Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour « ontario ».
-
Entrée express et télétravail employeur québécois
Famille_lefe a répondu à un(e) sujet de NiiteShida dans Ontario
C'est LA question du moment. On est des milliers à prendre en compte EE Xp canadienne. Allez vivre en Ontario et travailler dans notre emploi actuel qu'on a acquit car c'était une obligation pour notre permis fermé et qui devait nous envoyer directement vers le PEQ... Si on suit l'article 6 de la charte canadienne des droits et liberté : Quand on lit, c'est Open-bar. Mais que dit la réalité. Parce que, si on lit les textes, rien ne nous empêche de rien. Mais dans les forums, on lit tout et n'importe quoi. Il y en a qui dise de partir dès que notre dossier est accepté. D'autre qu'il faut obligatoirement travailler hors québec, d'autre l'inverse, vivre hors quebec. D'autres disent les 2. Un autre dit qu'on ne pourra jamais revenir au Québec même avec la nationalité car ca voudra dire qu'on a fait une fausse déclaration. Les textes disent qu'on fait ce qu'on veut. J'ai écrit à IRCC. Parce que finalement, on ne sait pas. Est-ce que le demandeur principal peut habiter en Ontario mais la famille peut rester à Québec. Genre à minima attendre la fin de l'année scolaire. Si on gagne 150.000$ à l'année, on ne va pas prendre le premier emploi à 80000$. Combien on a de temps pour trouver un emploi correct ? A partir de quand IRCC considère qu'on doit partir et à partir de quand IRCC considère qu'on peut revenir. -
https://www.lapresse.ca/actualites/chroniques/2025-11-17/abolition-du-programme-de-l-experience-quebecoise-pour-les-immigrants/respecter-les-cibles-oublier-les-humains.php En abolissant un programme phare en immigration offrant une voie rapide vers la résidence permanente, le gouvernement Legault rompt un contrat moral avec des étudiants et des travailleurs étrangers francophones qu’il avait pourtant lui-même cherché à attirer. En vue de la manifestation prévue ce lundi pour réclamer une clause de droits acquis, notre chroniqueuse s’est intéressée au parcours d’immigrants qui espèrent que Québec respectera sa promesse. Recrutée et larguée par le Québec Recrutée par le Québec pour combler la pénurie de main-d’œuvre dans le réseau de la santé, Florence Bollet Michel ne pouvait s’imaginer qu’elle serait un jour larguée par ce même Québec. La promesse qu’on lui avait faite était pourtant claire : le réseau de la santé avait besoin d’elle, et si elle acceptait de venir travailler au Québec, elle pourrait y construire une vie. Avant d’entraîner toute sa famille dans son projet d’immigration, la travailleuse sociale française, mère de quatre enfants, avait pris soin de s’assurer qu’elle aurait le droit à une stabilité. Pas question pour elle de quitter une vie très confortable pour 36 mois seulement – la durée du contrat initial de travail qu’on lui offrait à Montréal. Qu’est-ce qui se passe après 36 mois ? avait-elle demandé avant de tout quitter pour répondre à l’appel de Recrutement Santé Québec. On m’avait dit : ne vous inquiétez pas, vous aurez du travail pour plus d’une vie. Vous pourrez facilement avoir la résidence permanente et rester toute votre vie. Il y a plein de programmes qui permettent au bout de deux ans de l’obtenir. Ce n’était pas faux… à l’époque. De tels programmes existaient en 2022, au moment où Florence a entamé ses démarches. « Ce qu’on ne dit pas, c’est que les politiques d’immigration peuvent changer du jour au lendemain ! » Forte de la promesse qui lui a été faite, Florence s’installe donc à Montréal avec sa famille en avril 2023. Elle y travaille comme travailleuse sociale en soins à domicile auprès des aînés. Elle est accueillie à bras ouverts par une équipe qui est vraiment heureuse d’avoir du renfort. « Quand je suis arrivée, il manquait la moitié de l’équipe. J’étais vraiment