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UBRANE

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Messages posté(e)s par UBRANE

  1. Il y a de quoi surprendre...

    Toujours selon la même étude,

    Palmarès des 10 meilleures villes pour les nouveaux immigrants :
    1. Burlington
    2. Vaughan
    3. Calgary
    4. Richmond Hill
    5. Toronto
    6. Oakville
    7. West Vancouver
    8. Saanich
    9. Markham
    10. Vancouver
    Intéressant aussi, le classement général tout confondu (crime, emploi, salaires, loyers, culture, météo, etc) à découvrir ici : Best Cities Overall

    L'article est à lire en détail (anglais) sur le site de MoneySense :

  2. Salut,

    Je voyage très régulièrement à cause de mon métier : j'ai toujours mes deux passeports (français+canadien) avec moi.

    Je ne présente mon passeport canadien que pour rentrer au Canada et me rendre aux USA (ainsi pas besoin de ESTA). Pour tous les autres pays où je me rends, je présente le français qui est beaucoup plus passe-partout (par exemple avec un passeport canadien, il faudrait payer une taxe d'entrée au Chili, avoir un visa au San Salvador, etc).

    Aussi, côté pratique, je glisse ma carte d'immatriculation consulaire dans mon passeport canadien et ma carte de citoyenneté canadienne dans mon passeport français.

    Attention tout de même, bien que je le fasse quand même, il est hautement recommander de ne voyager qu'avec un seul passeport pour éviter toute confusion dans certains pays qui ne reconnaissent pas la double citoyenneté (risques de confiscation du second passeport, forte amende et autres traquas à l'immigration).

  3. Salut,

    Je ne connais hélas pas le secteur de la finance, mais tout ce que je peux vous dire c'est que bien rares sont les nouveaux immigrés qui trouvent un boulot tout de suite et pile poil dans leur domaine (à part ceux arrivant déjà avec un work permit). Le Canada est loin d'être l'Eldorado que les gens ont tendance à imaginer outre-Atlantique : il faudra donc vous attendre à peut-être commencer dans un autre domaine histoire de vous faire les dents, car ce qui compte avant tout ici est la fameuse "expérience canadienne" (en gros, vous construire un historique professionnel made in Canada pour convaincre votre futur employeur).

    Dernier point : n'oubliez pas que Toronto est une ville anglophone, il faudra donc maîtriser la langue un minimum avant d'arriver.

    @ bientôt !

  4. Pour en savoir plus sur l'un des autres visages de Toronto (=le cinéma), un article à lire sur La Provence :
    (10 mars 2013)

