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UBRANE

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Messages posté(e)s par UBRANE

  1. Attention le yeux !

     

    Ce lundi 21 août 2017, préparez-vous à assister assister à un spectacle très rare : celui d’une éclipse solaire totale.

     

    Traversant les USA d'ouest en est, elle sera visible à 100% dans les états américains de l'Oregon, Idaho, Wyoming, Nebraska, Kansas, Missouri, Illinois, Kentucky, Tennessee, Géorgie, Caroline du Nord et du Sud.


    Elle sera partiellement visible au Canada, selon l'endroit où vous vivez pour les secteurs les plus rapprochés de la bande de totalité. Dans le sud-ouest du Quebec (Gatineau, Montréal), elle sera partiellement visible à un peu plus de 60%, alors que ce sera à peine 25% dans l’extrême Nord québécois. Le meilleur endroit pour en profiter sera l'extrême ouest du Canada, en BC.

    Pour être précis, l'éclipse sera partiellement visible à 58% depuis Montréal, 76% depuis Toronto, 81% depuis Calgary, 88% depuis Vancouver et les plus chanceux à 91% depuis Victoria.

     

    2017-total-solar-eclipse-use-this.jpg

     

    À Toronto, l'éclipse commencera à 13h10, pour être à son apogée à 14h32 et se terminer à 15h49.

    À Montréal, elle débutera à 13h21, pour atteindre son maximum à 14h38 et se terminer à 15h50.

    À Victoria, elle débutera à 9h08, pour atteindre son apogée à 10h20 et se terminer à 11h38.

     

    Qu’est-ce qu’une éclipse solaire ?
    Une éclipse de Soleil se produit lorsque la Lune passe entre le Soleil et la Terre. De la Terre, le Soleil devient ainsi caché, totalement (éclipse totale) ou en partie (éclipse partielle), nous plongeant donc dans la noirceur en plein jour, pendant un court instant.

    screenshot_orig.png

     

     

    À savoir que la dernière éclipse totale de Soleil visible en Amérique du Nord a eu lieu en 1979 et la prochaine ne sera pas avant 2024.

  2. Une bonne nouvelle : l'obligation de payer son fournisseur de services cellulaires pour débloquer son téléphone portable au Canada prendra fin à compter du 1er décembre.

    Les clients pourront ainsi demander à leur fournisseur de débloquer gratuitement leurs téléphones.

     

    Jusqu'ici, lorsque vous achetiez un forfait pour un téléphone, la plupart des fournisseurs verrouillent l’appareil pour que vous respectiez les termes du contrat. Même si votre contrat de cellulaire est arrivé à échéance, votre ancien fournisseur peut exiger de l’argent pour rendre votre téléphone compatible avec le réseau d’un concurrent. Les frais demandés pour le déverrouillage se situent généralement de 50 $ à 150 $.

     

    Fini le verrouillage, le client ne sera plus prisonnier. Le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) a annoncé ce jeudi que tous les téléphones achetés à compter du 1er décembre devront être déverrouillés. D’autre part, les clients qui possèdent déjà un appareil verrouillé pourront le faire déverrouiller sans frais.

     

    source : http://quebec.huffingtonpost.ca/2017/06/15/tous-les-nouveaux-cellulaires-seront-deverrouilles-des-le-1er-decembre-2017_n_17123116.html

  3. Pour la 11e année (déjà!), venez célébrer la Fête Nationale française autour d’un grand pique-nique champêtre ce dimanche 16 juillet 2017 à partir de 12h00 (midi) au Budapest park (Sunnyside beach).

     

    10873619323_9eeef48cf6_z.jpg

     

     

    Chaque année depuis 2007, la communauté française des Torontois et le groupe francophone des French Friday organisent un grand pique-nique en plein air pour célébrer la Fête Nationale française.
     
    Le principe reste le même que les années précédentes : un pique-nique simple, à la bonne franquette, chacun amenant de quoi grignoter pour lui (et éventuellement partager). Comme d'habitude, tout le monde est le bienvenu !
     
    Pour plus d’informations : http://torontois.com/s/BastilleDay2017
     
     
    Informations pratiques :
    Date & Heure : dimanche 16 juillet à partir de 12h00
    Lieu : Budapest park (Sunnyside beach)
     
    Venez nombreux !
  4. Je suis passé par là aussi... Environ 3 mois avant de recevoir une seule réponse (qui fut d'ailleurs heureusement positive). C'est encore plus difficile sans expérience canadienne : dans ton cas, il faut impérativement miser sur le networking (faire des soirées de réseautage, jouer à fond sur LinkedIn, etc) et surtout se déplacer physiquement pour déposer des CV. Sache qu'à Toronto, 80% des offres d'emplois se font de bouche à oreille...