attendue ! » Tout se passe à merveille pour Florence, son mari et leurs enfants. La famille achète une maison. Les enfants sont inscrits à l’école. Des amitiés sont nouées. L’intégration va bon train. Mais les choses se compliquent au moment où Florence, après avoir cumulé les 24 mois de travail exigés pour accéder à la résidence permanente, dépose sa demande dans le cadre du Programme de l’expérience québécoise (PEQ). Heureuse d’avoir enfin en main toutes les feuilles de paie et les autres documents requis par le PEQ, elle envoie sa demande en ligne le 5 juin dernier à 10 h 30. Et là, surprise ! Elle reçoit un message d’erreur. Le PEQ pour les travailleurs étrangers avait été suspendu inopinément à peine quelques heures avant, le 4 juin, à minuit. Florence, incrédule, fond en larmes. Comment on peut fermer un programme du jour au lendemain sans même un préavis, sans même informer les gens ? Ce jour-là, en conférence de presse, le ministre de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration, Jean-François Roberge, justifie la suspension du programme comme une mesure permettant au gouvernement de respecter ses cibles d’immigration pour 2025. Pour ce qui est de respecter les êtres humains, ça ne semble pas être une priorité. Le 6 novembre, le dernier coup de grâce a été donné au PEQ. Tout en annonçant une baisse des seuils d’immigration pour 2026, le gouvernement Legault a aboli le programme, une décision désastreuse décriée tant par les employeurs et le milieu des affaires que par le milieu de l’enseignement supérieur. Québec solidaire et le Parti libéral estiment aussi qu’il s’agit d’une décision injustifiée. Pour Florence, comme d’autres soignantes recrutées par Québec, la fin du PEQ est la confirmation d’une promesse non tenue. On disait leur travail indispensable – et il l’est. Mais voilà qu’elles sont traitées comme une main-d’œuvre jetable. « On est des êtres humains, quand même ! » Aux laissés-pour-compte du PEQ, le ministre Roberge suggère de tenter leur chance dans le nouveau Programme de sélection des travailleurs qualifiés, sans leur offrir aucune garantie. Bref, rien de très rassurant pour Florence et ses collègues. Au stress inhérent à leur travail s’ajoute un stress quant à leur avenir incertain une fois leur contrat échu. Touchée par le soutien de son employeur, de ses collègues et de toute sa communauté d’accueil, Florence n’entend pas baisser les bras. J’ai dit à mes enfants en rigolant : je suis coriace. Le Québec n’a pas fini avec moi. On ne peut pas mettre maman dehors comme ça ! En prenant la parole, elle se fait le porte-voix de plusieurs soignantes, dont certaines, mères seules, sont dans des situations plus précaires que la sienne. Soigner, c’est aussi défendre ce qui est juste, rappelle-t-elle. Et ce qui est juste, c’est que le Québec respecte son engagement. « Comme dans la magnifique série Empathie, on aimerait bien un peu plus d’empathie de la part du gouvernement. Parce que, pour le moment, on a l’impression qu’il n’y en a pas. » PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, COLLABORATION SPÉCIALE Julian Ballester est venu au Québec pour étudier en études littéraires. Du rêve aux antidépresseurs Lorsque Julian Ballester a choisi de quitter la France pour venir étudier au Québec, il l’a fait sur la foi d’une promesse sécurisante : s’il respectait les règles du volet « diplômé » du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), il aurait accès à une voie d’accès rapide vers la résidence permanente. Mais voilà : alors qu’il était déjà bien engagé sur cette voie et avait fait tous les sacrifices qui s’imposent, Julian a appris que la voie d’accès n’existait plus. Le gouvernement Legault l’a d’abord brutalement bloquée l’an dernier, en suspendant sans préavis le volet « diplômé » du PEQ. Et puis, un an plus tard, le ministre Jean-François