    Présenté en avant-première au festival du film de Toronto, le blockbuster "Cloud Atlas" arrive en salle. L'occasion d'une plongée dans cette ville dédiée au cinéma.
    20130310_1_6_1_1_0_obj3297523_1.jpg
    Il y a deux moments dans l'année où le Tout Hollywood n'est pas à Hollywood : le Festival de Cannes et le Toronto International Film Festival (Tiff). Johnny Depp, Ryan Gossling, Halle Berry, Tom Hanks, Ben Affleck, Joaquin Phoenix, Hugh Grant, Bruce Willis, Bradley Cooper, Jennifer Lawrence... et bien d'autres stars de cinéma et cinéastes de renom ont foulé le tapis rouge à l'occasion de la 37e édition de cet événement planétaire, organisé au mois de septembre.
    À cette époque de l'année, les médias et les touristes des quatre coins du monde affluent à Toronto. Loin des paillettes de la Croisette et des séances de projections privées, réservées aux VIP, le Tiff, lui, appartient au public. Une particularité qui en a fait l'un des plus importants festivals du film au monde où seul est remis le prix de l'audience.
    Plus de 300 films et 900 séances
    Autant dire que pour la première internationale du blockbuster le plus attendu de l'année, Cloud Atlas (en salles en France ce 13 mars),de Lara et Andy Wachowski, les créateurs de Matrix, et Tom Tykwer, il y avait foule. Tandis que les fans attendent d'entrer dans les salles obscures, leur ticket à la main, les places sont revendues entre 100 et 150 $, sur le marché parallèle. Pourquoi ? Parce que le public assiste à la projection en même temps que les acteurs. Et quel casting !
    Plus de 300 films, à raison de trois séances au moins chacun, ponctuent ce festival, au coeur de la capitale multiculturelle de la province de l'Ontario. Depuis des années, Toronto, considéré comme la capitale économique du Canada, est historiquement dédiée au cinéma américain. Surnommée "Hollywood du Nord", elle a su tirer parti de ses atouts. Le décor urbain varié sert souvent de réplique à un grand nombre de villes américaines, de New York à Chicago, en passant par Washington.
    Nuits blanches pour écrans noirs
    Le Fairmont Royal York a été le site de prédilection pour différents tournages. Plus qu'un simple hôtel de luxe, l'immeuble, historique, a prêté son architecture élégante et son intérieur fastueux pour de nombreux films et séries télé. C'est également un endroit huppé où les célébrités séjournent pendant les tournages à Toronto. Durant les années quatre-vingt-dix, les bâtiments de la distillerie vides sont également devenus le lieu de tournage numéro 1 au Canada et continuent d'être utilisés à cette fin.
    "The Distillery district" a servi aux besoins de films tels que Chicago, X-Men, L'Incroyable Hulk ou encore The Hurricane. À Toronto, il peut y avoir près de 40 productions en même temps, dans un respect total des Canadiens qui ne viennent jamais perturber le travail des acteurs. Beaucoup de studios de production ont également décidé d'y installer leurs locaux.
    Ainsi, si Toronto est l'un des meilleurs centres financiers dans le monde, la ville se place également à la troisième position dans la production cinématographique et à la deuxième place des exportateurs de programmes de télévision en Amérique du Nord. L'industrie du film de Toronto a créé près de 28 000 emplois. Et aujourd'hui, elle attire un grand nombre de productions bollywoodiennes.
    Si durant toute l'année, Toronto vit au rythme des tournages, durant les trois semaines du Tiff, la ville est entièrement dédiée au 7e Art, ses habitants se ruant vers les projections matin, midi et soir. Nuits blanches pour écrans noirs sur les rives de l'Ontario !
    L'antre du goût au Saint-Lawrence Market
    Avec le quartier de la distillerie, Saint-Lawrence Market est l'un des quartiers les plus populaires de Toronto comme lieu de tournage, notamment pour son architecture ancienne, la plus attrayante de la ville. Site iconique et culinaire, Saint-Lawrence Market, élu numéro un des marchés au monde en 2012 par le National Geographic, situé dans le centre de la ville, incarne la culture de Toronto. Le marché se compose de deux bâtiments, sud et nord, situés l'un en face de l'autre.
    Dans leurs halls interminables, les étals accueillent plus de 600 types de fromages, 300 types d'huile d'olive, 600 variétés de riz, plus de 40 variétés de café d'origine unique, 38 types de moutarde. On peut y déguster une sélection de 40 types de saucisses, y découvrir jusqu'à 400 variétés de fruits, des légumes et des herbes, 100 sortes de fruits de mer assortis et une pléthore de chocolats importés. Sans oublier, les restaurants à service rapide qui proposent une cuisine des quatre coins du monde. De quoi aiguiser les papilles.
    Narjasse Kerboua

  5. C'est officiel, déjà plus grosse ville du Canada, Toronto vient de doubler Chicago et devient désormais la plus grosse ville d'Amérique du Nord après Mexico, New York et Los Angeles.

    Statistics Canada vient d'estimer la population de Toronto à 2 791 140 habitants.

    http://www.journaldemontreal.com/2013/03/05/toronto-est-maintenant-la-quatrieme-plus-importante-ville

    Pour info, selon le dernier recensement en 2011, la population totale du Greater Toronto Area (Toronto + région métropolitaine) était de 6 054 191 habitants : un chiffre à revoir à la hausse également du coup.

    post-2-0-44297500-1362580390_thumb.jpg

  6. Salut Abir,

    Le quartier maghrebin de Toronto (bien que ce ne soit pas officiellement un quartier) est du côté de Danforth avenue, à l'est de Greenwood station. C'est là qu'il y a pas mal de petits restos tunisiens/marocains et autres magasins orientaux.

    Ça ne coûte rien d'y faire un tour !

  7. La tempête est passée, la neige a presque toute fondue, les rues sont dégagées, les raquettes de trappeur sont rangées dans le placard : vous n'avez plus d'excuses pour rester coincé à la maison :smile:
    Rejoignez-nous donc ce vendredi soir à partir de 21h00 au Urban House Café histoire de vous réchauffer dans la bonne humeur autour de quelques verres.
    Comme d'habitude, timides, habitués, chiens, chats, hamsters : TOUT LE MONDE EST LE BIENVENU ! Donc n'hésitez pas à répandre l'invitation autour de vous et même ramener du monde, on vous promet une sympathique soirée !
    Détails sur l'event Facebook créé pour l'occasion :
    http://www.facebook.com/events/338408669597697
    À vendredi soir !
  8. Par contre c'est vrai qu'au Québec, il semblerait que nous sommes légèrement plus imposé que les autres provinces voisines.

    Pas une grosse différence non plus, effectivement.

    Fait intéressant quand on décortique un peu : le Quebec est la province du Canada où l'impôt fédéral est le plus bas et surtout où l'impôt provincial est le plus élevé.

