pour retablir ta verite ...

:innocent:

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