Roberge vient de sortir le bulldozer, détruisant d’un coup la route et les rêves de tous ceux qui s’y étaient engagés. Pour l’étudiant en études littéraires, qui a été professeur de francisation pendant deux ans et demi et espérait enseigner le français et la littérature québécoise au terme de son parcours, la suspension du PEQ correspond au moment où il a dû commencer à prendre des antidépresseurs. Le matin où il a appris la nouvelle en prenant son café, il a senti sa vie basculer. Il était à quelques semaines d’obtenir sa maîtrise et de réaliser son rêve québécois grâce au PEQ. Mais voilà que le gouvernement changeait les règles du jeu. J’ai vraiment vu ma vie s’effondrer à ce moment-là. J’ai sombré psychologiquement. L’étudiant de 36 ans a alors reçu un diagnostic de trouble anxieux généralisé. « C’est la première fois de ma vie que je prends des antidépresseurs. Et puis, je n’imagine pas une seule seconde arrêter de les prendre parce que la vie qu’on a maintenant au Québec comme immigrant, elle est tellement précaire. » Julian avait longtemps considéré le Québec comme un îlot à l’abri de l’instrumentalisation de la question migratoire dont il avait été témoin en Europe. Pour lui, le Québec était une terre d’accueil qui résistait à la tentation de transformer l’immigrant en bouc émissaire. Mais petit à petit, il a senti le discours politique changer. « Psychologiquement, ça commençait déjà à être dur de sentir que je ne pouvais pas considérer que j’étais chez moi au Québec. » Avec l’abolition du PEQ, il a l’impression que sa vie, comme celle de tant d’autres immigrants, est littéralement « jetée à la poubelle ». « Et ce qui est vraiment dur à vivre, c’est la sensation que ça se fait dans l’indifférence générale. » Même s’il se sent profondément déçu, triste, pessimiste et même en colère devant le sort réservé aux immigrants comme lui, Julian insiste sur l’amour qu’il a encore et toujours pour le Québec, la force des liens humains et des amitiés qu’il y a tissés. PHOTO ÉDOUARD DESROCHES, COLLABORATION SPÉCIALE La peur de devoir quitter le Québec, c’est aussi et surtout la peur de quitter une vie et des personnes que j’aime profondément. S’il se cherche des portes de sortie en Ontario ou ailleurs, son désir premier est de se battre pour rester dans ce Québec dont il veut défendre la langue et la culture. Pour peu qu’on lui fasse une place… « Derrière la colère, il y a toujours l’envie de croire à un avenir et à un “chez soi” ici. » Ils sont des milliers comme Julian à avoir quitté leur pays fort d’une promesse de Québec qui a été trahie. Ils sont des milliers à se sentir floués aujourd’hui. En écoutant Julian me parler de son amour de la littérature québécoise, des grandes autrices féministes Madeleine Gagnon et Nicole Brossard qu’il affectionne particulièrement, d’Huguette Gaulin, incroyable poète à la fin tragique qui demeure trop peu connue… En écoutant Florence me parler de l’amour de son métier qui consiste à soigner, accompagner, tenir la main de personnes âgées, et de l’amour qu’elle éprouve pour le Québec où elle rêve de voir grandir ses enfants… En les écoutant, je me suis dit qu’en vérité, c’est toute la société québécoise qui est flouée si on les laisse partir comme ça.
-
Bonjour à tous ! Je suis à la recherche d’un VUS 7 places, avec un budget entre 4000$ et 7000$. J’habite dans la ville de Québec, mais je remarque que les meilleures offres sont souvent du côté de l’Ontario. Avant de me lancer, j’aimerais avoir vos avis ou expériences : Quels sont les avantages et inconvénients d’acheter un véhicule dans une autre province (comme l’Ontario) et le ramener au Québec ? Est-ce que le processus d’immatriculation, d’inspection ou autre peut poser problème ? Des choses importantes à vérifier avant l’achat ? Merci d’avance pour vos conseils et vos partages d’expérience !