    Un petit comparatif bien fait ici :

    http://www.creditfinanceplus.com/fr/calculs-simulations/calculer-impot-revenu-particuliers-canada.php

    Ce comparatif ne tient pas en compte la TVQ à 10%, ainsi que la taxe sante, inexistantes dans les autres provinces,. Et il ne considère pas non plus l'énorme taxation de certains produits comme l'essence et l'alcool.

    Et ce comparatif ne tient pas en compte, l'électricité !!! Qui étant géré par une société publique au Québec offre l'électricité à un prix bien en deçà du prix du marché !!!

    On parle ici de taxation. Depuis quand l'électricité est une taxe?

    Si tu veux parler des avantages du Québec en termes de coût de la vie, il n'y a pas que l'électricité, il y a aussi le coût des maisons et du logement en général, les assurances auto, les études post-secondaires, les programmes sociaux (garderies, congés parentaux, etc.) et j'en oublie sûrement. Mais là on parlait de taxation.

    :thumbsup: Tout à fait Kweli : je parlais bien d'imposition ("impôts sur le revenu") dans mon message, et non des taxes en général.

  9. Par contre c'est vrai qu'au Québec, il semblerait que nous sommes légèrement plus imposé que les autres provinces voisines.

    Pas une grosse différence non plus, effectivement.

    Fait intéressant quand on décortique un peu : le Quebec est la province du Canada où l'impôt fédéral est le plus bas et surtout où l'impôt provincial est le plus élevé.

    Un petit comparatif bien fait ici :

    http://www.creditfinanceplus.com/fr/calculs-simulations/calculer-impot-revenu-particuliers-canada.php

  10. Je crois comprendre que ce que Avoine veut dire par "dilemne", c'est qu'il a peur de perdre son permis de conduire en l'échangeant contre le permis Ontarien.

    ... c'est vrai que pour avoir le permis Ontario il faut que je rende mon permis français. Vous en pensez quoi ?

    Cheers,

    Alexandre

    Soit rassuré : si effectivement il faut échanger physiquement son permis étranger (français dans ton cas) pour avoir le permis Ontarien, il ne sera pas détruit mais simplement transférer à la préfecture où tu as fait ta demande de permis en France. Tu pourras donc le récupérer lorsque tu reviendras vivre en France sans problème.

    :smile:

    Pour info, on a abordé le sujet il y a quelques temps ici :

    http://www.forum.immigrer.com/topic/99353-echange-permis-conduire-france-ontario/#entry1105668

    Je t'invite à le lire, il peut y avoir des réponses à d'autres de tes questions à ce sujet.

    @+

  11. Une page se tourne...
    C'est à partir d'aujourd'hui, 4 février 2013, que disparait officiellement notre bon vieux Penny : la pièce de un cent canadien cesse donc d'exister et ne sera plus distribuée. Pensez donc à vider vos poches :wink:

    L'enterrement officiel du sou noir est fixé au 4 février 2013
    PC_120329_hi3h8_un-cent_sn635.jpg
    La date des funérailles officielles du sou noir a été décrétée : dès le 4 février 2013, la Monnaie royale canadienne cessera de distribuer la pièce d'un cent, allégeant d'un coup le poids des porte-monnaie des Canadiens.

    Mais alors... inflation ou pas ? ;)

    « Pour les paiements en espèces et pour la monnaie à rendre, il revient aux détaillants de prendre la décision de réajuster le montant en espèces, y compris éventuellement celle d’arrondir ce montant. »

    arrondir-pour-le-cent.jpg

  12. Oui c'est cela, j'ai compris maintenant, je suis obligé de passer par le Québec avec mon CSQ.

    Je dois donner une adresse au Québec pour ma carte RP donc pas de prise de tête dès le début à l'aéroport avec le service d'immigration.

    Je vais passer par Montréal, y habiter jusqu'à recevoir la carte de RP et pendant ce temps profiter pour bouger sur Ottawa, Toronto et Vancouver juste pour voir si on peut

    trouver du boulot et aussi y habiter. Car d'après tout ce que je lis le Québec, niveau job ce n'est pas le top dirait-on et même le salaire semble-t-il être plus bas qu'ailleurs...

    -Mais si je fais mes équivalences de diplomes au Québec et que je bouge ailleurs, dois-je refaire les équivalences dans l'autre province aussi ou accepteront-ils ce qui a été fait au Québec?

    -Pour la carte NAS, je vais la faire au Québec. J'espère qu'elle sera acceptée au niveau de tous les provinces.

    Merci

    La seule raison pour laquelle on te demande une adresse, c'est que lorsque tu fais ta demande de l'extérieur du Canada, le montant des fonds bloqués sur un chèque de banque est moindre en atterrissant à Montréal (6 000$) contre 10 000$ à Toronto, compte tenu du coût de la vie en Ontario.