  5. Le 31/05/2017 à 07:27, Padre95 a dit :

    Prévoyant de d'immigrer en famille, je m'éloignerai peut être un peu de Toronto mais je me pose la qeestion de savoir si il existe des transports en communs du type RER comme en région parisienne

    Comme l'a dit Penetang, oui ça existe mais c'est très loin d'être comparable au RER parisien... Déjà c'est plus cher ici et nous avons beaucoup moins de lignes. Il te faudra donc rechercher un logement à proximité d'une station pour que ce soit pratique au quotidien.

     

    Pour info, la carte du réseau GO :

    http://www.gotransit.com/timetables/en/schedules/transit_system_map.aspx

     

    system_map.png

  6. Il y a 4 heures, Laurent a dit :

    Comme les Français d'Amérique ont voté hier samedi, nous connaissons déjà leurs résultats.

     

    Ottawa et Montréal : Macron 90%, Le Pen 10%
    New-York : Macron 94,7%, Le Pen 5,3%
    Chicago / Midwest : Macron 92%, Le Pen 8%
    Boston : Macron 95,7%, Le Pen 4,3%

    (Source LeSoir.be)

    Les résultats des bureaux de vote pour le Canada :

    Ottawa ->  87,2 % vs 12,8%

    Toronto -> 91,7% vs 8,3%

    Edmonton -> 85% vs 15%

    Montréal -> 90% vs 10%

     

    source : http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1032352/macron-vainqueur-dans-plusieurs-bureaux-de-vote-au-canada

  7. C'est vrai qu'ils sont silencieux, mais ils n'en sont pas moins nombreux :)

    Rien qu'en ce qui concerne les Français par exemple, et selon les chiffres du Ministère des affaires étrangères en décembre 2014, nous étions environ 10,600 officiellement inscrits au consulat de Toronto. Et à l'échelle de la population totale de Toronto, selon Statistique Canada, les francophones tout confondus représentent environ 2%.

  8. Même palmarès que l'année dernière : selon le tout récent classement annuel 2017 des meilleures villes au monde de Mercer, la ville canadienne de Vancouver offre la meilleure qualité de vie en Amérique du Nord (et 5e au niveau mondial), suivie de Toronto (et 16e au niveau mondial).

     

    En détail : "Enquête internationale Mercer 2017 sur la qualité de la vie" ou le classement des meilleures villes du monde.

     

    Cette année, 231 villes sont concernées dans cette enquête qui englobe les principales capitales internationales mais aussi un certain nombre de villes plus modestes, à travers le monde, accueillant également des expatriés.

     

    Au palmarès du classement on retrouve Vienne (Autriche) en haut du panier: la première ville à offrir la meilleure qualité de vie au monde. 
    Zurich (Suisse) arrive en deuxième position, suivie d’Auckland en Nouvelle-Zélande, et de Munich en Allemagne.
    Le même podium que l'année passée.

     

    Dans l’ensemble, les villes de l'Amérique du Nord, particulièrement celles du Canada, offrent selon Mercer, un niveau de qualité de vie élevé et constituent des destinations de travail intéressantes pour les travailleurs expatriés et les entreprises qui les emploient.

     

    Citation

    Le Palmarès des villes canadiennes en 2017  :
    1 Vancouver (#5 mondial)
    2 Toronto (#16 mondial)
    3 Ottawa (#18 mondial)
    4 Montréal (#23 mondial)
    5 Calgary (#33 mondial)

     

    La dernière ville de ce classement mondial est... Bagdad (#231).

     

    À quoi sert ce classement ?
    Mercer établit ce classement dans le but d'aider les gouvernements mais aussi les entreprises multinationales à rémunérer convenablement leur personnel lorsqu'il est affecté à l'international: ce qui nous intéresse en tant qu'expatriés.
    A noter que pour élaborer le classement, Mercer a utilisée New York comme référence (c'est aussi le siège de la firme). New York est associée à l’indice de référence de 100 points.

     

     

    Mercer 2017.png

  9. Salut,

     

    Vu que vous vous posez beaucoup de questions, le mieux est de faire ce petit quizz en ligne d'Immigration Canada :
    http://www.cic.gc.ca/ctc-vac/avant-de-commencer.asp

    C'est gratuit, ça ne prend que quelques minutes et ça vous orientera vers le visa le mieux adapté dans votre cas.

     

    Enfin, juste un dernier détail (mais j'imagine que vous êtes déjà au courant) : Toronto est une ville anglophone. Il vous faut donc un niveau d'anglais avancé pour espérer y trouver un emploi.

  10. On a un dicton ici qui dit que « le français s'apprend et l'anglais s'attrape ».

    À 6 ans, il est encore jeune. Tu peux donc inscrire  en école francophone pour qu'il suive un enseignement en français, il aura largement le temps d'apprendre l'anglais tout seul avec ses copains ou durant les activités extra scolaires, etc.