-
Faites-le quand même l'inscription est gratuite au PSTQ, tentez votre chance quand même si vous avez une invitation vous serez chanceux. Voyez si vous avez des nouvelles d'ici le début de l'année prochaine et sinon essayez l'Ontario vous aurez la résidence permanente très rapidement car dès que vous avez les critères d'un an de travail au Canada vous l'aurez ce que vous avez déjà et les traitements de dossier sont rapides et vous serez protégés durant le processus en ayant un permis ouvert de travail le temps du traitement sur demande si votre permis fermé expire. Je ne connais pas le principe de la reconnaissance, de l'équivalence d'infirmier en Ontario. https://www.canada.ca/fr/immigration-refugies-citoyennete/services/immigrer-canada/entree-express/qui-presenter-demande/categorie-experience-canadienne.html#travail
-
Bonjour à tous, Petite question à laquelle j'ai du mal à répondre. Une amie souhaite passer par le programme EE pour avoir la RP (volet expérience canadienne), ça ne la dérange pas de s'installer en Ontario et son employeur (Montréal) a la possibilité de la mettre en 100% télétravail. Cette configuration est-elle correcte aux yeux d'IRCC ou le fait que l'employeur soit au Québec peut poser un problème par la suite ? Selon moi c'est le lieu de résidence qui compte mais j'aimerais bien avoir d'autres avis. D'avance merci !
-
Bonjour, Je sais que des questions du genre ont déjà été posées, mais les choses évoluent tellement vite coté immigration que je préfère les reposer Je vis actuellement au Québec depuis quelques mois avec un permis fermé mais, pour diverses raisons, je ne suis pas vraiment sur de vouloir y rester sur le long terme. Je songe en effet à chercher du travail en Ontario voir peut-être à ouvrir une succursale de ma société là-bas. Je pense que la méthode la plus simple est de passer par une entrée express et une résidence permanente. Je travail dans un secteur en demande donc je pense que ca peut être accepté. Seulement voilà j'ai quelques questions: - C'est possible de demander une entrée Express en Ontario alors qu'on est déjà en permis fermé au Québec? si oui, ca fait perdre des points? - Au niveau de l'administratif je dois m'attendre a des difficultés particulières? - Dans le cas où j'obtiens ma RP mais que mon projet professionnel ne se concrétise pas, on peut faire machine arrière et revenir travailler au Québec avec une RP en Ontario? si oui, dans quel délai? Merci par avance
-
Bonjour J'ai rempli une demande de déclarations intérêts dans le programme PSTQ pour recevoir une invitation, et ensuite faire les démarches pour une demande de résidence permanente au Québec ( dossier à mon nom incluant un conjoint). A ce jour, aucune nouvelle, aucune invitation. et les chances sembles minces de recevoir une invitation selon les dernières actualités. Savez-vous si je peux faire une demande en parallèle pour ENTREE EXPRESS CANADA ( immigration hors Québec) ? est ce légal de faire 2 demandes de déclarations d'intérêts en même temps (1 pour Québec et 1 pour Ontario) à mon nom ? ou peut être au nom de ma conjointe ? merci d'avance pour vos réponses et bonne journée.
-
Recherche emploi en Ontario - programme mobilité francophone
Thibault84 a posté un sujet dans Ontario
Bonjour, Je recherche actuellement un emploi dans les villes d'Ottawa et Toronto dans le domaine administratif. Je voudrais connaitre des entreprises ou n'importe quelle structure qui recrutent avec le programme de la mobilité francophone. Je peux être ouvert à d'autres villes et provinces. Merci. -
Bonjour tout le monde ! Svp, j'ai besoin de votre expérience. Ayant atteri à Ottawa il ya 2 ans et 3 mois suite à la nomination le l'ontario dans le cadre d'entrée express (j'ai donc passé plus de 2 ans en ontario). Maintenant, je vais déménager au Québec et je vais présenter ma demande de citoyenneté dans 9 mois. Pensez vous que ceci pourrait présenter un risque de refus de citoyenneté ? Merci à vous !