    Heu... Si je puis me permettre, ce n'est pas tout à fait ça.

    La "preuve de fonds" est différente parce que le quebec bénéficie de sa propre autonomie financière pour leurs immigrants (qui est de 2,924$ pour les 3 premiers mois, comme expliqué sur le BIQ). Pour tout le reste du Canada, et ce n'est pas propre à Toronto uniquement, en passant directement par le Fédéral c'est 11,115$ (comme expliqué sur le CIC).

  13. Pour moi, la RP était valable 1 an la première année, puis valable 10 ans... Il se peut que le contrat de travail puisse accélérer ou favoriser une nouvelle demande de RP ?

    je penser que la rp étais renouvelable tous les 5 ans

    C'est bien ça, lion :

    « Conservation du statut de résident permanent

    Votre statut de résident permanent vous autorise à vivre au Canada mais restreint également la durée de vos séjours hors du pays. Pour conserver votre statut de résident permanent, vous devez résider au Canada pendant au moins deux années dans une période de cinq ans. »

    http://www.cic.gc.ca/francais/nouveaux/ausujet-rp.asp#droits

  14. Tu peux aussi demander à tom employeur de te faire un work permit.

    Pense aussi que tu faire une demande de RP via la catégorie de l'expérience canadienne si tu es hors-Quebec (il te faudra justifier d'un an d'expérience professionnelle pour en profiter).

  15. C'est assez difficile de comparer le Québec qui est une province au ROC qui est un ensemble de provinces....

    La seule chose que je puisse dire c'est que dans le ROC , parler français n'est pas très utile ... contrairement au Québec ...

    À part ça, objectivement je ne vois pas vraiment ce qu'on peut dire de plus puisque la plupart des choses sont différentes d'une province à l'autre ....

    Je ne partage pas cet avis, il existe bien des gens qui ont pu tirer profit de leur bilinguisme franco-anglais dans le RoC. Il est plus facile de trouver un employé francophone au Québec que dans le RoC. Aussi dans ces conditions le français peut aussi servir de compétence.

    Je crois que ce que da23ad voulait dire par «parler français n'est pas très utile», c'est que l'anglais est une vraie question de survie dans le ROC. Sans anglais, ça va être une grosse galère au quotidien (faire ses courses, des démarches administratives, etc).

    :smile:

    En revanche, oui, parler français dans le ROC peut vite devenir un sacré atout au niveau professionnel : car autant il n'est pas trop difficile de trouver un francophone qui parle couramment anglais à Montréal (par exemple), autant il est très périlleux de trouver un anglophone qui parle parfaitement le français à Toronto (par exemple). Je ne compte plus le nombre de fois où je ne comprends rien à ce qu'on me dit lorsque je prends un service en français à Toronto (au téléphone chez Rogers, par exemple) tellement le niveau est faible : à tel point que maintenant je préfère même prendre directement le service en anglais, au moins je me fais mieux comprendre.

    Parler français est donc un énorme avantage pour quelqu'un qui cherche un boulot bilingue dans le ROC (traduction, call-center, etc), certes, mais l'anglais est vraiment indispensable pour vivre. Et les boulots bilingues ne sont hélas pas non plus légion...

  16. Dans le ROC (je précise bien "hors Quebec"), pour obtenir une RP à partir d'un PVT ou d'un Work Permit, le mieux est encore de passer par la catégorie de l'expérience canadienne.

    Pour se faire, il faudra déjà avoir cumulé au moins 12 mois d’expérience de travail qualifié dans l'une des professions admissibles par le CIC.

    C'est la procédure la plus courante.

    C'est expliqué ici sur le site du CIC :
    http://www.cic.gc.ca/francais/immigrer/cec/demande-qui.asp

  17. Le "ROC" c'est vaste, car même dans le "ROC", l'ambiance et les moeurs seront différentes d'une province à l'autre ! On ne vit pas le même manière en Ontario et en B-C par exemple... Pour bien te répondre, il faudrait comparer la province du Quebec avec une autre province.

    La seule similitude à travers le pays sera l'anglais : et oui il te faudra le maîtriser un minimum avant de faire le saut et espérer trouver un emploi. Je ne dis pas d'être forcément bilingue (ce n'était pas le cas pour moi par exemple) mais il te faudra au minimum être capable de tenir une conversation professionnelle en anglais.

    Tu comptes aller où ?

  18. La meilleure météo du Canada se trouve dans la Vallée de l'Okanagan (B-C) : Pennticton, Kamloops, Kelowna pour les villes les plus connues.

    C'est l'endroit où l'hiver est le plus court (en moyenne "que" 0°C). Le climat y généralement chaud, ensoleillé et sec. La majeure partie de la vallée reçoit en moyenne un bon 2000 heures de soleil et seulement 250 à 400 mm de précipitations par année.

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