    Mais si ton but est de revenir en France dans un proche futur, il est peut-être envisageable de le mettre au Lycée Français de Toronto (www.lft.ca) pour qu'il y suive le programme de l'Éducation nationale. Attention, l'inscription y est très chère (dans les 15,000$/an).

  11. C'est bien ce que je pensais, Jimmy, tu regardes toujours le contenant sans voir le contenu. Et c'est bien dommage car au final on est sur la même longueur d'onde : je n'ai jamais inciter quiconque à contourner les règles (trouve moi un seul message sur le forum depuis 2005 où j'aurais dit que c'était la seule chose à faire), j'explique juste quels sont les droits des immigrants. Et là est la nuance, car autant que toi, je n'approuve pas les gens qui utilisent délibérément un CSQ pour aller s'installer ailleurs. Mais certains ont le droit de savoir et libre à eux de peser le pour et le contre, je ne suis pas leur bonne conscience : un évènement dans la vie ou une opportunité professionnelle peut arriver bien après la dépose de leur dossier.

     

  12. Cependant, une personne rencontrée sur Facebook (oui on a connu meilleur source d'information) ainsi que les propos tenus par "Dentan" sur un forum ( http://www.expat.com/forum/viewtopic.php?id=557224 ) laissaient sous entendre que certaines provinces (il cite notamment le Nouveau-Brunswick) pouvaient retirer leur sélection, si on ne respectait la déclaration d'engagement, et donc que l'on pouvait perdre son visa si on voulait vivre autre part que dans la province.

    Est-ce une légende urbaine diffusée sur les forums pour effrayer?

    Je n'avais encore jamais entendu ça avant...

     

    il y a 34 minutes, jimmy a dit :

     

    Je savais que l'on pouvait compter sur toi pour encourager des fraudeurs a fourrer le peuple Québécois

     

    Y a pas d'interprétation a faire, c'est très clair

     

    Bravo...en tout cas ce qui me rassure c'est que tu es en Ontario...entre crosseurs

     

    Alors tu devrais te contenter de donner des renseignements sur comment fourrer le peuple ontarien plutôt que leur expliquer comment fourrer le peuple Québécois

     

     

    Bravo Jimmy, encore une remarque très intelligente...

     

    Je n'essaye pas de "fourrer", comme tu dis, j'apporte simplement des réponses constructives à la question initiale de cette discussion : que cela te plaise ou non, un résident permanent a le droit de s'installer et vivre où bon il lui semble au Canada, que ce soit du Quebec vers une autre province ou l'inverse.

    Mais tu as raison, il n'y a pas d'interprétation à faire et libre à toi de comprendre comme tu le sens mes propos.

  13. Il y a 2 heures, BeN48300 a dit :

     

    Dans la déclaration d'engagement, il n'y a pas de durée. Combien de temps suis-je censé rester dans la province a minima? Ad vitam aeternam?

    J'ai pu lire sur d'autres post, que cette déclaration d'engagement n'avait qu'une valeur morale. Est-ce vrai? Peut-on me poursuivre si au bout de 2-3 mois je trouve par sur place et que je trouve dans une autre province et que je décide de partir?

    Une fois la carte de visa obtenue, la province peut-elle faire un recours pour revenir en arrière et me destituer de ma RP? Ne vont-ils pas considérer que j'ai menti par rapport à ma déclaration d'engagement, ce qui pourrait être un motif de destitution?

    Après, j'ai pu lire sur le compte du CIC qu'en tant que résident permanent, j'avais le droit de résider et travailler n'importe où au Canada.

     

    La loi dit que le statut de RP te donne le droit de t'installer et vivre n'importe où au Canada, que tu sois passé par un CSQ ou non. Donc oui, tu peux décider à la dernière minute d'une nouvelle province de destination, même si ta demande initiale montrait une province différente. Tu n'es pas résident permanent d'une province mais résident permanent d'un pays.

     

    « Ce que les résidents permanents peuvent faire

    À titre de résidents permanents, vous avez le droit :

    - à la plupart des avantages offerts aux citoyens canadiens, y compris la couverture des soins de santé;

    - d’habiter, de travailler ou d’étudier n’importe où au Canada;

    - de demander la citoyenneté canadienne;

    - de bénéficier de la protection des lois canadiennes et de la Charte canadienne des droits et libertés.

     

    Les résidents permanents doivent payer des impôts et respecter toutes les lois canadiennes à l’échelle fédérale, provinciale et municipale. »

     

    source : http://www.cic.gc.ca/francais/nouveaux/ausujet-rp.asp

     

    Aussi, le Gouvernement ne mentionne nulle part une durée minimale pour vivre au Quebec, c'est un engagement purement moral. Libre à toi de l'interpréter à ta manière.

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