-
https://immigrer.com/fr/actualites/pstq-une-transition-toujours-difficile-entre-un-statut-temporaire-et-la-residence-permanente/ Les invitations à la résidence permanente sont extrêmement faibles en ce moment à peine 1000 personnes depuis le mois de juillet. Je vous conseille de prévoir un plan B peut-être en Ontario. Le gouvernement va sans doute juste attendre d'accepter les gens qui ont déjà fait leur demande arrivent en fin de processus avant d'émettre de nouvelles sélections en nombre car les quotas de 2026 vont sans doute être atteints avec les dossiers en attente de cette année qui dépassent le quota de 2025. Pour les regroupements familiaux il y a 40000 dossiers en attente et seulement environ 10000 places par an donc des attentes de plus de 4 ans maintenant pour ceux qui font une demande aujourd'hui. Faites votre inscription mais aucune garantie les critères semblent extrêmement hauts. Nous sommes à un an des élections et ils risquent de complètement bloquer le tout jusque là ... .
-
Sur mon ancien profil, j'ai reçu une nomination d'Ontario. Mais en moins d'un mois, mon profil d'entrée Express a été considéré comme incomplet. Pour les médecins, l'entrée Express n'accepte que l"EDE du CMC et non le WES. Alors j'ai refait le profil, mais maintenant j'ai 600 points moins. L'Ontario m'a envoyé un nouveau un avis de désignation, mais je ne veux pas repayer le même montant en moins d'un mois pour analyser le même dossier. Puis-je demander à l'Ontario de transférer ma nomination sur le nouveau compte d'Entrée Express? Si oui, cela prend combien de temps? Bien sur cette fois ci, j'enverrai L'EDE du CMC dans mon dossier.
-
Salut a vous , Petite renseignement j'ai eu mon visa du programme express entry federal nomination. Notre visa est pour l'Ontario est que je pourrais habité a Gatineau avec ce visa stp? Merci d'avance
-
@Thorpen Oui, il est tout à fait possible de présenter une demande de résidence permanente via Entrée express pour s'établir en Ontario, même si vous êtes actuellement au Québec avec un permis fermé; cela n’affecte pas vos points, mais vous devrez démontrer une réelle intention de vous établir hors Québec, ce qui peut susciter des vérifications. Administrativement, il faut être prudent : évitez toute contradiction entre votre adresse actuelle, vos intentions déclarées et vos preuves de mobilité (recherche d’emploi en Ontario, etc.). Si vous obtenez votre RP via Entrée express fédéral, vous pouvez ensuite vous installer dans n’importe quelle province, y compris revenir au Québec, mais il est conseillé d’attendre quelques mois après l’établissement hors Québec afin de respecter le principe de "bonne foi" dans votre engagement initial.
-
Bonjour. La formation de préposé aux bénéficiaires offerte par la province de l'Ontario permet-elle de s'établir de façon légale au Canada ?
-
Tu as oublié les programmes provinciaux https://www.welcomebc.ca/immigrate-to-b-c/about-the-bc-provincial-nominee-program https://www.ontario.ca/fr/page/programme-ontarien-des-candidats-limmigration-poci-0 https://www2.gnb.ca/content/gnb/fr/corporate/promo/immigration/immigrer-au-nb/volets-des-programmes-d-immigration-du-nouveau-brunswick.html https://immigratemanitoba.com/fr/immigrer/ https://www.princeedwardisland.ca/fr/information/bureau-limmigration/programme-candidats-provincial
-
Il parait qu'en Outaouais il n'y a que les cons qui changent leur plaques d'immatriculation lorsqu'ils déménagent la bas de l'Ontario.
-
source : un groupe Facebook de défense humoristique (et de chialage) de la minorité anglophone du Québec.
-
Bonjour à tous, Svp, j'ai envoyé mes documents pour évaluation chez WES et j'ai aussi payé la totalité du prix de l'évaluation. J'ai envoyé via DHL mes documents le vendredi 25 septembre et j'ai reçu la confirmation de la part de DHL que mes documents ont été reçu à ontario le lundi 28 septembre. Le problème c'est que mon statut sur mon compte est toujours "we are waiting for your documents". Concrètement ça fait 7 jours que mes documents sont arrivés et que WES n'a toujours pas mis à jours le statut. Est ce normal svp? Merci beaucoup de votre aide.
-
Bonjour, j ai ce message et je me demande où est ce que je dois passer pour soumettre ma demande . j ai ce message "what date did you receive your Notification of Interest from Ontario in your IRCC online account"
-
Bjr à tous, J'ai un permis de travail fermé à Ontario Est ce possible d'entamer une demande de RP au Québec ? Si oui, dans quelles conditions svp? Mon expérience professionnelle sera t-elle prise en compte malgré qu'elle soit en zone anglophone ? Merci d'avance pour vos réponses...
-
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1978631/immigration-quebec-famille-belge-mifi-peq À l’heure où le gouvernement Legault veut plus que jamais prioriser l’immigration francophone, ses propres fonctionnaires menacent de rejeter la demande d’une famille belge pour une raison qui ne figure nulle part dans les critères de sélection du Québec : la paie du père est traitée dans une autre province. J'ai un sentiment de rejet, comme si le Québec ne voulait pas de nous, tout simplement, déplore Corentin Lienart, 33 ans. Sept mois après avoir déposé une demande d’immigration en vertu du Programme de l’expérience québécoise (PEQ), M. Lienart, sa femme et leurs deux fils restent plongés dans l’incertitude. Le délai de traitement de ce genre de dossier est pourtant de 47 jours en moyenne. Malgré des tonnes de preuves envoyées au ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI), M. Lienart n’est pas parvenu à convaincre les fonctionnaires qu’il travaille bel et bien au Québec. C’est pourtant le cas. D’origine belge, la famille Lienart s’est installée dans la région de Montréal il y a bientôt trois ans et n’a pas bougé depuis. Je travaille dans les hôpitaux du Québec, je paye mes impôts au Québec et je vis au Québec, résume le père, spécialiste clinique dans le domaine médical. Corentin Lienart est spécialiste clinique dans le domaine médical. PHOTO : CORENTIN LIENART Son permis de travail, ses talons de paie, ses avis de cotisation, les multiples lettres rédigées par son employeur : tout confirme sa version des faits. Or, l’État québécois en doute, car son employeur, Abbott Medical Canada, traite la paie de son personnel à partir de l’Ontario. Une adresse de Mississauga apparaît donc sur les feuillets fiscaux de M. Lienart. Des intentions de rejet Au début de sa demande de sélection auprès du MIFI, les choses se dessinaient plutôt bien pour M. Lienart. Quand on a soumis notre demande de CSQ [certificat de sélection du Québec], en octobre 2022, les premières communications ont été quand même très, très rapides. On a rapidement eu la demande de passer le test des valeurs québécoises, qu'on a réussi. Dès le départ, une lettre de son employeur indiquait noir sur blanc que M. Lienart travaille dans la province du Québec, comme l’exigent les critères du PEQ pour le volet des travailleurs qualifiés. C’est en décembre dernier que ses ennuis ont commencé, lorsque le MIFI lui a signalé une première intention de rejeter son dossier en raison de documents manquants ou transmis dans un format illisible. S’est alors amorcée une longue série de communications écrites, la plus récente étant datée du 16 mars dernier, dans lesquelles le MIFI a constamment exigé la transmission de nouveaux documents. L’entreprise Abbott Medical a pourtant transmis d’autres lettres au ministère dans lesquelles elle a indiqué être basée au Québec et fourni son numéro au registraire des entreprises. Dans sa plus récente missive, Abbott Medical a même ajouté l’adresse de son siège montréalais, auquel M. Lienart est rattaché. On a soumis ça le 20 mars et c'est un silence radio depuis quasi deux mois, alors que les preuves sont assez évidentes, je trouve, déplore M. Lienart. Il remplit les conditions, assure une avocate C’est également l’avis de Laurence Trempe, une avocate spécialisée en droit de l’immigration, qui a épluché les communications entre le MIFI et M. Lienart ainsi que les preuves fournies par ce dernier. M. Lienart remplit les conditions. Il occupe légalement un emploi au Québec avec les critères requis [pour le PEQ], donc 24 mois sur 36 mois, dans un emploi qualifié. Pour moi, c'est hors de tout doute, tranche-t-elle en faisant référence à l’article 34 du Règlement sur l’immigration au Québec. Me Laurence Trempe, associée chez Exeo et membre du conseil d'administration de l'Association québécoise des avocats et avocates en droit de l'immigration PHOTO : CAPTURE D'ÉCRAN / ZOOM Me Trempe confirme également avoir déjà traité des dossiers semblables à celui de M. Lienart et qu’ils ont été acceptés par le MIFI. C'est marqué noir sur blanc que c'est le lieu où s'est exercé le travail qui est pris en considération et non la source de rémunération, rappelle Me Trempe, selon qui M. Lienart doit se battre jusqu’au bout. Mauvaise foi Interrogé par Radio-Canada au sujet des critères qu'il applique pour les travailleurs qualifiés qui veulent obtenir un CSQ en vertu du PEQ, le ministère a simplement répondu qu’il vérifie que le candidat habite bien au Québec et qu’il répond à un besoin de main-d’œuvre d’un employeur situé au Québec. Une réponse dont s’insurge Me Trempe, car la notion de besoin ainsi que la localisation de l’employeur ne figurent ni dans le Règlement sur l’immigration au Québec ni dans le Guide des procédures d’immigration. Ce n'est pas ça, les critères du Programme de l'expérience québécoise! On invente des critères! Me Trempe juge la situation décourageante pour les candidats à l’immigration comme M. Lienart. Sans nouvelles du MIFI depuis bientôt deux mois, M. Lienart craint la suite des choses. Ce n’est pas en Belgique qu’il souhaite faire sa vie mais bien au Québec. Et dans le contexte politique actuel, il s’explique mal l’hésitation de sa province d’accueil. On est une famille francophone, insiste-t-il. Notre langue maternelle, c'est le français. On est établis ici depuis septembre 2020. On travaille. On participe au développement économique du Québec. Nos enfants vont à la garderie. [...] Visiblement, c'est comme si les preuves qu'on apportait n'étaient pas assez convaincantes. Pour une fois article bien traité par le journaliste, les personnes ont tout respecté et là c'est totalement aberrant de la part du MIFI.
-
Bonsoir, Help plz. J'ai reçu mon AOR le 4 novembre 2022 et depuis le 19 Avril 2023, mon statut est sur " vérification des antécédents" et nous sommes 2 adultes et 2 enfants. Est-ce normal que cela prenne autant de temps et qu'aucune mise à jour n'a été faite depuis? Devrais-je contacter qlq? Merci bcp pour votre aide.
-
Bonjour, On est une famille de 4 et nous aimerons déménager a Toronto ou alentour. Quels sont les villes ou les quartiers familials a Toronto. Comment le cout de la vie, les écoles on pense acheter une maison alors on aimerait savoir au niveau au marche du travail,, mon mari travaille pour sobeys et mon je travaille dans une école; Merci
-
Faut arrêter un peu avec ces délires, on ne sera ni le 51eme état ni le 28eme membre. Un rapprochement ne veut pas dire s’arrimer un bloc mais travailler conjointement ensemble. Tu confonds le lien entre la France et le Quebec et celui de l’Ontario avec la Grande Bretagne mais le Canada ne se limite pas à ces deux provinces. Je trouverai davantage logique que le Quebec demande à faire partie d’un département ou territoire avec la France et l’Ontario avec la GB si l’Alberta voulait devenir le 51eme état.
-
Recherche emploi en Ontario - programme mobilité francophone
crazy_marty a répondu à un(e) sujet de Thibault84 dans Ontario
Ottawa, c'est le genre de postes qui existent en masse au gouvernement fédéral. Mais toute embauche est gelée en ce moment, et toute façon ils priorisent les citoyens. Le privé recrute peu à Ottawa, et encore moins des besoins de francophones. L'Est de l'Ontario a souvent des besoins et des difficultés de recrutement, ça pourrait être ta chance. Mais ce sont des petites villes et petits villages (Hawkesbury, Casselman, Alexandria, Cornwall).





